– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
filtre:
calottes
La fonte des calottes glaciaires aggrave la hausse du niveau de la mer de manière plus importante que ce qui était anticipé jusqu’à présent, alerte une nouvelle étude scientifique.
Pourquoi l'effondrement de l'Antarctique va changer nos vies ? C'est la question posée à Eric Rignot, glaciologue spécialiste de l’observation des calottes polaires par satellite, professeur à l’université de Californie à Irvine, chercheur auprès de la NASA, membre de l’Académie des sciences américaines.
La fonte des calottes glaciaires est probablement largement sous-estimée, affirme une étude publiée ce mardi 25 juin dans la revue Nature Geoscience. Car l’eau de mer s’infiltre sous les glaces terrestres, accélérant leur disparition.
La fonte des calottes polaires a de nombreuses conséquences sur le climat, le niveau des mers, la biodiversité, les modes de vie des peuples autochtones… Les travaux d’Angela Szesciorka et de Kathleen Stafford, de l’université de l’Oregon, aux États-Unis, en apportent une nouvelle preuve : elle concerne l’une des quatre populations de baleines boréales Balaena mysticetus se répartissant autour du cercle Arctique, celle qui hante les mers des Tchouktches et, plus au sud, de Béring. C’est la moins menacée des quatre.
Depuis le début du XXIᵉ siècle, les calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique ont perdu plus de 500 milliards de tonnes… soit six piscines olympiques chaque seconde pendant 8 451 jours. Publiée le 14 février dans la revue Nature Communication, une étude démontre que la contribution de ces étendues blanches à la montée du niveau des océans a été sous-estimée. Jusqu’à présent, les modèles climatiques s’appuyaient exclusivement sur l’effet de la hausse des températures de l’air sur la glace. Seulement, (...)
Une étude alerte sur l'imminence d'un emballement de la fonte des calottes polaires et du relèvement du niveau marin.
Une étude publiée l’année dernière alertait sur la déstabilisation de la circulation méridienne de retournement de l’Atlantique (AMOC) à cause du réchauffement climatique, et un rapprochement de son point de bascule. Des chercheurs de l’UNSW (Sydney) ont modélisé l’effondrement total de ce tapis roulant des courants océaniques afin d’en examiner l’impact mondial.
Le philosophe Olivier Remaud donne une autre perspective sur les icebergs dans son dernier livre Penser comme un iceberg (Actes Sud). Son travail sur ce qui se révèle être bien plus que des simples blocs de glace à la dérive, conduit à repenser ce qu’est le vivant et les différentes échelles d’interactions existantes dans la nature entre les écosystèmes et ceux qui les habitent.
il y a de grosses incertitudes notamment concernant l'Antarctique de l'Ouest, surtout après 2050. Si la fonte des calottes polaires est rapide, le niveau moyen global de la mer pourrait monter d'un à deux centimètres par an et atteindre 1,7 mètre en 2100. Ces masses d'eau ne se répartissent pas de façon homogène sur le globe notamment à cause des effets gravitationnels : le niveau de la mer baisserait au Groenland alors qu'il monterait plus qu'ailleurs sous les Tropiques.
Le changement climatique est l'une des préoccupations majeures auxquelles le monde moderne est confronté aujourd'hui. Des émissions de carbone à la hausse des températures et à la fonte des calottes glaciaires, le changement climatique affecte notre planète de plusieurs manières. Et il existe également un grand nombre d'effets secondaires qui vont beaucoup plus loin que nous ne le pensons. L'un de ces effets secondaires est l'impact sur le cycle de l'eau.
Le monde sous-estime les conséquences géologiques du réchauffement climatique, qui pourrait déclencher des tremblements de terre et des tsunamis catastrophiques alors que la fonte des calottes glaciaires réduit le poids de la croûte sous-jacente et déclenche une intense activité sismique, prévient un éminent scientifique
Si le cynisme et l’inconscience réunis étaient un phénomène, ce serait sans doute le « tourisme de la dernière chance ». Pressés par l’urgence de voir un site naturel avant qu’il ne disparaisse, c’est ce qui pousse chaque année des centaines de milliers de visiteurs à la Grande Barrière de Corail, qui n’est déjà plus que l’ombre d’elle-même, jusqu’aux calottes polaires et glaciers.
Jusqu’à présent, les travaux portant sur la cryosphère planétaire, c’est-à-dire l’ensemble des zones où l’eau est présente à l’état solide, se sont concentrés sur des aspects précis de cette dernière : glaces de mer, calottes polaires, manteau neigeux, pergélisol, etc. Dans une étude récente, un groupe de chercheurs a désormais considéré la cryosphère dans sa globalité et quantifié son évolution entre 1979 et 2016.
Le texte est sans ambiguïté sur le seuil de dangerosité à ne pas franchir: aller au-delà de 1,5°C entraînera "progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles". Entre autres phénomènes, la dislocation des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique serait en effet irréversible à l'échelle historique des temps. Or, la disparition des glaciers menacés dans ces régions (pour certains glaciologues, le processus est engagé et ne s'arrêtera pas) ferait monter le niveau des océans de 13 mètres environ, dans les siècles à venir.
Températures moyennes, records de chaleur, émissions et concentrations de CO2 et de méthane, dégel du pergélisol, fonte des banquises et des calottes glaciaires, hausse du niveau de la mer, tempêtes, acidification des océans, courants marins, forêts, sols, biodiversité, incendies, sécheresses, inondations, déplacements de populations… Tour d’horizon d’une Terre en surchauffe.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.