– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
nucléaire civil énergie
La Belgique ne comptera plus que deux réacteurs nucléaires en activité à partir du 1er décembre, après l'arrêt définitif du réacteur Doel 2 dimanche soir. Il est mis à l'arrêt après cinquante ans d'exploitation.
Si les délégations de 194 pays sont bien parvenues à un accord au Brésil, il n’y aura pas eu le sursaut indispensable pour accélérer la mise en œuvre des engagements de l’accord de Paris, adoptés il y a tout juste dix ans.
Le pays, qui avait fermé tous ses réacteurs nucléaires après la catastrophe de Fukushima en 2011, compte produire 20 % de son électrité avec cette industrie d’ici à 2040.
Le gouverneur de la préfecture de Niigata, Hideyo Hanazumi, devrait annoncer cette semaine son accord au redémarrage partiel de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa, selon plusieurs médias japonais. Cette décision constituerait une première pour l’exploitant Tepco, plus de dix ans après l’accident de Fukushima Daiichi.
Selon les calculs de l’institution, le coût de la prolongation d’un réacteur de 40 ans qui fonctionnerait jusqu’à 60 ans est estimé à 51 euros par mégawattheure, un coût jugé « très compétitif ».
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi entamer une "refonte" des entreprises publiques du secteur énergétique ukrainien, dont l'opérateur du nucléaire Energoatom, au centre d'un vaste scandale de corruption depuis plusieurs jours.
Des débris de drones ukrainiens ont touché jeudi la centrale nucléaire de Novovoronej, dans le sud-ouest de la Russie, perturbant brièvement son fonctionnement, a indiqué vendredi le directeur de l'agence russe du nucléaire Rosatom.
Ce mercredi 12 novembre, EDF a annoncé que le palier de 100 % de puissance du réacteur devrait être atteint à la fin de l’automne, avant une longue interruption l’an prochain pour une visite réglementaire d’ampleur.
Le salon mondial du nucléaire civil s'est tenu à Paris du 4 au 6 novembre. Une édition historique : 25.000 visiteurs, 1000 exposants, un tiers de plus que lors de la précédente édition il y a deux ans. C'est la preuve, disent les industriels du secteur, de la renaissance de cette énergie. Comment expliquer cette relance du nucléaire au niveau mondial ? Explications dans le podcast "L'Éco sans Détour".
Le nucléaire revient sur le devant de la scène mais qui va payer pour ces projets gigantesques, longs et risqués? Domaine régalien par excellence, l'atome doit désormais envisager de nouveaux modes de financement, y compris privés, pour accélérer. Tombé en disgrâce après l'accident de la centrale japonaise de Fukushima en 2011, le nucléaire connaît un regain d'intérêt, porté par les besoins de décarboner l'énergie, renforcer l'indépendance énergétique et de répondre à l'explosion de la demande en électricité, dopée notamment par l'intelligence artificielle.
Les autorités chinoises ont annoncé avoir réussi à transformer pour la première fois du thorium en uranium dans un réacteur nucléaire à sels fondus. Cette méthode alternative de production d’énergie nucléaire a été testée par les États-Unis dans les années 60 puis abandonnée. Pourquoi suscite-t-elle un tel engouement ?
Le retour annoncé du nucléaire est "une réalité": au WNE, plus grand salon au monde consacré au nucléaire civil, les acteurs célèbrent le retour en grâce de cette énergie mais le chemin reste pavé de défis. Le World Nuclear Exhibition, plus grand salon mondial du nucléaire civil en nombre d'exposants et de visteurs se tient jusqu'à jeudi à Villepinte, au nord de la capitale française. Il y a 4 ans, le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'Energie, Fatih Birol, évoquait ici-même "le retour du nucléaire". C'est "une réalité maintenant", a-t-il lancé en inaugurant le salon.
Du haut de son 1,35 m, Hoxo sera-t-il le nouveau compagnon des travailleurs du nucléaire? Le géant français du cycle du combustible Orano (ex-Areva), en partenariat avec Capgemini, va tester durant 4 mois un robot humanoïde boosté à l'intelligence artificielle pour soutenir ses collaborateurs dans les tâches répétitives. "Sur une installation nucléaire, c'est la première fois dans le monde qu'on met en oeuvre un robot humanoïde y compris pour un test", indique à l'AFP Pierre Simonnet, directeur qualité et performance à Orano Melox, l'usine dédiée à la fabrication de MOX (combustible nucléaire recyclé), à Marcoule (Gard).
La zone d’exclusion de Tchernobyl est depuis longtemps un lieu fascinant pour les scientifiques et les curieux. Plus de trente ans après la catastrophe nucléaire de 1986, cette région abandonnée par l’Homme est devenue un laboratoire vivant, où la faune prospère malgré les radiations et l’isolement. Récemment, des images surprenantes ont capté l’attention du public : des chiens à la fourrure bleue arpentaient les rues désertes autour de Pripiat et de la centrale. Ce phénomène inattendu a rapidement suscité des interrogations et des spéculations, mais les chercheurs du programme Dogs of Chernobyl ont pu démêler la réalité scientifique derrière cette apparente étrangeté.
Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec le groupe américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service début 2029 de la centrale nucléaire Duane Arnold, dans l'Iowa (centre), pour le développement des infrastructures de l'IA du géant californien. L'accord entre les deux entreprises vise à "répondre à la demande croissante en énergie de l'intelligence artificielle (IA) grâce à une énergie nucléaire propre et fiable", ont-elles annoncé dans un communiqué commun.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.


