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L'exploitant nucléaire EDF a informé le régulateur français de l'énergie qu'il retenait l'hypothèse d'une puissance de son réacteur EPR de Flamanville (Manche) plus basse que celle communiquée officiellement, en raison d'un "rendement détérioré" non expliqué à ce jour, selon les éléments d'un rapport dévoilés mercredi. Cette information, reprise par le journal La Tribune, figure dans un rapport publié le 30 septembre par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme du secteur, qui relève qu'EDF lui "a déclaré" une puissance électrique finale de l'EPR "inférieure de 35 MW à la puissance déclarée dans le cadre des données publiques".
Nucléaire: le redémarrage de l'EPR de Flamanville repoussé à mi-octobre | Connaissances des énergies
(28/09) - Afp,Le redémarrage du réacteur EPR de Flamanville, à l'arrêt depuis la fin du mois de juin, a été repoussé du 1er au 17 octobre, a indiqué l'énergéticien public Electricité de France (EDF) sur son site internet consulté dimanche. Dans sa "liste des indisponibilités", EDF annonce que le réacteur ne produira aucune énergie jusqu'au 17 octobre, alors que le délai courait auparavant jusqu'au 1er du mois.
La Cour des comptes alerte sur le mur financier auquel est confronté l’électricien : 460 milliards d’euros à trouver d’ici à 2040. Mais personne ne devrait être surpris, à commencer par le chef de l’Etat : c’est la facture des futurs EPR et du nucléaire français.
"Suite à des analyses, le réacteur de Flamanville 3 est maintenu à l'arrêt (jusqu'au 13 août) pour procéder à l'usinage de pièces de soupapes du circuit primaire principal", a indiqué l'énergéticien à l'AFP, confirmant une information de FranceInfo. Il s'agit de trois pièces situées sur un pressuriseur sur le circuit primaire principal, c'est-à-dire le circuit de refroidissement du réacteur. "On a besoin d'intervenir sur celles-ci pour les expertiser et pour éventuellement intervenir de manière technique dessus. C'est pour ça qu'on prolonge l'arrêt", a précisé une porte-parole. "Il y avait des questions sur les critères d'étanchéité sur les soupapes. C'est ce qu'on est en train d'inspecter pour vérifier qu'on respecte bien les critères et que tout soit bien conforme", a-t-elle ajouté.
Le gouvernement britannique a promis mardi d'investir 14,2 milliards de livres (presque 17 milliards d'euros) dans le projet Sizewell C de réacteurs nucléaires EPR dans l'est du Royaume-Uni, porté par l'énergéticien français EDF.
Le gouvernement a signé mardi le contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028 qui acte la relance de l'atome en France et le programme EPR2 de construction de six nouveaux réacteurs de grande puissance à horizon 2038. Il y a une ambition "de se projeter dans les prochaines décennies", a déclaré Marc Ferracci, ministre de l'Industrie et de l'Energie, lors de la signature du contrat en marge des "Journées Perspectives" de la filière à Massy (Essonne).
La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.
A l’arrêt depuis la mi-février en raison d’aléas techniques, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, dans la Manche, a été reconnecté au réseau électrique samedi soir, après plusieurs reports pour des opérations de maintenance supplémentaires, a annoncé EDF, dimanche 20 avril.
le chantier de la première paire de réacteurs à Penly est chaotique : le béton prévu par EDF n’est, à ce stade, pas conforme, selon des informations obtenues par Reporterre et par Mediapart.
Le béton choisi par Eiffage pour construire une partie de la digue de protection de la future centrale EPR2 de Penly (Seine-Maritime), dont les travaux préparatoires ont débuté, n'est pas conforme aux normes de sécurité, affirment vendredi Mediapart et Reporterre, ce qu'EDF et Eiffage démentent.Selon ces médias en ligne, des tests effectués par un laboratoire pour le compte du géant du BTP Eiffage, chargé de la construction de la digue, indiquent que la composition du granulat prévu pour le béton ne répond pas aux critères exigés.
Développé dès 2021 par EDF et Framatome, l’EPR2 ou « Evolutionary Power Reactor 2 » est un projet de version optimisée de l’EPR (anciennement appelé « réacteur nucléaire à eau pressurisé européen » ou « European Pressurized Reactor »).
Près de 50 "événements significatifs de sureté" ont été signalés depuis la mise en route par EDF début mai du réacteur nucléaire de nouvelle génération EPR de Flamanville, des anomalies sans conséquence sur les personnes et l'environnement, a indiqué mardi l'autorité de sûreté nucléaire
Le débat public sur le projet de réacteurs EPR2 près de la centrale nucléaire du Bugey (Ain), les seuls réacteurs de nouvelle génération envisagés en bord de fleuve, se tiendra du 28 janvier au 15 mai, a annoncé jeudi la Commission nationale du débat public (CNDP).Huit réunions publiques, des échanges sur les marchés, des permanences près du site, mais aussi un recueil de commentaires en ligne permettront de recevoir les avis sur cet énorme chantier d'un coût estimé à 15,3 milliards d'euros, ont précisé lors d'un point-presse les organisateurs du débat.
Conception, financement, rentabilité... la Cour des comptes a appelé mardi l'Etat et EDF à lever les nombreuses "incertitudes" avant de poursuivre le vaste programme de construction de nouveaux réacteurs nucléaires EPR. Dans un rapport critique de 97 pages, la juridiction financière estime que "l'accumulation de risques et de contraintes pourrait conduire à un échec du programme d'EPR2", en rappelant que l'EPR de Flamanville en Normandie a été connecté au réseau électrique national 12 ans après la date prévue, le 21 décembre.
La Cour des Comptes a revu en hausse mardi le coût total du projet de réacteur nucléaire EPR de Flamanville, raccordé au réseau fin décembre avec 12 ans de retard, à 20,4 milliards d'euros, soit 1,3 milliard de plus que son estimation en 2020."Le coût total à terminaison de Flamanville 3 est plus élevé et atteint 20,4 milliards" en euros de 2015, "soit 23,7 milliards" en euros de 2023, a indiqué la Cour des Comptes dans un nouveau rapport consacré à la filière des EPR, le réacteur de nouvelle génération au cœur de la relance du nucléaire en France.
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