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sortie énergies
Les négociations de la COP30 au Brésil se sont prolongées samedi dans une lutte nocturne acharnée pour finaliser un accord a minima, après deux semaines chaotiques de sommet en Amazonie, proche de se conclure sans engagement majeur pour accélérer la sortie des énergies fossiles. L'enjeu est de sceller un accord pour rattraper le retard pris par l'humanité dans sa lutte contre la pollution carbone, soutenir l'adaptation au changement climatique des pays pauvres et démontrer la viabilité du multilatéralisme dans un monde fracturé.
Les négociations de la COP30 au Brésil se sont prolongées samedi dans une lutte nocturne acharnée pour finaliser un accord a minima, après deux semaines chaotiques de sommet en Amazonie, proche de se conclure sans engagement majeur pour accélérer la sortie des énergies fossiles.
La conférence sur le climat de l'ONU au Brésil (COP30) "ne peut se terminer sans une feuille de route claire, juste et équitable pour abandonner les combustibles fossiles", a affirmé vendredi la ministre colombienne de l'Environnement, Irene Vélez, lors d'une conférence de presse. […] La voix d'une coalition de pays […] Cette ministre a dit s'exprimer au nom d'une coalition de pays ralliés par la Colombie, dont plusieurs représentants étaient à ses côtés vendredi à Belém : îles du Pacifique (Vanuatu, Tuvalu), pays européens (Espagne, Luxembourg, Slovénie) ou latino-américain (Panama). […] "Nous ne cherchons pas un document vide, une annonce vide", a lancé la ministre, alors que les négociations bloquent sur les énergies fossiles au dernier jour de la conférence.
Une trentaine de pays emmenés par la Colombie, dont la Belgique, font le forcing dans la dernière ligne droite de la COP30, à Belém, pour que le texte final de la Conférence de l'Onu sur le changement climatique comporte une "feuille de route" visant à mettre en œuvre une sortie des énergies fossiles.
Fait exceptionnel, le président brésilien est venu en personne, mercredi 19 novembre, au chevet de la grand-messe annuelle sur le climat. Il entend user de son poids politique sur la scène internationale pour obtenir une feuille de route sur la sortie du charbon, du pétrole et du gaz et une autre sur la lutte contre la déforestation.
Sortie des énergies fossiles : « simplement dire que c'est possible », le souhait de Lula à la COP30
(20/11) - Afp,Chaque pays doit pouvoir déterminer à quel rythme il veut sortir des énergies fossiles, "selon ses possibilités", a déclaré mercredi le président brésilien Lula à Belém à la COP30, la conférence de l'ONU sur le climat.
Le président brésilien Lula a appelé vendredi à une sortie "juste" et "ordonnée" des énergies fossiles, envoyant un signal politique fort au sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem. Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas officiellement à l'agenda de la conférence de l'ONU sur le climat, qui s'ouvrira lundi pour près de deux semaines dans cette ville d'Amazonie brésilienne. Mais certains pays comme le Brésil, huitième producteur mondial de pétrole, veulent remettre le sujet dans les débats, en l'absence notable de grands pays pétroliers, à commencer par les Etats-Unis de Donald Trump.
Après dix jours d’échanges, les négociations climatiques de Bonn, en Allemagne, se sont achevées tard dans la soirée de jeudi sans avancée majeure. Ce qui laisse présager d’âpres pourparlers dans cinq mois lors de la COP30, cruciale pour l’avenir de la planète.
Alors que l'Union européenne annonce sa volonté de sortir du gaz russe, l'Europe est face au défi de construire enfin sa souveraineté énergétique. Un objectif qui pourrait aller de pair avec la transition énergétique et la sortie des énergies fossiles, pour construire une triple autonomie stratégique : énergétique, géopolitique et écologique.
Donald Trump a enclenché lundi un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, une marche arrière toute dans la lutte contre le dérèglement climatique qui met en péril les efforts mondiaux pour le freiner.Le républicain, climatosceptique notoire, a tenu parole en signant dès son premier jour de retour au pouvoir un décret présidentiel puis une lettre aux Nations unies en ce sens.
La conférence sur les changements climatiques COP29 s'est terminée dimanche sans mention explicite de la "transition" vers la sortie des énergies fossiles, un recul jugé "inquiétant" par nombre d'experts qui y voient un "pas en arrière" dans les chances de maintenir la planète sous 1,5 degré de réchauffement.
Ce vendredi 22 novembre est le dernier jour de la COP29 à Bakou. Les négociateurs n’arrivent toujours pas à se mettre d’accord sur un financement pour aider les pays en développement à faire face au changement climatique et un autre point est devenu clivant : les pays pétroliers ne veulent même plus faire mention de l’accord de l’année dernière, qui vise à sortir progressivement des énergies fossiles.
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
La Commission de transition du charbon (CTC), co-présidée par la France et l'Indonésie, publie des recommandations pour accélérer la sortie du très polluant charbon, dont celle de débloquer le financement public et privé, l'une des batailles centrales de la conférence du climat de la COP29 à Bakou.
Un an après l'accord sans précédent des pays du monde entier à Dubaï en faveur d'une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles, les dirigeants mondiaux peinent ou rechignent à traduire cette promesse en actes, constatent des diplomates, militants et experts.
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