Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Avec la multiplication des inondations, des incendies et des tempêtes, la crise climatique pourrait devenir la prochaine bombe à retardement du système financier avertit, dans une tribune au « Monde », l’actuaire Arthur Charpentier.
Répliques numériques des monnaies, ces cryptoactifs connaissent un essor spectaculaire. Ce marché, dominé par des acteurs non bancaires et qui, pour certains, refusent d’être réglementés, agite la planète finance.
Après deux années de décrue, les financements accordés aux firmes du pétrole, du gaz et du charbon repartent à la hausse, dénonce un consortium d’ONG dans une étude publiée ce mardi 17 juin. En France, BPCE est particulièrement mis en cause.
Les financements aux industries du pétrole et du gaz repartent de plus belle. Le rapport Banking on climate chaos, signé par huit ONG, estime à près de 900 milliards de dollars les financements octroyés en 2024 par 65 banques aux industriels du secteur, en augmentation de 23%. Le backlash contre la finance durable n’est pas étranger à ce nouvel appétit de la finance pour les hydrocarbures.
Le 20 mai 2025 nous avons publié sur Bon Pote un article s’intitulant “Changer de banque pour sortir des énergies fossiles ?“. 48H après, le cofondateur et CEO de Green-Got a répondu sous un post Linkedin, en 5 points : ... […] Malheureusement, pour chaque point, des approximations et/ou des erreurs graves sont avancées. Puisque la cofondatrice Maud Caillaux a refusé un débat, nous répondrons ici point par point aux arguments d’Andréa Ganovelli.
Ce vendredi matin, des activistes d’Extinction rebellion se sont infiltré·es au sein du siège de BNP Paribas pour dénoncer le soutien des banques aux énergies fossiles et notamment à TotalEnergies, dont l’assemblée générale se tiendra ce vendredi après-midi.
The nation’s top banks are quietly advising their clients on how to build a financial life raft — or perhaps life yacht — from the wreckage of runaway climate change. Make no mistake: The forecasts coming from Wall Street’s leading financial institutions are bleak. But they also point their clients to potential profit-making opportunities from the havoc spreading across the planet, writes Corbin Hiar.
Les établissements commencent à utiliser des outils d’intelligence artificielle pour assister leurs banquiers privés dans leurs tâches administratives. Chez BoursoBank, 60 % des échanges entre les 7 millions de clients et la banque se font par l’intermédiaire d’Elliot, un chatbot capable de répondre aux questions des clients rédigées en langage naturel grâce à l’intelligence artificielle (IA).
Morgan Stanley, JPMorgan and an international banking group have quietly concluded that climate change will likely exceed the Paris Agreement’s 2 degree goal.Top Wall Street institutions are preparing for a severe future of global warming that blows past the temperature limits agreed to by more than 190 nations a decade ago, industry documents show.
Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
Des défenseurs de l'environnement ont appelé jeudi des banques à se retirer du projet de la société EACOP qui a annoncé la veille avoir bouclé la première tranche du financement externe du plus long oléoduc chauffé du monde, entre l'ouest de l'Ouganda et un port tanzanien. Un oléoduc chauffé de 1 443 km
Un tiers des discours des banques centrales aborde désormais le thème du changement climatique. Comment ces institutions, traditionnellement focalisées sur l’inflation, en sont-elles arrivées là ?
Au mépris de leurs engagements écologiques, les groupes Crédit Agricole, BNP Paribas et BPCE investissent en toute discrétion dans des multinationales des énergies fossiles accusées de pollution en Amazonie, révèle une enquête de Disclose, en partenariat avec France 24 et RFI. Ces investissements rapportent chaque année aux banques françaises plus de 45 millions d’euros.
Bank of America, Goldman Sachs, Citigroup, et désormais Morgan Stanley: les départs des groupes bancaires américains se succèdent au sein de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA).
Les banques françaises, malgré leurs promesses vertes, continuent de financer les énergies fossiles tandis que des alternatives existent.
Les politiques ambitieuses d'exclusion du charbon des banques françaises laissent apparaître des failles, selon Reclaim finance.
Les grandes banques françaises ont continué d'investir dans le charbon entre 2021 et 2023 alors qu'elles avaient "à maintes reprises affiché leur sortie" du secteur, selon une étude de Reclaim Finance publiée mardi.20 groupes « problématiques » soutenus par BNP Paribas"Malgré une baisse des financements au secteur du charbon depuis 2019, notre analyse montre que de nombreuses transactions problématiques persistent entre 2021 et 2023" dans le développement de nouvelles mines ou centrales à charbon, affirme l'ONG.
Engagées sur le papier à réduire leur empreinte carbone, les grandes banques persistent à vouloir financer des activités fortement émettrices de gaz à effet de serre, pointe un centre de recherche conseillant les investisseurs vers des placements bas-carbone, mardi dans un rapport.Des 26 établissements bancaires transnationaux interrogés par le centre Transition Pathway Initiative (TPI) basé à la prestigieuse London School of Economics, 22 sont prêts à financer de nouvelles activités liées au charbon, et 24 l'exploitation de nouveaux champs pétroliers et gaziers.
Deux chercheurs britanniques ont tracé la provenance de plus de 500 milliards de dollars ayant financé les multinationales responsables de la déforestation en Amazonie brésilienne et leurs résultats accablent une nouvelle fois la BNP Paribas. La banque française a porté à elle seule 3 % des financements irriguant, sur la période 2014-2023, les 39 multinationales passées au crible par les chercheurs. Celles dont l’activité dans la production de soja, de bœuf, d’huile de palme et de pâte de bois destinée à (...)
Vous avez peut-être déjà entendu dire que pour participer à la transition climatique, une des choses les plus efficaces que vous pouviez faire était de changer de banque. Qu'en est-il réellement ?
Une vingtaine de pays pro-nucléaires souhaitent que les grandes institutions financières et les banques de développement internationales s'impliquent dans le financement du nucléaire civil dans le monde, ont-elles déclaré à l'issue de leur réunion en fin de semaine jeudi et vendredi à l'OCDE à Paris.
Réunis à New York, les représentants de 14 banques et institutions financières se sont déclarés prêts à soutenir davantage l’atome civil afin d’atteindre l’objectif fixé par la COP28 : le triplement des capacités du secteur d’ici 2050. Un “tournant”, selon le “Financial Times”.
En France, si l’abandon du charbon et, dans une moindre mesure, celui du pétrole font (relativement) consensus, le gaz naturel jouit d’une complaisance certaine. Est-ce parce qu’il a été identifié comme un « allié de la transition énergétique » par les grands groupes d’hydrocarbures, comme le reprennent en chœur les médias et les politiques français ?
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté ou arrangé l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
Plus fossile à dire qu’à faire. Malgré certains efforts, le financement des banques aux producteurs d’énergie fossile est toujours bien trop important à l’échelle mondiale pour limiter le réchauffement climatique, révèle un rapport de huit ONG.
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
La chute est particulièrement notable pour BNP Paribas, assignée en justice début 2023 sur son devoir de vigilance.
Couper le financement de TotalEnergies en refusant de lui prêter de l'argent: près de 60 ONG ont appelé mercredi banques et investisseurs à "ne pas participer" à l'apport d'argent frais de l'entreprise qui continue "sa stratégie climaticide". Ces organisations viennent principalement de France (les Amis de la Terre, Attac), d'Afrique (Justiça Ambiental du Mozambique, le Cecic en Uganda), mais sont aussi implantées à l'international (Reclaim Finance, Extinction Rebellion).
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
Les banques européennes ont investi 308,9 milliards de dollars dans des entreprises opérant dans les colonies israéliennes illégales, révèle mardi une enquête internationale à laquelle ont pris part la coupole d'ONG flamande 11.11.11 et FairFin.
Portant sur les vingt plus grands établissements de l’UE, l’étude d’une ONG britannique affirme ce mercredi qu’aucune donnée ne permet de vérifier si leurs investissements «verts» participent réellement à la transition écologique.
Les banques et institutions financières belges ont investi près de 11 milliards d'euros dans les combustibles fossiles...
C'est une mine d'informations. La plateforme CarbonBombs, mise en ligne ce mardi 31 octobre, cartographie l'ensemble des 425 bombes climatiques présentes dans le monde, ces sites d'extraction de charbon, gaz et pétrole qui peuvent émettre chacun au moins un milliard de tonnes de CO2 et mettre en péril nos engagements climatiques. Elle permet aussi d'identifier les entreprises et les banques associées à ces projets climaticides.
Après l’Espagne, la Suède, la Lituanie, et, bien sûr, l’Italie, voilà que les Pays-Bas souhaitent mettre en place une "taxe exceptionnelle sur les revenus des banques". Le 22 septembre dernier, les députés néerlandais ont approuvé une proposition de loi visant à relever le niveau d’imposition des banques et à appliquer une taxe de 15% sur les rachats d’actions par ces mêmes banques. Réaction immédiate sur les marchés financiers : la valeur d’ABN Amro Bank et d’ING Group a chuté à la Bourse d’Amsterdam.
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Selon un nouveau rapport [d’ActionAid du 4 septembre], les banques déversent dans les pays du Sud des milliers de milliards de dollars dans l’expansion des firmes du secteur des fossiles, soit le plus émetteur de carbone de la planète [1].
Ces institutions, dont l’intervention reste précieuse en cas de choc économique, sont aujourd’hui appelées à adopter une vision plus proactive que réactive.
Le Crédit Agricole, la BNP et BPCE sont mis en demeure de cesser de financer le géant minier suisse Glencore, décrié pour son bilan environnemental. La procédure a été lancée par une ONG colombienne. Enquête sur une affaire révélatrice des ambigüités des banques en matière d’environnement.
Les entreprises des secteurs fossiles engrangent des bénéfices record, et elles peuvent toujours compter sur le soutien des banques, notamment françaises. D’après le quatorzième rapport Banking on climate chaos (en français : Capitaliser sur le chaos climatique), produit par un consortium d’associations écologistes, les banques françaises sont celles qui, en Europe, ont financé le plus massivement les énergies fossiles en 2022.
Selon le rapport annuel « Banking on Climate Chaos », rédigé par des ONG, les 60 premières banques mondiales ont assuré 673 milliards de dollars de financements aux producteurs de charbon, de pétrole et de gaz en 2022.
En 2022, le secteur bancaire a continué d’investir dans l’industrie fossile, plus lucrative que jamais. Piétinant au passage ses propres engagements climatiques.
Plusieurs ONG dénoncent l’augmentation des financements français auprès de l’industrie fossile. Une situation contradictoire aux engagements de neutralité carbones d’ici 2050 pris par les banques françaises.
INFOGRAPHIES. Les énergies fossiles, dont la consommation est la principale cause du changement climatique, continuent de bénéficier d'importants investissements privés et de subventions publiques.
Des militants se sont réunis mercredi à Paris devant les bureaux de deux banques impliquées dans le financement d'un projet controversé d'exploitation pétrolière de TotalEnergies en Afrique de l'Ouest, dans le cadre d'une journée d'action organisée dans plusieurs villes dans le monde. Une trentaine de jeunes activistes réunis sous la bannière "Stop Total" ont manifesté dans le 8e arrondissement devant les locaux parisiens de la banque japonaise Sumitomo Mitsui Banking Corporation (SMBC) et de la britannique Standard Chartered.
Dans un contexte de resserrement des politiques monétaires, comment les banques centrales peuvent-elles intervenir pour accélérer la transition environnementale ? Nous traduisons et commentons pour la première fois le discours clef d’Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE et l’une des figures les plus influentes de la politique monétaire de la zone euro.
Il est possible, au moins en partie, de jauger la crédibilité environnementale d’un placement sans être ingénieur financier.
La BCE met un ultimatum aux banques qui n'ont pas encore intégré les risques du changement climatique. D'après un sondage, 60% des banques européennes seraient concernée.
Les banques ont investi 3800 milliards de dollars dans des projets liés aux combustibles fossiles depuis les accords de Paris sur le climat en 2015. Des organisations appellent à s’attaquer aux marchés financiers.
Nous ne pouvons pas sauver la planète d'un changement climatique désastreux sans nous attaquer aux marchés financiers. Tant que des milliers de milliards de dollars financeront en toute impunité combustibles fossiles et déforestation, nous ne pourrons ni freiner le changement climatique ni permettre aux communautés impactées de s'adapter.
Les 60 principales banques détiennent 1 350 milliards de dollars d’actifs dans les énergies fossiles
(04/10) - Ouest-France avec AfpSelon une étude de l’ONG Finance Watch, dévoilée ce mardi 4 octobre, les 60 plus grandes banques mondiales, y compris françaises, détiennent 1 350 milliards de dollars d’actifs dans les énergies fossiles. Au-delà de la menace pour la planète, ces investissements mettent en danger la stabilité financière.
Jérémy Désir, ancien trader de la city, est intervenu sur Public Sénat où il a dénoncé la voracité d’un système financier à des années lumières des préoccupations sur le climat. Selon lui, ces banques « parient sur l’effondrement » de la planète.
La modélisation occupe une place importante dans le plan d’action de l’Eurosystème sur le changement climatique. L’analyse macroéconomique et la préparation des décisions de politique monétaire reposent en effet sur des travaux quantitatifs où les modèles jouent un rôle central.
Après l'annonce d'une inflation record aux États-Unis, les marchés tablent sur de fortes hausses des taux d'intérêt américains et craignent une récession, ce qui provoquait lundi une chute des actions.
An investor’s rant gives an insight into the City’s short-termist view of the environment crisis
C’est l’un des sujets les moins médiatisés et pourtant absolument crucial. Les banques réchauffent la planète et continuent de le faire sans jamais avoir de compte à rendre.
Bien qu’elles reconnaissent qu’une réduction des émissions de gaz à effet de serre est nécessaire, les cinq grandes banques canadiennes — RBC, Banque Scotia, TD, BMO et CIBC — ont augmenté de 70 % leur soutien au secteur des énergies fossiles en 2021 par rapport à l’année précédente. C’est ce qui ressort de la dernière édition du rapport Banking on Climate Chaos, publiée mercredi par un consortium d’organisations de la société civile appuyé par Greenpeace Canada.
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
Les banques centrales sous-estiment la menace significative que représente la perte de la biodiversité et de ses richesses dont dépendent pourtant entreprises et institutions financières, s'inquiète jeudi un rapport auquel ont participé des banques centrales. Les effets du changement climatique sont de plus en plus intégrés dans l'évaluation des risques économiques, mais c'est beaucoup moins le cas pour des menaces similaires issues de la destruction de la nature, selon ce rapport élaboré par des chercheurs et le réseau de banques centrales NGFS (Network of Central Banks and Supervisors for Greening the Financial System).
Dans une interview accordée ce dimanche à CBS dans son émission phare « Face The Nation », le conseiller économique en chef d’Allianz fait le tour des préoccupations économiques actuelles et bien sûr de l’inflation. La situation en Ukraine change la donne et complique la tâche des banques centrales. L’économiste craint une récession si la Fed appuie trop fort.
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L'UE a débranché sept banques russes du système financier international Swift, mais a pris soin d'épargner deux gros établissements financiers très liés au secteur des hydrocarbures, en raison de la forte dépendance de plusieurs Etats européens au gaz russe.
L'éviction du système SWIFT imposée par les pays occidentaux a conduit Moscou à chercher refuge ailleurs et à étudier des alternatives. Après avoir été bloquées du système de messagerie interbancaire, les banques russes se sont en effet tournées vers le système de paiement interbancaire transfrontalier (CIPS).
La finance est un levier central de la transition écologique, mais nombre de ses acteurs se livrent encore à du greenwashing sans substance. Pour nous aider à y voir clair, l’ONU a mis en place la certification SBTi.
Alors que la Russie annonce un élargissement de son offensive en Ukraine, les pays occidentaux accentuent leurs sanctions en excluant certaines banques du réseau Swift et en ciblant la Banque centrale russe. L’Allemagne, notamment, va livrer des armes à l’Ukraine.
Les investisseurs qui veulent sécuriser une partie de leurs bénéfices en crypto-monnaies ont du mal à transférer ces plus-values sur leurs comptes bancaires, écrit De Tijd dans son édition de samedi.
La banque Crédit Agricole a continué de financer de grandes entreprises développant de nouvelles mines et centrales à charbon au mépris de ses propres engagements climatiques, ont dénoncé mardi plusieurs ONG.
La banque Crédit Agricole a été attaquée mardi par plusieurs ONG qui l'accusent de ne pas respecter ses engagements sur le charbon. Au-delà de ce cas particulier, c'est la crédibilité des promesses de l'ensemble du secteur qui se joue, estiment les associations.
Les vingt-cinq premières banques européennes, dont BNP Paribas, Crédit agricole et Société générale, ont financé le gaz et le pétrole à hauteur de 400 milliards de dollars en cinq ans, selon les calculs de l’association britannique ShareAction
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction.
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction. "Vingt-cinq banques européennes, affichant toutes des objectifs de neutralité carbone, ont fourni l'an dernier 55 milliards de dollars de financement à des entreprises qui développent leur production de pétrole et de gaz", a affirmé l'ONG dans un communiqué.
A l’approche de l’élection présidentielle, le réseau associatif lance un appel à renforcer la solidarité alimentaire via des partenariats locaux entre producteurs et citoyens précaires.
La mise à feu débuta en février 2008 par le passage du baril au-dessus de 90 dollars. Cinq mois plus tard, en juillet, les compteurs s’affolèrent à plus de 147 dollars. Sur la période, l’inflation grimpa de 2 à 5,6%. La Banque fédérale américaine (FED) fut forcée de réagir avec des hausses rapides et successives des taux d’intérêts avec l’espoir de freiner cette spirale. Incapables de faire face à l’augmentation de leurs hypothèques, un grand nombre de propriétaires américains firent défaut. La bulle des subprimes explosa en septembre et fit voler en éclat le monde de la finance et des banques.
L'émergence du bitcoin et des cryptomonnaies pousse les banques centrales à réfléchir à émettre leur propre devise numérique. Et la Chine a pris les devants avec le lancement de son yuan numérique. BFM Business revient sur les enjeux que soulève l’émergence de ces monnaies de banque centrale avec Xavier Lavayssière, chercheur spécialiste des cryptomonnaies et des questions de régulation touchant à la blockchain.
Les entreprises du secteur du charbon les plus soutenues par les banques et les investisseurs ne disposent pas, à quelques rares exceptions, de plan de sortie crédible de cette énergie polluante, a dénoncé mardi l'ONG française Reclaim Finance.
Arctic LNG 2, gigantesque usine de gaz naturel liquéfié (GNL) en construction dans l'Arctique, a obtenu près de dix milliards d'euros de financement de banques russes et internationales, a annoncé mardi le projet, détenu notamment par Novatek et TotalEnergies.
Les banques "doivent d'urgence se fixer des objectifs et des échéanciers ambitieux et concrets pour atténuer leur exposition aux risques actuels et futurs sur le climat et l'environnement", écrit Frank Elderson, membre du directoire de la BCE et vice-président de son organe de supervision bancaire, dans un blog.
Les institutions financières et les membres individuels du conseil d’administration pourraient être les prochaines cibles de litiges climatiques, selon les militants qui ont aidé à obtenir une victoire historique dans la salle d’audience contre le géant pétrolier Royal Dutch Shell.
Mardi 26 octobre devait se tenir tranquillement le Climate Finance Day, un colloque dédié aux solutions pouvant être apportées par le secteur financier au réchauffement climatique. Il a été bouleversé par des militants écologistes, qui dénoncent le soutien des banques françaises et du gouvernement aux énergies fossiles.
Selon Marek Hudon, professeur à l’école de management Solvay à l’ULB (qui forme les futurs financiers et les futurs banquiers) les banques et les fonds d’investissement ont les leviers en mains aujourd’hui pour changer les choses