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Catastrophes
Deux ans après le Black Summer, cet été au cours duquel l’Australie a vu ses forêts se transformer en brasier, d’autres méga-feux ravageurs se sont succédés : en Californie, en Amazonie, en Sibérie, en Inde, ou encore en Grèce, des millions d’hectares sont partis en fumée, au point de devenir une scène presque banale. Jacques Chirac, président français entre 1995 et 2002, avait proclamé à la fin de son mandat au sommet de la Terre de Johannesburg « notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Il ne savait sûrement pas à quel point l’avenir allait lui donner raison. Pourquoi l’inaction est-elle encore de mise ?
Le nombre de catastrophes naturelles a été multiplié par quatre en quelques années. Et la facture augmente pour les assureurs et le régime "cat nat", dont les indemnisations ont encore dépassé les 2 milliards d’euros en 2024. Face au risque d’inassurabilité des habitations dans certaines régions, les propositions de réforme du système affluent, notamment celle d’une sécurité sociale climatique.
Quand on évoque les catastrophes climatiques à venir, on pense souvent à la montée des eaux, aux incendies de forêt ou à l’effondrement de la biodiversité. Mais il existe un danger plus discret, plus insidieux — et peut-être bien plus proche de nous que nous ne l’imaginons : les champignons pathogènes. Une nouvelle étude alerte sur la menace que ces micro-organismes, souvent négligés, pourraient représenter dans un monde de plus en plus chaud et humide.
Le nombre de déplacés a bondi de 50 % en six ans, selon l’Observatoire des situations de déplacement interne et le Conseil norvégien pour les réfugiés. En cause, les guerres et les catastrophes naturelles.
L'administration de Donald Trump va cesser d'alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA), selon une annonce.
Créé en 1980, ce fichier permettait de répertorier les événements climatiques extrêmes dépassant le milliard de dollars de dégâts. […] L’administration de Donald Trump va cesser d’alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, selon une annonce faite jeudi 8 mai. Il s’agit d’une nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Malgré son climatonégationnisme, le parti d’extrême droite Vox a bondi dans les sondages après les graves inondations d’octobre. Ses discours anti-écologistes influencent désormais le gouvernement régional.
Les températures de la Planète augmenteront pendant les prochaines décennies. Les catastrophes climatiques s’aggraveront au cours de cette période. A 2°C, il y aura beaucoup plus d’inondations et des vagues de chaleur plus fortes. Nous les subirons de plein fouet, probablement au cours des vingt prochaines années (James E.Hansen).
Christophe Cassou, climatologue : "Les petits renoncements sont le terreau des grandes catastrophes"
(08/03) - France24,Des milliers de personnes se sont mobilisées partout dans le monde, en soutien aux scientifiques américains. C'est le mouvement Stand up for science. Les conséquences de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump ont été immédiates sur leurs recherches et font craindre le pire. Comment expliquer ce déni d'une certaine science ? C'est l'éclairage de notre invité, “Au coeur de l’info”, le climatologue Christophe Cassou. Il est aussi directeur de recherche du CNRS, co-auteur du dernier rapport du GIEC.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
EPA sortie de l’auberge. Mercredi, Donald Trump a dit vouloir réduire de 65% les effectifs de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Une menace qui s’inscrit dans le projet du président de supprimer les normes protectrices du climat et de la santé humaine.
Une étude inédite de l’Alliance brésilienne pour la culture océanique a constaté que, entre 1991 et 2023, le nombre annuel moyen de catastrophes naturelles liées au climat s’était accru de 460 % dans le pays. Chaque augmentation de 0,1 °C de la température moyenne de l’air dans le monde a entraîné 360 événements supplémentaires au Brésil.
Donald Trump s'est rendu vendredi dans des zones sinistrées de Californie et de Caroline du Nord, en utilisant son premier déplacement présidentiel pour transformer l'aide fédérale aux catastrophes naturelles en objet de marchandage politique.
Alors que la priorité de l’Etat devrait être de lutter contre les causes du changement climatiques, il se retrouve contraint de payer pour réparer les conséquences d’événements de plus en plus intenses et fréquents.
Les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles et climatiques ont atteint les 300 milliards d'euros en 2024.
Les pertes économiques engendrées par les catastrophes naturelles devraient se monter à 310 milliards de dollars...
La catastrophe climatique qui a ravagé la région de Valence, en Espagne, devrait faire l’objet d’un débat citoyen qui permettrait de corriger quelques idées fausses sur le rôle des services publics et les coûts économiques, plaide Dominique Méda dans sa chronique.
Catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique, guerres… une vaste campagne de sensibilisation va être lancée en Belgique dès 2025.
Le Conseil des ministres, sur proposition du ministère espagnol du Travail, a approuvé jeudi un décret-loi royal contenant des mesures en matière de travail et de prévention des risques liés au changement climatique et aux catastrophes. Il prévoit notamment un "congé payé climatique".