Focus Climat

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Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia

COPERNICUS – Mises à jour


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décembre 2025

L'Autorité de sûreté nucléaire (ASNR) a donné vendredi son feu vert à l'énergéticien EDF pour augmenter au-delà de 80% la puissance du réacteur EPR de Flamanville (Manche), ouvrant la voie à une exploitation à pleine puissance après des années d'attente.

novembre 2025

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi entamer une "refonte" des entreprises publiques du secteur énergétique ukrainien, dont l'opérateur du nucléaire Energoatom, au centre d'un vaste scandale de corruption depuis plusieurs jours.
Ce mercredi 12 novembre, EDF a annoncé que le palier de 100 % de puissance du réacteur devrait être atteint à la fin de l’automne, avant une longue interruption l’an prochain pour une visite réglementaire d’ampleur.

octobre 2025

L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, Elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
Un avis de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection souligne « la grande complexité » et le manque de robustesse du plan de l’électricien pour renforcer le sol sur lequel doivent voir le jour deux EPR2.
EDF doit fournir des éléments prouvant que les mesures envisagées pour renforcer le sol pour l'implantation des deux futurs réacteurs EPR2 à Gravelines (Nord), au bord de la mer, sont sûres et fiables, selon des documents de l'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) rendus public jeudi. Dans un avis du 23 juillet, l'ASNR souligne qu'EDF devra "démontrer la robustesse de sa solution de renforcement de sol" de fondation du site de Gravelines, en soulignant le caractère inédit du système proposé par l'électricien, "d'une ampleur sans précédent, d'une grande complexité et sans retour d'expérience représentatif en France et à l'international".
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville a redémarré dans la nuit de mardi à mercredi, après quatre mois d'arrêt pour mener des opérations de maintenance après la découverte d'un problème de fuite sur des soupapes, a annoncé mercredi l'électricien EDF.
L'exploitant nucléaire EDF a informé le régulateur français de l'énergie qu'il retenait l'hypothèse d'une puissance de son réacteur EPR de Flamanville (Manche) plus basse que celle communiquée officiellement, en raison d'un "rendement détérioré" non expliqué à ce jour, selon les éléments d'un rapport dévoilés mercredi. Cette information, reprise par le journal La Tribune, figure dans un rapport publié le 30 septembre par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme du secteur, qui relève qu'EDF lui "a déclaré" une puissance électrique finale de l'EPR "inférieure de 35 MW à la puissance déclarée dans le cadre des données publiques".

septembre 2025

Le redémarrage du réacteur EPR de Flamanville, à l'arrêt depuis la fin du mois de juin, a été repoussé du 1er au 17 octobre, a indiqué l'énergéticien public Electricité de France (EDF) sur son site internet consulté dimanche. Dans sa "liste des indisponibilités", EDF annonce que le réacteur ne produira aucune énergie jusqu'au 17 octobre, alors que le délai courait auparavant jusqu'au 1er du mois.
La Cour des comptes alerte sur le mur financier auquel est confronté l’électricien : 460 milliards d’euros à trouver d’ici à 2040. Mais personne ne devrait être surpris, à commencer par le chef de l’Etat : c’est la facture des futurs EPR et du nucléaire français.

août 2025

Plusieurs experts de l'ONU ont dénoncé auprès de Moscou les tortures sexuelles "horribles" auxquelles ont été soumis des civils ukrainiens dans des régions de l'Ukraine occupées par la Russie, en pleines discussions sur un éventuel plan de paix.

juillet 2025

"Suite à des analyses, le réacteur de Flamanville 3 est maintenu à l'arrêt (jusqu'au 13 août) pour procéder à l'usinage de pièces de soupapes du circuit primaire principal", a indiqué l'énergéticien à l'AFP, confirmant une information de FranceInfo. Il s'agit de trois pièces situées sur un pressuriseur sur le circuit primaire principal, c'est-à-dire le circuit de refroidissement du réacteur. "On a besoin d'intervenir sur celles-ci pour les expertiser et pour éventuellement intervenir de manière technique dessus. C'est pour ça qu'on prolonge l'arrêt", a précisé une porte-parole. "Il y avait des questions sur les critères d'étanchéité sur les soupapes. C'est ce qu'on est en train d'inspecter pour vérifier qu'on respecte bien les critères et que tout soit bien conforme", a-t-elle ajouté.

juin 2025

Le gouvernement britannique a promis mardi d'investir 14,2 milliards de livres (presque 17 milliards d'euros) dans le projet Sizewell C de réacteurs nucléaires EPR dans l'est du Royaume-Uni, porté par l'énergéticien français EDF.
Le gouvernement a signé mardi le contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028 qui acte la relance de l'atome en France et le programme EPR2 de construction de six nouveaux réacteurs de grande puissance à horizon 2038. Il y a une ambition "de se projeter dans les prochaines décennies", a déclaré Marc Ferracci, ministre de l'Industrie et de l'Energie, lors de la signature du contrat en marge des "Journées Perspectives" de la filière à Massy (Essonne).

mai 2025

La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.

avril 2025

A l’arrêt depuis la mi-février en raison d’aléas techniques, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, dans la Manche, a été reconnecté au réseau électrique samedi soir, après plusieurs reports pour des opérations de maintenance supplémentaires, a annoncé EDF, dimanche 20 avril.

mars 2025

le chantier de la première paire de réacteurs à Penly est chaotique : le béton prévu par EDF n’est, à ce stade, pas conforme, selon des informations obtenues par Reporterre et par Mediapart.
Le béton choisi par Eiffage pour construire une partie de la digue de protection de la future centrale EPR2 de Penly (Seine-Maritime), dont les travaux préparatoires ont débuté, n'est pas conforme aux normes de sécurité, affirment vendredi Mediapart et Reporterre, ce qu'EDF et Eiffage démentent.Selon ces médias en ligne, des tests effectués par un laboratoire pour le compte du géant du BTP Eiffage, chargé de la construction de la digue, indiquent que la composition du granulat prévu pour le béton ne répond pas aux critères exigés.

février 2025

Développé dès 2021 par EDF et Framatome, l’EPR2 ou « Evolutionary Power Reactor 2 » est un projet de version optimisée de l’EPR (anciennement appelé « réacteur nucléaire à eau pressurisé européen » ou « European Pressurized Reactor »).

janvier 2025

Près de 50 "événements significatifs de sureté" ont été signalés depuis la mise en route par EDF début mai du réacteur nucléaire de nouvelle génération EPR de Flamanville, des anomalies sans conséquence sur les personnes et l'environnement, a indiqué mardi l'autorité de sûreté nucléaire
Le débat public sur le projet de réacteurs EPR2 près de la centrale nucléaire du Bugey (Ain), les seuls réacteurs de nouvelle génération envisagés en bord de fleuve, se tiendra du 28 janvier au 15 mai, a annoncé jeudi la Commission nationale du débat public (CNDP).Huit réunions publiques, des échanges sur les marchés, des permanences près du site, mais aussi un recueil de commentaires en ligne permettront de recevoir les avis sur cet énorme chantier d'un coût estimé à 15,3 milliards d'euros, ont précisé lors d'un point-presse les organisateurs du débat.
Conception, financement, rentabilité... la Cour des comptes a appelé mardi l'Etat et EDF à lever les nombreuses "incertitudes" avant de poursuivre le vaste programme de construction de nouveaux réacteurs nucléaires EPR. Dans un rapport critique de 97 pages, la juridiction financière estime que "l'accumulation de risques et de contraintes pourrait conduire à un échec du programme d'EPR2", en rappelant que l'EPR de Flamanville en Normandie a été connecté au réseau électrique national 12 ans après la date prévue, le 21 décembre.
La Cour des Comptes a revu en hausse mardi le coût total du projet de réacteur nucléaire EPR de Flamanville, raccordé au réseau fin décembre avec 12 ans de retard, à 20,4 milliards d'euros, soit 1,3 milliard de plus que son estimation en 2020."Le coût total à terminaison de Flamanville 3 est plus élevé et atteint 20,4 milliards" en euros de 2015, "soit 23,7 milliards" en euros de 2023, a indiqué la Cour des Comptes dans un nouveau rapport consacré à la filière des EPR, le réacteur de nouvelle génération au cœur de la relance du nucléaire en France.

décembre 2024

Emmanuel Macron a salué la mise en fonctionnement, samedi, du réacteur qui, selon lui, « renforce notre compétitivité et protège le climat ».
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville en France, raccordé samedi au réseau électrique, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
Vendredi 20 décembre 2024, jour J pour l'EPR de Flamanville (Manche): après 17 ans de travaux, dont 12 ans de retard, le réacteur nucléaire de nouvelle génération devrait être enfin raccordé au réseau et contribuer à la production électrique de la France.Sauf aléas de dernière minute, le premier couplage au réseau du réacteur EPR devrait donc avoir lieu au dernier jour de l'automne, après avoir été promis "avant la fin de l'été", puis "avant la fin de l'automne".
Op de vijfde top van het Intergovernmental Negotiating Committee on Plastic Pollution in Busan, Zuid-Korea, is geen akkoord uit de bus gekomen. Het comité van het VN-Milieuprogramma moet de plasticproductie aan banden te leggen, maar de weerstand van de olieproducerende landen bleek te groot.

novembre 2024

In het Zuid-Koreaanse Busan leggen delegaties uit 175 landen de laatste hand aan een nieuw verdrag tegen plasticvervuiling, ondanks tegenstand van olieproducerende landen.
D'une puissance de 9,6 GW, le projet de construction de 6 EPR à Jaitapur en Inde est présenté comme le plus grand projet de centrale nucléaire au monde. Il vise à alimenter 70 millions de foyers en électricité dans l'Etat de Maharashtra, sur la côte ouest du pays, au sud de Bombay.Etapes du projet franco-indienEn février 2009, Areva et l'entreprise publique indienne Nuclear Power Corporation of India (NPCIL) ont signé un protocole d'accord avec en vue de fournir de deux à six réacteurs EPR.

octobre 2024

Olena Halushka et Victoria Voytsitska, membres de l’International Center for Ukrainian Victory expliquent, dans une tribune au « Monde », ce que l’Europe peut faire pour sauver le secteur énergétique ukrainien du terrorisme nucléaire russe.
Elles dénoncent une relance du nucléaire « à marche forcée ». Mardi 8 octobre, Greenpeace France, le réseau Sortir du nucléaire et le collectif Stop EPR ni à Penly ni ailleurs ont attaqué en justice le décret d’autorisation des travaux préparatoires pour la construction de deux EPR2 à la centrale de Penly (Seine-Maritime). Ils dénoncent notamment des irrégularités de l’avis de l’Autorité environnementale et une insuffisance de l’étude d’impact.
Dans le Nord, la centrale nucléaire de Gravelines est « un château de sable en bord de mer », selon un rapport de Greenpeace. Situés à proximité, deux futurs EPR pourraient ainsi être mis à rude épreuve par la montée des eaux.

septembre 2024

Le débat public sur la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Gravelines, près de Dunkerque (Nord), dans un contexte de relance du nucléaire, se tiendra du 17 septembre au 17 janvier, a annoncé mardi la Commission nationale du débat public (CNDP), qui espère une "forte participation".Ce débat est le deuxième organisé par la CNDP après celui de 2022-2023 sur le projet d'une première paire de réacteurs à Penly (Seine-Maritime) et plus généralement sur la relance de l'atome en France souhaitée par Emmanuel Macron.
La réaction nucléaire a repris dans le réacteur EPR de Flamanville (Manche), qui avait connu un "arrêt automatique" mercredi au lendemain de son démarrage, a annoncé samedi EDF."Le réacteur de Flamanville 3 est divergé et stabilisé à 0,2% de puissance depuis 08h21", a indiqué à l'AFP un porte-parole du groupe. La "divergence" est le terme technique pour la réaction nucléaire."Les équipes reprennent les activités et essais nécessaires à la préparation du couplage", soit la connexion au réseau électrique, "qui aura lieu d'ici la fin de l'automne", a-t-il ajouté.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a connu mercredi un "arrêt automatique" au lendemain de son démarrage, et les équipes d'EDF procèdent à des contrôles techniques et à des analyses avant de pouvoir relancer sa "divergence", c'est-à-dire la réaction nucléaire.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Tout juste démarré, l'EPR de Flamanville tant attendu depuis 12 ans s'est mis en arrêt automatique mercredi, un aléa qui ne surprend guère les experts en énergie tant le processus de mise en route d'un réacteur peut être complexe.Le réacteur nouvelle génération d'EDF, objet d'un chantier émaillé de déboires, avait franchi un jalon important la veille, avec la réalisation de la première fission nucléaire (ou divergence). Mais plusieurs étapes sont encore prévues avant qu'il puisse alimenter le réseau en électricité, "d'ici la fin de l'automne" selon EDF.
L'arrêt automatique du réacteur EPR de Flamanville peu après son démarrage fait suite à "une erreur humaine" dans la configuration de systèmes électroniques, le mode opératoire n'ayant "pas été strictement respecté", a expliqué jeudi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN) à l'AFP.
Viser l’allume. Le dernier né des réacteurs nucléaires français a (enfin) produit ses premiers électrons dans la nuit de lundi à mardi, mais le rythme de croisière est encore loin d’être atteint. En pleine relance de l’atome, ce chantier, qui continue d’être marqué par une interminable série de déboires techniques et financiers, est un symbole embarrassant.
Après 12 ans de retard, le premier réacteur français est inauguré ce 16 mai dans la Manche. S’il est dérivé d’une technologie qui équipe les 18 centrales nucléaires d’EDF, sa taille, ses équipements de sureté et sa puissance sont inédits.
Entre le début des travaux en 2007 à Flamanville et le chargement du combustible préalable au démarrage du réacteur prévu cet été par EDF, il se sera écoulé dix-sept ans… au lieu des cinq prévus à l’origine pour le construire.
Nouveau retard pour l'EPR de Flamanville : EDF a annoncé lundi qu'il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique, lequel ne recevra pas ses premiers électrons avant "la fin de l'automne", alors que l'électricien tablait jusqu'ici sur la fin de l'été.L'énergéticien a annoncé de manière concomitante avoir reçu le feu vert de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour lancer la production des premiers électrons de l'EPR, avec douze ans de retard sur le calendrier initial.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -

août 2024

EDF a déposé vendredi sa demande d'autorisation pour procéder à la première "divergence", c'est-à-dire la première fission nucléaire, du réacteur EPR de Flamanville (Manche), a indiqué à l'AFP l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).L'ASN "a reçu aujourd'hui la demande d'EDF pour la divergence de l'EPR", a indiqué le gendarme du nucléaire, qui doit l'examiner "dans les prochains jours".
L'EPR de Flamanville (Manche) va-t-il enfin entrer en service ? Début juillet, le patron d'EDF annonçait un lancement « imminent ». Voici les étapes restantes nécessaires au démarrage du réacteur le plus attendu de France.

juillet 2024

Une plainte a été déposée « afin de faire toute la lumière » sur des irrégularités que l’Autorité de sûreté nucléaire a signalées dans la chaîne d’approvisionnement de matériels destinés notamment à la centrale, dont le nouveau réacteur doit être connecté au réseau électrique dans l’été.
La centrale à fission nucléaire chinoise est la première au monde à être totalement à l’épreuve des fusions dangereuses, même en cas de panne d’alimentation électrique complète.
"On est dans la dernière ligne droite" : à Flamanville, EDF est près de lancer la première réaction nucléaire en chaîne dans son réacteur de nouvelle génération EPR, une étape symbolique avant l'arrivée des premiers mégawatts dans le bocage normand cet été.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui poursuit ses opérations de démarrage, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française, qui doit commencer à produire de l'électricité cet été en Normandie.- 1992: naissance en France -
EDF a déclaré trois "événements significatifs de sûreté" sur des équipements du réacteur EPR de Flamanville, depuis sa mise en service début mai, des anomalies liées au non respect de règles d'exploitation mais sans conséquence sur "les personnes et l'environnement", a-t-on appris auprès de l'ASN, le gendarme de la sûreté nucléaire.

juin 2024

Le groupe énergétique suédois Vattenfall a annoncé mercredi avoir présélectionné deux entreprises, une américaine et une britannique, pour la construction de petits réacteurs modulaires (SMR, "Small modular reactors") à la centrale nucléaire de Ringhals, dans le sud-ouest de la Suède. 3 à 5 SMR dans la zone définie Sur six fournisseurs potentiels, le groupe détenu par l'État a retenu la société britannique Rolls-Royce SMR et l'américaine GE Hitachi Nuclear Energy.
Le gouvernement donne son feu vert à EDF pour engager les travaux préparatoires des deux futurs réacteurs de nouvelle génération EPR2 prévus sur la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime), selon un décret du 3 juin paru mercredi au Journal officiel.

mai 2024

EDF va allumer l’EPR de Flamanville avec un couvercle défectueux, alors que la pièce neuve doit être livrée dès cet été. Un choix qui expose les travailleurs à un surcroît de rayonnements et crée un dangereux déchet radioactif. Mardi 7 mai 2024, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a donné son accord pour que l’EPR de Flamanville soit mis en service, c’est-à-dire pour qu’il reçoive son premier chargement de combustible. Après dix-sept ans d’un chantier qui a viré au calvaire et à de vertigineux dérapages de (...)
En 2007, le chantier devait durer cinq ans, pour un coût de 3,3 milliards d’euros. Il aura duré près de dix-sept ans, pour une facture désormais estimée à 19,1 milliards.
Christine, tel est le prénom choisi pour la turbine du nouveau réacteur nucléaire français, l'EPR de Flamanville 3, selon une tradition à EDF qui remonte aux débuts de la construction des centrales au pays de l'atome, à partir des années 1970.Dans la salle des machines, sous une hauteur de cathédrale, la turbine de 70 mètres de long ne pourra démarrer qu'après la "première réaction nucléaire", une étape qui peut prendre plusieurs semaines après le chargement du combustible dans le coeur du réacteur et que doit annoncer EDF très prochainement.
Avec 12 ans de retard, le chargement d'uranium a débuté mercredi dans les cuves de l'EPR de Flamanville, nouvelle étape cruciale du démarrage progressif du plus puissant réacteur nucléaire français, qu'EDF entend voir produire de l'électricité à partir de l'été.A l'heure où le gouvernement veut construire jusqu'à 14 réacteurs en France, ce chargement est une étape majeure pour EDF et toute une filière qui veut tourner la page d'un chantier laborieux de 17 ans, émaillé de multiples problèmes et de surcoûts colossaux.
L'épilogue d'un long feuilleton: le gendarme du nucléaire français a donné mardi son feu vert à la mise en service du réacteur de nouvelle génération EPR de Flamanville en Normandie, une étape clé pour le lancement progressif de la production d'électricité prévu au cours de l'été, douze ans après le calendrier prévu. A l'heure où la France veut construire jusqu'à 14 réacteurs en France, ce feu vert est une étape majeure pour EDF et toute une filière qui entendent tourner la page d'un chantier laborieux de 17 ans, émaillé de multiples problèmes et de surcoûts colossaux.

avril 2024

EDF déboursera au total trois milliards d'euros sur ses fonds propres en 2024 pour la préparation de son projet de nouveau réacteur EPR2 au coeur du vaste programme de relance du nucléaire voulu par l'Etat, a indiqué mercredi le PDG du groupe électricien au Sénat. 20 milliards d'investissements par an "À ce jour, nous avons engagé un peu moins de deux milliards d'euros, des fonds propres d'EDF, sur la préparation de ce projet", a déclaré le PDG d'EDF Luc Rémont, en précisant qu'"en fin d'année", la somme atteindra "trois milliards d'euros".
Un périmètre de sécurité a été mis en place en raison de relevés de radioactivité dans une entreprise de Colmar, a indiqué la préfecture du Haut-Rhin dans un communiqué envoyé dans la nuit de mercredi à jeudi.
L’atome a le vent en poupe ? Peut-être mais cela reste à prouver. Selon le dernier rapport World Nuclear Industry Status Report, le nucléaire est désormais un marché de niche, dominé par deux pays.

mars 2024

Le chargement du combustible du réacteur EPR de Flamanville d'EDF, un chantier marqué par des déboires à répétition, est repoussé à mi-avril au moins au lieu du 31 mars comme initialement prévu par le groupe électricien, a indiqué mardi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
"C'est comme ça qu'on paie l'acceptation sociale du nucléaire" : le militant antinucléaire André Jacques montre du doigt les bâtiments rutilants pour lesquels la commune de Les Pieux (Manche) s'est endettée en attendant la mise en service de l'EPR voisin de Flamanville.
Porté par un regain d'intérêt pour l'atome, EDF compte déployer des réacteurs de 3e génération (EPR) en France et en Europe à une échelle "industrielle", un pari ambitieux compte tenu de ses dérapages de coûts et de délais à répétition, incarnés par l'EPR de Flamanville censé démarrer cette année. En novembre, le PDG Luc Rémont a fixé le cap : construire "1 voire 1,5 (réacteur EPR2) par an" en Europe dès la prochaine décennie, loin du rythme actuel de "un ou deux (réacteurs) par décennie".
Conçus pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, les réacteurs nucléaires EPR ont connu de multiples retards, surcoûts et déboires. Voici les dates-clés de cette technologie principalement française utilisée aujourd'hui en Chine, et en Finlande, avant des démarrages prévus en France et au Royaume-Uni. 1992 : naissance en France
Ce coût du programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires commandés par l'Etat à EDF est désormais évalué à 67,4 milliards au lieu des 51,7 milliards initialement annoncés.
Le coût prévisionnel du programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR commandés par l'Etat à EDF est désormais évalué à 67,4 milliards au lieu des 51,7 milliards initialement annoncés, indique lundi le journal des Echos.Contactés par l'AFP, le groupe EDF et le ministère de l'Economie n'ont pas fait de commentaire.

janvier 2024

La mise en service du premier réacteur nucléaire EPR de la centrale d'Hinkley Point C en Angleterre est repoussée d'au moins 2 ans, voire 4 ans, pour une livraison désormais attendue au mieux en 2029, voire 2030 ou 2031 selon les scénarios, a annoncé mardi EDF.L'électricien français indique avoir revu la durée attendue des travaux de montage électro-mécanique, (câbles et tuyaux) au moment où cette phase commence juste. Prévue pour durer 28 mois, cette étape en prendra finalement 52, ajoutant ainsi deux ans à la durée totale du projet, au mieux.
Le président Emmanuel Macron a affirmé mardi soir qu'il annoncerait "dès l'été les grands axes pour les huit prochains" EPR, dans le cadre de la relance du nucléaire, après le lancement de six nouveaux réacteurs EPR, lors d'une conférence de presse."J'ai annoncé les sites des six nouveaux réacteurs, les travaux, les investissements et tout le travail commencent à EDF. Dès l'été, j'annoncerai les grands axes pour les huit prochains", a-t-il déclaré.
Un nouveau débat public portant sur le projet d'une paire de réacteurs nucléaires à Gravelines (Nord) va être lancé, a annoncé vendredi la Commission nationale du débat public (CNDP) dans un communiqué.Cette paire de réacteurs sur un site près de Dunkerque s'intègre dans le programme de relance du nucléaire décidé par l'Etat, avec les deux EPR2 de Penly (Seine-Maritime), que le gouvernement français compte voir démarrer à horizon 2035-37. S'y ajouteront deux autres à Bugey (Ain).
La France devra aller "au-delà des six premiers EPR" annoncés dans pour la relance du nucléaire, a indiqué dans une interview à la Tribune Dimanche la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, à quelques semaines de la présentation du projet de loi relatif à la souveraineté énergétique.

décembre 2023

EDF a confirmé pour la première fois officiellement que le raccordement du nouvel EPR de Flamanville 3 aura lieu mi-2024, sans pour autant le prendre en compte dans son estimation de production d'électricité nucléaire pour 2026 communiquée jeudi.Pour l'EPR de Flamanville 3, "le chargement du combustible est prévu en mars 2024" et "le premier couplage est prévu mi-2024", indique EDF sur sa page de messages réglementaires destinée aux acteurs du marché de l'électricité.
1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.

novembre 2023

Le réacteur nucléaire EPR Olkiluoto 3 (OL3) en Finlande, le plus puissant d'Europe, a cessé sa production mercredi à la mi-journée après s'être mis à l'arrêt automatiquement lors d'un test, a annoncé son exploitant TVO. "La production d'électricité devait se poursuivre normalement pendant le test", a dit Johanna Aho, responsable de la communication de TVO. Avant cet arrêt à 13H35 locales (11H35 GMT), un test de maintien d'activité était en cours sur OL3, nécessitant la création d'un court-circuit momentané près de la centrale.
La mise en service en 2035 du premier réacteur du nouveau parc nucléaire est un objectif "très exigeant", a reconnu vendredi le PDG d'EDF Luc Rémont dans sa première interview à la radio depuis sa nomination il y a un an."C'est très exigeant, ça doit venir de pair avec tout le travail que nous devons faire sur le parc nucléaire existant pour augmenter le niveau de production et nous sommes bien en chemin pour augmenter le niveau de production", a indiqué le dirigeant, nommé il y a un an par le gouvernement pour redresser l'entreprise en grande difficulté.
Le réacteur nucléaire EPR de conception française d'Olkiluoto 3, mis en service en avril en Finlande, a été mis à l'arrêt dimanche soir en raison d'un problème technique, a annoncé son exploitant, TVO."La production d'électricité d'OL3 a été interrompue dimanche soir 19 novembre en raison d'un défaut détecté dans l'îlot de turbines", a écrit TVO sur X, anciennement Twitter. L'opérateur recherche les causes de ce défaut, a-t-il ajouté, précisant ne pas savoir quand reprendrait la production.
L'Autorité environnementale a recommandé à EDF de nettement revoir sa copie sur l'étude d'impact des travaux préparatoires à la construction de deux nouveaux réacteurs de type EPR2 sur le site de Penly (Manche) et de leur exploitation, selon un avis publié vendredi.Cette autorité indépendante, qui a pour mission de rendre des avis sur l'impact environnemental de projets routiers ou énergétiques notamment, précise d'emblée qu'elle n'a pas évalué la sûreté nucléaire du site.

septembre 2023

Pour l’historien et professeur d’histoire contemporaine Johann Chapoutot, l’obscurantisme criminel des pétroliers et l’ignorantisme au pouvoir face au changement climatique nous conduit à la mort – ou à la désobéissance civile.
Elles ont été condamnées à un total de 31,2 millions d’euros d’amende par l’Autorité de la concurrence pour s’être entendu en amont d’un appel d’offres public.

juillet 2023

Le choix d'installer une 3e paire de nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 sur le site de la centrale existante du Bugey (Ain), au bord du Rhône, est justifié par des "enjeux techniques" pour "tenir les calendriers" de relance du nucléaire promue par le gouvernement, a expliqué jeudi le ministère de la Transition énergétique.La localisation de ces réacteurs, qui s'ajouteront à deux premières paires prévues à Penly (Seine-Maritime) et Gravelines (Nord), a été annoncée mercredi après un conseil de politique nucléaire réuni par Emmanuel Macron.


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