Focus Climat

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Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia

COPERNICUS – Mises à jour


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décembre 2025

En pleins pourparlers de paix avec Washington, le Kremlin veut convaincre qu’une victoire russe est inévitable, alors que son armée progresse peu et au prix de lourdes pertes, afin d’obtenir par la négociation ce qu’il ne parvient pas à gagner par la voie militaire.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a plaidé vendredi lors d'un entretien au Turkménistan avec son homologue russe Vladimir Poutine pour un cessez-le-feu dans les ports et les infrastructures énergétiques en Ukraine, a rapporté la présidence turque. Le chef de l'État turc, qui entretient des liens étroits avec Kiev et Moscou, "a suggéré qu'un cessez-le-feu limité, sur les installations énergétiques et des ports, serait bénéfique", ont indiqué ses services dans un communiqué.
Une adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne dès janvier 2027 est envisagée dans le plan de paix des États-Unis pour mettre fin à la guerre entre Kiev et la Russie, a indiqué vendredi à l’AFP un haut responsable au fait du dossier.
La Russie a rejeté vendredi la proposition de Volodymyr Zelensky de laisser la population ukrainienne décider, par référendum ou des élections, d'éventuelles concessions territoriales dans le Donbass, à l'est de l'Ukraine. "Cette zone est un territoire russe", a déclaré le conseiller diplomatique du président Vladimir Poutine, Iouri Ouchakov, a rapporté vendredi l'agence de presse Interfax-Ukraine.
Notre journaliste Benjamin Quénelle, spécialiste de la Russie, a répondu aux questions des lecteurs du Monde.fr lors d’un tchat, jeudi.
La Russie a revendiqué jeudi la prise de la ville de Siversk, dans l’est de l’Ukraine, l’un des derniers verrous sur ce front qui empêchent les forces russes de s’approcher des grandes cités régionales de Kramatorsk et Sloviansk. Info
Une cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de l’usine russe de Portovaya a été livrée au terminal de Beihai, en Chine, le 8 décembre, une première depuis le placement de l’installation sous sanctions américaines en janvier 2025. Cette livraison témoigne d’une coopération sino-russe croissante au moment où Moscou cherche à augmenter ses exportations de GNL, notamment pour financer son effort de guerre en Ukraine.
Ursula von der Leyen a souligné l'importance décisive de la semaine à venir pour l'Ukraine et a réitéré l'objectif européen d'une paix juste et durable.
Le contrôle de la région de Donetsk et de la centrale de Zaporijjia sont les questions "clés" encore "irrésolues"
Le président ukrainien a déclaré jeudi que les États-Unis continuaient de demander d'importantes concessions dans le cadre d'un plan de paix pour l'Ukraine. Les deux principales concernent le retrait de ses troupes du Donbass, et le statut de la centrale nucléaire de Zaporijjia.
L'aide militaire à l'Ukraine pourrait atteindre son plus bas niveau en 2025, a prévenu mercredi l'institut de recherche allemand Kiel Institute, les Européens, qui en fournissent désormais l'essentiel, ne parvenant plus à compenser l'arrêt de l'aide américaine.
Ce dispositif défensif sans équivalent, qui s’étend du nord au sud sur une cinquantaine de kilomètres, protège notamment Sloviansk et Kramatorsk, les dernières grandes agglomérations de l’oblast aux mains des forces ukrainiennes.
Un rapport alerte sur le risque que font peser sur l’Union européenne les procédures d’arbitrage lancées par les oligarques et entreprises russes visés par des sanctions.
En plus de désactiver leurs données de géolocalisation obligatoire, les navires de la flotte fantôme russe peuvent également transmettre de fausses données, afin de camoufler leur véritable position.
Le président américain Donald Trump a critiqué Volodymyr Zelensky, estimant que l'Ukraine "n'est plus une démocratie" et appelant le pays à organiser des élections malgré la loi martiale.
Le président ukrainien répond à la critique de son homologue américain Donald Trump sur labsence de scrutin dans le pays.
L'armée ukrainienne a annoncé avoir détruit un Buk-M3, l'un des systèmes de défense aérienne les plus avancés de l'arsenal russe.
Le chef de l’Etat ukrainien répond aux critiques de Donald Trump qui reproche à Kyiv d’«utiliser la guerre» pour repousser les élections.
La population ukrainienne va endurer cette année un hiver encore "plus dur" à cause des bombardements russes ayant causé des dégâts "considérables" au système gazier, a affirmé à l'AFP le directeur de la principale entreprise publique du secteur, Naftogaz.
En Europe, certains pensent que la guerre entre la Russie et l’Europe n’a pas encore commencé. […] Pour le cerveau géopolitique de Poutine, il faut cesser d’être naïf : « cette guerre a déjà commencé. Simplement, nous ne l’appelons pas encore ainsi. Notre véritable adversaire est bien l’Europe. »
Face à la mainmise américaine sur les négociations avec Kyiv, une réunion doit se tenir lundi 8 décembre à Londres autour du président Zelensky. Emmanuel Macron en sera, aux côtés des chefs de gouvernement du Royaume-Uni, Keir Starmer, et de l’Allemagne, Friedrich Merz.
Volodymyr Zelensky doit revoir lundi à Londres ses alliés européens Keir Starmer, Emmanuel Macron et Friedrich Merz, au moment où Donald Trump lui reproche de ne "pas avoir lu" sa proposition de règlement du conflit, objet de tractations séparées avec Moscou et Kiev.
La question territoriale reste "la plus problématique" dans les négociations visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, Moscou réclamant le retrait des forces de Kiev d'une partie des zones sous leur contrôle, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable proche du dossier.
Volodymyr Zelensky a affirmé lundi que Kiev n’avait pas le droit "légal" ni "moral" de céder à la Russie des territoires ukrainiens, la question territoriale étant un point central des négociations en cours sur un plan de paix sous médiation américaine.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) a annoncé que ses équipes étaient en Ukraine depuis début décembre pour y évaluer la sécurité nucléaire, et avaient constaté que l'arche de Tchernobyl avait perdu ses "fonctions de sécurité primaires" suite à un bombardement en février.
Négociateurs ukrainiens et américains se retrouvent samedi en Floride pour leur troisième jour de discussions sur le plan de Washington visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, au moment où les forces russes poursuivent leur avancée sur le front et leurs bombardements nocturnes.
De nouvelles frappes russes massives contre des infrastructures ukrainiennes, essentiellement des sites énergétiques, ont privé de chauffage et d'eau des milliers de foyers, a annoncé samedi Kiev. Au total, ce sont 653 drones et 51 missiles qui ont visé dans la nuit l'Ukraine, a précisé l'armée de l'air ukrainienne. Le ministère russe de la Défense a affirmé que ces frappes avaient visé des entreprises du "complexe militaro-industriel ukrainien et des infrastructures énergétiques qui assurent leur fonctionnement", ainsi que des infrastructures portuaires utilisées "dans l'intérêt des forces armées ukrainiennes".
La Bulgarie a dénoncé samedi le remorquage de l'un des deux navires transportant du gaz russe touchés par des explosions au large des côtes turques fin novembre dans ses eaux de la mer Noire. Le Kairos, touché lors d'attaques de drones revendiquées par l'Ukraine contre un pétrolier à destination de la Russie, a été remorqué par un navire turc qui est ensuite retourné en Turquie, a affirmé samedi Rumen Nikolov, directeur général des opérations de sauvetage et de secours de l'administration maritime bulgare, lors d'un point presse à Varna, situé sur la mer Noire dans l'est du pays.
Le président russe Vladimir Poutine, reçu vendredi par le Premier ministre indien Narendra Modi, a déclaré que Moscou continuerait "de livrer du pétrole sans interruption" à New Delhi.
Le recours aux avoirs russes gelés en Europe pour financer l'Ukraine aura des "conséquences considérables" pour l'Union européenne, a déclaré l'ambassadeur russe à Berlin vendredi.
L'Ukraine a accusé jeudi la Russie d'envoyer vers des camps de "rééducation" en Corée de Nord des enfants ukrainiens "enlevés" par Moscou dans les territoires occupés par l'armée russe.
« Aucune solution de compromis n’a encore été choisie, mais certaines propositions américaines peuvent être discutées », a estimé Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique du président russe, qui avait de son côté brandi plus tôt dans la journée la menace d’une guerre avec le reste de l’Europe.
"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine.
Un accord a été trouvé entre eurodéputés et Etats européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l'UE à l'automne 2027, ont-ils indiqué mercredi, afin de priver Moscou d'une manne qui finance sa guerre en Ukraine. "C'est l'aube d'une nouvelle ère, celle de l'indépendance énergétique totale de l'Europe vis-à-vis de la Russie", a salué la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant la presse. La fin des importations à l'automne 2027 est un compromis entre le Parlement européen, qui souhaitait une interdiction plus rapide, et les Etats membres qui voulaient prendre un peu plus de temps.
Les Russes ont fait évoluer certains de leurs drones, les rendant encore plus efficaces.
Moscou et Kiev se sont déclarés mercredi prêts à poursuivre les pourparlers sur le conflit en Ukraine, au lendemain d'une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff qui n'a débouché sur aucune percée.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a présenté mercredi à Bruxelles le plan de l'UE pour financer l'Ukraine sur deux ans, et la "mettre en position de force" dans les négociations avec la Russie. Cette proposition prévoit deux options visant à couvrir une partie des besoins de financement de l'Ukraine pour 2026 et 2027, estimés à 137 milliards d'euros. Elle n'a pas convaincu la Belgique, où se trouve l'essentiel des avoirs gelés russes en Europe.
Avec ce dispositif, Berlin affirme «prendre ses responsabilités» et «renforcer le pilier européen de l’Otan», selon le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius.
Parmi les pays membres de l'Otan, la Belgique contribue également à hauteur de 100 millions d'euros.
La Défense allemande a récemment alerté quant au fait que sa communication avec le Pentagone avait été complètement coupée.
L’incident, qualifié de « majeur » par les autorités portuaires du pays ouest-africain, s’est produit jeudi soir 27 novembre. La piste d’une attaque d’un genre inédit, orchestrée par l’Ukraine, n’est pas exclue.
Responsables danois et ukrainiens se sont réunis à Vojens, dans l’ouest du Danemark, pour marquer le début de la construction d’une usine ukrainienne d’armement sur le sol du pays scandinave, afin d’assurer la pérennité de la production militaire ukrainienne.
Le président russe accuse les Européens de vouloir "empêcher" les efforts américains visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président russe a assuré ce mardi 2 décembre être prêt à la guerre contre l’Europe, en l’accusant d’«empêcher» les efforts des Etats-Unis pour conclure une paix avec l’Ukraine, quelques minutes avant de rencontrer les émissaires américains.
Donald Trump a estimé dimanche qu'il y avait "de bonnes chances" pour un accord mettant fin au conflit entre la Russie et l'Ukraine, après des pourparlers entre Washington et Kiev, à l'issue desquels son chef de la diplomatie Marco Rubio est resté bien plus prudent. Qualifiées de "productives" par les deux délégations américaine et ukrainienne, ces négociations menées en Floride autour du plan dévoilé il y a dix jours par les Etats-Unis, mais jugé trop favorable à Moscou les Ukrainiens et les Européens, n'ont pas accouché d'annonce majeure. "Il reste encore du travail", a averti le secrétaire d'Etat Marco Rubio, après cette rencontre. Une source proche de la délégation ukrainienne a confié à l'AFP que ces discussions n'étaient "pas faciles".
L'armée russe a réalisé en novembre sa plus grosse progression sur le front en Ukraine depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP).
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue français Emmanuel Macron, réunis lundi à Paris, ont eu un échange avec l'émissaire américain de Donald Trump, Steve Witkoff, et le négociateur ukrainien Roustem Oumerov, qui étaient de leur côté en pleines discussions en Floride.
Un plan de paix entre la Russie et l'Ukraine ne peut être finalisé qu'avec Kiev et les Européens "autour de la table", a déclaré lundi Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse avec son homologue Volodymyr Zelensky à Paris.
La Russie a revendiqué lundi la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un noeud logistique clé pour les forces ukrainiennes situé dans l'est du pays, ainsi que celle de Vovtchansk dans le nord-est.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a dénoncé lundi une "escalade inquiétante" après les attaques de drones revendiquées par l'Ukraine, qui ont visé vendredi et samedi deux pétroliers en Mer noire, à proximité des côtes turques. "Nous ne pouvons en aucun cas accepter ces attaques qui menacent la sécurité de navigation, l'environnement et la vie dans notre zone économique exclusive", a souligné le chef de l'Etat, dont le pays occupe la rive sud de la Mer noire.

novembre 2025

Des drones navals ont frappé un terminal pétrolier dans le port russe de Novorossiïsk, samedi. Kiev n’a pas commenté l’attaque, qui survient alors que les négociations se poursuivent avec l’administration Trump sur un éventuel accord de paix jugé pour l’instant trop favorable à Moscou.
Sous la double contrainte des revers militaires et des remous politiques à Kiev, une délégation ukrainienne s’apprête à reprendre dimanche en Floride les discussions autour du plan américain destiné à esquisser une sortie de guerre avec la Russie. Alors que Moscou avance à l’est et multiplie les frappes nocturnes, Kiev tente de rester maître du tempo diplomatique, malgré la démission forcée d’Andriy Yermak et la crainte de concessions douloureuses.
Les autorités du Kazakhstan ont appelé l'Ukraine dimanche à cesser ses frappes contre un terminal pétrolier majeur situé en Russie, endommagé samedi par une attaque de drones navals et crucial pour le transport de pétrole entre l'Asie centrale et l'Europe. Dans un communiqué, la diplomatie kazakhe "proteste contre une nouvelle attaque ciblée contre une infrastructure critique appartenant au Consortium international oléoduc caspien (CPC) Novorossiïsk" en Russie.
Les négociations entre la délégation ukrainienne et de hauts responsables des Etats-Unis ont débuté dimanche en Floride, pour discuter du plan américain visant à trouver une issue à la guerre avec la Russie, Kiev étant sous fortes pressions militaire et politique. Les négociateurs ukrainiens dirigés par Roustem Oumerov et le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio accompagné par l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff ainsi que le gendre du président américain, Jared Kushner, ont débuté la réunion aux environs de 10H10 locales (15H10 GMT). "Il ne s'agit pas simplement de mettre fin à la guerre (...). Il s'agit d'ouvrir une voie pour permettre à l'Ukraine de rester souveraine, indépendante et prospère", a déclaré le chef de la diplomatie américaine au début de la réunion.
Les discussions entre négociateurs ukrainiens et hauts responsables américains ne sont "pas faciles", a déclaré une source proche de la délégation ukrainienne à l'AFP, après le début de la réunion dimanche en Floride visant à parler du plan américain pour mettre fin à la guerre avec la Russie. "Le processus n'est pas facile, car la recherche de formulation et de solutions se poursuit", a déclaré cette source, précisant toutefois que la discussion était "constructive" et que "tout le monde souhait(ait) un résultat concret afin d'avoir un sujet de négociations ultérieures entre les Etats-Unis et la Russie". Une autre source haut placée, informée sur les négociations en cours, a déclaré à l'AFP que les Américains, lors de ces discussions, voulaient que "les points finaux (du plan) soient convenus et qu'ils puissent aller à Moscou".
Des attaques de drones navals ont fortement endommagé samedi une infrastructure pétrolière dans un port russe en mer Noire, ont annoncé les autorités, tandis que Kiev a revendiqué des frappes contre deux pétroliers de la flotte fantôme qui permet au Kremlin de contourner les sanctions occidentales. Ces attaques interviennent alors que l'Ukraine fait face à une forte pression sur le front militaire et politique: l'armée russe progresse dans l'est du pays, tandis que l'administration de Volodymyr Zelensky est secouée par un grave scandale de corruption qui a poussé le président ukrainien à limoger vendredi son chef de cabinet, Andriï Iermak, bras droit extrêmement influent.
L'Ukraine a revendiqué samedi l'attaque de deux pétroliers en mer Noire au large de la Turquie, disant avoir frappé avec des drones navals des navires de la flotte fantôme russe utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales. Une source au sein des services de sécurité ukrainiens (SBU) a affirmé à l'AFP que ces pétroliers, le Kairos et le Virat, avaient été la cible de drones "Sea Baby" lors d'une opération conjointe entre le SBU et la marine ukrainienne. Les autorités turques avaient annoncé plus tôt que le Virat, attaqué vendredi par un drone naval, avait été de nouveau pris pour cible samedi matin au large des côtes turques, après avoir fait état vendredi soir d'une explosion à bord d'un autre navire servant également aux exportations de pétrole russe.
Une photo publiée mi-novembre par le groupe paramilitaire néonazi russe Rusich, déployé sur le front ukrainien, montrant l’un de ses membres devant trois cadavres de soldats ukrainiens est révélatrice des crimes de guerre systémiques.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a promis vendredi, lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine au Kremlin, de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont la Hongrie continue de dépendre, défiant une nouvelle fois l'Union européenne sur le sujet. « Nous n'avons renoncé à la coopération dans aucun domaine » "Je tiens à réaffirmer que les approvisionnements énergétiques en provenance de Russie constituent actuellement la base de l'approvisionnement énergétique de la Hongrie et qu'ils le resteront à l'avenir", a déclaré M. Orban selon des propos retransmis à la télévision.
La justice anticorruption d’Ukraine annonce que des perquisitions sont menées au bureau du chef de cabinet du président Volodimir Zelensky, Andriy Yermak.
Andriy Yermak était le deuxième homme le plus influent d’Ukraine, après Volodymyr Zelensky. Chef de cabinet du Président ukrainien depuis 2020, c’était jusqu’ici son bras droit. Et c’est lui qu’on a vu négocier la dernière version du plan de paix avec les Etats-Unis. Alors quand une personnalité de cette envergure doit ouvrir la porte de son domicile pour une perquisition dans le cadre d’une enquête pour corruption, puis qu’elle présente sa démission, la société ukrainienne est en émoi.
Alors que l’administration Trump a récemment présenté un plan en 28 points sur l’Ukraine, très favorable aux intérêts de Moscou, on vient d’apprendre que, le mois dernier, le conseiller du président des États-Unis Steve Witkoff avait affiché lors d’une conversation téléphonique avec un conseiller de Vladimir Poutine une grande proximité à l’égard de la position du Kremlin. Ces fuites ont suscité un scandale artificiel : en écoutant cet échange de quelques minutes, on n’a rien appris que l’on ne savait déjà sur la posture réelle de l’administration Trump… laquelle demeure pourtant, qu’on le veuille ou non, le seul véritable médiateur entre Moscou et Kiev.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé jeudi que Moscou cessera les hostilités en Ukraine si les forces de Kiev acceptent de se retirer des territoires dont la Russie revendique l'annexion.
A en croire Donald Trump, il ne reste que "quelques points de désaccord" à régler: l'activité diplomatique s'est accélérée pour trouver une issue à la guerre en Ukraine, mais les frappes russes se sont poursuivies mercredi sans répit. Les services de secours ukrainiens ont annoncé que la ville de Zaporijjia (sud) avait subi une attaque russe "massive" dans la nuit de mardi à mercredi. Le bilan de ces frappes, qui ont touché une trentaine d'immeubles, a été porté à 18 blessés, a indiqué Ivan Fedorov, chef de l'administration militaire de la région.
Dans des enregistrements dévoilés par l'agence Bloomberg, on peut voir les conseils donnés par Steve Witkoff aux Russes pour s'adresser au président Trump et ainsi faire avancer les négociations.
L’agence de presse américaine a publié, mardi, la retranscription d’une conversation téléphonique de cinq minutes, datant du 14 octobre et laissant paraître une certaine proximité entre l’Américain et le Russe.
Le secrétaire à l’armée, âgé de 39 ans, a été propulsé, en quelques jours, au premier rang de la négociation du plan de paix voulu par Donald Trump. Vétéran de la guerre en Irak, proche du vice-président américain, J. D. Vance, il a fait carrière dans la finance avant de rejoindre l’administration Trump.
Le Kremlin a relevé mercredi certains points "positifs" dans le plan américain pour mettre fin au conflit en Ukraine, après avoir rejeté une contre-proposition européenne, tandis que Kiev et ses alliés continuent de plaider pour une paix "juste et durable".
La révélation par Bloomberg, mardi, des échanges de Steve Witkoff avec le conseiller diplomatique russe Iouri Ouchakov illustre, s’il en était encore nécessaire, les coulisses peu reluisantes du soi-disant plan de paix de Donald Trump.
Le Kremlin a qualifié mercredi de "processus sérieux" les efforts diplomatiques en cours autour du plan américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine, avant une visite prévue la semaine prochaine à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff.
L’Ukraine et la Russie ont toutes deux fait état mardi matin de frappes aériennes "massives" de l’ennemi sur leurs territoires respectifs, avec au moins trois morts recensés dans la région russe de Rostov et au moins un côté ukrainien, où le secteur énergétique a encore une fois été visé. Le bilan de frappes russes sur Kiev est lui de six morts, ont annoncé les autorités.
Les négociations de Genève ont permis de retirer du projet américain les points les plus problématiques pour les pays de l’UE et l’Ukraine. Mais ce plan en 19 points reste à finaliser et doit être soumis aux Russes.
La seule raffinerie de Serbie, majoritairement détenue par un groupe russe et touchée par des sanctions américaines, a été mise en veille et "s'arrêtera complètement" dans quatre jours si ces sanctions ne sont pas levées, a affirmé mardi le président serbe.
Une pluie de drones et missiles s'est abattue sur Kiev dans la nuit, faisant au moins sept morts, tandis que s'activent mardi en coulisses Ukrainiens, Américains et Européens pour tenter de trouver une issue au conflit après la publication d'un plan américain. Des réunions "secrètes" sur l'Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi à Abou Dhabi pour tenter d'avancer sur un cessez-le-feu, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques.
À l’issue de leurs négociations à Genève, l’Ukraine et les États-Unis sont parvenus à un projet de document complètement révisé, qui a suscité l’optimisme des deux pays. Selon la presse internationale, les aspects les plus délicats – notamment les questions territoriales et le soutien de l’Otan – restent toutefois en suspens.
L'Ukraine a accepté, après consultation avec les émissaires américains, les conditions d'un possible accord de paix, a déclaré mardi un responsable américain à ABC News.
Des réunions sur la situation en Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi à Abou Dhabi (Émirats arabes unis) pour tenter d'avancer sur un règlement du conflit, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques.
Le secrétaire d’Etat américain a évoqué d’« énormes progrès » lors de ses discussions, dimanche, avec les Ukrainiens et les Européens. Mais les contre-propositions des capitales européennes restent très éloignées du projet du président américain.
Des sénateurs ont affirmé que le projet, très favorable à Moscou, rassemblait en réalité des propositions russes, ce que le secrétaire d’Etat américain, Mario Rubio, a vivement démenti.
A l’issue de pourparlers «constructifs» à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens, qui ont permis une avancée par rapport au plan Trump favorable à Moscou, les discussions devraient se poursuivre ce lundi 24 novembre.


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