« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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biodiversité
2025
Bosbehoud wordt een van de hoofdthema’s van de 30ste klimaattop van de Verenigde Naties in Brazilië, die op 10 november start. De grote regenwouden zijn de longen van de wereld. Het zijn de grootste mondiale koelsystemen en waterpompen, om nog maar te zwijgen over hun belang voor de biodiversiteit. Hoe beschermen we deze mondiale ecosystemen en zorgen we tegelijk voor meer welvaart voor de lokale bevolkingen?
L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
À 33 ans, l’ingénieure agronome s’est imposée comme l’une des voix les plus critiques de la loi Duplomb. Sur Instagram, Élise Bordet rend la science accessible pour donner envie aux citoyens d’agir pour la protection du vivant.
"Une bombe à retardement": pour Ika Paul-Pont, écotoxicologue au Laboratoire des sciences de l'environnement marin (Lemar), entre sa "production exponentielle", "l'absence de gestion de fin de vie des déchets" et "sa haute toxicité", le plastique fait peser de gros risques sur l'environnement et les écosystèmes marins. "Nous ne mesurons pas encore l'étendue des dégâts de ce matériau et de sa toxicité, liée à ses composants chimiques, une boîte noire, avec 16.000 additifs dont environ un quart sont considérés comme préoccupants", développe auprès de l'AFP la directrice de recherche au CNRS qui, depuis 12 ans, étudie au sein de l'université de Brest les effets du plastique sur les invertébrés marins, et plus spécialement les mollusques bivalves comme les huîtres. "Quand nous avons commencé il y a une quinzaine d'années, nous pensions que c'était un matériau assez simple, que le seul problème était l'ingestion ou l'étranglement mais plus on l'étudie et plus on se rend compte de sa complexit
Principal composant des déchets marins, le plastique, charrié par les fleuves le plus souvent, arrive par millions de tonnes depuis des décennies dans l'océan. Histoire d'une submersion annoncée. - Une production exponentielle
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Nathanaël Wallenhorst : "On assiste à une annihilation biologique inédite dans l'Histoire du vivant"
- France24,Nathanaël Wallenhorst,
Notre planète sera-t-elle encore vivable dans quelques décennies? Y aura-t-il encore des saisons ? À quoi ressembleront nos vies sous l'effet du changement climatique, quand les vagues de chaleur extrêmes, les mégafeux et la disparition de nombreuses espèces seront notre quotidien ? On en parle avec Nathanaël Wallenhorst, docteur en sciences de l'environnement et en sciences de l'éducation, spécialiste de l'anthropocène et auteur de "2049, ce que le climat va faire à l'Europe".
Alors que les populations d’anguilles se sont effondrées de 90 % depuis les années 80, des scientifiques, pêcheurs et la Ligue pour la protection des oiseaux appellent à l’instauration d’un moratoire sur la pêche en France.
L’effondrement écologique est tout sauf un fantasme millénariste : c’est une réalité documentée, incontestable. Les émissions de CO2 continuent à augmenter au niveau mondial, la biodiversité animale et végétale est anéantie à un rythme toujours plus accéléré, le cycle de l’eau est profondément perturbé, les diverses formes de pollution continuent à transformer le monde entier en poubelle (notamment en poubelle à micro-plastiques), les points de bascule irréversibles sont atteints et franchis les uns après les autres, etc. Pas la peine de dresser ici une énième fois et dans le détail un tableau apocalyptique, on peut aller directement à la conclusion, qui est assez évidente : une partie de l’espèce humaine, la plus riche, la plus soumise à la folie productiviste et consumériste, la plus inconsciente, la plus égoïste, est en train de rendre la Terre inhabitable.
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