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Alors que les relations russo-américaines se dégradent, le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi d'une réponse "très forte" en cas d'attaque du territoire russe par des missiles américains Tomahawk, dont l'Ukraine réclame la livraison de la part de Washington.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son gouvernement cherchait des moyens de contourner les sanctions américaines contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes destinées à faire pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine. "Des sanctions ont été prises contre certaines entreprises de pétrole russe (...). Nous travaillons sur des moyens de les contourner", a déclaré M. Orban lors de son interview radio hebdomadaire. "Quiconque souhaite une baisse des prix" notamment de l'énergie "doit défendre le droit de la Hongrie à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, ou au même prix que la Russie, ou moins cher", a ajouté le leader nationaliste.
Donald Trump a laissé éclater son exaspération mercredi envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qualifiées "d'énormes" contre le secteur pétrolier russe, dans l'espoir d'amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. En parallèle, l'Union européenne a annoncé mercredi avoir trouvé un accord pour durcir ses sanctions sur les hydrocarbures russes et tarir les ressources du Kremlin. "Ce sont des sanctions énormes (...) Et nous espérons qu'elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu'un terme sera mis à la guerre", a affirmé le président américain en recevant le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.
Les dirigeants de l'UE ont demandé jeudi à la Commission européenne d'explorer les moyens de financer l'Ukraine sur les deux années à venir en laissant le porte ouverte à la mise en place d'un prêt s'appuyant sur les avoirs russes gelés, ont indiqué plusieurs diplomates à l'AFP.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé mercredi par la Norvège une tournée dans plusieurs pays européens pour obtenir plus d'aide face à Moscou, qui a assuré de son côté que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump était toujours d'actualité. M. Zelensky se rend en Europe juste après une nouvelle vague de frappes russes nocturnes sur le secteur énergétique ukrainien, qui ont fait au moins six morts et provoqué des coupures de courant à travers le pays. Le président ukrainien a atterri en fin de matinée à Oslo pour rencontrer le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, avant un entretien prévu en Suède avec le Premier ministre Ulf Kristersson dans la ville de Linköping, siège du groupe de défense Saab, qui produit l'avion de chasse Gripen, des systèmes d'armes et sous-marins.
Les dirigeants européens ont affirmé mardi avec le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie, dans une déclaration en soutien aux efforts de paix de Donald Trump.
Alors que le président américain, Donald Trump, a annoncé une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine, les dirigeants européens ont confirmé, mardi, leur soutien aux efforts de paix en Ukraine. Mais la Russie a relativisé les chances que ce sommet intervienne rapidement.
"Les Ukrainiens sont très résilients. Ils se battent pour leur liberté, leur indépendance, leur pays. Ils ne peuvent pas simplement capituler", a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à son arrivée à une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Luxembourg.
Le chef de la diplomatie russe Segueï Lavrov s'est entretenu lundi au téléphone avec son homologue américain Marco Rubio pour évoquer les modalités du sommet envisagé prochainement à Budapest entre les deux présidents Vladimir Poutine et Donald Trump, a annoncé Moscou.
Plus de la moitié des pays de l'Otan ont rejoint le programme PURL, destiné à financer des armes américaines pour l'Ukraine, en réponse aux besoins urgents exprimés par Kiev.
Après avoir échangé deux fois en deux jours avec son homologue américain Donald Trump et avec le président français Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky a demandé dimanche à ses alliés de fournir davantage de systèmes de défense antiaériens à l'Ukraine, confrontée à une intensification des attaques de missiles et de drones russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a vivement critiqué l'absence de "véritable réaction" de la part de l'Occident dimanche, à la suite d'une nouvelle attaque russe de grande ampleur.
La Hongrie n'est pas prête à renoncer à importer du pétrole russe, comme le réclament les Etats-Unis de Donald Trump, et une majorité de pays de l'UE, a indiqué mercredi son Premier ministre Viktor Orban. "Nous n'avons aucune autre option, aucune", a-t-il affirmé devant la presse à Copenhague, assurant au passage que le président américain ne lui avait jamais demandé de fermer le robinet du pétrole russe.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a mis en garde samedi contre toute attaque envers son pays, qui entraînerait une "réponse résolue", alors que Donald Trump a appelé à abattre les avions russes en cas de violation de l’espace aérien de l’Otan.
La Commission européenne va proposer des droits de douane accrus sur le pétrole russe que deux pays de l'UE, la Hongrie et la Slovaquie, continuent d'importer, après des appels en ce sens de Donald Trump, a annoncé mercredi un des ses porte-paroles. La Commission européenne présentera "en temps voulu" une proposition en ce sens, a indiqué ce porte-parole Olof Gill. Mardi devant les Nations unies, le président Donald Trump a une nouvelle fois critiqué les achats de pétrole russe par les Européens, dénonçant un comportement "inexcusable".
A l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies ce mardi à New York, le président américain a multiplié les diatribes contre les pays européens, l’immigration ou encore la reconnaissance de l’Etat de Palestine.
La Commission européenne a proposé vendredi que l'UE mette fin plus tôt que prévu à ses importations de gaz naturel liquéfié russe, après les appels répétés en ce sens du président américain Donald Trump. Cette proposition est contenue dans un 19e "paquet" de sanctions contre la Russie, qui cible aussi des entités (entreprises, banques, etc) en Chine, Inde ou Asie centrale, accusées d'aider la Russie à contourner les sanctions occidentales ou à vendre son pétrole. "L'économie de guerre de la Russie est soutenue par les revenus de (ses) hydrocarbures (...), il est temps de fermer le robinet", a lancé la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen dans une brève allocution.
La Commission européenne propose que l'UE mette fin plus tôt que prévu à ses importations de gaz naturel liquéfié russe, après les appels en ce sens de Donald Trump, a annoncé vendredi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas […] "Notre objectif est d'accélérer l'élimination progressive du gaz naturel liquéfié russe d'ici au 1er janvier 2027", a-t-elle précisé sur X.
Avant d’accentuer la pression sur Vladimir Poutine, Donald Trump exige de ses alliés européens qu’ils cessent d’acheter du pétrole russe et augmentent les droits de douane sur les produits chinois. Inacceptable pour l’UE, qui doit présenter, lundi, un 19ᵉ train de mesures et craint de faire les frais d’une guerre commerciale entre Washington et Pékin.
Le président américain Donald Trump a déclaré samedi qu’il était prêt à prendre "des sanctions significatives contre la Russie" à condition que tous les pays membres de l’Otan cessent leurs importations de pétrole russe. Il a également suggéré aux membres de l'Alliance des hausses substantielles des droits de douane visant la Chine pour que celle-ci diminue son soutien à Moscou.
Washington est prêt à imposer des droits de douane supplémentaires sur les acheteurs de pétrole russe comme la Chine et l'Inde si l'Union européenne en fait de même, afin de limiter pour Moscou le financement de sa guerre en Ukraine, a affirmé mardi à l'AFP un responsable américain.
Des dirigeants européens se rendront cette semaine aux États-Unis pour discuter de la guerre en Ukraine, a annoncé Donald Trump.
Donald Trump déclaré dimanche qu'il envisageait de nouvelles sanctions contre la Russie, au lendemain d'une importante attaque aérienne sur l'Ukraine, sans précédent par son ampleur.
Selon l’Institut allemand Kiel, depuis juin, l’Europe a fourni environ 95 milliards de dollars d’aide militaire à Kiev, contre 75 milliards pour Washington. Les armes restent en grande partie fabriquées outre-Atlantique.
Les pays soutenant Kyiv se réunissent ce jeudi 4 septembre à l’Elysée pour tester l’engagement des Etats-Unis pour la sécurité future du pays. Vladimir Poutine, fort de ses appuis internationaux, reste inflexible.
Les soutiens européens de l'Ukraine se réunissent jeudi pour tester l'engagement des Etats-Unis pour la sécurité future de l'Ukraine, alors que les efforts de paix de Donald Trump patinent et que Vladimir Poutine, fort de ses soutiens internationaux, paraît plus inflexible que jamais
Donald Trump est "très mécontent" des achats de pétrole russe par des pays de l'UE, a affirmé Volodymyr Zelensky à la suite d'une conversation téléphonique jeudi entre le président américain et des dirigeants européens depuis Paris. "Il est très mécontent que du pétrole russe soit acheté par l'Europe", a déclaré M. Zelensky en citant la Slovaquie et la Hongrie, lors d'une conférence de presse conjointe avec Emmanuel Macron à l'Elysée. Le président français a de son côté confirmé que "le président Trump et l'administration américaine se sont émus (...) des choix qui ont été faits par deux pays membres de l'Union européenne qui continuent d'acheter du pétrole russe".
Le 15 août, Donald Trump a rencontré Vladimir Poutine. Le 18, il a reçu Volodymyr Zelensky ainsi que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte et plusieurs dirigeants européens (Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer, Giorgia Meloni et Alexander Stubb). Ces échanges ont donné lieu à de nombreuses images marquantes et à quelques déclarations d’intention, mais une paix durable paraît toujours une perspective très lointaine.
La question a été abordée, mardi, par les membres de la « coalition des volontaires », la plupart européens, et sera à nouveau au menu d’une réunion des chefs d’état-major de l’OTAN, mercredi. En jeu, le rôle des Etats-Unis et une éventuelle clause d’assistance mutuelle.
Que retirer de la rencontre cruciale lundi à Washington entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, avec l’appui de sept dirigeants européens représentant les nations comme la France et la Grande-Bretagne, ainsi que l’Union européenne et l’OTAN ? Réponse en 5 points.
Donald Trump annonce qu’il a "commencé les préparatifs" d’une rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a-t-il annoncé dans la nuit de lundi à mardi sur son réseau social Truth Social. Cet entretien doit ensuite être suivi d’une réunion à trois, avec les États-Unis. Une déclaration faite trois jours après un sommet bilatéral avec le président russe Vladimir Poutine en Alaska, lors duquel aucun cessez-le-feu en Ukraine n’a été convenu. Donald Trump organisait lundi des discussions à la Maison blanche avec le président ukrainien Volodimir Zelensky et plusieurs dirigeants européens.
Lundi, après de nombreuses déclarations croisées sur les réseaux sociaux, le président ukrainien et les leadeurs européens ont reçu un accueil cordial à la Maison Blanche et Trump s’est engagé à organiser une réunion tripartite avec Vladimir Poutine.
Lors d’une réunion à la Maison Blanche entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et les dirigeants européens, il a été acté que se tiendra prochainement une réunion entre le président russe et le président ukrainien.
Lors d’un échange avec Emmanuel Macron capté par des micros lors du sommet lundi 18 août à Washington, le président américain a laissé entendre que la Russie pourrait signer un accord avec l’Ukraine pour lui faire plaisir.
Organisé à la va-vite dimanche, le déplacement conjoint des principaux dirigeants européens illustre, surtout, leur volonté d’être impliqués dans toute négociation entre les Russes et les Américains.
Donald Trump voudrait pousser Kiev à céder la région à Moscou, y compris les zones toujours sous contrôle ukrainien. Volodymyr Zelensky affiche un refus prudent, de peur de braquer le président américain.
Antonio Costa s'est dit rassuré par le soutient européen face à la situation en Ukraine et appelle à poursuivre ainsi. […] Le président du Conseil européen a pris la parole après une réunion virtuelle des chefs d'État et de gouvernement des 27, dont ceux qui étaient présents à Washington aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelensky: le Français Emmanuel Macron, l'Italienne Giorgia Meloni, le Finlandais Alexander Stubb, l'Allemand Friedrich Merz. Juste avant cette réunion en vidéoconférence prévue à 13h00, il y avait eu un nouvel appel téléphonique rassemblant la dite "coalition des volontaires".
Les membres de la « coalition des volontaires » sont prêts à s’engager à protéger Kiev en cas d’accord de paix, mais ils veulent s’assurer d’une forme de garantie de la part des Etats-Unis. Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a exclu, dimanche soir, que l’Ukraine entre dans l’OTAN.
Depuis le fort de Brégançon, le chef de l’Etat a exprimé, dimanche, son inquiétude, compte tenu du « contexte extrêmement grave, à la fois pour l’Ukraine, mais pour la sécurité de toute l’Europe ». Comme plusieurs de ses homologues européens, il sera présent au côté de Volodymyr Zelensky, invité par Donald Trump à la Maison Blanche.
Le président ukrainien était très satisfait. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'est réjoui lundi devant Donald Trump qui le recevait à la Maison Blanche d'avoir eu avec lui "la meilleure" de leurs discussions pour tenter de trouver une issue à la guerre dans son pays.
Le sort de l'Ukraine s'est-il joué sur une veste de costume? Certainement pas, mais le choix de Volodymyr Zelensky de renoncer lundi à son habituelle tenue d'inspiration militaire pour une mise plus formelle a mis Donald Trump d'excellente humeur.
"Cette guerre va se terminer", a dit Donald Trump lundi en recevant Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, qui ont affiché leur volonté de travailler ensemble à la paix et à la sécurité future de l'Ukraine.
Le président ukrainien se déplacera à Bruxelles pour rencontrer les dirigeants européens, avec qui il se rendra également à Washington lundi.
La présidente de la Commission européenne a par ailleurs annoncé que Volodymyr Zelensky serait à Bruxelles dimanche après-midi pour participer à une visioconférence des alliés européens.
Plusieurs dirigeants du Vieux Continent se rendront lundi à Washington en compagnie du président ukrainien pour rencontrer le président américain. La crise ukrainienne met aujourd’hui face à face d’un côté Kiev et les principales capitales européennes, de l’autre Moscou et Washington.
Plusieurs dirigeants européens accompagneront le président ukrainien ce lundi à Washington, où une rencontre avec Donald Trump est prévue, trois jours après le sommet avec Vladimir Poutine.
Trois jours après la rencontre entre le président américain et Vladimir Poutine, les dirigeants européens, plus vigilants que jamais, vont serrer les rangs autour du président ukrainien ­invité ce lundi 18 août à la Maison Blanche.
Les deux chefs d’Etat se sont rencontrés sur le tarmac d’une base militaire à Anchorage, en Alaska, ce vendredi 15 août. L’ambiance était cordiale mais ils n’avaient rien de concret à annoncer après trois heures de discussion.
A deux jours de sa rencontre avec son homologue russe en Alaska, le président américain a affirmé qu’il ne négociera pas de territoires sans les Ukrainiens et pourrait même offrir des gages de sécurité.
Donald Trump et Vladimir Poutine se rencontreront ce vendredi 15 août 2025… avant une nouvelle réunion avec les dirigeants européens ? C’est l’avis du président des États-Unis.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a eu une discussion avec les dirigeants européens ce mercredi après-midi.
A la veille du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, un collectif regroupant des organisations des droits humains et de la société civile appelle, dans une tribune au « Monde », les dirigeants mondiaux à refuser tout accord qui serait conclu sans le consentement de l’Ukraine ni celui de l’Europe.
Les Européens et Donald Trump sont "unis" dans leurs efforts pour mettre fin à la guerre en Ukraine, a affirmé mercredi le chef de l’Otan, Mark Rutte, à l’issue d’un appel téléphonique qu’il a qualifié "d’excellent".
A l’issue de ses échanges avec les dirigeants européens ce mercredi 13 août, le président américain a projeté une réunion entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et lui-même «presque immédiatement» après son sommet vendredi en Alaska.
L’administration Trump est en train de réaliser le sauvetage du régime russe, dont elle a besoin pour racketter l’Europe, estime, dans une tribune au « Monde », la spécialiste de la Russie, à la veille de la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
Le chancelier allemand a invité le président américain à s'entretenir, mercredi, avec Volodymyr Zelensky ainsi qu'avec la dirigeante italienne et ses pairs français, britannique, polonais et finlandais. Objectif : peser sur les discussions qui auront lieu le 15 août entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
Le président ukrainien s’apprête à rejoindre ses homologues français, britannique et allemand pour tenter de plaider les intérêts de sa nation auprès du président américain, avant la rencontre prévue vendredi 15 août en Alaska, avec Vladimir Poutine.
Les dirigeants des pays de l'Union européenne ont insisté mardi sur la nécessité pour les Ukrainiens de pouvoir "décider de leur avenir", à trois jours de la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, à l’exception du Hongrois Viktor Orban, ont publié mardi une déclaration commune avant le sommet entre les présidents américain et russe en Alaska, qui portera notamment sur l’Ukraine.
L'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Otan Matthew Whitaker a indiqué dimanche que le président ukrainien Volodymyr Zelensky pourrait assister au sommet vendredi en Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine, une demande des Européens.
L’Union européenne convoque en urgence, lundi, ses ministres des Affaires étrangères afin d’influer sur les discussions prévues cette semaine entre Donald Trump et Vladimir Poutine au sujet de la guerre en Ukraine. L'UE redoute un accord conclu au détriment de Kiev.
Dans une déclaration commune signée samedi, les dirigeants français, italien, allemand, finlandais, polonais et Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, ont rappelé que les « frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force ». Une réunion extraordinaire des ministres des affaires étrangères des Vingt-Sept se tiendra lundi.
Les principaux dirigeants européens ont appelé, dimanche, à maintenir la pression sur la Russie pour obtenir la paix et réitéré leur soutien à l'Ukraine, avant le sommet annoncé entre Vladimir Poutine et Donald Trump, qui fait craindre à Kiev un accord à ses dépens.
Dans un communiqué, les principaux dirigeants européens se sont dits convaincus que «seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l’Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie» pouvait réussir.
Plusieurs dirigeants européens ont appelé l'administration Trump pour comprendre les exigences de Poutine en amont du sommet avec le président américain en Alaska. À trois reprises, l'Europe a reçu une réponse différente.
Alors que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump se profile, l’exclusion de l’Ukraine des négociations inquiète ses alliés et ravive les tensions.
Le président français a également rappelé l’implication des Européens à l’approche du sommet entre les présidents américain et russe prévu le 15 août en Alaska pour mettre fin à la guerre.
La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas a appelé mardi les Etats-Unis à "partager le fardeau" du nouveau plan d'armement de l'Ukraine annoncé lundi par Donald Trump, et dont le financement doit selon lui être assuré par l'Europe et le Canada.
Le président ukrainien s'est entretenu par téléphone avec le locataire de la Maison-Blanche.
Les grandes villes seront plus vulnérables aux bombardements russes en raison du gel de l’aide américaine sur les défenses antiaériennes les plus cruciales. Les Européens ne sont pas en mesure de combler rapidement le vide laissé dans l’arsenal de Kiev.
A l’heure du désengagement américain, et où l’attention générale est tournée vers le Moyen-Orient, Kyiv a besoin d’un soutien occidental franc pour espérer une issue au conflit favorable aux Ukrainiens.
Quelque chose est en train de bouillir à la Maison blanche. Comme une soupe épaisse sur un feu médiatique. Un mélange de frustration, de justifications et de craintes. De "Je m’entends bien avec Vladimir Poutine", à "Il a dû lui arriver quelque chose", Donald Trump change progressivement son discours sur le président russe. Un changement pas encore radical mais perceptible en cinq mois à peine.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
En proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie jeudi, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur. Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique.
Le Royaume-Uni, la France et les pays du nord de l’Europe ont annoncé vendredi soutenir la proposition d’un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours en Ukraine avancée par le président américain Donald Trump.
Le vice-président américain J.D. Vance a déclaré mercredi que Moscou et Kiev doivent parvenir à un accord, faute de quoi Washington mettra fin à ses efforts de médiation. Selon la Maison Blanche, la Russie et l'Ukraine vont devoir faire des "échanges territoriaux" dans le cadre de négociations de paix. L'"intégrité territoriale" de l'Ukraine reste une "exigence très forte" des Européens, a rétorqué l'Élysée alors qu'une nouvelle réunion des alliés se tient à Londres.
Le président Trump et son chef de la diplomatie ont menacé, vendredi 18 avril, de renoncer à la recherche de la paix en Ukraine, au lendemain des pourparlers inédits avec les Européens et les Ukrainiens, à Paris.
Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Donald Trump a mis sa menace à exécution. Il a ordonné dans la nuit de lundi à mardi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président finlandais Alexander Stubb a proposé que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'Otan si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump.
Le Premier ministre britannique a annoncé dimanche que plusieurs pays européens étaient prêts à soumettre un plan de paix aux États-Unis, avec l’espoir d’obtenir un soutien américain à des garanties de sécurité pour Kiev face à la Russie. Cette semaine pourrait “marquer un tournant”, note la presse européenne.
Tandis que des dizaines de milliers de personnes ont rejoint des groupes sur Facebook en Suède ou au Danemark, appelant à ne plus acheter américain, la société norvégienne Haltbakk Bunkers a annoncé qu’elle ne livrerait plus les navires militaires américains en fuel.
L’Europe "doit faire le gros du travail" en Ukraine mais avec le soutien des États-Unis, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer à l’issue du sommet organisé dimanche à Londres avec une quinzaine d’alliés de Kiev. "L’Europe doit faire le gros du travail, mais pour défendre la paix sur notre continent, et pour réussir, cet effort doit être fortement soutenu par les États-Unis", a déclaré le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse.
Le premier ministre britannique Keir Starmer a souligné l’importance du soutien américain pour défendre la paix en Europe, alors que l’UE prépare un plan de réarmement.
Après le clash entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, les dirigeants européens se retrouvent dimanche à Londres pour une réunion informelle sur l’Ukraine et la sécurité. Avec le revirement américain sur le dossier ukrainien, les Européens sont en train de comprendre que "l’Europe doit assurer sa propre défense", selon une spécialiste des questions de défense européenne.
Le président français a essayé lundi d’infléchir la position de son homologue américain sur l’Ukraine, cherchant notamment à obtenir des garanties de sécurité en cas de cessez-le-feu. Trump n’a pas pris d’engagement en ce sens. Mais la visite de Macron marque tout de même “le retour de la voix de l’Europe à la table des négociations”, note la presse internationale.
La situation dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine et la perspective d'une paix négociée définissent littéralement le terme "fluide". Des positions autrefois considérées comme gravées dans la pierre ont disparu, et des relations jugées solides comme du roc se sont effritées. Le vent de changement, qui balaye la politique intérieure américaine sous la présidence de Donald Trump, laisse le chaos dans son sillage. Il s'est déplacé vers des rivages étrangers, avec un impact non moins perturbateur.
L'éventuel accord sur les minerais entre l'Ukraine et les États-Unis ne comprendra pas de garanties de sécurité militaire, a déclaré dimanche le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent.
Après un mini-sommet informel lundi à l’Élysée avec sept pays européens, Emmanuel Macron a réuni mercredi 19 chefs d’État et de gouvernement de pays membres de l’UE ou de l’Otan dont la Norvège et le Canada, lors d’une visioconférence. Cet élargissement des discussions témoigne de l’impuissance de l’UE face à la crise ukrainienne, souligne la presse européenne.
Une dizaine de dirigeants de pays de l’UE et de l’Otan se réunissent lundi à Paris avec l’objectif de définir une réponse commune pour la sécurité du Vieux continent et faire face à l'"accélération" de l’administration américaine sur l’Ukraine.
De la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au chef de l’Otan Mark Rutte en passant par Keir Starmer, les dirigeants européens ont multiplié les réactions ce lundi 17 février au soir à l’issue de la réunion d’urgence.
Le président ukrainien a égratigné ses soutiens dans une interview, enregistrée samedi mais diffusée lundi 17 février par la chaîne publique allemande ARD.
Varsovie a affirmé samedi que la réunion, prévue lundi et organisée à l’initiative d’Emmanuel Macron, visait à discuter des défis posés par le plan de paix ukrainien de l’administration Trump. Pour la presse européenne, la rapidité de la réponse européenne témoigne de “l’ampleur de l’anxiété” sur le continent.
Le gouvernement étasunien a envoyé une lettre aux pays européens, leur posant la question de savoir combien de soldats ils seraient prêts à fournir pour assurer le maintien de la paix en Ukraine. Il est également question des armes qui pourraient être fournies et de ce qui est attendu des États-Unis.
Rebattant complètement les cartes après trois années de guerre, Donald Trump a convenu mercredi avec Vladimir Poutine de lancer des négociations “immédiates” sur l’Ukraine. Pour la presse européenne, les États-Unis montrent ainsi qu’ils sont “pressés de lâcher le Vieux Continent”.
Le Kremlin a indiqué jeudi vouloir 'assez rapidement' une rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et son...
Kiev a dit jeudi ne pas envisager de participer à une réunion à Munich (Allemagne) avec des responsables russes, annoncée par le président américain Donald Trump.
Zelensky s'est exprimé dans une interview avec Lex Fridman. ... Si Trump a promis de mettre fin à la guerre rapidement une fois élu, Zelensky craint la suite des évènements si le futur président décide de se retirer de l'alliance. Newsweek rapporte les propos du président ukrainien : "Pour mettre fin aux combats, l'Ukraine a besoin de garanties de sécurité. Et si vous dites qu'il y a un risque que le président Trump se retire de l'OTAN, par exemple, c'est une décision des États-Unis. Je dis simplement que si cela se produit, Poutine détruira l'Europe. Il détruira tout autour."
Les services de sécurité américains et allemands ont déjoué un plan russe visant à assassiner le PDG du fabricant d'armes Rheinmetall, rapportent les médias américains sur base de sources anonymes.
Les États-Unis et l'Union européenne "discutent très activement" de la possibilité d'interdire les importations de pétrole russe en réponse à l'invasion de l'Ukraine, a déclaré dimanche le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken. "Nous parlons à nos partenaires et alliés européens pour envisager, de façon coordonnée, l'idée d'interdire l'importation de pétrole russe tout en s'assurant que subsiste un stock suffisant de pétrole sur les marchés mondiaux", a-t-il dit sur la chaîne CNN.