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Alors que les dirigeants mondiaux se sont réunis à la COP29 en Azerbaïdjan pour discuter de l’action climatique, des scientifiques se demandent s’il est encore possible de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius par rapport aux moyennes préindustrielles.
Ilian Moundib, ingénieur en Stratégie de Résilience Climatique, auteur de "S'adapter Fake or Not", était l'invité de Laure Closier dans Good Morning Business, ce jeudi 12 décembre. Ils sont revenus sur les nouvelles projections de hausse de températures en France d'ici la fin du siècle par Météo-France et les moyens de s'adapter à ce changement climatique, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Among the many things global warming will be melting this century—sea ice, land glaciers and tourist businesses in seaside towns across the world—is permafrost. Lying underneath 15% of the northern hemisphere, permafrost consists of accumulating dead biomass that remains frozen, never having had a chance to release all its carbon.
Selon un rapport de l’Agence d’observation atmosphérique et océanique américaine, la région polaire vient d’opérer un «changement spectaculaire» : elle n’est désormais plus un puits de carbone, mais bien une source supplémentaire.
De précédentes études, dont celles du GIEC, estimaient que la neutralité carbone d'ici 2050 permettrait de limiter le réchauffement climatique sous les 2 °C. Une nouvelle étude basée sur une IA de prédiction avancée avance cependant que cet objectif est en réalité presque hors d’atteinte.
L’Arctique est entrée dans un « nouveau régime », radicalement différent de celui d’il y a à peine une ou deux décennies, alerte l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique dans un rapport publié mardi 10 décembre.
2024 sera la première année où le réchauffement de la Terre dépassera les 1,5 °C. Le franchissement durable de ce seuil décuplerait les dégâts du changement climatique et le risque de franchir d'irréversibles points de bascule.
Selon le service changement climatique du programme d’observation européen Copernicus, l’année 2024 sera la plus chaude que la Terre ait connue depuis l’apparition des relevés. Et l’augmentation de la température atmosphérique moyenne dépasse le seuil critique de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Avec un mois de novembre très chaud, l’année 2024 va battre avec certitude le record de 2023. Pour la première fois, la moyenne des températures mesurées entre janvier et décembre franchira temporairement l’objectif de l’Accord de Paris.
Encore plus chaude que le record de 2023: il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5°C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l'accord de Paris.
Les points de basculement climatique (CTP) sont des conditions au-delà desquelles les changements dans une partie du système climatique deviennent auto-entretenus. Ces changements peuvent entraîner des impacts brusques, irréversibles et dangereux, avec de graves implications pour l’humanité. Le déclenchement de CTP entraîne des impacts importants et pertinents, notamment une élévation substantielle du niveau de la mer due à l’effondrement des calottes glaciaires, le dépérissement de biomes biodiversifiés tels que la forêt amazonienne ou les coraux d’eau chaude, et la libération de carbone due au dégel du pergélisol.
L'analyse de bulles d'air emprisonnées dans des carottes de glace vieilles de plus de 200 000 ans témoigne de moments dans l'histoire de la planète où la concentration de CO2 dans l'atmosphère a subitement augmenté. Et suggère que nous pourrions être à l'aube d'un événement similaire...
Une nouvelle alerte sur le manque d'ambition des politiques mondiales de réduction des gaz à effet de serre. Selon l'outil Climate Action Tracker, nous sommes sur la voie d'un réchauffement de 2,7°C à la fin de ce siècle.Et ce ne sont pas les marchés carbone qui vont nous aider. Si leur régulation a été adoptée au début de cette COP, il reste des zones d'ombre. Et ces crédits pourraient au mieux être inefficaces et au pire nous faire perdre un temps précieux.
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
Les émissions de CO2 pour 2024 vont battre un nouveau record, selon la nouvelle édition du Global Carbon Budget, publié ce 13 novembre.
Les 198 parties ont jusqu’au 22 novembre pour s’accorder sur le financement de la transition « verte » des pays en développement. Une entreprise difficile, marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’alerte sur l’année 2024, qui dépassera 1,5 ºC de réchauffement climatique.
Dans son rapport provisoire sur l’état du climat en 2024 publié lundi 11 novembre, l’Organisation météorologique mondiale sonne « l’alerte maximale face au rythme effréné du changement climatique ».
Dans une étude parue ce lundi, un binôme de chercheurs assure que les activités humaines ont commencé à réchauffer le climat bien avant la période pré-industrielle, prise comme référence pour calculer la hausse du thermomètre mondial.
Cette année est en passe de devenir la plus chaude jamais enregistrée et également la première à franchir le seuil de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle, selon un rapport.
- Le Monde
Le mois d’octobre a été le deuxième plus chaud dans le monde, après octobre 2023, selon le service européen Copernicus, qui appelle à « rehausser l’ambition » en matière de lutte contre le réchauffement climatique lors de la COP29 qui s’ouvre le 11 novembre.
Pour Copernicus, l'organisme de surveillance du climat européen, cela ne fait plus de doute : 2024 sera l'année la plus chaude enregistrée depuis le début des relevés météo, et battra donc le précédent record de 2023. Mais ce n'est pas tout, 2024 sera aussi la première année à dépasser le seuil symbolique des +1,5 °C de réchauffement par rapport au niveau préindustriel. Rappelons que ce seuil était celui qui ne devait pas être dépassé, d'ici la fin du siècle, selon les engagements pris lors de l'Accord de Paris.
La réélection de Donald Trump qui remet en cause le changement climatique et défend les énergies fossiles, risque de tuer l'objectif 1,5°C.
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
Les mesures des pays entraînent le monde vers une hausse de 3,1 °C, selon l'Onu.
A deux semaines de la COP29, l'ONU sonne une nouvelle fois l'alarme: les engagements climatiques actuels des pays ne sont pas du tout sur la bonne voie pour contenir le réchauffement à 1,5°C et ainsi éviter les conséquences les plus catastrophiques. Ces engagements mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à la limite la plus ambitieuse de l'accord de Paris, a alerté lundi l'ONU Climat dans un rapport mis à jour chaque année.
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
L'action climatique des États doit faire un "bond en avant" dans les prochains mois, sinon l'espoir de maintenir le réchauffement planétaire à moins de 1,5 °C "sera bientôt mort", alerte jeudi l'ONU dans un rapport pointant l'absence de progrès significatifs depuis un an.
Il y a un "écart considérable entre la rhétorique et la réalité". Voilà ce qu'écrit le rapport Emissions Gap Report dès la première page.
As climate impacts intensify globally, the Emissions Gap Report 2024: No more hot air … please! finds that nations must deliver dramatically stronger ambition and action in the next round of Nationally Determined Contributions or the Paris Agreement’s 1.5°C goal will be gone within a few years. The report is the 15th edition in a series that brings together many of the world’s top climate scientists to look at future trends in greenhouse gas emissions and provide potential solutions to the challenge of global warming.
À quel point le Monde est-il proche d’un changement climatique irréversible ? Les points de basculement critiques du système climatique sont les ombres au tableau lorsqu’il s’agit…
Selon le document, publié à moins d'un mois de la COP29, les politiques de réduction des émissions mises en place par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1°C au cours du siècle.
L’Organisation enjoint les Etats à renforcer leur politique climatique, insuffisante à ce stade, selon le nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement publié ce 24 octobre.
Ça y est, la bascule est en cours. Nous sommes entrés dans une phase grave, inimaginable et irréversible de notre présence humaine sur la planète.
Le rapport 2024 sur l’état du climat souligne que la Terre est désormais au bord d’une catastrophe climatique irréversible. Sur les 35 signes vitaux planétaires identifiés et suivis de près chaque année par les chercheurs, 25 sont désormais aux niveaux les plus bas jamais enregistrés.
Une étude analyse les aspects irréversibles d’un dépassement de la limite la plus ambitieuse fixée par l’accord de Paris. Et rappelle l’urgence de réduire les émissions carbones maintenant plutôt que de miser sur d’hypothétiques technologies d’élimination du CO2 atmosphérique.
We are on the brink of an irreversible climate disaster. This is a global emergency beyond any doubt. Much of the very fabric of life on Earth is imperiled. We are stepping into a critical and unpredictable new phase of the climate crisis. For many years, scientists, including a group of more than 15,000, have sounded the alarm about the impending dangers of climate change driven by increasing greenhouse gas emissions and ecosystem change (Ripple et al. 2020).
Record emissions, temperatures and population mean more scientists are looking into possibility of societal collapse, report says
Les feux de forêt sont de plus en plus fréquents dans l’Arctique. Et des chercheurs pensent avoir compris quel est le mécanisme qui les alimente.
Dans une étude publiée mercredi, des chercheurs français estiment que la capitale pourrait franchir cette barre avant le mitan du siècle, dans le pire des scénarios climatiques. Une perspective qui peut encore être évitée.
To analyze the climate change experienced in Spain between 1971 and 2022 and to estimate the future climate for 2050.
Une période de sécheresse qui semble ne plus vouloir en finir et des vagues de chaleur extrême à répétition. Et voilà l’Amazonie menacée comme jamais. La forêt brûle et les populations souffrent.
Un des plus importants climatologues européens, Johan Rockström, a confirmé que le réchauffement s’accélère et que ses effets sont plus graves que prévu. Nous pourrions atteindre les 2°C dans 20 ans.
Les spécialistes du système terrestre et du climat commencent à s'inquiéter sérieusement. La planète change plus rapidement que prévu. Bien que nous ayons tiré la sonnette d'alarme pendant des années, nous constatons aujourd'hui que la planète se trouve en fait dans une situation où les risques sont sous-estimés. Des changements brutaux se produisent d'une manière qui dépasse largement les attentes réalistes de la science.
We're nearly halfway through the 2020s, dubbed the most decisive decade for action on climate change. Where exactly do things stand? Climate impact scholar Johan Rockström offers the most up-to-date scientific assessment of the state of the planet and explains what must be done to preserve Earth's resilience to human pressure.
En sachant que les Belges devront probablement évoluer dans un monde à + 2°C d'ici un quart de siècle, comment s'y préparer concrètement ? "L'adaptation est encore plus nécessaire aujourd'hui qu'il y a 20 ans et elle le sera encore plus en 2050 qu'aujourd'hui. Et il faut se préparer maintenant", plaident les climatologues. Troisième épisode de notre série "La Belgique de 2050, dans un monde à + 2°C".
Une détérioration rapide du puits de carbone terrestre dans un avenir proche pourrait avoir des conséquences vraiment terribles.
Cette semaine j’ai eu peur. Le Monde a publié la nouvelle que les puits de carbone terrestres se sont effondrés en 2023. Au cours des mois passés, des calculs précis ont été effectués sur les mesures satellitaires de l’année passée. Il s’avère que les forêts et les sols ont absorbé environ deux (1,5 – 2.6) milliards de tonnes de CO2, alors que l’année précédente ils avaient capté plus de 9 milliards. La sécheresse en Amazonie, et les feux au Canada et en Sibérie ont provoqué une émission de carbone de ces écosystèmes (FranceInfo).
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.
Blog edited by Sam Carana, with news on climate change and warming in the Arctic due to snow and ice loss and methane releases from the seafloor.
A doubling of the amount of CO2 in the atmosphere could cause an increase in the average temperature on earth from 7 to even a maximum of 14 degrees. That is shown in the analysis of sediments from the Pacific Ocean off the coast of California, by researchers at NIOZ and the Universities of Utrecht and Bristol. The results were published in this week’s Nature Communications. “The temperature rise we found is much larger than the 2.3 to 4.5 degrees that the UN climate panel, IPCC, has been estimating so far”, said the first author, Caitlyn Witkowski.
Le secrétaire-général de l’ONU appelle à une action immédiate pour le climat. Selon lui, la décennie actuelle est décisive. Le GIEC a publié leurs calculs détaillés concernant l’année 2023. Cette s…
With current policies the Earth is on track to a warming of around 3 °C above preindustrial temperatures, a level of heat our planet has not seen for millions of years. Ecosystems, human society and infrastructure are not adapted to these temperatures. Due to non-linear effects, the impacts will be much more severe than just three times as bad as after 1 °C of warming. Land areas will continue to warm much more than the global average, many regions twice as much or even more. Extreme heat will become far more frequent and a major cause of human mortality, making large parts of the tropical land area essentially too hot to live. In addition, extreme rainfall and flooding, droughts, wildfires and harvest failures will increase in frequency and severity. The destructive power of tropical cyclones will also increase. Sea-level rise will accelerate further, and the destabilization of ice sheets will commit our descendants to loss of coastal cities and island nations. The risk of crossing devastating and irreversib
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Au terme des douze mois les plus chauds jamais mesurés, Antonio Guterres réclame d’interdire la publicité pour le pétrole, le gaz et le charbon
Le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un "rythme sans précédent" et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs renommés, dans une étude parue mercredi."Le réchauffement causé par l'homme a augmenté à un rythme sans précédent dans les mesures instrumentales, atteignant 0,26°C par décennie en 2014-2023", indiquent ces scientifiques.
Le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un "rythme sans précédent" et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs renommés, dans une étude parue mercredi."Le réchauffement causé par l'homme a augmenté à un rythme sans précédent dans les mesures instrumentales, atteignant 0,26°C par décennie en 2014-2023", indiquent ces scientifiques.
Le hausse de la température a déjà atteint 1,19°C ces dix dernières années et pourrait dépasser le seuil des 1,5°C d'ici cinq ans seulement.
Un rapport publié ce mercredi 5 juin dans la revue «Earth System Science Data» par une soixantaine de scientifiques de renom alerte sur une hausse des températures de «0,26°C en 2014-2023».
La fenêtre pour limiter à 1,5 °C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs dans une étude parue mercredi. Mais leur travail montre aussi que le rythme d’augmentation des émissions de CO2 a ralenti cette décennie comparé aux années 2000.
Le réchauffement climatique causé par l'humain a augmenté à un "rythme sans précédent", selon le travail d'une soixantaine de chercheurs publié mercredi. "C'est une décennie critique", avertissent-ils.
Un rapport publié ce mercredi 5 juin dans la revue «Earth System Science Data» par une soixantaine de scientifiques de renom alerte sur une hausse des températures de «0,26°C en 2014-2023».
If currently implemented policies are continued with no increase in ambition, there is a 90% chance that the Earth will warm between 2.3°C and 4.5°C, with a best estimate of 3.5°C.
Dans leur course au profit à tout prix, les entreprises du CAC 40 nous mènent droit vers un réchauffement climatique à +2,7°C. C’est que révèle le nouveau rapport d’Oxfam France « Une France à CAC 40 degrés : les investissements verts loin derrière les actionnaires ». Loin de respecter l’Accord de Paris, les grandes entreprises françaises continuent de privilégier la rémunération des actionnaires au détriment des investissements dans la transition.
Le pourtour de la Méditerranée est la région qui se réchauffe le plus vite au monde, subissant une sécheresse critique. De la Sicile à la Tunisie, en passant par l’Andalousie, le manque d’eau devient une triste habitude. Sicile (Italie), Andalousie (Espagne), Sousse (Tunisie), reportage C’est l’une des zones les plus touchées par le changement climatique sur notre planète. Le bassin méditerranéen subit des « conditions critiques » de sécheresse, ont alerté dès le mois de février les scientifiques du (...)
Une augmentation et une intensification probables des vagues de chaleur
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The Guardian a mené un sondage pour connaître le ressenti de centaines de chercheurs en lien avec le GIEC sur le réchauffement climatique.
La majorité des plus grands climatologues estiment que le réchauffement dépassera la barre des 2,5°C d'ici la fin du siècle.
Nous avons demandé à 380 climatologues de renom ce qu’ils pensaient de l’avenir… Ils sont terrifiés, mais déterminés à continuer à se battre. Exclusif : Une enquête menée auprès de centaines d’experts révèle une image terrifiante de l’avenir, mais ils préviennent que la lutte contre le changement climatique ne doit pas être abandonnée.
Le journal britannique « The Guardian » a interrogé 380 des plus grands scientifiques du climat. Selon la majorité d’entre eux, la température moyenne sur la planète va augmenter d’au moins 2,5 °C, avec des conséquences désastreuses. « Désespérée et brisée », « Nous vivons à l’ère des fous ! », « Je suis soulagé de ne pas avoir d’enfants, sachant ce que l’avenir nous réserve »… La plupart des scientifiques du climat interrogés par The Guardian ont une vision très pessimiste du futur. Dans cette enquête alarmante (en (...)
Climate scientists have told the Guardian they expect catastrophic levels of global heating. Here’s what that would mean for the planet
94% des experts du GIEC estiment que l'objectif de +1,5°C au-dessus des niveaux de l'ère préindustrielle sera dépassé d'ici 2100.
Près de 80% des scientifiques du Giec interrogés par le «Guardian» pensent que la température sur Terre aura augmenté d’au moins 2,5°C au cours de ce siècle par rapport à la fin du XIXe.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Editorial: Top experts believe global temperatures will rise by at least 2.5C above pre-industrial levels by 2100. That frightening prediction must spur us to action
Exclusive: Survey of hundreds of experts reveals harrowing picture of future, but they warn climate fight must not be abandoned
Exclusive: Planet is headed for at least 2.5C of heating with disastrous results for humanity, poll of hundreds of scientists finds
À cause du réchauffement climatique, certaines régions seront devenues totalement hostiles pour l'être humain d'ici 2050. Découvrez la liste établie par la NASA.
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Cost of environmental damage will be six times higher than price of limiting global heating to 2C, study finds
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
- Afp
La surchauffe des océans, qui ne cesse mois après mois de s’aggraver depuis un an, menace la vie marine et entraîne une humidité plus importante dans l’atmosphère, synonyme de conditions météorologiques plus instables, comme des vents violents et des pluies torrentielles.
Un mois de plus, un nouveau record de chaleur à l’échelle mondiale qui laisse les climatologues perplexes, espérant qu’il s’agit d’un phénomène lié à El Niño et non d’un symptôme d’une santé planétaire plus mauvaise que prévu. Les températures à la surface du globe en mars étaient supérieures de 0,1 °C au précédent record pour ce mois, établi en 2016, et de 1,68 °C à la moyenne préindustrielle, selon les données publiées mardi par le Copernicus Climate Change Service.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Over the past year, there has been a vigorous debate among scientists – and more broadly – about whether global warming is “accelerating”.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Claire Nouvian, militante écologiste française, ancienne journaliste, productrice, réalisatrice de documentaires animaliers et scientifiques. En 2004, elle fonde l'association BLOOM @AssociationBloom dont elle est la présidente. Claire a aussi obtenu le prix Goldman pour l'environnement en 2018, une des plus hautes distinctions dans le domaine environnemental. Aujourd'hui nous allons aborder l'Ocean en long et en large. Que s'y passe-t-il au niveau de la biodiversité, du changement climatique quels sont les réactions en chaîne comme son acidification ? Tout comme l'impact de la pêche industrielle, est-ce que les zones marines protégées le sont vraiment ? Ce Talk s'annonce être passionnant mais surtout criant de vérité, préparez-vous et bienvenue sur LIMIT.
La chaleur spectaculaire atteinte en 2023 dans l’atmosphère et les océans a surpris et inquiète une partie des chercheurs, qui ne parviennent pas à l’expliquer totalement, faisant redouter à certains l’entrée du climat dans un « territoire inconnu ».
L'expert en climat Jean-Marc Jancovici revient sur les fortes chaleurs ressenties au Brésil cette semaine.
Des inondations en Nouvelle-Zélande. Des mégafeux de forêt au Canada. Des sécheresses de l’Amazonie au Moyen-Orient. Les effets du réchauffement climatique anthropique se font de plus en plus ressentir. Partout dans le monde. Et à l’allure où vont les choses, les mesures d’adaptation ne suffiront pas à nous préserver du pire, rapportent aujourd’hui des scientifiques.
En 2023, la moyenne des températures mondiales a dépassé celle de l’ère pré-industrielle (période comprise entre 1850 et 1900) d’environ 1,5°C. Et à l’avenir ? À l’horizon 2050, nous aurons atteint les +2°C en moyenne mondiale. Cet article (qui ne prétend pas prédire le futur et qui s'inspire librement d'événements récents) imagine, à la lumière des connaissances scientifiques actuelles, à quoi pourrait ressembler notre quotidien estival en Belgique dans un quart de siècle.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Le réchauffement climatique est une réalité qui se fait de plus en plus sentir dans notre quotidien et son impact devrait augmenter en puissance au fil des décennies si l’objectif de limiter la hausse des températures à +1,5 °C est dépassé. À quelques mois des élections, le climat est un des enjeux principaux de la campagne électorale, la thématique est d’ailleurs déclinée toute la semaine sur les plateformes de la RTBF. Ce lundi, Xavier Fettweis, climatologue à l’ULiège, était invité dans l’émission spéciale de Matin Première sur le thème de l’environnement.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
Traduction - Une hausse surprenante des températures à la surface de la mer suggère que nous ne comprenons peut-être pas à quelle vitesse le climat change.
On parle beaucoup de lutte contre les changements du climat, moins d’adaptation. Pourtant, chaque année qui passe nous éloigne du scénario d’un monde à +1.5° prévu dans les accords de Paris.
En 2023, El Niño a fait son grand retour. Ce phénomène climatique récurrent, généré par l’océan Pacifique, réchauffe brutalement l’atmosphère dont les effets se font ressentir partout sur la planète. Inscrit dans l’histoire de nos civilisations, il va avoir un impact violent.
La température mondiale a été de 1,52 °C supérieure à la période 1850-1900 entre février 2023 et janvier 2024, pour la première fois. La hausse des températures doit cependant être mesurée sur une période plus longue pour être pertinente.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne mondiale 1,7 °C au-dessus des niveaux préindustriels.
Pour la première fois, la planète a connu au cours des douze derniers mois un réchauffement de plus de 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, selon l'agence européenne Copernicus.
La planète a dépassé sur 12 mois consécutifs la barre de 1,5°C de réchauffement selon les données de l’observatoire Copernicus, un «avertissement brutal sur l’urgence des mesures à prendre pour limiter le changement climatique».
La planète a dépassé sur 12 mois consécutifs la barre de 1,5°C de réchauffement selon les données de l’observatoire Copernicus, un «avertissement brutal sur l’urgence des mesures à prendre pour limiter le changement climatique».
Pour se préparer aux impacts futurs du changement climatique, la Wallonie étudie des scénarios de réchauffement. Des étés plus chauds et plus secs, mais avec des épisodes de précipitations extrêmes.
Pour se préparer aux impacts futurs du changement climatique, la Wallonie étudie des scénarios de réchauffement. Des étés plus chauds et plus secs, mais avec des épisodes de précipitations extrêmes.
Anthropogenic emissions drive global-scale warming yet the temperature increase relative to pre-industrial levels is uncertain. Using 300 years of ocean mixed-layer temperature records preserved in sclerosponge carbonate skeletons, we demonstrate that industrial-era warming began in the mid-1860s, more than 80 years earlier than instrumental sea surface temperature records. The Sr/Ca palaeothermometer was calibrated against ‘modern’ (post-1963) highly correlated (R2 = 0.91) instrumental records of global sea surface temperatures, with the pre-industrial defined by nearly constant (<±0.1 °C) temperatures from 1700 to the early 1860s. Increasing ocean and land-air temperatures overlap until the late twentieth century, when the land began warming at nearly twice the rate of the surface oceans. Hotter land temperatures, together with the earlier onset of industrial-era warming, indicate that global warming was already 1.7 ± 0.1 °C above pre-industrial levels by 2020. Our result is 0.5 °C higher than IPCC estim
Le réchauffement de la planète a commencé plus tôt que prévu, affirment des biologistes américains et australiens. À partir d’éponges recueillies près de Porto Rico, ils affirment lundi dans Nature Climate Change que le seuil de 1,5 °C de réchauffement est déjà franchi et que la frontière de 2 °C le sera d’ici la fin de la décennie.
Une étude suggère que la planète a commencé à se réchauffer dès 1860. Depuis, sa température globale aurait augmenté de 1,7 °C, et non de 1,2 °C, comme estimé par le Giec.
Exclusive: Meeting took place days after BP reported record profits while households were squeezed by high energy bills
Le niveau inédit de 21,1 °C en moyenne dans les eaux de surface a été atteint en août 2023, et de nouveau en janvier 2024. Un symptôme du réchauffement aux conséquences majeures sur la biodiversité et la capacité du milieu marin à stocker le CO₂.
There was an interesting interview with Gavin Schmidt recently. He is one of the most senior climatologists in the world, heading up NASA’s department on climate science. Refreshingly, unlike the other senior climatologists, he didn’t sidestep how recent weather was not predicted by mainstream climatology. He told the American science celebrity Neil deGrasse Tyson that climatology significantly underpredicted current warming. He said there was “total failure” to predict what happened in 2023. See for yourself, for 3 minutes from 4 minutes in. Gavin is one of the more approachable of the senior climatologists. He provided specific written criticisms of my 2018 Deep Adaptation paper. That was in stark contrast to others who misrepresented it, and me, so as to discourage people from considering that the party is over for modern societies.
Mardi 23 janvier a marqué le lancement officiel des discussions sur le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-3). Le sujet, jusqu'ici laissé pour compte au profit de la réduction des émissions, est désormais mis en haut de l'agenda du ministère de la Transition écologique. Les défis s'annoncent immenses.
Fixée comme un objectif lors de l’Accord de Paris en 2015, la limite de 1,5°C d’augmentation des températures sur la planète s’éloigne.
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James Hansen affirme que la limite sera dépassée « à toutes fins utiles » d’ici au mois de mai, bien que d’autres experts prévoient que cela se produira dans les années 2030. Le seuil convenu au niveau international pour empêcher la Terre d’entrer dans une nouvelle ère de surchauffe sera « dépassé à toutes fins utiles » en 2024, a prévenu celui que l’on appelle le parrain de la science du climat. James Hansen, l’ancien scientifique de la Nasa à qui l’on doit d’avoir alerté le monde sur les dangers du changement climatique dans les années 80, a déclaré que le réchauffement planétaire causé par la combustion des combustibles fossiles, amplifié par le phénomène climatique El Niño qui se reproduit naturellement, fera grimper d’ici au mois de mai les températures jusqu’à 1,7 °C (3 °F) au-dessus de la moyenne enregistrée avant l’industrialisation.
Le phénomène météorologique El Nino devrait pousser les températures mondiales vers de nouveaux sommets, surpassant l’année 2023 déjà record, annonce l’Organisation météorologique mondiale ce vendredi 12 janvier.