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Écologie
Alors que nous nous dirigeons vers un abandon en rase campagne des engagements écologiques, l’administration doit-elle résister ?Suppression de l’Ademe, menaces sur l’Office français de la biodiversité (OFB), sabordage de l’Agence Bio. Mais aussi coupes budgétaires dans le soutien aux voitures électriques, la rénovation énergétique des bâtiments avec MaPrimeRénov’, ou encore le fonds vert des collectivités… Tout l’édifice sur lequel l’administration française fondait quelque espoir de « transition » écologique est en train de sombrer,
Et si la crise écologique et la crise des institutions sanitaires et sociales relevaient des mêmes logiques ? Et si ces espaces de traitement des fragilités humaines étaient en réalité des modèles pour penser notre place et nos liens dans un contexte où nous allons nous (RE-)découvrir davantage vulnérables face à notre milieu ? Ce sont les questions explorées lors du colloque intitulé "Crise écologique et crise des institutions : clinique d'une nouvelle écologie des liens". Cette 2e partie présente la 1ère table ronde intitulée : "Progrès humain et dérégulation du milieu, un équilibre est-il possible ?"
Milieuwetenschapper Aaron Van Poecke is ongerust over de voortrazende klimaatcrisis en het gebrek aan politieke actie. Een economische paradigmashift is volgens hem dringend nodig. ‘Het is tijd om onze plundering van een al stuiptrekkende planeet gepland af te bouwen en te bewegen richting een echt duurzame economie.’
Ancien président du Front national de la jeunesse, Julien Rochedy a publié « Surhommes et sous-hommes ». Il y développe le concept de « biocivilisation » et prône une gestion autoritaire et raciste de la crise écologique. « L’homme écologiste sera un homme terrible ; aussi terrible que la nature à laquelle il s’identifiera enfin. » Julien Rochedy, 37 ans, barbe de trois jours et gros muscles, s’affiche volontiers avec un cigare. Cet ancien coach en masculinité a le look propret des hommes d’extrême droite qui misent plus sur les costards que sur le crâne rasé et les Dr. Martens.
La pandémie de Covid-19 a été une rupture dans l’histoire du mouvement écologiste. Cinq ans après, il panse encore ses plaies et peine à rebondir, alors que le monde s’engouffre dans le chaos climatique et la montée du fascisme.
Déjà marginalisée en France et en Europe depuis l’irruption de la guerre en Ukraine, la défense du climat et de l’environnement se retrouve piétinée dans le chaos géopolitique créé par l’administration Trump.
La France s'adapte ... Vivre à plus de 4° - La trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique anticipe à ce jour une hausse de la température moyenne dans l’Hexagone qui atteindra +4 °C à la fin du siècle.
Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste, Cyril Dion participe vendredi 21 mars à une des « grandes assemblées » du Monde au festival Nos futurs, autour du thème « Environnement : faut-il faire peur, désobéir, donner envie ? », avec Pauline Boyer, Mathilde Caillard, Léna Lazare et Nabil Wakim.
"Il n'y aura pas de décarbonation de l'économie sans sobriété" Yamina Saheb est docteure en ingénierie énergétique. On lui doit notamment l'intégration du concept de sobriété et sa définition dans le dernier rapport du GIEC dont elle est co-autrice. Depuis, elle a lancé le Sufficiency Lab (https://www.thesufficiencylab.org/about-us/the-team/) pour développer les recherches sur les politiques de sobriété et l'intégration de ce principe dans les modèles qui viendront nourrir les prochains rapports du GIEC et les travaux des institutions Européennes. Qu'est-ce que la sobriété ? En quoi cela diffère de l'efficacité ? Pourquoi est-ce que les scénarios d'atténuation n'intègrent pas ce principe ? Qu'est-ce que cela implique sur les politiques mises en œuvre ? C'est tout l'objet de ce nouvel entretien d'écologie politique du podcast Ozé. 🔔 S’abonner au podcast Ozé Linkedin (https://www.linkedin.com/in/jpdecka/) Youtube (https://www.youtube.com/channel/UCzLSPULpFpFgMxAehn5uouw) Newsletter (https://oze.ke
Plutôt nourrir. La quête de la souveraineté alimentaire est martelée dans le projet de loi d’orientation agricole, soumis à un vote définitif vendredi. Mais le sens que les droites LR et macronistes lui donnent, synonyme de production intensive et d’exportations massives, est à l’opposé de sa définition historique liée à l’altermondialisme.
Frédéric Lordon, philosophe et économiste français, donne une conférence sur la nécessaire sortie du capitalisme pour la survie de l'espèce et de notre société. Il nous régale, comme d'habitude, de ses punchlines et de sa pertinence. Arrêtez d'être éco-anxieu, soyez éco-furieux !
La LOA de la jungle. Activement soutenu par la droite, le texte du gouvernement est examiné au Sénat jusqu’au 18 février. Pesticides mis à l’honneur, dépénalisation des atteintes à la biodiversité, accélération des projets de mégabassines… de nombreux reculs environnementaux sont défendus, mais très peu risquent d’être réellement appliqués. Vert fait le point.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
Show Musk go on. Le siège français de Tesla, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a été ciblé par des militant·es d’Action justice climat (ex-Alternatiba Paris) lors d’une action éclair ce mardi matin.
Plus d’une vingtaine d’organisations réunies au sein de la coalition Hiatus, parmi lesquelles La Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’homme, estiment, dans une tribune au « Monde », qu’il faut résister au déploiement massif de l’intelligence artificielle, au nom des droits humains, sociaux et environnementaux.
Cinq mois de discussions budgétaires n’ont fait qu'alourdir la cure d’austérité. Les politiques écologiques figurent parmi les plus durement touchées, avec des crédits en baisse de 2,1 milliards d’euros entre 2024 et 2025.
L’hebdomadaire conservateur polonais “Wprost” consacre la une de son édition datée du 3 janvier 2025 à l’Union européenne, qui, à bas bruit, est en train de diluer son Pacte vert sur fond de guerres commerciales et de menace russe.
Aux yeux du philosophe Marc Crépon, l’État est violent par essence, et la non-violence utopique : « À l’origine de tout régime politique, il y a toujours de la violence. Pour savoir quelle est, de deux formes de violence, la plus légitime, nous devons en appeler à un principe qui transcende le droit, qui est celui de la justice...
Selon l’activiste Paul Watson, « on ne peut pas qualifier la protection de l’environnement d’écoterrorisme, ça n’a aucun sens. L’écoterrorisme, c’est ce que font les entreprises de combustibles fossiles et Monsanto. Eux, ils terrorisent l’environnement… » Au-delà de cette mise au point sémantique, le mot « écoterrorisme » a été créé en 1983 par l’écrivain libéral Ron Arnold dans le but de dénoncer les « crimes pour sauver la nature » et fut depuis l’objet de romans et même d’accusations par des hommes politiques. Mais l’usage de la violence est-il toujours injustifié ?
Dans cet échange percutant, nous discutons avec Thomas Wagner, créateur du média Bonpote, reconnu pour ses analyses claires et engagées sur les enjeux climatiques. Ensemble, nous explorons une question brûlante : pourquoi ceux qui défendent la planète sont-ils de plus en plus criminalisés ? 👉 Thomas Wagner, à travers ses articles et prises de position, s’est imposé comme une référence dans le débat climatique, dénonçant à la fois l’inaction des pouvoirs publics et la manipulation des discours médiatiques tout en apportant de la compréhension à la science du climat.
Toujours plus eau. Selon France stratégie, la consommation d’eau dans l’agriculture va s’envoler sous l’effet du changement climatique. Dans un important rapport, le service présente trois scénarios pour le futur, du plus gourmand au plus sobre.
Pendant qu'Elon Musk se joue des symboles et provoque - sans aucun doute intentionnellement - une contre-réaction politique qui sert son camp, Donald Trump prépare le désengagement des États-Unis de la plupart des accords internationaux en faveur de la protection du milieu. À quel point devons-nous être surpris ? Je ne le suis pas, malheureusement.
Comment s'orienter dans des bouleversements écologiques sans précédent, auxquels, manifestement, ni les États ni le capital ne remédieront ?
Plongée au cœur des enjeux environnementaux majeurs de notre époque avec Hélène Grosbois, une voix forte et visionnaire de l’écologie. Dans cet échange sans filtre, on explore les vérités cachées derrière la crise de la biodiversité, les pesticides, et les limites planétaires. Une conversation poignante qui mêle analyse, critique et espoir, pour mieux comprendre pourquoi la destruction du vivant s’accélère et comment inverser la tendance. Découvrez les solutions et réflexions profondes pour repenser notre rapport à la nature et reconstruire un monde durable.
Comme Paul Magnette et Marie Lecocq, Raoul Hedebouw affirme que la question écologique est une préoccupation forte de la population. Il convient cependant de situer la cause du problème.
POLITIQUE Vous connaissez particulièrement bien les quartiers populaires. Avez-vous l’impression d’un désintérêt pour la question écologique ?
OFB, Ademe... L'État mène une offensive à l'encontre de ses agences environnementales. Elle s'inscrit dans une puissante dynamique mondiale de rejet de l’écologie par les pouvoirs néolibéraux.
La stabilité mondiale est menacée par la désinformation et la crise écologique. C'est ce que pointe le rapport 2025 du Forum Economique de Davos.
Ecolo, après sa double débâcle électorale, lance un processus de transformation, avec une enquête et un appel aux citoyens.
Les problèmes écologiques découlent fondamentalement de « problèmes sociaux », c’est-à-dire de l’existence de hiérarchies et de rapports sociaux d’exploitation et de domination entre les êtres humains. Logiquement, il découle de cette idée fondamentale que la résolution des problèmes écologiques appelle l’abolition de ces rapports indésirables. Les luttes émancipatrices deviennent de ce fait des luttes écologiques.
Un essai fondamental et révolutionnaire qui renouvelle notre regard sur l’écologie.
2024 fut une année de statu quo et donc de retard pour l'action climatique. Si nous souhaitons qu'il en soit autrement en 2025, plusieurs
L’ancien président américain Jimmy Carter, mort le 29 décembre 2024, a aussi été un pionnier des politiques environnementales et climatiques américaines. Retour sur son mandat (1977-1981).
L’ancien eurodéputé belge Philippe Lamberts a quitté le Parlement européen cette année, à l’issue de son troisième et dernier mandat. Il prend le chemin du Berlaymont où il sera conseiller au climat de la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Conseiller à la transition vers une économie climatiquement neutre pour être précise. Nous avons rencontré Philippe Lamberts à l’aube de sa prise de fonction.
Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
Éleveuse de lamas en Ariège, Laurence Marandola est également porte-parole de la Confédération paysanne. Pour la syndicaliste, qui appelle à renouer le dialogue entre agriculteurs, seule une « rupture systémique » avec le capitalisme néolibéral permettra l’émergence d’une écologie vraiment populaire.
Au temps du changement global, une question est récurrente. Pouvons-nous continuer avec le capitalisme ou faut-il changer radicalement de mode d’organisation pour faire face à la situation ? Cette question est directement liée à celle des rapports entre sociétés capitalistes et nature extra-humaine.
La rationalité occidentale, dualiste et anthropocentrée, serait selon l’écoféministe australienne Val Plumwood, à l’origine de la crise écologique. Il est temps de procéder à une nouvelle Critique de la Raison. À propos de : Val Plumwood, La crise écologique de la raison, Puf
Militants d’agir. Un projet de loi à l'étude au Sénat italien prévoit une répression tous azimuts de nombreuses formes de contestations sociales et une restriction des libertés publiques, notamment des militant·es climat. Conséquence : une mobilisation d’ampleur de la société civile italienne, qui appelle à manifester à Rome ce samedi 14 décembre.
Comment expliquer que l’écologie échoue encore à se définir comme une véritable force politique et une cause sociale ? Analyser les rapports de classes pourrait-il nous aider à comprendre ce qui retarde la bifurcation écologique ? Une politique de planification écologique qui ne pourra se faire sans les classes populaires.
Contre la sauce Bollo. Lundi, à l’occasion d’une assemblée générale du groupe Vivendi, détenu en partie par le groupe Bolloré, une centaine de structures associatives et syndicales se mobilisent contre l’influence du milliardaire d’extrême droite Vincent Bolloré.
👉 D'où vient la collapsologie ? Au-delà du livre Comment tout peut s’effondrer de Pablo Servigne et Raphaël Stevens (2015) qui a donné naissance à ce néologisme, qui sont les précurseur·ses de ce courant de pensée ? C'est ce que nous allons voir dans cet épisode du podcast Ozé avec l'anthropologue Jean Chamel qui a fait sa thèse sur le sujet, récemment sortie sous forme de livre Fin du monde et effondrement de soi - Enquête aux racines de la collapsologie.
Il facho. Puisant dans des corpus hérités du nazisme ou dévoyant la parole du pape François, un nombre croissant d’organisations d’extrême droite s’emparent de l’écologie pour recruter. Des discours teintés de théories complotistes et identitaires.
Sécheresse, neutralité dans la dégradation des terres, agroécologie sont au menu de la COP16 Désertification de Riyad, en Arabie saoudite.
Est-on en train de vivre un grand retour en arrière sur ces questions alors que beaucoup ont le sentiment que l’écologie ne mobilise plus ? Depuis plus d’un an, on parle d’un backlash ou d’un retour de bâton sur l’écologie.
À propos de : Jean-Baptiste Comby, Ecolos, mais pas trop… Les classes sociales face à l'enjeu environnemental, Raisons d'Agir
Des plaintes ont été déposées pour des faits survenus mardi dans la Manche et dans l’Indre, et vont l’être jeudi concernant des faits advenus dans les Hautes-Alpes, a affirmé le mouvement France Nature Environnement.
Le think tank The Shift Project promeut, dans un rapport fouillé publié ce jeudi, une sortie de crise grâce à la transition vers l’agroécologie. Et réunit les syndicats agricoles, divisés sur le sujet, pour discuter de l’avenir du secteur.
Née lors de la troisième conférence des Nations unies sur les femmes organisée à Nairobi, en 1985, l’expression n’a cessé d’évoluer. Si elle a d’abord été l’apanage des écologistes, les économistes se sont emparés de la notion afin d’en élaborer une interprétation comptable.
L’environnementalisme qui entend adapter la nature aux exigences de la société capitaliste, comme l’écologie autoritaire qui prétend imposer la sobriété au monde échoueront parce qu’elles continuent d’opposer la nature et la société.  En restant prisonniers de cette dualité, nous ignorons que les mauvais traitements infligés à la nature sont le résultat des dominations internes à la société humaine. Il ne saurait donc y avoir d’écologie sans transformation de la société par elle-même. Tel est le dépassement qu’opère Murray Bookchin - ouvrier syndicaliste, activiste libertaire et intellectuel autodidacte - en théorisant l’écologie sociale.
Économie circulaire, reforestation, réduction des monocultures… La région montagneuse de Son La est devenue l’une des provinces pilotes du Plan d’action national lancé en 2023 pour transformer le système alimentaire.
Préservons le sens des mots. Ce qui est punitif, ce n'est pas l'écologie, mais la non-écologie.
La « croissance verte » est-elle un simple oxymore ou un bienheureux slogan destiné à rendre compte des efforts à accomplir afin de réguler la « crise permanente » écologique actuelle ?
Si nous avions réellement conscience de l’impact brutal et irrémédiable du changement climatique sur l’avenir des générations futures, nous changerions immédiatement. Il en va de même pour la destruction de l’habitat des vers de terre, l’effondrement de la biodiversité, la pollution de l’air, des océans, des eaux potables, et j’en passe. La liste est trop longue. Or, rien ne change, car le changement nous fait peur.
A force de désastres et de perspectives de plus en plus sombres, les classes dominantes sont obligées de parler d’écologie, mais une « écologie » libérale des consommateurs, des petits gestes et des micros pas, séparée des questions sociales et politiques, qui ne remet absolument pas en cause le modèle de société en place, le capitalisme, le système techno-industriel, etc.
Ecologie et Politique N° 69/2024. - La plupart des discours sur l'"intelligence artificielle" (IA) tendent à diriger notre attention surtout sur ses prouesses, ses réussites et ses promesses parfois fantasmatiques, certainement pour la rendre plus acceptable. Ils ne disent rien ou presque de son utilité réelle, de ses coûts, de ses dangers, qui sont ainsi minimisés ou voilés, et donc laissés dans l'ombre. C'est sur cette ombre que les textes réunis ici visent à répandre un peu de lumière. En effet, en tant que moyen de renforcement et de complexification du système industriel, l'IA accentue à la fois la déshumanisation, les ravages environnementaux et l'hétéronomie que ce système engendre nécessairement. L'IA réellement existante aggrave dès aujourd'hui la crise écologique et sert à perfectionner des logiques d'accumulation et des technologies de guerre et de contrôle social déjà présentes. Elle est l'outil d'un cybertotalitarisme en marche, qui va se heurter au chaos que provoque son déploiement.
Naomi Klein, activiste et intellectuelle canadienne, explique la victoire de Trump par l'incapacité de la gauche et des écologistes à parler des problèmes concrets des gens. Elle plaide pour un « écopopulisme ».
En 2051, il y aura beaucoup moins d'humains, les catastrophes y auront veillé. Le climat sera plus chaud qu'aujourd'hui. Les très grandes villes avec plusieurs millions d'habitants, ne seront plus fonctionnelles...
Dumont et merveilles. Le documentaire d’Anne-Charlotte Gouraud revient sur le parcours hors normes d’un pionnier de l’écologie politique et nous raconte pourquoi «les visionnaires passent souvent pour des illuminés».
Des données chiffrées sur le traitement médiatique des enjeux environnementaux dans les programmes d’information


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Médias(8/8)
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Écologie

mars 2025

Alors que nous nous dirigeons vers un abandon en rase campagne des engagements écologiques, l’administration doit-elle résister ?Suppression de l’Ademe, menaces sur l’Office français de la biodiversité (OFB), sabordage de l’Agence Bio. Mais aussi coupes budgétaires dans le soutien aux voitures électriques, la rénovation énergétique des bâtiments avec MaPrimeRénov’, ou encore le fonds vert des collectivités… Tout l’édifice sur lequel l’administration française fondait quelque espoir de « transition » écologique est en train de sombrer,
Et si la crise écologique et la crise des institutions sanitaires et sociales relevaient des mêmes logiques ? Et si ces espaces de traitement des fragilités humaines étaient en réalité des modèles pour penser notre place et nos liens dans un contexte où nous allons nous (RE-)découvrir davantage vulnérables face à notre milieu ? Ce sont les questions explorées lors du colloque intitulé "Crise écologique et crise des institutions : clinique d'une nouvelle écologie des liens". Cette 2e partie présente la 1ère table ronde intitulée : "Progrès humain et dérégulation du milieu, un équilibre est-il possible ?"
Milieuwetenschapper Aaron Van Poecke is ongerust over de voortrazende klimaatcrisis en het gebrek aan politieke actie. Een economische paradigmashift is volgens hem dringend nodig. ‘Het is tijd om onze plundering van een al stuiptrekkende planeet gepland af te bouwen en te bewegen richting een echt duurzame economie.’
Ancien président du Front national de la jeunesse, Julien Rochedy a publié « Surhommes et sous-hommes ». Il y développe le concept de « biocivilisation » et prône une gestion autoritaire et raciste de la crise écologique. « L’homme écologiste sera un homme terrible ; aussi terrible que la nature à laquelle il s’identifiera enfin. » Julien Rochedy, 37 ans, barbe de trois jours et gros muscles, s’affiche volontiers avec un cigare. Cet ancien coach en masculinité a le look propret des hommes d’extrême droite qui misent plus sur les costards que sur le crâne rasé et les Dr. Martens.
La pandémie de Covid-19 a été une rupture dans l’histoire du mouvement écologiste. Cinq ans après, il panse encore ses plaies et peine à rebondir, alors que le monde s’engouffre dans le chaos climatique et la montée du fascisme.
Déjà marginalisée en France et en Europe depuis l’irruption de la guerre en Ukraine, la défense du climat et de l’environnement se retrouve piétinée dans le chaos géopolitique créé par l’administration Trump.
La France s'adapte ... Vivre à plus de 4° - La trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique anticipe à ce jour une hausse de la température moyenne dans l’Hexagone qui atteindra +4 °C à la fin du siècle.
Ecrivain, réalisateur, poète et militant écologiste, Cyril Dion participe vendredi 21 mars à une des « grandes assemblées » du Monde au festival Nos futurs, autour du thème « Environnement : faut-il faire peur, désobéir, donner envie ? », avec Pauline Boyer, Mathilde Caillard, Léna Lazare et Nabil Wakim.
"Il n'y aura pas de décarbonation de l'économie sans sobriété" Yamina Saheb est docteure en ingénierie énergétique. On lui doit notamment l'intégration du concept de sobriété et sa définition dans le dernier rapport du GIEC dont elle est co-autrice. Depuis, elle a lancé le Sufficiency Lab (https://www.thesufficiencylab.org/about-us/the-team/) pour développer les recherches sur les politiques de sobriété et l'intégration de ce principe dans les modèles qui viendront nourrir les prochains rapports du GIEC et les travaux des institutions Européennes. Qu'est-ce que la sobriété ? En quoi cela diffère de l'efficacité ? Pourquoi est-ce que les scénarios d'atténuation n'intègrent pas ce principe ? Qu'est-ce que cela implique sur les politiques mises en œuvre ? C'est tout l'objet de ce nouvel entretien d'écologie politique du podcast Ozé. 🔔 S’abonner au podcast Ozé Linkedin (https://www.linkedin.com/in/jpdecka/) Youtube (https://www.youtube.com/channel/UCzLSPULpFpFgMxAehn5uouw) Newsletter (https://oze.ke

février 2025

Plutôt nourrir. La quête de la souveraineté alimentaire est martelée dans le projet de loi d’orientation agricole, soumis à un vote définitif vendredi. Mais le sens que les droites LR et macronistes lui donnent, synonyme de production intensive et d’exportations massives, est à l’opposé de sa définition historique liée à l’altermondialisme.
Frédéric Lordon, philosophe et économiste français, donne une conférence sur la nécessaire sortie du capitalisme pour la survie de l'espèce et de notre société. Il nous régale, comme d'habitude, de ses punchlines et de sa pertinence. Arrêtez d'être éco-anxieu, soyez éco-furieux !
La LOA de la jungle. Activement soutenu par la droite, le texte du gouvernement est examiné au Sénat jusqu’au 18 février. Pesticides mis à l’honneur, dépénalisation des atteintes à la biodiversité, accélération des projets de mégabassines… de nombreux reculs environnementaux sont défendus, mais très peu risquent d’être réellement appliqués. Vert fait le point.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
Show Musk go on. Le siège français de Tesla, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a été ciblé par des militant·es d’Action justice climat (ex-Alternatiba Paris) lors d’une action éclair ce mardi matin.
Plus d’une vingtaine d’organisations réunies au sein de la coalition Hiatus, parmi lesquelles La Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’homme, estiment, dans une tribune au « Monde », qu’il faut résister au déploiement massif de l’intelligence artificielle, au nom des droits humains, sociaux et environnementaux.
Cinq mois de discussions budgétaires n’ont fait qu'alourdir la cure d’austérité. Les politiques écologiques figurent parmi les plus durement touchées, avec des crédits en baisse de 2,1 milliards d’euros entre 2024 et 2025.
L’hebdomadaire conservateur polonais “Wprost” consacre la une de son édition datée du 3 janvier 2025 à l’Union européenne, qui, à bas bruit, est en train de diluer son Pacte vert sur fond de guerres commerciales et de menace russe.
Aux yeux du philosophe Marc Crépon, l’État est violent par essence, et la non-violence utopique : « À l’origine de tout régime politique, il y a toujours de la violence. Pour savoir quelle est, de deux formes de violence, la plus légitime, nous devons en appeler à un principe qui transcende le droit, qui est celui de la justice...

janvier 2025

Selon l’activiste Paul Watson, « on ne peut pas qualifier la protection de l’environnement d’écoterrorisme, ça n’a aucun sens. L’écoterrorisme, c’est ce que font les entreprises de combustibles fossiles et Monsanto. Eux, ils terrorisent l’environnement… » Au-delà de cette mise au point sémantique, le mot « écoterrorisme » a été créé en 1983 par l’écrivain libéral Ron Arnold dans le but de dénoncer les « crimes pour sauver la nature » et fut depuis l’objet de romans et même d’accusations par des hommes politiques. Mais l’usage de la violence est-il toujours injustifié ?
Dans cet échange percutant, nous discutons avec Thomas Wagner, créateur du média Bonpote, reconnu pour ses analyses claires et engagées sur les enjeux climatiques. Ensemble, nous explorons une question brûlante : pourquoi ceux qui défendent la planète sont-ils de plus en plus criminalisés ? 👉 Thomas Wagner, à travers ses articles et prises de position, s’est imposé comme une référence dans le débat climatique, dénonçant à la fois l’inaction des pouvoirs publics et la manipulation des discours médiatiques tout en apportant de la compréhension à la science du climat.
Toujours plus eau. Selon France stratégie, la consommation d’eau dans l’agriculture va s’envoler sous l’effet du changement climatique. Dans un important rapport, le service présente trois scénarios pour le futur, du plus gourmand au plus sobre.
Pendant qu'Elon Musk se joue des symboles et provoque - sans aucun doute intentionnellement - une contre-réaction politique qui sert son camp, Donald Trump prépare le désengagement des États-Unis de la plupart des accords internationaux en faveur de la protection du milieu. À quel point devons-nous être surpris ? Je ne le suis pas, malheureusement.
Comment s'orienter dans des bouleversements écologiques sans précédent, auxquels, manifestement, ni les États ni le capital ne remédieront ?
Plongée au cœur des enjeux environnementaux majeurs de notre époque avec Hélène Grosbois, une voix forte et visionnaire de l’écologie. Dans cet échange sans filtre, on explore les vérités cachées derrière la crise de la biodiversité, les pesticides, et les limites planétaires. Une conversation poignante qui mêle analyse, critique et espoir, pour mieux comprendre pourquoi la destruction du vivant s’accélère et comment inverser la tendance. Découvrez les solutions et réflexions profondes pour repenser notre rapport à la nature et reconstruire un monde durable.
Comme Paul Magnette et Marie Lecocq, Raoul Hedebouw affirme que la question écologique est une préoccupation forte de la population. Il convient cependant de situer la cause du problème.
POLITIQUE Vous connaissez particulièrement bien les quartiers populaires. Avez-vous l’impression d’un désintérêt pour la question écologique ?
OFB, Ademe... L'État mène une offensive à l'encontre de ses agences environnementales. Elle s'inscrit dans une puissante dynamique mondiale de rejet de l’écologie par les pouvoirs néolibéraux.
La stabilité mondiale est menacée par la désinformation et la crise écologique. C'est ce que pointe le rapport 2025 du Forum Economique de Davos.
Ecolo, après sa double débâcle électorale, lance un processus de transformation, avec une enquête et un appel aux citoyens.
Les problèmes écologiques découlent fondamentalement de « problèmes sociaux », c’est-à-dire de l’existence de hiérarchies et de rapports sociaux d’exploitation et de domination entre les êtres humains. Logiquement, il découle de cette idée fondamentale que la résolution des problèmes écologiques appelle l’abolition de ces rapports indésirables. Les luttes émancipatrices deviennent de ce fait des luttes écologiques.
Un essai fondamental et révolutionnaire qui renouvelle notre regard sur l’écologie.
2024 fut une année de statu quo et donc de retard pour l'action climatique. Si nous souhaitons qu'il en soit autrement en 2025, plusieurs
L’ancien président américain Jimmy Carter, mort le 29 décembre 2024, a aussi été un pionnier des politiques environnementales et climatiques américaines. Retour sur son mandat (1977-1981).

décembre 2024

L’ancien eurodéputé belge Philippe Lamberts a quitté le Parlement européen cette année, à l’issue de son troisième et dernier mandat. Il prend le chemin du Berlaymont où il sera conseiller au climat de la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Conseiller à la transition vers une économie climatiquement neutre pour être précise. Nous avons rencontré Philippe Lamberts à l’aube de sa prise de fonction.
Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
Éleveuse de lamas en Ariège, Laurence Marandola est également porte-parole de la Confédération paysanne. Pour la syndicaliste, qui appelle à renouer le dialogue entre agriculteurs, seule une « rupture systémique » avec le capitalisme néolibéral permettra l’émergence d’une écologie vraiment populaire.
Au temps du changement global, une question est récurrente. Pouvons-nous continuer avec le capitalisme ou faut-il changer radicalement de mode d’organisation pour faire face à la situation ? Cette question est directement liée à celle des rapports entre sociétés capitalistes et nature extra-humaine.
La rationalité occidentale, dualiste et anthropocentrée, serait selon l’écoféministe australienne Val Plumwood, à l’origine de la crise écologique. Il est temps de procéder à une nouvelle Critique de la Raison. À propos de : Val Plumwood, La crise écologique de la raison, Puf
Militants d’agir. Un projet de loi à l'étude au Sénat italien prévoit une répression tous azimuts de nombreuses formes de contestations sociales et une restriction des libertés publiques, notamment des militant·es climat. Conséquence : une mobilisation d’ampleur de la société civile italienne, qui appelle à manifester à Rome ce samedi 14 décembre.
Comment expliquer que l’écologie échoue encore à se définir comme une véritable force politique et une cause sociale ? Analyser les rapports de classes pourrait-il nous aider à comprendre ce qui retarde la bifurcation écologique ? Une politique de planification écologique qui ne pourra se faire sans les classes populaires.
Contre la sauce Bollo. Lundi, à l’occasion d’une assemblée générale du groupe Vivendi, détenu en partie par le groupe Bolloré, une centaine de structures associatives et syndicales se mobilisent contre l’influence du milliardaire d’extrême droite Vincent Bolloré.
👉 D'où vient la collapsologie ? Au-delà du livre Comment tout peut s’effondrer de Pablo Servigne et Raphaël Stevens (2015) qui a donné naissance à ce néologisme, qui sont les précurseur·ses de ce courant de pensée ? C'est ce que nous allons voir dans cet épisode du podcast Ozé avec l'anthropologue Jean Chamel qui a fait sa thèse sur le sujet, récemment sortie sous forme de livre Fin du monde et effondrement de soi - Enquête aux racines de la collapsologie.
Il facho. Puisant dans des corpus hérités du nazisme ou dévoyant la parole du pape François, un nombre croissant d’organisations d’extrême droite s’emparent de l’écologie pour recruter. Des discours teintés de théories complotistes et identitaires.
Sécheresse, neutralité dans la dégradation des terres, agroécologie sont au menu de la COP16 Désertification de Riyad, en Arabie saoudite.
Est-on en train de vivre un grand retour en arrière sur ces questions alors que beaucoup ont le sentiment que l’écologie ne mobilise plus ? Depuis plus d’un an, on parle d’un backlash ou d’un retour de bâton sur l’écologie.

novembre 2024

À propos de : Jean-Baptiste Comby, Ecolos, mais pas trop… Les classes sociales face à l'enjeu environnemental, Raisons d'Agir
Des plaintes ont été déposées pour des faits survenus mardi dans la Manche et dans l’Indre, et vont l’être jeudi concernant des faits advenus dans les Hautes-Alpes, a affirmé le mouvement France Nature Environnement.
Le think tank The Shift Project promeut, dans un rapport fouillé publié ce jeudi, une sortie de crise grâce à la transition vers l’agroécologie. Et réunit les syndicats agricoles, divisés sur le sujet, pour discuter de l’avenir du secteur.
Née lors de la troisième conférence des Nations unies sur les femmes organisée à Nairobi, en 1985, l’expression n’a cessé d’évoluer. Si elle a d’abord été l’apanage des écologistes, les économistes se sont emparés de la notion afin d’en élaborer une interprétation comptable.
L’environnementalisme qui entend adapter la nature aux exigences de la société capitaliste, comme l’écologie autoritaire qui prétend imposer la sobriété au monde échoueront parce qu’elles continuent d’opposer la nature et la société.  En restant prisonniers de cette dualité, nous ignorons que les mauvais traitements infligés à la nature sont le résultat des dominations internes à la société humaine. Il ne saurait donc y avoir d’écologie sans transformation de la société par elle-même. Tel est le dépassement qu’opère Murray Bookchin - ouvrier syndicaliste, activiste libertaire et intellectuel autodidacte - en théorisant l’écologie sociale.
Économie circulaire, reforestation, réduction des monocultures… La région montagneuse de Son La est devenue l’une des provinces pilotes du Plan d’action national lancé en 2023 pour transformer le système alimentaire.
Préservons le sens des mots. Ce qui est punitif, ce n'est pas l'écologie, mais la non-écologie.
La « croissance verte » est-elle un simple oxymore ou un bienheureux slogan destiné à rendre compte des efforts à accomplir afin de réguler la « crise permanente » écologique actuelle ?
Si nous avions réellement conscience de l’impact brutal et irrémédiable du changement climatique sur l’avenir des générations futures, nous changerions immédiatement. Il en va de même pour la destruction de l’habitat des vers de terre, l’effondrement de la biodiversité, la pollution de l’air, des océans, des eaux potables, et j’en passe. La liste est trop longue. Or, rien ne change, car le changement nous fait peur.
A force de désastres et de perspectives de plus en plus sombres, les classes dominantes sont obligées de parler d’écologie, mais une « écologie » libérale des consommateurs, des petits gestes et des micros pas, séparée des questions sociales et politiques, qui ne remet absolument pas en cause le modèle de société en place, le capitalisme, le système techno-industriel, etc.
Ecologie et Politique N° 69/2024. - La plupart des discours sur l'"intelligence artificielle" (IA) tendent à diriger notre attention surtout sur ses prouesses, ses réussites et ses promesses parfois fantasmatiques, certainement pour la rendre plus acceptable. Ils ne disent rien ou presque de son utilité réelle, de ses coûts, de ses dangers, qui sont ainsi minimisés ou voilés, et donc laissés dans l'ombre. C'est sur cette ombre que les textes réunis ici visent à répandre un peu de lumière. En effet, en tant que moyen de renforcement et de complexification du système industriel, l'IA accentue à la fois la déshumanisation, les ravages environnementaux et l'hétéronomie que ce système engendre nécessairement. L'IA réellement existante aggrave dès aujourd'hui la crise écologique et sert à perfectionner des logiques d'accumulation et des technologies de guerre et de contrôle social déjà présentes. Elle est l'outil d'un cybertotalitarisme en marche, qui va se heurter au chaos que provoque son déploiement.
Naomi Klein, activiste et intellectuelle canadienne, explique la victoire de Trump par l'incapacité de la gauche et des écologistes à parler des problèmes concrets des gens. Elle plaide pour un « écopopulisme ».
En 2051, il y aura beaucoup moins d'humains, les catastrophes y auront veillé. Le climat sera plus chaud qu'aujourd'hui. Les très grandes villes avec plusieurs millions d'habitants, ne seront plus fonctionnelles...
Dumont et merveilles. Le documentaire d’Anne-Charlotte Gouraud revient sur le parcours hors normes d’un pionnier de l’écologie politique et nous raconte pourquoi «les visionnaires passent souvent pour des illuminés».
Des données chiffrées sur le traitement médiatique des enjeux environnementaux dans les programmes d’information