Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Filtre :
filtre:
plomb
La loi Duplomb ou la proposition de loi sur l’autoroute A69 ont été adoptées en contournant l’Assemblée nationale à travers des tactiques gouvernementales, faussant la logique parlementaire. Du côté de l’opposition, l’obstruction systématique par le dépôt de milliers d’amendements est également problématique. La démocratie représentative semble aujourd’hui dysfonctionnelle. Comment remédier à cette situation ?
En résonance avec la récente mobilisation citoyenne contre la loi Duplomb, la campagne de financement participatif « Décarbonons la France » révèle une autre forme d’engagement, tournée vers l’élaboration de solutions et la mise en œuvre d’un projet collectif. Elle témoigne des mutations à l’œuvre dans les modalités de participation citoyenne et du rôle croissant des plateformes numériques. Décryptage du succès record de cette campagne.
Plutôt que d’encourager les fermes-usines, le gouvernement devrait baisser les densités d’élevage et se conformer ainsi aux normes européennes, relève Christophe Marie, de la fondation 30 Millions d’amis.
Contre la loi Duplomb et contre une nourriture « dopée aux pesticides », de grands cuisiniers sortent de l’ombre : ils disent vouloir protéger leurs clients, les maraîchers, et la terre que ces derniers travaillent.
La deuxième vague de chaleur estivale se poursuit, la 51e depuis 1947. Selon Météo France, elle devrait durer «au moins jusqu’au weekend du 15 août» et pourrait même se prolonger jusqu’au 19 ou 20 août, ce qui fait que «l’épisode global pourrait durer de 12 à 14 jours».
Sur RMC ce vendredi, l’élu LR, désavoué par le Conseil constitutionnel, a évoqué la piste d’un nouveau texte prenant en compte les critères soulignés par les juges.
Un betteravier, une apicultrice et un maraîcher réagissent à la censure, annoncée ce jeudi 7 août, des dérogations pour utiliser l’acétamipride par le Conseil constitutionnel.
La censure par le Conseil constitutionnel de la réintroduction de l’acétamipride a été accueillie avec un soupir dans les rangs des citoyens mobilisés. Mais le combat contre les autres dispositions du texte continue.
L’institution chargée de vérifier la conformité des lois à la Constitution a censuré ce jeudi 7 août une partie de la loi controversée, notamment le retour de l’insecticide interdit depuis 2018 pour sa toxicité envers la biodiversité.
- Le Monde
L’Elysée a fait savoir qu’Emmanuel Macron « a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel » et « promulguera » le texte « tel [qu’il] résulte de cette décision », c’est-à-dire sans ce pesticide contenant des néonicotinoïdes.
La loi Duplomb a été validée par le Conseil constitutionnel, qui n’a censuré que sa disposition la plus contestée, celle qui prévoyait de réautoriser des pesticides de la famille des néonicotinoïdes, dont l’acétamipride.
Présentés comme indispensables à la culture de la betterave par les soutiens de la loi Duplomb, les néonicotinoïdes n’ont pourtant jamais fait partie de l’arsenal de Clément et Élodie, agriculteurs bio dans l’Aisne.
Réautorisé par dérogation après le vote de la loi Duplomb, que le Conseil constitutionnel pourrait tout ou partie censurer jeudi, le puissant insecticide divise communauté scientifique et agences sanitaires quant à son niveau de toxicité pour la santé humaine. Il fait aussi l’objet d’instrumentalisations politiques.
Une polémique politique enflammée, des débats juridiques avant l’avis ce jeudi du Conseil constitutionnel… Et si la science s’invitait vraiment dans les discussions tendues autour de la loi Duplomb ?
sur la non-conformité à la Constitution de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur
Alors que le texte contesté prévoit la réintroduction de l’acétamipride, l’instance juge que « sur le plan médical (…) le doute n’est pas raisonnable » et déplore « l’écart persistant entre les connaissances scientifiques disponibles et les décisions ».
Alors que la pétition contre le texte réintroduisant l’acétamipride a franchi les deux millions de signataires, des associations de patients et des sociétés savantes médicales ou scientifiques demandent, dans une tribune au « Monde », le retrait de la loi.
Dans une tribune publiée sur Le Monde et adressée au Conseil constitutionnel, les professionnels de santé et les associations de patients alertent des dérives que la loi Duplomb pourrait engendrer sur les générations futures. Alors que la pétition contre ce texte a franchi la barre des deux millions de signatures, les scientifiques prennent le relais des restaurateurs qui avaient publié leur propre tribune jeudi 24 juillet, également dans Le Monde.
En France, la pétition contre la loi Duplomb, qui autorise la réintroduction d'un pesticide controversé, vient de franchir le cap symbolique des deux millions de signatures. Au même moment, David Clarinval, ministre fédéral belge de l'Agriculture se félicite du ralentissement de la transition verte en Europe.
Pétition, saisines du Conseil consitutionnel, niches parlementaires, tribunes... La pression s'accentue autour de la loi Duplomb, qui vise la réautorisation d'un néonicotinoïde. Le mouvement pourrait même aller jusqu'à un boycott des produits. Explications.
Un collectif de près de 400 chefs cuisiniers et acteurs de la restauration, dont Chloé Charles, Mauro Colagreco et Olivier Roellinger, appelle, dans une tribune au « Monde », au retrait de cette loi controversée, à l’instauration d’un moratoire sur l’usage des pesticides et à une transformation profonde du système alimentaire français.
Les connaissances scientifiques ont été absentes des discussions qui ont conduit au vote de la loi Duplomb, déplore, dans un entretien au « Monde », le coordinateur du chapitre sur l’alimentation du dernier rapport de l’IPBES, le « GIEC de la biodiversité ».
En France, plus d'un million et demi de personnes ont signé une pétition contre la loi Duplomb, qui réautorise l'acétamipride, un néonicotinoïde interdit depuis 2020. Cette mobilisation sans précédent s'appuie notamment sur les travaux d'un chercheur de l'Université de Neuchâtel, dont l'étude sur les effets de ce pesticide sur la santé humaine alimente la controverse.
Le gouvernement propose de saisir l’Agence nationale de sécurité sanitaire sur la question de la réautorisation du pesticide, alors que cette dernière a déjà rendu deux avis aux conclusions concordantes sur des substituts aux néonicotinoïdes.
La pétition contre la loi Duplomb continue sa percée et dépasse désormais 1,5 million de signatures. S’agit-il pour autant d’un record ? Vert a compilé les cinq mobilisations en ligne les plus soutenues de tous les temps en France.
Neurotoxique retrouvé dans les bébés, ravageur pour de nombreuses espèces et disposant d’alternatives dans l’essentiel des cas, l’acétamipride n’est ni sûr ni absolument nécessaire. À condition de soutenir les autres solutions.
La vérité sur la Loi Duplomb : l’État nous empoisonne ?
Plus d'un million de citoyens en dix jours. La pétition contre la loi Duplomb, qui autorise le retour d’un néonicotinoïde controversé, bat tous les records. En plein backlash écologique, ce sursaut citoyen pourrait contraindre l’Assemblée nationale à rouvrir le dossier à la rentrée.
Une pétition demandant l'abrogation d'une loi française et sa mesure très contestée de réintroduction d'un pesticide a recueilli samedi en France près de 800.000 signatures (décompte de ce dimanche matin), ouvrant la voie à une discussion au parlement sur le bien-fondé de ce texte mais pas à son rééxamen.
Analysez la loi Duplomb et son impact sur la démocratie participative grâce à la pétition impressionnante de 700 000 signatures.
En plus d’être une initiative forte, le texte qui dit non à l’acétamipride impose le débat sur les contradictions de nos modèles économiques et agricoles.
Présenté comme une réponse à la crise agricole de janvier 2024, le texte prévoit notamment la réintroduction d’un insecticide interdit, l’acétamipride.
La loi Duplomb qui prévoit la réintroduction d'un néonicotinoïde interdit en France, l'acétamipride, a été définitivement adoptée mardi 8 juin, après son examen à l'Assemblée nationale. Des victimes de cancer et des médecins étaient présents dans l'hémicycle pour appeler à rejeter le texte.
Réintroduction de pesticides, mégabassines, allègement des contrôles... Presque toutes les demandes de l’agro-industrie ont été intégrées à la proposition de loi Duplomb, entérinée en commission mixte paritaire.
Depuis ce matin 8h des Paysan.nes, des habitant.es des pays de la Loire, parents, proches de victimes de pesticides, bloquent le site de production de pesticides Phyteurop à Montreuil-Bellay (49) avec la Confédération Paysanne, les Soulèvements de la terre, Le Collectif Sans Pesticide de Massérac, des membres d'eau secours 44, Bassines Non Merci, Exctinction Rebellion-Changement de régime...
Les Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne se sont mobilisés devant l’usine Phyteurop, dans le Maine-et-Loire, pour lutter contre la proposition de loi, qui revient au Parlement lundi 30 juin et prévoit notamment la réintroduction d’un néonicotinoïde interdit.
Une centaine d’organisations nationales et locales de la société civile appellent à une mobilisation le 29 juin pour dire non à la proposition de loi Duplomb qui annihile toutes avancées environnementales.
Passage en force de la loi Duplomb, relance du chantier de l’A69, suppression des ZFE : les reculs s’enchaînent sur le terrain de l’écologie. Face à des décisions aux effets dévastateurs, le découragement n’est pas permis.
Pour les élus favorables au texte, du bloc central à l’extrême droite, le fait que ce pesticide néonicotinoïde soit autorisé au niveau européen suffit à garantir son innocuité. Plusieurs études récentes mettent cependant en évidence des impacts sévères sur la biodiversité et suggèrent des effets sur le cerveau humain.
En France, une organisation non gouvernementale a alerté sur la présence de mercure dans les conserves de thon. Selon les tests, ce métal est omniprésent et parfois, à des taux très préoccupants. Or, le fait est que ces résultats ne sont pas à prendre à la légère puisqu’il est question d’un risque non négligeable pour la santé publique.
Aides fléchées pour les élevages industriels, pesticides à gogo... La loi Duplomb ne bénéficiera qu'à une poignée de gros agriculteurs, insistent les paysans interrogés par Reporterre.
Ce lundi, à l’Assemblée nationale, la droite, l’extrême droite et une partie du camp présidentiel ont voté une motion de rejet préalable dès l’ouverture des débats sur cette proposition de loi controversée. Il n’y aura donc pas de discussion dans l’hémicycle. Dans les prochaines semaines, 14 député·es et sénateur·ices devront s’accorder sur une version définitive de cette loi à hauts risques pour l’écologie.
La loi « visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur », dont l’examen commence lundi 26 mai à l’Assemblée, entérine une vision politique qui renonce à transformer un modèle agricole pourtant à bout de souffle, dénonce la députée (LFI) Aurélie Trouvé dans une tribune au « Monde ».
Pour favoriser l’adoption d’une proposition de loi réclamée par la FNSEA, le camp présidentiel et Les Républicains s’apprêtent à empêcher les débats à l’Assemblée nationale.
La pollution au Kosovo remonte à l'époque yougoslave, mais l'intervention occidentale n'a apporté aucune amélioration sur ce point, au contraire. Le Kosovo d'aujourd'hui est un pays au sous-sol riche, mais à la population pauvre ; une région au potentiel touristique, mais rongée par la pollution ; et un territoire où l'on dit la paix rétablie, mais où l'armée demeure omniprésente.
Dans une lettre ouverte adressée à quatre ministères, un millier de scientifiques et médecins s’insurgent contre le texte de l’élu LR agriculteur, qui prévoit la réintroduction de pesticides dangereux pour la santé et l’environnement.
Du plomb, du mercure, de l’arsenic, des pesticides comme du glyphosate, des bisphénols ou des polluants éternels...
Donald Trump a estimé dimanche soir, sur son réseau Truth Social, qu'il serait "dans l'intérêt de la liberté nationale et mondiale" que les États-Unis obtiennent le contrôle du Groenland. Lors de son premier mandat l'ancien et futur président états-unien avait déjà laissé entendre qu'il voulait racheter le territoire autonome danois.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu à la baisse jeudi sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2024, sous l'effet du ralentissement de l'économie chinoise, et pointe un prix du baril au plus bas depuis près de trois ans.La demande mondiale de pétrole devrait croître de 900.000 barils par jour en 2024, soit 70.000 barils par jour de moins que prévu par l'AIE dans son précédent rapport mensuel.
Des niveaux anormalement élevés de ce métal ont été détectés chez plusieurs enfants et adultes, surtout dans la ville côtière de Guayaquil, sans qu’aucune source de contamination ne soit encore déclarée. Les aliments et l’eau embouteillée sont cependant pointés du doigt.
Le record de production de pétrole réalisé par le géant américain ExxonMobil, notamment grâce au rachat plus fructueux que prévu de Pioneer, lui a permis d'échapper au destin de ses grands concurrents mondiaux dont les résultats ont été plombés par des marges de raffinage rognées.
Le spécialiste français du combustible nucléaire Orano a fini le 1er semestre avec une perte de 133 millions d'euros, plombé par ses difficultés à mener ses activités minières au Niger, en raison d'un contexte politique "très dégradé" depuis l'arrivée du régime militaire au pouvoir, il y a un an jour pour jour. "Ces résultats sont marqués par un événement non récurrent et assez impactant qui est le contexte politique très dégradé au Niger", a résumé le directeur financier du groupe David Claverie.
Les ambitieux objectifs européens de réduction des émissions de gaz à effet de serre reposent sur le déploiement de voitures électriques, panneaux solaires et éoliennes, qui requièrent quantité de minerais. Le journal néerlandais “NRC” s’est rendu en Bosnie, où leur extraction créerait des emplois mais dégraderait l’environnement.
L'espérance de vie moyenne, qui ne cessait de progresser depuis des décennies à travers le monde, a subitement décliné en 2020 et 2021 pendant le plus gros de la pandémie de Covid-19, selon une étude parue mardi dans le Lancet.
Mémoire de Fin d'Études présenté par DUPONT, Victor-Henry en vue de l'obtention du grade académique de Master en Sciences et Gestion de l'Environnement Finalité Gestion de l’Environnement M-ENVIG Année Académique : 2022-2023
Les biocarburants doivent permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mais le transport aérien mise à terme sur l'hydrogène, une source d'énergie aux multiples contraintes, qui induit de très nombreux de changements.
Malgré la crise énergétique, le déclin du charbon se poursuit partout dans le monde en 2022, selon le nouveau rapport de l'ONG Global Energy Monitor. Partout, sauf en Chine, où les projets d'installation de nouvelles centrales sont en pleine croissance.
L’accord signé à Charm El-Chekh sur l’aide aux pays pauvres victimes du changement climatique est bienvenu, mais aucun progrès n’a été fait sur les seuils d’émissions de CO2 ou l’abandon progressif des énergies fossiles, déplorent les experts.
L'Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, comptant près de 60 millions d'habitants, est une nouvelle fois frappée par des coupures drastiques d'électricité, causées par des défaillances d'installations vieillissantes et mal entretenues, a indiqué dimanche la compagnie publique Eskom. Présentant des excuses pour ces nouvelles coupures intenses lors d'une conférence de presse, le PDG d'Eskom, Andre de Ruyter, a annoncé "un niveau élevé de délestage cette semaine".
L'Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, comptant près de 60 millions d'habitants, est une nouvelle fois durement frappée par des coupures d'électricité drastiques, causées par des défaillances d'installations vieillissantes et mal entretenues, a indiqué dimanche la compagnie publique Eskom. Présentant des excuses pour ces nouvelles coupures intenses lors d'une conférence de presse, le PDG d'Eskom, Andre de Ruyter, a annoncé "un niveau élevé de délestage cette semaine".