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Russie Ukraine guerre États-Unis Europe
Alors que les relations russo-américaines se dégradent, le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi d'une réponse "très forte" en cas d'attaque du territoire russe par des missiles américains Tomahawk, dont l'Ukraine réclame la livraison de la part de Washington.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son gouvernement cherchait des moyens de contourner les sanctions américaines contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes destinées à faire pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine. "Des sanctions ont été prises contre certaines entreprises de pétrole russe (...). Nous travaillons sur des moyens de les contourner", a déclaré M. Orban lors de son interview radio hebdomadaire. "Quiconque souhaite une baisse des prix" notamment de l'énergie "doit défendre le droit de la Hongrie à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, ou au même prix que la Russie, ou moins cher", a ajouté le leader nationaliste.
Donald Trump a laissé éclater son exaspération mercredi envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qualifiées "d'énormes" contre le secteur pétrolier russe, dans l'espoir d'amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. En parallèle, l'Union européenne a annoncé mercredi avoir trouvé un accord pour durcir ses sanctions sur les hydrocarbures russes et tarir les ressources du Kremlin. "Ce sont des sanctions énormes (...) Et nous espérons qu'elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu'un terme sera mis à la guerre", a affirmé le président américain en recevant le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.
Les dirigeants de l'UE ont demandé jeudi à la Commission européenne d'explorer les moyens de financer l'Ukraine sur les deux années à venir en laissant le porte ouverte à la mise en place d'un prêt s'appuyant sur les avoirs russes gelés, ont indiqué plusieurs diplomates à l'AFP.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé mercredi par la Norvège une tournée dans plusieurs pays européens pour obtenir plus d'aide face à Moscou, qui a assuré de son côté que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump était toujours d'actualité. M. Zelensky se rend en Europe juste après une nouvelle vague de frappes russes nocturnes sur le secteur énergétique ukrainien, qui ont fait au moins six morts et provoqué des coupures de courant à travers le pays. Le président ukrainien a atterri en fin de matinée à Oslo pour rencontrer le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, avant un entretien prévu en Suède avec le Premier ministre Ulf Kristersson dans la ville de Linköping, siège du groupe de défense Saab, qui produit l'avion de chasse Gripen, des systèmes d'armes et sous-marins.
Les dirigeants européens ont affirmé mardi avec le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie, dans une déclaration en soutien aux efforts de paix de Donald Trump.
Alors que le président américain, Donald Trump, a annoncé une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine, les dirigeants européens ont confirmé, mardi, leur soutien aux efforts de paix en Ukraine. Mais la Russie a relativisé les chances que ce sommet intervienne rapidement.
"Les Ukrainiens sont très résilients. Ils se battent pour leur liberté, leur indépendance, leur pays. Ils ne peuvent pas simplement capituler", a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à son arrivée à une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Luxembourg.
Le chef de la diplomatie russe Segueï Lavrov s'est entretenu lundi au téléphone avec son homologue américain Marco Rubio pour évoquer les modalités du sommet envisagé prochainement à Budapest entre les deux présidents Vladimir Poutine et Donald Trump, a annoncé Moscou.
Plus de la moitié des pays de l'Otan ont rejoint le programme PURL, destiné à financer des armes américaines pour l'Ukraine, en réponse aux besoins urgents exprimés par Kiev.
Zelensky réclame à ses alliés des systèmes de défense antiaériens après des attaques russes massives
- France24,Après avoir échangé deux fois en deux jours avec son homologue américain Donald Trump et avec le président français Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky a demandé dimanche à ses alliés de fournir davantage de systèmes de défense antiaériens à l'Ukraine, confrontée à une intensification des attaques de missiles et de drones russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a vivement critiqué l'absence de "véritable réaction" de la part de l'Occident dimanche, à la suite d'une nouvelle attaque russe de grande ampleur.
La Hongrie n'est pas prête à renoncer à importer du pétrole russe, comme le réclament les Etats-Unis de Donald Trump, et une majorité de pays de l'UE, a indiqué mercredi son Premier ministre Viktor Orban. "Nous n'avons aucune autre option, aucune", a-t-il affirmé devant la presse à Copenhague, assurant au passage que le président américain ne lui avait jamais demandé de fermer le robinet du pétrole russe.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a mis en garde samedi contre toute attaque envers son pays, qui entraînerait une "réponse résolue", alors que Donald Trump a appelé à abattre les avions russes en cas de violation de l’espace aérien de l’Otan.
La Commission européenne va proposer des droits de douane accrus sur le pétrole russe que deux pays de l'UE, la Hongrie et la Slovaquie, continuent d'importer, après des appels en ce sens de Donald Trump, a annoncé mercredi un des ses porte-paroles. La Commission européenne présentera "en temps voulu" une proposition en ce sens, a indiqué ce porte-parole Olof Gill. Mardi devant les Nations unies, le président Donald Trump a une nouvelle fois critiqué les achats de pétrole russe par les Européens, dénonçant un comportement "inexcusable".
A l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies ce mardi à New York, le président américain a multiplié les diatribes contre les pays européens, l’immigration ou encore la reconnaissance de l’Etat de Palestine.
La Commission européenne a proposé vendredi que l'UE mette fin plus tôt que prévu à ses importations de gaz naturel liquéfié russe, après les appels répétés en ce sens du président américain Donald Trump. Cette proposition est contenue dans un 19e "paquet" de sanctions contre la Russie, qui cible aussi des entités (entreprises, banques, etc) en Chine, Inde ou Asie centrale, accusées d'aider la Russie à contourner les sanctions occidentales ou à vendre son pétrole. "L'économie de guerre de la Russie est soutenue par les revenus de (ses) hydrocarbures (...), il est temps de fermer le robinet", a lancé la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen dans une brève allocution.
La Commission européenne propose que l'UE mette fin plus tôt que prévu à ses importations de gaz naturel liquéfié russe, après les appels en ce sens de Donald Trump, a annoncé vendredi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas […] "Notre objectif est d'accélérer l'élimination progressive du gaz naturel liquéfié russe d'ici au 1er janvier 2027", a-t-elle précisé sur X.
Avant d’accentuer la pression sur Vladimir Poutine, Donald Trump exige de ses alliés européens qu’ils cessent d’acheter du pétrole russe et augmentent les droits de douane sur les produits chinois. Inacceptable pour l’UE, qui doit présenter, lundi, un 19ᵉ train de mesures et craint de faire les frais d’une guerre commerciale entre Washington et Pékin.
Le président américain Donald Trump a déclaré samedi qu’il était prêt à prendre "des sanctions significatives contre la Russie" à condition que tous les pays membres de l’Otan cessent leurs importations de pétrole russe. Il a également suggéré aux membres de l'Alliance des hausses substantielles des droits de douane visant la Chine pour que celle-ci diminue son soutien à Moscou.
Washington est prêt à imposer des droits de douane supplémentaires sur les acheteurs de pétrole russe comme la Chine et l'Inde si l'Union européenne en fait de même, afin de limiter pour Moscou le financement de sa guerre en Ukraine, a affirmé mardi à l'AFP un responsable américain.
Des dirigeants européens se rendront cette semaine aux États-Unis pour discuter de la guerre en Ukraine, a annoncé Donald Trump.
Donald Trump déclaré dimanche qu'il envisageait de nouvelles sanctions contre la Russie, au lendemain d'une importante attaque aérienne sur l'Ukraine, sans précédent par son ampleur.
Selon l’Institut allemand Kiel, depuis juin, l’Europe a fourni environ 95 milliards de dollars d’aide militaire à Kiev, contre 75 milliards pour Washington. Les armes restent en grande partie fabriquées outre-Atlantique.
Les pays soutenant Kyiv se réunissent ce jeudi 4 septembre à l’Elysée pour tester l’engagement des Etats-Unis pour la sécurité future du pays. Vladimir Poutine, fort de ses appuis internationaux, reste inflexible.
Les soutiens européens de l'Ukraine se réunissent jeudi pour tester l'engagement des Etats-Unis pour la sécurité future de l'Ukraine, alors que les efforts de paix de Donald Trump patinent et que Vladimir Poutine, fort de ses soutiens internationaux, paraît plus inflexible que jamais
Donald Trump est "très mécontent" des achats de pétrole russe par des pays de l'UE, a affirmé Volodymyr Zelensky à la suite d'une conversation téléphonique jeudi entre le président américain et des dirigeants européens depuis Paris. "Il est très mécontent que du pétrole russe soit acheté par l'Europe", a déclaré M. Zelensky en citant la Slovaquie et la Hongrie, lors d'une conférence de presse conjointe avec Emmanuel Macron à l'Elysée. Le président français a de son côté confirmé que "le président Trump et l'administration américaine se sont émus (...) des choix qui ont été faits par deux pays membres de l'Union européenne qui continuent d'acheter du pétrole russe".
Le 15 août, Donald Trump a rencontré Vladimir Poutine. Le 18, il a reçu Volodymyr Zelensky ainsi que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte et plusieurs dirigeants européens (Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer, Giorgia Meloni et Alexander Stubb). Ces échanges ont donné lieu à de nombreuses images marquantes et à quelques déclarations d’intention, mais une paix durable paraît toujours une perspective très lointaine.
La question a été abordée, mardi, par les membres de la « coalition des volontaires », la plupart européens, et sera à nouveau au menu d’une réunion des chefs d’état-major de l’OTAN, mercredi. En jeu, le rôle des Etats-Unis et une éventuelle clause d’assistance mutuelle.
Que retirer de la rencontre cruciale lundi à Washington entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, avec l’appui de sept dirigeants européens représentant les nations comme la France et la Grande-Bretagne, ainsi que l’Union européenne et l’OTAN ? Réponse en 5 points.
