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Journée historique au Proche-Orient. Treize nouveaux otages ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, dans le cadre du plan de paix pour Gaza. Plus tôt à l’aube, sept Israéliens avaient déjà été libérés, marquant la première étape de cet accord qui prévoit également la libération de prisonniers palestiniens par Israël. Le président américain Donald Trump, actuellement en escale en Israël pour s’entretenir avec Benyamin Netanyahou, rejoindra ensuite Charm el-Cheikh, où doit se tenir dans l’après-midi un sommet pour la paix.
Plus de deux ans après l’attaque terroriste du 7 Octobre, le Hamas a libéré ce lundi 13 octobre les 20 derniers otages vivants sur les 251 personnes enlevées. «Libé» dresse leurs profils.
Le mouvement islamiste s’est dit prêt vendredi 3 octobre à libérer tous les otages israéliens à Gaza et à entamer des négociations «immédiates en vue de la fin de la guerre». Donald Trump a estimé que le Hamas est «prêt à une paix durable» et demandé à Israël de «cesser immédiatement les bombardements sur Gaza».
Deux ans après les attaques terroristes du 7-Octobre, suivies de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza, Luc Bronner, correspondant du « Monde » à Jérusalem, décrypte l’opinion de la société israélienne sur cette guerre.
Des navires de guerre israéliens ont encerclé dans la nuit de mardi à mercredi plusieurs bateaux de la Global Sumud Flotilla pour Gaza.
Emmanuel Macron a défendu jeudi, dans une interview à une télévision israélienne, sa décision de reconnaître un Etat palestinien, "meilleure manière d'isoler le Hamas" à ses yeux, tout en condamnant une fois de plus vivement l'offensive à Gaza qui "détruit totalement" la "crédibilité" d'Israël.
Un groupe de colons israéliens extrémistes a traversé la frontière syrienne le 18 août, dans le Golan, pour poser symboliquement la pierre d’une nouvelle colonie. S’ils ont été rapidement rapatriés par l’armée israélienne, leur action a inquiété en Syrie.
Les Israéliens ont récemment livré aux autorités françaises leur propre bilan des frappes qui ont visé, en juin, l’arsenal nucléaire de Téhéran. Ces échanges sont précieux pour Paris car, selon les informations du « Monde », les services de renseignement américains ont cessé toute coopération avec leurs partenaires européens sur le dossier nucléaire iranien.
Deux figures de la scène culturelle israélienne signent une tribune au « Monde » dans laquelle ils expriment leur profond attachement à la Palestine et à ses habitants. Désormais exilés en France, ils appellent les pays européens à se mobiliser pour sauver Gaza – et, par là même, Israël.
A Tel-Aviv, certains soldats ont dressé mercredi 10 septembre un campement provisoire pour réclamer la fin d’une guerre qui «nuit à la sécurité d’Israël» et sert avant tout des intérêts politiques.
Pour Nitzan Perelman, docteure en sociologie politique et cofondatrice du collectif de recherches "Yani", le Premier ministre israélien n’est pas l’otage des deux ministres d’extrême droite de son gouvernement. La politique qu'elle qualifie de génocidaire menée dans la bande de Gaza est planifiée et voulue par Benjamin Netanyahou selon la chercheuse.
"Nous avons désormais peur de la nuit et de dormir dans nos tentes", affirme Iman Rajab, une habitante de Gaza, après des raids israéliens intenses sur le territoire palestinien ayant fait au moins 16 morts dimanche selon la Défense civile. Israël a aussi annoncé avoir tué le porte-parole de la branche armée du Hamas dans la bande de Gaza.
Jusqu’où ira le gouvernement israélien dans sa stratégie de destruction et de prise de contrôle des territoires palestiniens, au mépris du droit international et humanitaire ? Alors que le gouvernement Netanyahou a lancé son opération de contrôle total de Gaza, que la mort et la désolation se sont installées dans l’enclave palestinienne, qu’un vaste plan de colonisation de la Cisjordanie a été lancé, le leader d’un petit parti d’opposition, Benny Gantz, a proposé à Benjamin Netanyahou de former une coalition alternative avec l’objectif de sauver les otages israéliens, sans les partis d’extrême-droite qui imposent leur diktat à Israël. Deux ministres sont issus de ces partis prônant le suprémacisme juif, Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich. Qui sont-ils ? Sont-ils les seuls à plonger Israël dans le chaos ?
En Cisjordanie occupée, les colons israéliens mènent aujourd’hui l’une des campagnes d’intimidation et d’accaparement de terres les plus violentes depuis 1967.
Dix-neuf spécialistes du droit international et de philosophie juridique soulignent, dans un courrier adressé au premier ministre de l’Etat hébreu, que le droit de recourir à la force en état de légitime défense n’« est pas illimité ».
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.
Des hauts responsables, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain à faire pression sur Benyamin Nétanyahou en vue d’un accord.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza.
Des hameaux de la vallée du Jourdain, où des familles d’éleveurs résident depuis des décennies, se vident l’un après l’autre sous la violence des colons radicalisés, avec le soutien quasi officiel du gouvernement Nétanyahou.
Dans les camps de réfugiés de Tulkarem, plus de six mois d'une offensive militaire israélienne, présentée comme une chasse aux groupes armés palestiniens dans le nord de la Cisjordanie occupée, ont bouleversé le paysage urbain.
Plusieurs dizaines d’Israéliens se sont rassemblés dans la nuit devant une base militaire en Cisjordanie occupée, où certains d’entre eux ont attaqué les forces de sécurité et vandalisé des véhicules et une installation militaire, a annoncé lundi l’armée.
Alors que les regards étaient braqués sur le conflit entre l’Etat hébreu et la République islamique, les extrémistes juifs ont multiplié les attaques contre les villages palestiniens. Mercredi, à Kafr Malik, l’armée israélienne a tué trois civils après « des jets de pierres ».
Dans un article publié par le quotidien «Haaretz», ce vendredi 27 juin, des militaires israéliens racontent avoir reçu l’ordre de tirer sur les foules de Gazaouis rassemblés pour recevoir de l’aide alimentaire, alors même qu’ils ne représentaient aucun danger.
Pour la spécialiste du droit international Monique Chemillier-Gendreau, la solution à deux États ne peut être le résultat d’une négociation, mais doit être imposée à Israël, notamment par des sanctions.
Le président américain mobilise des fondamentalistes chrétiens, idéologiquement proches des suprémacistes israéliens, en soutien à la campagne multiforme de destruction de Gaza, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Un homme aurait utilisé un lance-flammes artisanal et un engin incendiaire pour brûler des manifestants, rassemblés dimanche 1er juin dans la ville de Boulder.
Les militaires ont ouvert le feu alors que des milliers de personnes convergeaient vers un centre de distribution américain.
À Paris, comme dans treize villes européenne était organisée une manifestation d'Israéliens réclamant l'interruption de la guerre à Gaza. L'historien et ex-ambassadeur Elie Barnavi a pris part à la mobilisation, dénonçant une "folie". "Nous avons la responsabilité de mettre fin à ce génocide", a souligné sur France 24 l'une des organisatrices du rassemblement.
Un bateau de la Flottille de la liberté a été pris pour cible par des drones israéliens ce vendredi 2 mai, affirment les membres de l’ONG. Un incendie s’est déclaré et la coque du bateau a été percée. Aucune victime n’est à déplorer.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.