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Dans une interview accordée au média The Economist, Steve K. Bannon a évoqué la possibilité pour Trump de redevenir président en 2028. Le 22eamendement de la Constitution américaine interdit pourtant de faire plus de deux mandats. Selon l'ancien conseiller de Donald Trump, il existe plusieurs alternatives possibles pour contourner cet amendement. Il évoque même "un plan" qui sera "dévoilé au moment opportun". The Economist précise tout de même qu'on ne sait pas si Steve Bannon a réellement parlé de ce projet avec le président américain. La Maison Blanche, de son côté, n'a pas encore réagi.
A l’occasion d’une conférence à New York lundi, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, la France et neuf autres pays, dont le Royaume-Uni et la Belgique, reconnaîtront l’Etat de Palestine. Cette reconnaissance « s’inscrit dans un plan de paix complet pour la région », a estimé Emmanuel Macron.
Très volontariste dans la lutte contre les « polluants éternels », le pays scandinave entend relancer le combat pour proscrire ces substances à l’échelle du continent. Pour marquer le coup, le ministre de l’environnement du royaume a proposé une analyse à ses homologues pour dépister la présence de PFAS dans leur sang.
Ce 20 juin 2025, cela fait cinq mois jour pour jour que Donald Trump est de retour à la Maison-Blanche. Cinq mois d’une politique « bulldozer » menée tambours battants par le président des États-Unis. Cinq mois pendant lesquels l’administration fédérale américaine a été poursuivie en justice à quasi chaque niveau de mise en œuvre du programme ultra-conservateur voulu par Donald Trump. Combien de décisions de l’administration Trump ont-elles été contestées ? Avec quels effets ?
Bluffeur, bagarreur, inquiétant parfois, Karol Nawrocki s’est délesté sans dommages de toutes les aspérités de sa personnalité, que la campagne électorale avait peu à peu révélées : dimanche 1er juin, cet historien de formation âgé de 42 ans, père de trois enfants et boxeur amateur, soutenu par le parti nationaliste conservateur Droit et justice (PiS), a été élu président de la Pologne avec 50,89 % des voix, devançant de très peu le maire libéral de Varsovie, Rafal Trzaskowski.
Vigies de la Constitution, les juges fédéraux tentent de faire respecter l’équilibre des pouvoirs, alors que, des droits de douane à l’immigration, le milliardaire ne cesse d’enfreindre le périmètre qui revient normalement au président américain.
Le chef d’Etat américain tire des profits sonnants et trébuchants de son exercice du pouvoir sans éveiller aucune protestation, note le «New York Times».
Dans sa volonté de contrôle absolu, le républicain, qui a regagné la Maison Blanche depuis cent jours, s’efforce d’annihiler tous les contre-pouvoirs, remettant en cause l’équilibre institutionnel américain.
Un rapport secret sur la défaite de 2024 a été présenté au Conseil de fédération d’Ecolo en mars dernier. Il incrimine la coprésidence de Jean-Marc Nollet (surtout) et de Rajae Maouane.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit prêt dimanche à quitter son poste "immédiatement" en échange d'une adhésion de l'Ukraine à l'Otan, intégration à laquelle Washington semble s'opposer sur font de tensions croissantes entre Kiev et Donald Trump.
Le président ukrainien, critiqué pour ne pas avoir organisé d’élections après la fin de son mandat en mai 2024, a proposé, ce 23 février, de quitter son poste en échange d’une adhésion de son pays à l’Otan.
Le rapport de force imposé par Donald Trump depuis le 20 janvier a pour objectif de redessiner l’architecture des institutions américaines au bénéfice unique d’une présidence voulant se soustraire au système de contrôles et de contre-pouvoirs.
Quelques jours avant l'investiture de Donald Trump, le New York Times a publié une longue interview de l'idéologue neoréactionnaire Curtis Yarvin. Cet ex-entrepreneur de la tech est l’un des penseurs les plus influents d’une extrême droite technophile soutenant le nouveau président américain. Son idéologie, baptisée "Lumières obscures", prône la fin de la démocratie.
À 11h47 à Washington DC (17h47 heure belge), les codes nucléaires changeront de main. Donald Trump deviendra le 47e président des États-Unis, succédant au démocrate Joe Biden. Au même moment, il prêtera serment sous la coupole du Capitole.
Fermeture de la frontière, expulsions de masse, relance des énergies fossiles, stopper le “délire transgenre”… Avant même son entrée en fonctions, Donald Trump a averti qu’il comptait détricoter au plus vite l’héritage de Joe Biden et promulguer une centaine de décrets exécutifs dès son retour à la Maison-Blanche ce 20 janvier.
La ministre des Affaires étrangères allemande, venue à Bakou pour le sprint final de la COP29, a accusé samedi la présidence azerbaïdjanaise du sommet des Nations unies sur le climat d'être sous l'influence de certaines puissances pétrolières, visant implicitement l'Arabie saoudite, sans la nommer.
À quelques jours des élections américaines, on s’intéresse à ce scrutin présidentiel particulièrement serré. Qui de Kamala Harris ou de Donald Trump remportera le nombre de grands électeurs suffisants ? En cas de victoire du républicain, la démocratie américaine sera véritablement en danger, bien plus qu’en 2016. C’est l’analyse de Serge Jaumain, professeur d’histoire contemporaine et codirecteur du Centre d’étude des Amériques de l’ULB, l’invité des Clés.
Les ambassadeurs des 27 Etats membres de l'UE ont approuvé jeudi un nouveau paquet "substantiel" de sanctions contre la Russie, en guerre contre l'Ukraine, a annoncé la présidence belge du Conseil de l'Union européenne."Ce paquet prévoit de nouvelles mesures ciblées et renforce l'impact des sanctions existantes en resserrant les mailles du filet", a indiqué la présidence belge sur le réseau social X.
Les ministres de l’Environnement de plusieurs Etats membres ont manifesté lundi leur mécontentement envers ceux qui, actuellement, bloquent l’adoption définitive de la loi européenne sur la restauration de la nature, un important texte du Green Deal portant sur la biodiversité. Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil (Etats membres) étaient parvenus en novembre dernier à un accord provisoire, qui a été validé en plénière du Parlement le mois dernier.
quand les pratiques de la présidence de la FNSEA démontrent l’urgence d’une loi agricole qui laisse s’installer de nouvelles générations
- Afp
Les Emirats arabes unis, qui ont présidé la COP28, et leurs successeurs, l'Azerbaïdjan pour la COP29 et le Brésil pour la COP30, ont annoncé mardi avoir lancé un partenariat inédit pour "améliorer la coopération et la continuité" des négociations climatiques mondiales avec l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C.
A la marche de la société civile, ce 9 décembre, sortir de l’espace clos de l’ONU, brandir un drapeau, nommer un Etat ou une entreprise sera interdit. Nicolas Haeringer, de l’ONG 350.org, déplore une grave entorse à la liberté d'expression.
La présidence émiratie de la COP28 ne parle pas d'une "sortie" des énergies fossiles, en particulier du pétrole et du gaz, pourtant réclamée par des dizaines de dirigeants du monde à la tribune de la Conférence climatique des Nations unies, selon le résumé des premiers jours qu'elle a publié lundi.
- Afp
Un engagement non contraignant à tripler les capacités renouvelables dans le monde d'ici à 2030 a été signé par au moins 118 pays, soit plus de la moitié des États représentés à la COP28, a annoncé samedi son président Sultan Al Jaber.Un communiqué de la présidence avait auparavant annoncé 116 pays, et la liste s'allongeait encore peu après à 118... Quel que soit le nombre final, cette annonce vise à imposer l'inscription de cet objectif dans tout accord final à la COP28, cette fois dans le cadre onusien.
C'est une polémique de plus qui vient entacher la COP28 sur le climat qui se tiendra à la fin du mois à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Une enquête de l'AFP révèle comment le cabinet de conseil McKinsey influence les organisateurs du sommet, poussant pour les énergies fossiles. Alors que les prévisions des principaux producteurs de pétrole, de gaz et de charbon menacent l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C, la question de la sortie des énergies fossiles sera cruciale.
Ce spécialiste en énergies durables va prendre la présidence du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Pas une sinécure alors sue le réchauffement fait sentir brutalement ses effets tous les jours.
Ce mercredi, l’élection à la Présidence du GIEC (Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) aura lieu à Nairobi, au Kenya. 195 délégations éliront le scientifique qui présidera les travaux du GIEC pour les années qui viennent.
L'élection du Bureau du GIEC en vue du 7e cycle de rédactions de rapport a lieu fin juillet 2023. Le bureau comporte 34 membres. Il est responsable de gérer le processus de rédaction de rapports et de conseiller l’assemblée des États membres dans la prise de décision, tout en supervisant la qualité des travaux scientifiques et de la communication. Jean-Pascal van Ypersele est candidat à la Présidence, avec le soutien de la Belgique. Nous lui avons demandé d’exposer ses motivations et sa vision pour le GIEC. L'interview a été réalisée par Alain Tondeur (Plateforme wallone pour le GIEC) et Soumaya Majdoub (Centre climat belge, membre de l’équipe de campagne de Jean-Pascal van Ypersele).
ENGAGÉ A DÉFENDRE Le GIEC, la voix mondiale du climat Le meilleur lien entre la science et les décideurs politiques du monde entier Un GIEC plus inclusif, plus dynamique et plus pertinent
Une centaine d’élus du Congrès américain et du Parlement européen ont appelé mardi 23 mai au retrait de la nomination d’un patron issu de l’industrie pétrolière pour présider la prochaine COP28 à Dubaï.
