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Les acteurs du captage de CO2 adaptent leur message à l'ère Trump pour éviter l'implosion de leur fragile modèle économique. Le captage, l'utilisation et le stockage du dioxyde de carbone (CCUS) n'en est encore qu'à ses balbutiements aux États-Unis. Selon un rapport du Bureau du budget au Congrès (CBO), seuls 15 sites étaient opérationnels aux Etats-Unis fin 2023. Au total, leurs capacités se limitaient à 0,4% des émissions sur le territoire américain. Jessie Stolark, directeur de l'association Carbon Capture Coalition, qui réunit des entreprises, des syndicats et des organisations de protection de l'environnement, évoque 275 projets annoncés. L'essor programmé de cette technologie, qui consiste à capter le CO2 pour le stocker sous-terre ou le réutiliser, repose, en bonne partie, sur des incitations fiscales.
Résumé de "Survivre dans un monde incertain" de Tom Fletcher : Tom Fletcher partage, dans cet ouvrage, dix compétences clés, enrichies d’histoires inspirantes, de mesures concrètes et de réflexions essentielles pour mieux s’adapter, coexister et s’épanouir dans un monde incertain et ultra-connecté. Ce livre invite à développer résilience, créativité et humanité, trois atouts indispensables pour affronter les crises mondiales et les bouleversements technologiques, sociétaux et environnementaux de notre époque, tout en bâtissant un avenir meilleur.
Il y a eu les propos de Donald Tusk, mardi, à la tribune du Parlement européen. Le Premier ministre de la Pologne qui assure la présidence tournante du conseil de l’UE a déclaré : "Si l’Europe veut survivre, elle doit s’armer".
Le biologiste et botaniste Francis Hallé, infatigable protecteur des arbres, porte le projet pas si fou de faire revivre une forêt primaire en Europe. Une nécessité écologique, mais aussi philosophique.
Le biologiste Olivier Hamant et la psychologue Paola Adurno défendent l'idée que le choix de la recherche de la robustesse plutôt que de la performance permettrait de faire face aux grands bouleversements de notre siècle.
La « collapsologie » est un courant de pensée qui évoque la possibilité de fin brutale et définitive des civilisations dans lesquelles nous vivons… et les moyens de s’y adapter. De quoi nourrir notre peur de l'avenir... tout en remettant à la mode l’imaginaire post-apocalyptique ; sous-genre classique de la science-fiction. Alors si le réel rejoint la fiction, faut-il s’inspirer des œuvres postapo pour se préparer à un cataclysme annoncé ? Aujourd’hui dans Planète B, on parle de peur et de désir de fin du monde.
Étouffé par des températures extrêmes, l’Iran s’est barricadé les 2 et 3 août. Écoles, administrations et banques ont tiré le rideau, et les habitants ont été appelés à se réfugier à l’intérieur. « Compte tenu de la chaleur sans précédent et pour protéger la santé publique, le gouvernement a accepté la proposition du ministère de la Santé de déclarer mercredi et jeudi fériés dans tout le pays », avait déclaré en amont Ali Bahadori Jahromi, le porte-parole du gouvernement. Cette mise à l’arrêt historique d’un pays intervient alors que le mercure a grimpé par endroit à 51,8 °C. Les établissements de santé sont en état d’alerte maximale et dans certaines provinces, les autorités locales s’inquiètent de la possibilité de départs de feu, dans les pâtures et les forêts.
Supprimer le béton de la planète ou le produire autrement ? Les géants de la construction se lancent dans des expérimentations tous azimuts pour réduire l'empreinte carbone du bâtiment, qui pèse près de 40% des émissions mondiales de CO2, et le quart en France.
Rencontre avec la biologiste Caroline Nieberding à l’occasion de l’expo “Animalia”, qui s’ouvre au Train World à Bruxelles. Biologiste et professeure d’écologie terrestre à l’UCLouvain depuis 2008, elle est l’une des expertes qui s’exprime dans le cadre de cet événement.
Grâce à son produit 100% naturel, l’entreprise crée "un faux stress biochimique sur la plante, donc lui faire croire qu’une sécheresse arrive", explique le co-fondateur, Guillaume Wegria. "De ce fait, elle va commencer à se pré-protéger elle-même comme s’il y avait une sécheresse, mais il n’y en a pas. Ensuite, quand un vrai épisode de sécheresse arrive, elle résiste beaucoup mieux et on a de grandes différences en termes de rendements."
La dette d’extinction serait ce moment où les dégâts sont tels que rien ne peut arrêter la dégradation complète d’un milieu, d’une société, d’une civilisation. Selon lui, l’humain s’étant étendu sur l’ensemble de la planète et dominant toutes les parcelles de vie que la Terre peut offrir, nous arrivons à un trop-plein, notre espèce est trop dominante que pour continuer à exister de manière stable.
Se débarrasser de notre dépendance fossile constitue une triple œuvre de salut public : pour l’économie et l’emploi, pour le climat et pour la paix.
C'est par "nécessité" qu'Henry Alviarez s'est décidé à descendre dans les mines à charbon de Lobatera, rare solution pour survivre dans cette ville des Andes vénézuéliennes frappée par la crise. Lobatera, dans l'Etat de Tachira, à la frontière avec la Colombie, compte une cinquantaine de mines artisanales, exploitées par 22 coopératives comptant entre huit et dix travailleurs.
Développez des connaissances dans l'ensemble des domaines paysan ! Découvrez les 5 manuscrits gratuitement :
Mais ne retombons pas dans un productivisme aveugle. Restons concentrés sur les valeurs d’usage, c’est-à-dire la satisfaction des besoins. Si les besoins augmentent, produisons plus ; mais si les besoins sont satisfaits, nul besoin de s’évertuer à croître.
Pour faire face à l’explosion de la pauvreté et à l’inflation qui rend inabordables les importations, des agriculteurs et activistes développent une filière bio. Encore à une échelle très réduite et largement subventionnée par l’aide internationale, elle suscite néanmoins un intérêt grandissant.
Les incendies, les intempéries et les étés caniculaires signent, pour les écolos, l’impératif changement de modèle de croissance. «Notre responsabilité est grande : changer nous-mêmes notre mode de vie, de consommation, de production, notre structure sociale pour survivre à ce que nous avons créé», prévient ainsi Sandrine Rousseau, ancienne porte-parole d’EE-LV
Un projet de rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’Organisation des Nations Unies (ONU) tire la sonnette d’alarme. L’heure n’est plus aux petites mesures : les gouvernements et entreprises doivent travailler de concert pour tenter d’atténuer les effets du changement climatique. Quoi qu’il arrive, les prochaines générations évolueront dans un monde complètement différent.
La décroissance : quelques éléments de clarification d'un courant de pensée hétérogène. Compte rendu du séminaire. PDF
Difficile à imaginer, à croire et, plus encore, à accepter. Mais de plus en plus de voix s’élèvent pour dire qu’un certain effondrement est en cours. Les auteurs Pablo Servigne et Raphaël Stevens l’affirment depuis des années. Ce constat glaçant posé, apprêtons-nous donc à vivre ce bouleversement majeur, activement et non passivement.
Pablo Servigne a écrit Comment tout peut s'effondrer. Il nous explique comment survivre au chaos qui se profile…
Comment vivre avec les « super mauvaises nouvelles » ? Les sciences sont d’une grande aide pour répondre à cette question et nous aider à comprendre les mécanismes psychologiques qui entrent en jeu, mais elles ne peuvent pas grand-chose lorsqu’il s’agit de vivre des émotions, de recréer un imaginaire, ou de transformer notre rapport au monde. Sur ces chemins de traverse (pour la collapsologie), des questions éthiques, métaphysiques et spirituelles s’ouvrent alors... Nous constatons, à travers notre expérience et les récits d’autres collapsologues, que la compréhension (et l’acceptation) des catastrophes globales, et la manière dont celles-ci nous transforment en profondeur, passent non seulement par une approche scientifique transdisciplinaire, mais aussi par une vision plus holistique du monde, et même par une vision sensible... et que ces chemins enrichissent l’analyse collapsologique.


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mars 2025

Les acteurs du captage de CO2 adaptent leur message à l'ère Trump pour éviter l'implosion de leur fragile modèle économique. Le captage, l'utilisation et le stockage du dioxyde de carbone (CCUS) n'en est encore qu'à ses balbutiements aux États-Unis. Selon un rapport du Bureau du budget au Congrès (CBO), seuls 15 sites étaient opérationnels aux Etats-Unis fin 2023. Au total, leurs capacités se limitaient à 0,4% des émissions sur le territoire américain. Jessie Stolark, directeur de l'association Carbon Capture Coalition, qui réunit des entreprises, des syndicats et des organisations de protection de l'environnement, évoque 275 projets annoncés. L'essor programmé de cette technologie, qui consiste à capter le CO2 pour le stocker sous-terre ou le réutiliser, repose, en bonne partie, sur des incitations fiscales.

février 2025

Résumé de "Survivre dans un monde incertain" de Tom Fletcher : Tom Fletcher partage, dans cet ouvrage, dix compétences clés, enrichies d’histoires inspirantes, de mesures concrètes et de réflexions essentielles pour mieux s’adapter, coexister et s’épanouir dans un monde incertain et ultra-connecté. Ce livre invite à développer résilience, créativité et humanité, trois atouts indispensables pour affronter les crises mondiales et les bouleversements technologiques, sociétaux et environnementaux de notre époque, tout en bâtissant un avenir meilleur.

janvier 2025

Il y a eu les propos de Donald Tusk, mardi, à la tribune du Parlement européen. Le Premier ministre de la Pologne qui assure la présidence tournante du conseil de l’UE a déclaré : "Si l’Europe veut survivre, elle doit s’armer".

décembre 2024

Le biologiste et botaniste Francis Hallé, infatigable protecteur des arbres, porte le projet pas si fou de faire revivre une forêt primaire en Europe. Une nécessité écologique, mais aussi philosophique.

juillet 2024

Le biologiste Olivier Hamant et la psychologue Paola Adurno défendent l'idée que le choix de la recherche de la robustesse plutôt que de la performance permettrait de faire face aux grands bouleversements de notre siècle.

mars 2024

La « collapsologie » est un courant de pensée qui évoque la possibilité de fin brutale et définitive des civilisations dans lesquelles nous vivons… et les moyens de s’y adapter. De quoi nourrir notre peur de l'avenir... tout en remettant à la mode l’imaginaire post-apocalyptique ; sous-genre classique de la science-fiction. Alors si le réel rejoint la fiction, faut-il s’inspirer des œuvres postapo pour se préparer à un cataclysme annoncé ? Aujourd’hui dans Planète B, on parle de peur et de désir de fin du monde.

août 2023

Étouffé par des températures extrêmes, l’Iran s’est barricadé les 2 et 3 août. Écoles, administrations et banques ont tiré le rideau, et les habitants ont été appelés à se réfugier à l’intérieur. « Compte tenu de la chaleur sans précédent et pour protéger la santé publique, le gouvernement a accepté la proposition du ministère de la Santé de déclarer mercredi et jeudi fériés dans tout le pays », avait déclaré en amont Ali Bahadori Jahromi, le porte-parole du gouvernement. Cette mise à l’arrêt historique d’un pays intervient alors que le mercure a grimpé par endroit à 51,8 °C. Les établissements de santé sont en état d’alerte maximale et dans certaines provinces, les autorités locales s’inquiètent de la possibilité de départs de feu, dans les pâtures et les forêts.

avril 2023

Supprimer le béton de la planète ou le produire autrement ? Les géants de la construction se lancent dans des expérimentations tous azimuts pour réduire l'empreinte carbone du bâtiment, qui pèse près de 40% des émissions mondiales de CO2, et le quart en France.

mars 2023

Rencontre avec la biologiste Caroline Nieberding à l’occasion de l’expo “Animalia”, qui s’ouvre au Train World à Bruxelles. Biologiste et professeure d’écologie terrestre à l’UCLouvain depuis 2008, elle est l’une des expertes qui s’exprime dans le cadre de cet événement.

juin 2022

Grâce à son produit 100% naturel, l’entreprise crée "un faux stress biochimique sur la plante, donc lui faire croire qu’une sécheresse arrive", explique le co-fondateur, Guillaume Wegria. "De ce fait, elle va commencer à se pré-protéger elle-même comme s’il y avait une sécheresse, mais il n’y en a pas. Ensuite, quand un vrai épisode de sécheresse arrive, elle résiste beaucoup mieux et on a de grandes différences en termes de rendements."

mars 2022

La dette d’extinction serait ce moment où les dégâts sont tels que rien ne peut arrêter la dégradation complète d’un milieu, d’une société, d’une civilisation. Selon lui, l’humain s’étant étendu sur l’ensemble de la planète et dominant toutes les parcelles de vie que la Terre peut offrir, nous arrivons à un trop-plein, notre espèce est trop dominante que pour continuer à exister de manière stable.
Se débarrasser de notre dépendance fossile constitue une triple œuvre de salut public : pour l’économie et l’emploi, pour le climat et pour la paix.
C'est par "nécessité" qu'Henry Alviarez s'est décidé à descendre dans les mines à charbon de Lobatera, rare solution pour survivre dans cette ville des Andes vénézuéliennes frappée par la crise. Lobatera, dans l'Etat de Tachira, à la frontière avec la Colombie, compte une cinquantaine de mines artisanales, exploitées par 22 coopératives comptant entre huit et dix travailleurs.

janvier 2022

Développez des connaissances dans l'ensemble des domaines paysan ! Découvrez les 5 manuscrits gratuitement :

novembre 2021

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