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démantèlement

octobre 2025

Lors d’un rassemblement lundi 13 octobre au soir, la magistrate récemment inculpé a aussi exprimé son soutien au candidat démocrate à New York, Zohran Mamdani, autre bête noire du président américain.
Dans cette tribune pour Novethic, Fabrice Bonnifet, président du C3D et de GenAct, alerte sur le démantèlement du Green Deal européen et ses conséquences pour la transition écologique.
L’universitaire et activiste vient de subir une cabale de l’extrême droite américaine, alimentée par des soutiens du Président. Menacé de mort, celui qui alerte sur le «retour d’une violence suprémaciste» a failli être empêché de quitter les Etats-Unis, avant de parvenir à se rendre en Espagne. «Libération» a recueilli son témoignage.
L’administration Trump avait fait appel d’une décision d’une juge fédérale qui avait bloqué, jeudi, l’arrivée de 500 militaires dans la mégapole. La cour d’appel permet toutefois que les gardes restent sous le contrôle de l’Etat fédéral, en attendant un jugement sur le fond.
Jamais l’ensemble des généraux américains n’avaient été convoqués pour écouter le président du pays et leur ministre de tutelle comme ce fut le cas ce 30 septembre à Quantico (Virginie). Cette réunion historique a vu Donald Trump et Pete Hegseth tenir à des hauts gradés silencieux un discours aux intonations martiales et virilistes dont l’objectif réel était de les préparer à diriger des opérations militaires… à l’intérieur même des États-Unis, dans les villes dirigées par des démocrates.
Alors que la crise budgétaire s’enlise, des milliers d’employés fédéraux ont été congédiés par l’administration américaine qui a visé « ceux proches de démocrates ».
Au risque de perdre d’importants financements fédéraux, la présidente du prestigieux Massachusetts Institute of Technology a refusé de céder à la pression du gouvernement et a choisi de défendre l’indépendance de son institution.
Le président américain avait assumé vouloir se venger de la procureure démocrate Letitia James, deuxième figure publique à faire l’objet, en quelques jours, d’une inculpation qu’il avait directement réclamée.
Directeur du Bureau de la gestion du budget, Russell Vought caresse un rêve : réduire à son minimum l’Etat fédéral américain pour offrir les pleins pouvoirs à Donald Trump. Alors que les États-Unis sont plongés dans le shutdown, il veut saisir l'occasion pour licencier des milliers de fonctionnaires et de saper les agences fédérales. Au risque d'ouvrir une bataille devant les tribunaux.
Le directeur du Budget de la Maison Blanche, Russ Vought, a annoncé vendredi sur X que les "réductions d'effectifs avaient commencé" pour les fonctionnaires fédéraux alors que les Etats-Unis sont en situation de paralysie budgétaire.
En conflit ouvert avec plusieurs gouverneurs démocrates après le déploiement de la Garde nationale dans plusieurs villes américaines, Donald Trump menace d’invoquer l’Insurrection Act, loi d’exception héritée du XIXe siècle. Derrière ce geste, un bras de fer institutionnel et la crainte d’un tournant autoritaire.
Le président américain a réuni, mercredi 8 octobre, une table ronde sur la mouvance antifa, qu’il a désignée comme terroriste le 22 septembre. La ministre de la justice, Pam Bondi, a promis de « détruire l’organisation entière du sommet à la base ».
Directeur du Bureau de la gestion du budget, le haut fonctionnaire qui rêve de réduire à son minimum l’Etat fédéral américain entend profiter de la paralysie budgétaire pour arriver à ses fins. Et concentrer le pouvoir dans les mains de Donald Trump.
La procureure générale de l'Etat de New York Letitia James, opposante déclarée de Donald Trump qui réclamait des poursuites à son encontre, a été inculpée jeudi par un grand jury fédéral en Virginie.
C’est aux États-Unis. En 2025. Le fascisme, c’est ça : désigner les intellectuels comme « terroristes » et les persécuter au point qu’ils soient forcés de fuir leur pays. Les États-Unis n’ont pas basculé d’un coup. Ils ont laissé l’extrême droite s’emparer d’une partie des médias, ils l’ont laissée imposer ses sujets, son vocabulaire, ses méthodes politiques, ses réseaux, sa vision du monde. Peu à peu la guerre aux « wokistes » est devenue la priorité. On s’est collectivement habitués à la brutalité politique, au mensonge, à la post vérité. Au nom de la neutralité, de nombreux journalistes ont cessé de combattre ces idées nauséabondes, probablement terrifiés à l’idée d’être ciblés, d’être qualifiés de « militants ».
Les terrifiantes idées de Curtis Yarvin, un « philosophe » du trumpisme Sous le nom provocateur de Dark Enlightenment, une frange de la droite intellectuelle américaine – inspirée par Curtis Yarvin (né en 1973) – prône un renversement des valeurs du XVIIIe siècle : raison, égalité, universalité des droits. Il croit l’humanité aboutie et prône presque son extinction. Il ne veut plus de démocratie. Et je pense qu’il arrivera à ses fins : il est improbable que les élections présidentielles de 2028 ne soient autre chose qu’un plébiscite au candidat unique : un fils de Donald Trump. Sous le pseudonyme de Mencius Moldbug, ce blogueur-philosophe californien théorisait dès 2007 la faillite inéluctable et programmée de la démocratie libérale, qu’il jugeait faible, inefficace et corrompue. Face à ce constat, il propose une destruction méthodique, c’est-à-dire un redémarrage complet du système.
Le spécialiste des Etats-Unis revient dans une tribune au « Monde » sur la longue histoire d’une rhétorique d’extrême droite : l’ennemi intérieur. Le président Trump a, selon lui, fait de ce narratif un véritable mode de gouvernement, à même de justifier une politique autoritaire et une militarisation croissante, jusqu’à redéfinir le territoire américain en champ de bataille.
En supposant que l’administration Trump « arrive finalement à son terme, il pourrait falloir une décennie pour revenir au niveau où nous étions il y a six mois », estime le chercheur britannique de 83 ans, s’alarmant d’un « énorme problème ».
Le président américain, Donald Trump, a appelé mercredi à emprisonner le maire de Chicago, Brandon Johnson, ainsi que le gouverneur de l'Etat, JB Pritzker, accusant les deux élus démocrates de ne pas protéger les membres de la police de l'immigration (ICE)
L'ONU va réduire ses effectifs de Casques bleus dans les prochains mois en raison d'un manque de fonds.
Le président américain Donald Trump a intensifié lundi la pression sur l'Etat de l'Illinois et la ville de Chicago en évoquant un possible recours à l'état d'urgence pour surmonter l'opposition des autorités locales et des décisions de justice contre le déploiement de la Garde nationale.
Face à la contestation des autorités de Chicago et Portland et des tribunaux, le président américain a invoqué l’Insurrection Act, une loi de 1807 qui permet de mobiliser certaines forces armées contre des citoyens américains.
Aux États-Unis, des agents du Service de l’immigration et des douanes (ICE) ont utilisé du gaz lacrymogène, des projectiles au poivre et des balles en caoutchouc contre des protestataires rassemblés à l’extérieur d’un centre de détention pour immigrants dans la banlieue de Chicago, le 26 septembre. Des observateurs ayant participé au rassemblement estiment que ces méthodes constituent une violation flagrante de la liberté d’expression.
La Maison Blanche n'a pas l'intention de rémunérer tous les fonctionnaires fédéraux qui ne travaillent pas en raison du shutdown, rapportent les médias américains CNN et NBC.
Près de 200 militaires doivent être déployés dans cette grande ville de l’Oregon où ont lieu des manifestations contre la police de l’immigration. Les responsables locaux, tout comme une juge fédérale, affirment qu’il n’y a pas « d’insurrection à Portland ni de menace pour la sécurité nationale ».
L’agence onusienne alerte ce lundi 6 octobre sur la suppression de 5 000 emplois, alors que le nombre de réfugiés dans le monde ne cesse d’augmenter. En cause, une diminution drastique de l’aide internationale, notamment de la part des Etats-Unis.
La juge conservatrice Karin J. Immergut a rendu un avis juridique qui démonte les arguments de l'Administration Trump pour recourir aux forces armées dans les villes américaines
Donald Trump a signé samedi un décret pour l'envoi de 300 gardes nationaux à Chicago, au moment où une juge fédérale a bloqué celui qu'il a ordonné à Portland, deux villes démocrates ciblées par le président américain.
Le président américain voit dans l’arrêt d’une partie des activités gouvernementales provoqué par le désaccord budgétaire entre républicains et démocrates une aubaine pour démanteler encore un peu plus l’État fédéral et remporter la guerre de la communication face à ses opposants.
Forte de ses 20 000 fonctionnaires, la police de l’immigration américaine multiplie les descentes musclées dans tout le pays, agissant souvent au mépris des droits des personnes interpellées.


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