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prolifération
Les lacs et les mers sont de plus en plus touchés par d’importants épisodes de prolifération de phytoplancton. Malheureusement, ce phénomène que le réchauffement climatique et l’intensification des activités humaines favorisent ont des conséquences multiples déjà observables et ce, pas seulement sur les humains. […] En 2020 au Sénégal, une dermatite aiguë sévère a impacté un millier de pêcheurs durant près d’une année entière. Or, cette maladie inflammatoire chronique de la peau avait une origine mystérieuse jusqu’à la parution d’une étude scientifique évoquant la prolifération dans l’eau d’une micro-algue marine microscopique – la Vulcanodinium rugosum – libérant une toxine puissante : la Portimine A. Des nécroses cutanées identiques ayant la même cause ont été observées chez des baigneurs à Cuba plusieurs années auparavant.
Face à cette espèce invasive, reconnaissable à son odeur nauséabonde, les autorités ont lancé une campagne de nettoyage, bénévoles et tractopelles à l’appui.
Avec le réchauffement climatique et l’intensification des activités humaines, les épisodes de prolifération de phytoplancton (les blooms) s’intensifient dans les lacs et les mers. Leurs conséquences sanitaires, économiques et environnementales se font déjà sentir sur l’ensemble du vivant.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a accusé ce jeudi 12 juin Téhéran de violer ses engagements sur la non-prolifération des armes nucléaires. La république islamique a depuis annoncé qu’elle allait construire un nouveau site d’enrichissement d’uranium.
Les gigantesques feux de forêt qui ont ravagé l’Australie à la fin 2019 ont eu des répercussions jusqu’à l’autre bout de l’océan Austral, à des milliers de kilomètres plus à l’est. C’est la conclusion d’une étude inédite dirigée par l’université américaine Duke et publiée le 15 septembre dans la revue Nature.
Les nuages de fumée et de cendres des incendies sauvages qui ont ravagé l’Australie en 2019 et 2020 ont déclenché des efflorescences algales dans l’océan Austral à des milliers de kilomètres à l’est selon une nouvelle étude dirigée par l’Université de Duke et réalisée par une équipe internationale de scientifiques dont Nicolas Cassar, chercheur associé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR) à l’IUEM.
Alors que les gouvernements se préparent à se réunir pour le Sommet du Futur de septembre prochain - une réunion de haut niveau des Nations Unies qui vise à "offrir un meilleur présent et à préserver l'avenir" - de récentes négociations ont supprimé deux mots du projet de résultat : les combustibles fossiles.
En tant qu'anciens chefs de gouvernement et lauréats du prix Nobel du monde entier, nous écrivons avec un sentiment commun d'urgence et de responsabilité concernant l'avenir de notre planète. Nous félicitons les Nations unies pour leur intention d'organiser un Sommet de l'avenir en septembre prochain - une réunion historique des Nations unies qui vise à garantir un avenir durable et équitable pour tous.
La Chine a indiqué mercredi avoir suspendu des discussions avec les Etats-Unis sur le contrôle des armes et la non-prolifération nucléaire, précisant que cette décision venait en représailles à des ventes d'armes par Washington à Taïwan.
Au pouvoir depuis août 2022, le président de gauche Gustavo Petro veut engager son pays sur la voie d’une ambitieuse transition énergétique.
La Colombie est devenue samedi le premier pays continental et producteur majeur de pétrole à rejoindre une coalition menée par des petits pays insulaires pour demander un traité de non-prolifération des énergies fossiles, lors de la COP28 à Dubaï. "La science dit aux COP que c'est le pétrole (...) qui, dans la grande machine industrielle, se convertit en émissions de gaz à effet de serre responsables de la crise climatique", a déclaré pour justifier sa décision le président colombien Gustavo Petro.
Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.
Sur terre et dans la mer, les espèces invasives détruisent les écosystèmes, propagent des maladies et causent des centaines de milliards de dollars de dégâts chaque année, selon un rapport historique publié lundi par l'IPBES, panel international d'experts travaillant sous l'égide de l'ONU.
Ils ne savent plus quoi faire. Les moustiques sont partout.
Une étude de NewsGuard, spécialiste de la désinformation en ligne, a identifié 49 newsbots, des plateformes d’informations générées par des robots d’intelligence artificielle. Elles fournissent un contenu non seulement “médiocre”, mais qui peut aussi véhiculer de “faux récits”, explique “Bloomberg”.
L’essor de la construction de laboratoires de niveau de sécurité biologique 4 ne semble pas encore s’être accompagné d’un renforcement de la surveillance de la gestion des risques biologiques. En outre, la plupart des laboratoires BSL4 en projet se trouveront dans des pays dont les résultats en matière de gouvernance et de stabilité sont relativement faibles....
Une centaine de personnes se sont rassemblées jeudi en face des institutions européennes à Bruxelles. Toutes réclamaient aux dirigeants européens la ratification d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles.
Une centaine d'élus européens a demandé mardi à la Commission européenne d'interdire aux groupes énergétiques de l'UE de lancer de nouveaux projets fossiles face au "péril climatique", dans une lettre consultée par l'AFP."L'Union européenne doit passer à la vitesse supérieure en contraignant par la loi les multinationales fossiles et les acteurs financiers à renoncer à tout nouveau projet dans le charbon, le pétrole et le gaz", demandent les signataires, dont des eurodéputés, des élus français ainsi que plusieurs maires.
Alors que les scientifiques ne cessent de marteler que la planète doit sortir de son addiction au pétrole, au gaz et au charbon pour lutter efficacement contre le dérèglement climatique, des projets d'exploitation d'hydrocarbures continuent à voir le jour. Plusieurs pays, villes et ONG appellent à la mise en place d'un traité de non-prolifération des énergies fossiles.
Une étude singapourienne vient confirmer ce qui a déjà été observé dans d'autres grandes villes du monde.
Ce projet de traité, soutenu par le Vanuatu, Tuvalu, 100 Prix Nobel et l’OMS, vise à arrêter l’expansion du charbon, du pétrole et du gaz, puis à réduire progressivement la production existante de manière équitable.
Les députés européens se sont prononcés pour une résolution appelant «à la préparation d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles» et à une élimination progressive de toutes les subventions en faveur des combustibles fossiles au sein de l’UE.
Lors de l’Assemblée générale des Nations unies, Nikenike Vurobaravu, le président de la république du Vanuatu, a appelé les autres pays à se joindre à lui pour exiger un traité de non-prolifération des combustibles fossiles.
Le président de l’archipel du Pacifique appelle les Nations unies à signer un Traité de non prolifération des combustibles fossiles. Une nouvelle stratégie dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La prochaine pandémie se nomme « changement climatique ». Plus de 1 000 professionnels de la santé et 200 organisations du monde entier ont appelé, mercredi 14 septembre, les gouvernements à élaborer « un traité de non-prolifération des combustibles fossiles ». Les signataires – dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Association internationale de pédiatrie, l’Association médicale mondiale – ont réclamé « un plan mondial juridiquement contraignant pour éliminer progressivement l’utilisation des combustibles fossiles ». Il s’agirait de contrôler très strictement la production et la consommation de charbon, pétrole et gaz, « des substances dont on sait qu’elles sont nocives pour la santé humaine ».
The World Health Organization (WHO) and almost 200 other health associations have made an unprecedented call for a global fossil fuel non-proliferation treaty. A call to action published on Wednesday, urges governments to agree a legally binding plan to phase out fossil fuel exploration and production, similar to the framework convention on tobacco, which was negotiated under the WHO’s auspices in 2003. “The modern addiction to fossil fuels is not just an act of environmental vandalism. From the health perspective, it is an act of self-sabotage,” said the WHO president, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".
Une référence à Zaporijjia pousse la Russie à bloquer l’adoption d’un texte de l’ONU sur la non-prolifération La délégation russe a affirmé que le document présenté par la 10e Conférence des parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires favorisait Kiev. Elle a rejeté la responsabilité de l’échec des négociations sur “les protecteurs” de l’Ukraine.
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