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L'administration de Donald Trump a dévoilé jeudi un plan pour autoriser le forage de pétrole et de gaz sur des millions de kilomètres carrés dans les eaux côtières américaines, une démarche qui pourrait aboutir à une expansion massive de l'extraction d'énergies fossiles. Ce plan confirme le décalage croissant entre les États-Unis, qui boudent la COP30 au Brésil, et une grande partie du reste du monde qui tente de limiter les effets du changement climatique.
L’administration américaine a dévoilé jeudi un plan pour autoriser l’extraction d’énergies fossiles sur des millions de kilomètres carrés le long de ses côtes.
Le groupe pétrolier américain ExxonMobil a annoncé jeudi la reprise de son projet d'exploitation gazière offshore au Mozambique, suspendu depuis plusieurs années à cause d'une insurrection jihadiste. "Nous avons levé la force majeure concernant la zone 4 du projet de Rovuma LNG" --dans lequel ExxonMobil détient une participation indirecte de 25%--, a indiqué le groupe, affirmant que cette décision permettait de "rester sur la trajectoire" du projet dont la production devrait commencer en 2030. Cette notion juridique est invoquée lorsque des conditions exceptionnelles empêchent la poursuite d'un chantier, et l'exécution des contrats qui y sont liés.
Le développement de l'éolien offshore est « sur le point de connaître une forte croissance, même si de nombreux pays risquent de ne pas atteindre leurs objectifs pour 2030 », estime Ember. Le think tank a publié ce 30 octobre un état des lieux(1) - « contribution essentielle avant la COP30 » - dans lequel il appelle à accélérer le déploiement de la filière et à renforcer les ambitions associées.
Le Brésil a octroyé mercredi les droits d'exploration de cinq blocs pétroliers off shore en eaux profondes, deux jours après le feu vert donné à Petrobras pour un forage d'exploration au large de l'Amazonie. Cela confirme le pari sur le pétrole fait par le pays, critiqué par les écologistes à quelques jours de l'ouverture de la conférence climat de l'ONU, la COP30, à Belem, en Amazonie brésilienne. Au total, ces enchères ont rapporté 103,7 millions de réais (environ 19,2 millions de dollars).
En France, les biens détenus par les 0,01 % les plus riches se trouveraient à l’étranger, causant une perte fiscale de plus de 80 milliards d’euros. Comment limiter cette fraude fiscale ? Une réponse porte sur le fonctionnement des banques offshore, notamment l’encadrement des filiales étrangères de ces grandes banques globales basées dans des paradis fiscaux.
TotalEnergies a remporté, conjointement avec l'allemand RWE, l'appel d'offres du projet éolien en mer "Centre Manche 2", à une quarantaine de kilomètres des côtes normandes, qui disposera d'une capacité de 1,5 gigawatt, a annoncé mercredi le gouvernement démissionnaire. Pour TotalEnergies, il "s'agira du plus grand projet d'énergie renouvelable jamais développé en France", a indiqué le groupe dans un communiqué.
La Belgique s’est engagée à atteindre la neutralité climatique en 2050. Mais à mesure que cette date butoir approche, de nombreuses questions subsistent. C’est notamment le cas pour la façon dont notre pays produira son électricité, dont la consommation pourrait plus que doubler dans les 25 prochaines années. D’où proviendra-t-elle alors ?
In naam van 125.000 Belgische burgers die zich inzetten voor lokale en hernieuwbare energie schreven 32 Belgische burgerenergiecoöperaties, verenigd in SeaCoop, een open brief aan de federale regering. Hun boodschap: laat burgers participeren aan het grootste offshore windenergieproject van ons land.
Het Belgisch deel van de Noordzee is bijna 3500 km² groot en herbergt 2100 soorten planten en dieren. Toch gaat het er niet goed met de biodiversiteit: monitoring toont dat ze achteruitgaat. Daar komt bij dat de Noordzee een toplocatie is voor offshore windenergie. ‘Het goede nieuws is dat we die windparken natuurinclusief kunnen bouwen’, onderstreept Sarah Vanden Eede, Ocean Policy Officer bij WWF.
TotalEnergies a annoncé lundi avoir reçu un nouveau permis d'exploration offshore en République du Congo (Congo-Brazzaville), qui étend de 1.000 kilomètres carrés sa zone d'opération au large du pays. Le géant pétrolier français indique dans un communiqué que "le programme de travail comprend un puits d'exploration, dont le début des opérations de forage est prévu avant la fin de l'année 2025." TotalEnergies a obtenu ce permis conjointement avec la compagnie pétrolière nationale du Qatar (QatarEnergy) et celle de la République du Congo (SNPC). Situé dans l'océan Atlantique, à une centaine de kilomètres des côtes de la capitale économique et pétrolière du pays, Pointe-Noire, ce nouveau permis, Nzombo, couvre une superficie d'environ 1.000 kilomètres carrés.
Le projet éolien offshore Revolution Wind, porté par le géant danois Orsted, a été brutalement suspendu par l'administration Trump pour des raisons invoquées de "sécurité nationale".
Le groupe japonais Mitsubishi a annoncé mercredi se retirer d'importants projets éoliens en mer jugés désormais non rentables, un revers pour une source d'énergie renouvelable que le pays considère comme son "atout majeur". Dans le cadre des objectifs énergétiques du Japon, qui vise la neutralité carbone d'ici 2050, un consortium mené par Mitsubishi avait été sélectionné en 2021 par le gouvernement nippon pour développer trois installations éoliennes au large des côtes de l'archipel. Mais la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine ont depuis "considérablement modifié" l'environnement commercial de l'énergie éolienne en mer, perturbant les chaînes d'approvisionnement et faisant grimper les prix, a déclaré Mitsubishi.
L’administration américaine a fait arrêter un chantier très avancé de parc éolien offshore du groupe danois Orsted au large de la côte nord-est américaine. La bourrasque Trump a frappé de plein fouet le géant danois des énergies renouvelables, Orsted. La plus grande société d’éolien en mer du monde a perdu 16 % à la Bourse de Copenhague, lundi 25 août. L’action s’établissait à 179 couronnes danoises à la clôture (24 euros), contre 214 avant le week-end, pour une capitalisation globale de 75 milliards de couronnes, soit « à peine » 10 milliards d’euros.
Le gouvernement américain a ordonné vendredi l'arrêt des travaux sur un immense projet de parc éolien en mer au large de la côte nord-est, pourtant achevé à 80%. Il s'agit du dernier d'une série de coups d'arrêt imposés à des projets d'énergie éolienne par l'administration de Donald Trump, qui a déclaré jeudi que "le vent, ça ne marche pas". Le projet Revolution Wind, dont la construction a démarré l'an dernier après avoir reçu toutes les autorisations nécessaires, doit alimenter plus de 350.000 foyers de l'Etat de Rhode Island, selon son constructeur, l'entreprise danoise d'énergie renouvelable Orsted.
Le gouvernement américain a ordonné vendredi l'arrêt des travaux sur un immense projet de parc éolien en mer, pourtant achevé à 80%. Il s'agit du dernier d'une série de coups d'arrêt imposés à des projets d'énergie éolienne.
Le Parlement néo-zélandais a décidé jeudi d'autoriser la prospection offshore pour le gaz et le pétrole, revenant sur une interdiction mise en place par le gouvernement de Jacinda Ardern (2017-2023). Ce projet de loi adopté par le Parlement était fortement critiqué par des organisations de défense de l'environnement. Le ministre de l'Energie et des Ressources naturelles, Shane Jones, a affirmé que de nouvelles lois permettraient de stimuler l'investissement dans l'exploration de gisements pétroliers et contribueraient à atténuer les problèmes d'approvisionnement en énergie pendant l'hiver.
Windmolenparken op zee veranderen het voedselweb onder water, blijkt uit onderzoek voor de Belgische Kust. Vooral de komst van dieren die deeltjes uit het water filteren, zoals mosselen en anemonen, heeft een invloed.
C’est un géant des mers au service du climat. Mercredi 14 mai, aux Pays-Bas, l’Europe a franchi une étape symbolique (et technique) dans sa lutte contre le réchauffement climatique : le lancement de son tout premier navire dédié au transport offshore de dioxyde de carbone (CO₂). Conçu pour déplacer près de 400 000 tonnes de CO₂ liquéfié chaque année, ce cargo pas comme les autres incarne une ambition grandissante : capter les émissions industrielles à terre… pour mieux les stocker sous la mer.
Le gouvernement danois a annoncé ce lundi 19 mai la mise en place de nouvelles aides pouvant atteindre 7,7 milliards d'euros pour soutenir le développement de l'éolien offshore dans le cadre d'un nouvel appel d'offres en mer du Nord et dans la région du Kattegat. Cette décision vise à relancer les investissements dans un secteur stratégique qui marque le pas depuis plusieurs années.
Le président indonésien Prabowo Subianto a inauguré vendredi deux projets pétroliers et gaziers en mer dans l'ouest de l'Indonésie, les saluant comme un jalon important pour atteindre l'autosuffisance énergétique de la nation archipélique. Prabowo a promis d'atteindre la sécurité énergétique pour la plus grande économie d'Asie du Sud-Est, tout en s'engageant l'année dernière à éliminer l'énergie issue du charbon en 15 ans et à atteindre des émissions nettes nulles d'ici à 2050.
Fuyant l’acharnement de Donald Trump contre la liberté de la recherche, trois enseignants américains spécialistes du fascisme, Marci Shore, Timothy Snyder et Jason Stanley, se sont expatriés à Toronto, alarmés par la montée de «l’autoritarisme» aux États-Unis.
Legal residents of the United States sent to foreign prisons without due process. Students detained after voicing their opinions. Federal judges threatened with impeachment for ruling against the administration’s priorities. In the Opinion video above, Marci Shore, Timothy Snyder and Jason Stanley, all professors at Yale and experts in authoritarianism, explain why America is especially vulnerable to a democratic backsliding — and why they are leaving the United States to take up positions at the University of Toronto.
Le géant norvégien de l'énergie Equinor a indiqué mardi qu'il pourrait abandonner son parc éolien offshore de New York, dont la construction a été interrompue par le gouvernement américain, si aucune solution n'est trouvée "rapidement". Les autorités américaines ont ordonné l'arrêt de la construction par Equinor de cet immense parc éolien le mois dernier, portant un nouveau coup à une industrie à laquelle le président Donald Trump s'oppose.
Le géant norvégien de l'énergie Equinor a annoncé jeudi que les Etats-Unis avaient ordonné l'arrêt de la construction de son projet de parc éolien au large des côtes de l'Etat de New York, en raison d'une analyse environnementale insuffisante de la part de l'administration Biden. "La nuit dernière, nous avons reçu une notification du Bureau of Ocean Energy Management (BOEM) concernant notre projet Empire Wind 1, en construction depuis 2024", a indiqué Equinor à l'AFP dans un courriel. "Nous allons dialoguer directement avec le BOEM et le ministère de l'Intérieur pour comprendre les questions soulevées au sujet des permis que nous avons reçus des autorités", a-t-il ajouté. Equinor a ensuite indiqué dans un communiqué avoir "pris des mesures immédiates" pour se conformer à cette notification mais "envisage des recours juridiques, y compris en faisant appel" de cette décision.
Loin de la crise des années 2010, les Chantiers de l'Atlantique ont renoué avec la croissance et se sont diversifiés en misant notamment sur l'éolien en mer en France et en Europe, où ils revendiquent la place de numéro deux. "Créer une industrie nouvelle en France au 21e siècle, on est des pionniers!", s'exclame Frédéric Grizaud, directeur de l'activité Energie Marines du dernier grand chantier naval de France d'où sortent des paquebots de croisière géants.
EDF a passé une dépréciation pour 900 millions d'euros sur le projet éolien en mer Atlantic Shores, aux États-Unis, auquel participait le groupe français au sein d'une coentreprise avec Shell, a-t-il indiqué vendredi, après l'annonce d'un gel des permis d'exploitation par Donald Trump.
La Chine, déjà leader mondial dans le secteur de l'énergie éolienne offshore, se prépare à franchir un nouveau cap technologique.
L'Algérie a signé mercredi un accord avec le géant américain Chevron afin d'évaluer le potentiel de ressources en hydrocarbures offshore en Méditerranée dans les eaux algériennes, a annoncé le ministère de l'Energie.Ce partenariat a été signé entre l'Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) et Chevron North Africa Ventures Ltd, a précisé le ministère dans un communiqué. Cet accord, qui s'étale sur 24 mois, prévoit la réalisation d'une "étude approfondie d'évaluation des ressources pétrolières en offshore algérien".
L'interdiction couvre plus de 2,5 millions de km² et vise à protéger l'environnement, malgré l'opposition de Donald Trump, qui promet de l'annuler dès son entrée en fonction.
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