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croissance effondrement
J’ai l’habitude de voir les écologistes et les futurologues parler des limites de la croissance (« The Limits to Growth »). Je suis moins habitué à voir des spécialistes de l’investissement mentionner des recherches liées aux limites de la croissance. C’est pourtant ce qu’a fait récemment Joachim Klement dans sa lettre d’information quotidienne. Bien entendu, quiconque écrit sur les limites de la croissance doit d’abord procéder à toutes les vérifications d’usage. En effet, la combinaison des mots « limites » et « croissance » dans le titre a suscité un grand nombre de réactions critiques, allant de la déformation pure et simple de l’ouvrage à l’incompréhension du modèle de dynamique des systèmes qui le sous-tend.
I’m used to environmentalists and futurists writing about The Limits to Growth. I’m less used to seeing investment writers mention research that’s linked to The Limits of Growth. But that’s what Joachim Klement did in his daily newsletter recently. Of course, anyone who writes about Limits of Growth has to do all the usual disclaimers first. This is because the combination of the words “limits” and “growth” in the title produced a lot of critical responses, on a range from straight-up hatchet jobs which misrepresented the book, to people who didn’t appear to understand the systems dynamics model that sat behind it.
Ancien ministre de l’Écologie, Yves Cochet est une figure de l’écologie politique et un scientifique de formation. Désormais éloigné de la vie politique il alerte sur le risque d’effondrement du vivant et ses répercussions sur la société. Dans son dernier livre Petites précisions sur la fin du monde (éditions Les Liens i Libèrent, septembre 2024), il réitère la nécessité de faire face à un effondrement global dans les années à venir en s’organisant localement pour mettre en place un vaste programme de décroissance. En dépit d’une approche collapsologique, il tente de montrer que des voies existent encore pour préparer l’avenir, notamment en misant sur le local et les biorégions.
Nouveau #TALK sur LIMIT avec Philippe Lamberts, député belge au parlement Européen depuis 14 ans. Ingénieur civil de formation spécialisé en mathématique et modélisation. Il est aujourd'hui président du groupe des verts au parlement européen.
La catastrophe écologique est-elle inéluctable ? Allons-nous droit vers un effondrement de la civilisation ? De plus en...
Le principal penseur de la décroissance français s’exprime sur le site de QG, 50 ans après la publication du rapport Meadows. Si la conscience de la finitude du monde progresse, rien de décisif n’est selon lui mis en place, notamment parce que les gouvernements redoutent une forte montée des tensions sociales si un changement de paradigme véritable était mis en place. Le capitalisme a atteint une telle puissance qu’il n’y a que lui-même qui peut se détruire. Seule lueur d’espoir, il est bien parti pour cela selon l’auteur de « Pour en finir avec l’économie »
D’abord marginalisées puis méprisées, les pensées de l’écologie sont en voie de gagner la bataille des idées. Un séisme dans le monde intellectuel, qui vient réinterroger les racines de notre modernité.
World3 VS Dice : la bataille des modèles économiques systémiques. Un conflit qui guide les choix économiques depuis 50 ans.
Dans un nouveau rapport, l’instance intergouvernementale appelle les dirigeants à cesser de ne prendre en compte que la valeur marchande de la nature.
Cinquante ans après sa publication, le rapport Meadows sur les limites à la croissance démontre chaque jour son actualité. Entretien avec l’un de ses co-auteurs, Jørgen Randers, aujourd’hui âgé de 76 ans.
Il y a 50 ans jour pour jour paraissait Les limites à la croissance, un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe. Cette étude du Massachusetts institute of technology (MIT), supervisée par le professeur Dennis Meadows, concluait que la poursuite de la croissance économique nous mènerait inévitablement à dépasser les limites planétaires, provoquant un effondrement de la population humaine. Devenu une référence, ce document a pourtant été ignoré pendant plusieurs décennies. Alors qu’une nouvelle édition paraît aujourd’hui chez Rue de l’échiquier – quelques jours seulement après la sortie à bas-bruit du dernier rapport du Giec – Dennis Meadows s’exprime au sujet de l’actualité brûlante de son étude et confie son espoir pour le futur.
Marc Müller, Jean-Marc Jancovici nous montrent comment les limites physiques qui viennent nous amènent tout droit vers une vie et une économie sous contrainte auxquelles on va devoir vite se préparer et s'adapter, n'en déplaise aux chantres de la croissance (verte...). Cela sous fond de critiques à peine caricaturale de la folie SUV qui gagne le monde par Thomas VDB
Le plan A (stabilisation et sauvegarde de notre civilisation globalisée avec quelques ajustements) et le plan B (décroissance organisée et planifiée) sont désormais enterrés. Demandons nous maintenant en quoi consistera l’effondrement en pratique.
« Il sera bientôt trop tard ». Ce « cri d’alarme de 15 000 scientifiques pour sauver la planète » était en première page de l’édition du Monde fin 2017 . Le constat de la crise écologique n’est pas nouveau. En 1972, le rapport « The Limits to Growth » commandé par le Club de Rome concluait déjà à l’impossibilité d'une croissance économique infinie dans un monde aux ressources naturelles limitées et aux pollutions croissantes. Depuis, les nombreux rapports alertant sur l’état de la planète se sont succédés, tout comme les sommets de la dernière chance.
Telle était déjà la prévision du Rapport Meadows, « Halte à la croissance » ou rapport du Club de Rome de 1972.
Faut-il se résigner au scénario d’un Titanic qui coule avec ses chaloupes réservées à une élite, où devons-nous construire un effort solidaire pour éviter au mieux les icebergs et colmater les brèches ?
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Titres des médias, émissions de télévisions ou de radios, réseaux sociaux, la collapsologie est partout. La pandémie virale en cours dope son discours et ajoute à l’ambiance catastrophiste. Bref, le contexte est porteur et alimente peurs et inquiétudes.
Dans cet article, nous allons explorer la pertinence du rapport Meadows, initialement publié en 1972 sous le titre « Les limites à la croissance », et examiner pourquoi ce document est encore plus important aujourd’hui qu’à l’époque de sa parution. Bien que de nombreuses années se soient écoulées depuis sa publication, les problèmes soulevés par le rapport sont loin d’être résolus.
La décroissance est une réduction planifiée de l’utilisation de l’énergie et des ressources visant à rétablir l’équilibre entre l’économie et le monde du vivant, de manière à réduire les inégalités et à améliorer le bien-être de l’Homme.
La décroissance : quelques éléments de clarification d'un courant de pensée hétérogène. Compte rendu du séminaire. PDF
7ème vidéo d'une série de huit conférences sur la critique de la croissance
Fondée sur les travaux des climatologues, la crainte d’un effondrement planétaire hante les citoyens des pays occidentaux. Engendrant chez certains des théories catastrophistes, voire des modes de vie alternatifs, elle peut néanmoins devenir le fondement d’une nouvelle éthique Le grand historien des mentalités religieuses, Jean Delumeau (1923-2020), souriait volontiers des frayeurs de ses contemporains. L’insécurité urbaine, les accidents d’avions ou les maladies chroniques ne l’impressionnaient guère : l’auteur de La Peur en Occident (XIV e -XVIII e siècles, Fayard, 1978) avait côtoyé des périls infiniment plus menaçants en fréquentant assidûment les archives du Moyen Age et des débuts de la modernité en Occident. A cette époque, résumait-il, les hommes et les femmes étaient « exposés à la mort à chaque instant ». « Voilà pourquoi certaines peurs contemporaines me semblent excessives » , concluait-il
L'impasse de la croissance : 6. L'impasse alimentaire
L'impasse de la croissance : 5. L'impasse sanitaire
L'impasse de la croissance : 4. L'impasse financière
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nul n’ignore tout à fait le terme de « collapsologie 8 ». Sa portée médiatique aujourd’hui d’ailleurs est telle que bon nombres d’enjeux qui s’y rapportent sont passés dans l’opinion publique. Un sondage IFOP réalisé pour la Fondation Jean Jaurès en novembre 2019, révèle 9 , par exemple, que 65 % des Français indiquent être d’accord avec l’assertion selon laquelle « la civilisation telle que nous la connaissons actuellement va s’effondrer dans les années à venir », et 35% estiment qu’il pourrait intervenir à vingt ans. Cette théorie et tout l’imaginaire qui s’y rapporte se sont ainsi littéralement introduits dans la société, trouvant des relais de plus en plus nombreux dans les médias et sur les réseaux sociaux...
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Julien Chevalier est consultant associé chez Horenso. Adhérent Placéco, il met à contribution la rubrique Opinion pour partager son point de vue sur "l'effondrement" prévu en 1972 par le rapport Meadows "Les limites à la croissance".
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En août, l'inflation s'affichait à -0,2% contre +0,4% en juillet, selon une première estimation de l'Office européen des statistiques. C'est la première fois depuis mai 2016 que l'inflation passe en territoire négatif. Les analystes tablaient sur un déclin un peu moindre.
Après un rapide résumé du contexte dans lequel l’étude «Limits to Growth» a été menée, Meadows en rappelle la conclusion principale. Il était indiqué que si les politiques mises en œuvre dans les années 70 persistaient, le monde connaîtrait une croissance jusqu’aux alentours de 2020 et ensuite un déclin. Sur les 13 scénarios développés, c’est celui de «l’overshoot» (dépassement) qui a prévalu. Nous sommes donc au début de la phase de déclin.
Bientôt un salaire pour tous sans même travailler? Révélée en mai dernier par la revue britannique "New Scientist", une étude menée par l'Institut d'assurance sociale de Finlande et par l'Université d'Helsinki a analysé les effets de la mise en place d'un revenu universel sur l'emploi et sur le bien-être.
Les dernières données de l’impact du Coronavirus sur l’économie sont alarmantes. Au 1er trimestre 2020, le PIB reculait de 5,8%, du jamais-vu depuis 1949. Le monde de la finance et du néolibéralisme vacille. Les prévisions sont plus sombres que jamais, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et Gerald Darmanin alors ministre des Comptes publics annonçaient le 14 mai une prévision d’un recul du PIB de 8%, et une dette publique qui atteindrait le chiffre record
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D’après une première estimation par la Banque nationale, l’activité économique en Belgique s’est contractée de 12,2% au deuxième trimestre 2020 par rapport au trimestre précédent. C'est la plus lourde chute depuis le début des statistiques trimestrielles, qui remonte à 1995. Comparé au premier trimestre de 2019, le Produit intérieur brut (PIB) s’est replié de 14,5%. Au premier trimestre, le PIB avait déjà régressé de 3,5% en variation trimestrielle.
Le caractère écologiquement insoutenable de la trajectoire sociétale belge, européenne et mondiale, est largement documenté scientifiquement depuis plusieurs décennies. La possibilité de la poursuite de la croissance, impliquée notamment par les politiques régionales, nationales et européennes officielles (qui continuent à en faire l’objectif politique principal dans leurs textes stratégiques), repose sur un mécanismepostulé, ledécouplage absolu.Avec le découplage absolu hypothétique, on peut rebaptiser la croissance, «croissance verte«, c’est-à-dire une forme hypothétique de «croissance soutenable».
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Un tel outil pourrait jouer en faveur d'un rééquilibrage du territoire en incitant des populations à s’installer dans des zones rurales en perte de vitesse. Il permettrait aussi de financer des projets personnels et utiles à la société.
Notre espèce humaine vit sur cette Terre depuis environ 15 000 générations. Jusqu’en 1750, il n’y a eu pratiquement aucune croissance du PIB par personne. Pendant 300 000 ans, la population moyenne n’a connu aucune amélioration globale de son bien-être au cours de sa vie. Ce n’est qu’au cours des 15 dernières générations, soit à peine 0,001 % de l’existence de l’humanité sur Terre, qu’il a été accepté et attendu que la vie pour tous s’améliore continuellement et rapidement.
Pourquoi l’énergie est-elle aussi importante dans nos vies (et plus que jamais aujourd’hui) ? Quels grands défis énergétiques, déterminants pour l’économie et la société, devrons-nous affronter au XXIe siècle ? Quelles sont les pistes pour répondre à ces défis ?
Covid-19, et maintenant ? L’épidémie de coronavirus a mis en lumière les défaillances et les fragilités de nos sociétés. Quels changements pourraient être mis en œuvre sans attendre et pour être opérationnels dans un horizon de cinq ans ? La Libre Belgique réalise une série d'articles sur les leçons à tirer de cette crise sanitaire.
Après la crise sanitaire, la mesure apparaît comme une nécessité pour lutter contre la précarité au sein de l'Union européenne, estime la délégation France insoumise au Parlement européen.
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