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civil guerre
En raison des sanctions imposées à Moscou après l’invasion de l’Ukraine, le secteur traverse une zone de fortes turbulences, montre l’enquête de “Novaïa Gazeta Europe”. Obligées de se fournir en pièces détachées au marché noir, les compagnies enregistrent des pannes à répétition.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a condamné jeudi "une attaque directe" ayant visé plus tôt cette semaine un véhicule officiel de l'instance onusienne en Ukraine, évoquant "une intention claire" de nuire." Mardi, un drone a frappé un véhicule clairement identifié de l'AIEA qui achevait la rotation du personnel de l'agence" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), a rappelé Rafael Grossi à l'ouverture à Vienne d'un Conseil extraordinaire des gouverneurs sur la situation dans le pays en guerre.
Le deuxième fils du président Hafez Al-Assad s’est retrouvé propulsé au pouvoir après la mort de son frère aîné. Il avait résisté à la guerre civile qui a suivi les printemps arabes de 2011 au prix d’une guerre civile sanglante. Dimanche 8 décembre, il a finalement été contraint à la fuite par une coalition de rebelles.
... Abandonné par ses alliés russe et iranien eux-mêmes très affaiblis, il a toutefois dû selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) fuir le pays dimanche, onze jours après le lancement le 27 novembre d'une offensive éclair par les rebelles, à laquelle ses forces n'ont opposé quasiment aucune résistance.
A Damas, des tirs de joie ont retenti et des invocations religieuses ont été lancées dans les hauts-parleurs des mosquées. Encore sonnée par l'annonce de la "fuite" du président Bachar al-Assad, la capitale syrienne s'est réveillée dimanche avant l'aube sous contrôle rebelle. Selon des témoins contactés par l'AFP, quelques dizaines de personnes ont rallié la place des Omeyyades, dans le centre de Damas, pour célébrer la chute du clan Assad au pouvoir depuis plus d'un demi-siècle, dans un pays morcelé par une guerre civile meurtrière depuis 2011.
Le pouvoir de Bachar al-Assad s'est effondré dimanche en Syrie face à l'avancée fulgurante de groupes rebelles, qui a mis fin à cinq décennies de règne sans partage de la famille Assad. Retour sur les principales dates de cette offensive éclair et d'ampleur inédite qui a fait plier le régime syrien.
A la tête d’un pays exsangue par des décennies d’incurie et une effroyable guerre civile, le président Bachar Al-Assad a été chassé en quelques jours du pouvoir par une fulgurante offensive des islamistes de Hayat Tahrir Al-Cham. Une tâche herculéenne attend désormais les Syriens, libérés par eux-mêmes.
Le chef des rebelles islamistes en Syrie a affirmé que l’« objectif » de leur offensive fulgurante dans le pays était de « renverser » le régime du président Bachar al-Assad.
Dans le nord de la Syrie, les rebelles ont pris la ville de Hama ce jeudi 5 décembre, poursuivant leur offensive fulgurante contre les forces de Bachar El-Assad. Cherchant les raisons de cette efficacité, la presse internationale s’intéresse à leurs drones de reconnaissance et de combat, qui surprennent par “leur sophistication et leur précision”.
Des combattants du groupe jihadiste Hayat Tahrir al-Sham sont entrés samedi soir dans la ville d’Hama, sur la route vers Damas. Affaibli, le régime d’Al-Assad reconnaît un retrait «temporaire» et dit préparer une contre-offensive.
Les groupes rebelles ont pris le contrôle de la « majeure partie » d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, qui fait également état samedi de « raids russes » sur la ville pour la première fois depuis 2016.
Catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique, guerres… une vaste campagne de sensibilisation va être lancée en Belgique dès 2025.
Vendredi matin, les djihadistes et leurs alliés se sont rapprochés de la ville d’Alep, la grande ville du Nord, avant d’y entrer, selon l’OSDH et les médias d’Etat syriens. Le bilan des combats depuis le début de l’offensive s’élève à au moins 255 morts.
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
Le ministère de l’Intérieur allemand a annoncé dans un point presse tenu lundi 24 novembre que tous les bâtiments qui pourraient servir d’abri en cas d’attaque sont en train d’être inventoriés pour les rendre accessibles à la population.
Depuis le début du conflit, l’instance établie par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU recense les exactions perpétrées à l’encontre des civils.
Un homme a été tué dans une attaque de drone ukrainien dans la ville ukrainienne d'Energodar, contrôlée par les forces russes et située près de la centrale nucléaire de Zaporijjia, a affirmé mardi le gouverneur régional installé par Moscou, Evguéni Balitski."Les terroristes de Kiev attaquent avec des drones des sites de l'infrastructure de la ville d'Energodar et le territoire à proximité de la centrale nucléaire", a affirmé M. Balitski sur Telegram.
Olena Halushka et Victoria Voytsitska, membres de l’International Center for Ukrainian Victory expliquent, dans une tribune au « Monde », ce que l’Europe peut faire pour sauver le secteur énergétique ukrainien du terrorisme nucléaire russe.
La ville de Zaporijjia, dans le sud de l’Ukraine, a été la cible de frappes aériennes russes "massives", qui ont fait un mort et six blessés, dont deux enfants, ont indiqué mardi les autorités ukrainiennes.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie, mardi devant le Conseil de sécurité des Nations unies, de se préparer à cibler des centrales nucléaires ukrainiennes.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a fait part vendredi de son inquiétude pour la sécurité des centrales nucléaires de Koursk en Russie et de Zaporijjia en Ukraine, menacées par les combats et les bombardements.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré avoir évoqué la sécurité de la centrale nucléaire russe de Koursk avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi, en pleine incursion ukrainienne dans cette région russe. Kiev a lancé le 6 août une incursion sans précédent en territoire russe, dans la région de Koursk, déclenchant des combats à moins de 50 kilomètres de la centrale nucléaire.
Vladimir Poutine a accusé jeudi l'Ukraine d'avoir tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, dans la région russe du même nom, en proie à une offensive d'ampleur des forces de Kiev depuis plus de deux semaines, sans toutefois présenter directement de preuves de ces allégations."L'ennemi a essayé de frapper la centrale nucléaire pendant la nuit", a affirmé le président russe au cours d'une réunion télévisée avec des membres de son gouvernement et les gouverneurs des régions frontalières de l'Ukraine.
Pas défaitistes, les antinucléaires ! Face à la relance de l'atome, les opposants se sont retrouvés au festival Les Bure'lesques, dans la Meuse, pour imaginer un plan B et transmettre l'héritage de leur lutte aux jeunes.
L'AIEA a averti samedi que la sécurité à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par les Russes dans le sud du pays, se "détériorait", après une frappe de drone à proximité.
Un incendie s'est déclaré dimanche soir dans le système de refroidissement de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les forces armées russes, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement d'en être responsable. Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui dispose d'une équipe sur place, "il n'y a pas d'impact sur la sûreté nucléaire" alors que les six réacteurs sont à l'arrêt.Le responsable de l'administration mise en place par les Russes dans la région, Vladimir Rogov, a indiqué tôt lundi que l'incendie avait été "complètement éteint".
Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a appelé dans un communiqué à "une retenue maximale afin d’éviter un accident nucléaire", alors que les combats ont fait rage vendredi, pour la quatrième journée consécutive, dans la région russe de Koursk. Les forces ukrainiennes ont lancé une offensive d’ampleur, poussant Moscou à y envoyer chars et canons en renfort.
L'Ukraine a indiqué mardi que la situation énergétique du pays s'améliorait et que pour la première fois en juillet il n'y aurait pas de coupures programmées, grâce aux réparations menées sur le réseau électrique, endommagé par des frappes russes à répétition."Grâce à l'achèvement des travaux sur deux unités de centrales nucléaires et grâce à une baisse des températures, la situation dans le secteur énergétique a été stabilisée", a dit sur son compte Telegram le Premier ministre Denys Chmygal.
Huit personnes ont été blessées dans un raid de drones ukrainiens sur le site d'une sous-station de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par la Russie, a affirmé mercredi le groupe russe Rosatom, qui dénonce une multiplication des attaques."Les forces armées ukrainiennes ont lancé une attaque contre la sous-station de Radouga, où le personnel de la centrale nucléaire de Zaporijjia effectuait des travaux visant à optimiser le système d'alimentation électrique de la ville d'Energodar", a déclaré Rosatom sur Telegram.
Les sept piliers de sûreté et de sécurité de la centrale nucléaire ukrainienne de Zapporijjia, définis par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont été compromis, a indiqué lundi le directeur général de l'agence onusienne Rafael Grossi. "La situation sur le site nucléaire de Zaporijjia demeure précaire", a affirmé le directeur général lors du conseil des gouverneurs de l'AIEA. "Les sept piliers de la sûreté et de la sécurité nucléaires ont été partiellement ou entièrement compromis", a-t-il avancé.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Les services de renseignement britanniques ont comptabilisé une augmentation alarmante des meurtres impliquant des militaires russes en Russie. Il y a près de 900 % de crimes en plus par rapport à l’année 2022 d’avant-guerre avec l’Ukraine.
Guerre en Ukraine: les employés ukrainiens des centrales travaillent dans la peur des frappes russes
(24/04) - AfpDans cette centrale électrique ukrainienne, les horloges se sont arrêtées au moment précis où des missiles russes se sont abattus sur le site, dont les employés déblayent encore les débris calcinés sous un trou béant dans le toit.
"Nous nous approchons dangereusement d'un accident nucléaire" à Zaporijjia, a alerté lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), notant qu'il était "impossible" de savoir qui était responsable des récentes attaques contre la centrale nucléaire ukrainienne.
Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Mariano Grossi, a prévenu lundi le Conseil de sécurité que le monde se rapproche « dangereusement d’un accident nucléaire » à Zaporijjia, en raison des récentes attaques visant cette centrale nucléaire en Ukraine.
L’Ukraine a commencé à construire deux réacteurs de fabrication américaine, dans une centrale nucléaire de l’ouest. Jeudi, des travailleurs de la centrale de Khmelnitskiï ont coulé le premier mètre cube de béton des réacteurs, qui utiliseront une technologie et un combustible américains, acte symbolique accompli près de drapeaux ukrainien et américain flottant au vent.
L'Ukraine a commencé à construire deux réacteurs, de fabrication américaine, dans une centrale nucléaire de l'ouest, son réseau énergétique subissant des attaques dévastatrices de la Russie.Jeudi, des travailleurs de la centrale de Khmelnitskiï ont coulé le premier mètre cube de béton des réacteurs, qui utiliseront une technologie et un combustible américains, acte symbolique accompli près de drapeaux ukrainien et américain flottant au vent.
Les récentes attaques sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia peuvent "marquer le début d'un nouveau front de guerre extrêmement dangereux", s'est alarmé jeudi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Elles "nous ont fait entrer dans une phase cruciale" du conflit, a déclaré Rafael Grossi à l'ouverture d'une réunion à Vienne des 35 membres du Conseil des gouverneurs, convoquée en urgence à l'appel de la Russie et de l'Ukraine.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.
Deux attaques de drones ont été signalées, les 7 et 8 avril, à Zaporijjia, la plus grande centrale nucléaire d’Europe, actuellement sous contrôle russe. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement d’être responsables de ces incidents, qui accentuent les risques d’une catastrophe nucléaire de grande ampleur.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Energie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainiennes.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire a été coupée par un bombardement, a annoncé le ministre ukrainien de l’Energie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Énergie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainienn
L’armée va utiliser la centrale EDF de Civaux afin de produire du tritium pour la dissuasion nucléaire. Patrice Bouveret, directeur de l’Observatoire des armements, y voit un signe de « l’escalade guerrière » d’Emmanuel Macron.
Une 'enquête parcellaire' a été lancée lundi afin de permettre à l'Andra d'acquérir les quelque 100 hectares manquants...
En dépit du conflit qui les oppose, Kiev et Moscou parviennent à se parler pour entretenir la plus grande centrale d’Europe, aujourd’hui en territoire occupé. L’Agence internationale de l’énergie atomique s’est imposée comme interlocuteur unique.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie tandis que des volontaires russes combattant pour l'Ukraine annonçaient des frappes sur deux grandes villes russes situées près de la frontière ukrainienne. Une multiplication d'attaques destinée à saper la présidentielle russe, a accusé Vladimir Poutine.
Un rapport rappelle l'urgence de nettoyer les sites militaires abandonnés après la Guerre froide où se trouvent des déchets nucléaires.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.M. Grossi est en visite en Russie, où il doit rencontrer le président Vladimir Poutine pour la première fois depuis 2022 et évoquer notamment la situation "précaire" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.
L'armée israélienne a présenté un plan d'"évacuation" des civils des "zones de combat" dans la bande de Gaza, ont annoncé lundi les services de Benjamin Netanyahu, toujours déterminé à lancer une offensive militaire contre la ville surpeuplée de Rafah.
À une heure de Madrid, le Toledo Training Command est l’un des plus grands centres d’entraînement militaire d'Europe. Des centaines de civils ukrainiens qui ont choisi de partir pour le front sont formés dans cette base dans le cadre de la Mission d’assistance militaire de l’UE en soutien à l’Ukraine (Eumam), créée en octobre 2022. L’Espagne est l’un des meilleurs élèves en matière de formation : elle offre le plus grand nombre de modules militaires – dix cours différents – et a déjà entraîné 4 000 soldats ukrainiens. Un reportage de Rémi Cadoret, Armelle Exposito et Bertrand Aguirre.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
Quatre civils, dont une femme et deux enfants, ont été tués et neuf personnes blessées mercredi dans des raids israéliens sur le sud du Liban, a indiqué une source de sécurité libanaise à l'AFP.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a dit mardi avoir de "nombreuses questions" à poser aux Russes, qui contrôlent la centrale nucléaire de Zaporijjia, à la veille de sa visite sur place.Le responsable a également regretté que ses experts, dont certains sont présents en permanence à Zaporijjia, n'aient qu'un accès "partiel" à la centrale, même si celui-ci "s'élargit progressivement". "Il y a encore des parties de la centrale que nous n'avons pas pu visiter", a indiqué M. Grossi lors d'un point-presse à Kiev.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, aux mains des forces de Moscou, a décidé d'interdire l'accès à tout employé de l'opérateur ukrainien Energoatom, a indiqué jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, attendu sur place la semaine prochaine, "va soulever la question cruciale du personnel et demander des informations au sujet de cette nouvelle annonce", selon un communiqué.
L'Ukraine a annoncé lundi prévoir la construction de quatre nouveaux réacteurs nucléaires dans sa centrale de Khmelnitskiï (ouest) en 2024, afin de compenser la perte de celle de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par les forces russes depuis mars 2022."En 2024, la construction de quatre nouvelles unités à la centrale nucléaire de Khmelnitskiï devrait commencer", a indiqué le ministère de l'Energie dans un communiqué, tout en admettant que la procédure prendrait "du temps".
Les effectifs de l'armée britannique ne sont pas suffisants. Ce qui inquiètent des hauts responsables dans la perspective d'une possible guerre avec la Russie.
Multiplication des guerres, réchauffement climatique, essor des régimes autoritaires : le monde court au désastre, mais il nous faut résister à la haine, estime, dans une tribune au « Monde », le sociologue et philosophe.
Des mines ont été replacées autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, a assuré vendredi soir l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer."Des mines ont été replacées le long du périmètre de la ZNPP (acronyme anglais de la centrale nucléaire de Zaporijjia, ndlr) a indiqué dans un communiqué l'AIEA, basée à Vienne.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a pas eu accès récemment aux salles de réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (Sud) pour des raisons de "sécurité", a affirmé vendredi Moscou qui occupe le site depuis près de deux ans.Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer.
L'AIEA a déclaré mercredi n'avoir pas eu accès aux salles de plusieurs réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de ZapMRorijjia, touchée par des coupures de courant à répétition. Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "ne peuvent toujours pas accéder à toutes les parties du site" dans le sud de l'Ukraine, a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué.
L'armée israélienne a intensifié mardi ses opérations contre des combattants du mouvement islamiste palestinien Hamas...
Le site industriel ukrainien, devenu base militaire russe, a subi une «panne totale» dans la nuit du vendredi 1er au samedi 2 décembre. Le courant a finalement été rétabli.
Depuis un mois et demi, l’ONG britannique travaille méthodiquement à l’identification des victimes civiles des frappes sur Gaza. Sur 60 «incidents» documentés pour l’heure, plus de 45 % des victimes sont des mineurs.
Les dangers se multiplient autour des centrales nucléaires ukrainiennes du fait de la proximité des combats et des coupures d'électricité, s'est inquiété mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi."Il y a un tas de dangers qui se multiplient et qui sont là jusqu'à la fin du conflit", a déclaré M. Grossi devant la presse, en marge d'une visite du site prévu pour l'enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), dans l'est de la France.
La Russie a accusé vendredi l'Ukraine d'avoir visé la veille à l'aide de drones une centrale nucléaire dans la région russe frontalière de Koursk, sans faire de dégâts ni provoquer de hausse de la radioactivité."Dans la soirée du 26/10/2023, une attaque de trois drones ennemis sur la centrale nucléaire de Koursk a été stoppée. Cet événement n'a pas affecté le fonctionnement de la centrale", a indiqué l'opérateur du site sur Telegram.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé mercredi que "rien" ne pouvait "excuser une frappe sur un hôpital rempli de civils".
La «Nakba» ou la «catastrophe» fait référence à l’exode forcé des Palestiniens en 1948. Avec déjà près d’un million de déplacés dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre Hamas-Israël, les civils craignent un nouveau désastre.
Guerre Israël-Gaza : L'armée israélienne exige l'évacuation de 'tous les civils de Gaza' vers le sud
(13/10) - la rédaction InfoL'ONU a été informée par l'armée israélienne d'un ordre d'évacuation de quelque 1,1 million d'habitants du nord de la bande de Gaza vers le sud dans les 24 heures, a indiqué jeudi à l'AFP le porte-parole du secrétaire général de l'organisation, réclamant que cet ordre soit annulé.
Le Hamas (Mouvement de la résistance islamique) et d’autres groupes armés palestiniens ont bafoué de manière flagrante le droit international et fait preuve d’un mépris effrayant pour la vie humaine, en se livrant à des crimes cruels et brutaux, notamment des exécutions sommaires de masse et des prises d’otages, et en procédant à des tirs de roquettes aveugles sur Israël, a déclaré Amnesty International le 12 octobre 2023. Les éléments de preuve continuent d’affluer sur les horreurs qui se sont déroulées dans le sud d’Israël et Amnesty International poursuit ses investigations en vue de déterminer toute l’ampleur des crimes relevant du droit international.
Des terroristes armés et entraînés ont attaqué le kibboutz de Kfar Aza, situé le long de la frontière de la bande de Gaza, samedi matin. Les militaires israéliens font état de plus de 100 morts civils, parfois 150. Des enfants ont été assassinés. Le massacre a traumatisé les soldats qui ont libéré les lieux. Reportage de nos confrères de l'AFP.
Solidarité avec l'Ukraine en Belgique - le site du Comité belge du Réseau européen. Des actions de solidarité entre les sociétés civiles belge et ukrainienne.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a vu "quelques mines" antipersonnel dans une zone tampon de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (est), occupée par les forces russes, a-t-elle indiqué lundi, mais qui ne posent selon elle pas de danger pour la sécurité des installations."Lors d'une inspection le 23 juillet, l'équipe de l'AIEA a vu quelques mines situées dans une zone tampon entre les barrières des périmètres intérieur et extérieur du site", a indiqué l'agence dans un communiqué.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a regretté jeudi de n'avoir pas pu inspecter les toits de la centrale nucléaire de Zaporijjia, où l'Ukraine soupçonne les forces russes, qui occupent le site, d'avoir placé des mines ou des explosifs.Les experts de l'instance onusienne, présents sur place, "attendent toujours d'avoir accès aux toits des bâtiments des réacteurs", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
Dans une grande enquête, l’agence américaine Associated Press s’est penchée sur un système de détention abusive de civils, en Russie et dans les territoires occupés. Dans “The Atlantic”, une journaliste parle de “nouveau Goulag”.
Depuis plusieurs jours la centrale ukrainienne de Zaporijia est au centre de l’attention de la guerre en Ukraine. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de vouloir y mener une attaque.
Tandis que Volodymyr Zelensky s’inquiète publiquement d’un accident nucléaire provoqué par les Russes, ceux-ci lui retournent l’accusation. L’ONU demande à réinspecter le site, que les experts imaginent mal provoquer une catastrophe similaire à celle de 1986.
Russes et Ukrainiens mettent en garde contre une attaque sur la centrale.
Le Kremlin a averti mercredi d'un possible "acte subversif" ukrainien aux "conséquences catastrophiques" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, contrôlée par la Russie dans le sud de l'Ukraine, les deux camps s'accusant d'une provocation imminente.