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Élections
La parlementaire américaine Marjorie Taylor Greene, figure de la droite radicale et qui fut un soutien indéfectible de Donald Trump, a annoncé vendredi soir sa démission de la Chambre des représentants, après que le président eut rompu avec celle qui a dénoncé sa gestion du scandale sexuel Epstein.
La candidate de la coalition de centre gauche au pouvoir est arrivée en tête du premier tour, avec 26,71 % des suffrages, contre 24,12 % pour son rival d’extrême droite. Mais c’est José Antonio Kast qui fait désormais figure de favori pour le second tour, qui aura lieu le 14 décembre.
Candidate de l’union de la gauche, la communiste Jeannette Jara arrive en tête du premier tour. Mais l’addition des voix d’extrême droite, éparpillées sur deux candidats, ne lui laisse quasiment aucune chance pour le second tour du 14 décembre.
L’extrême droite pourrait profiter de cette élection présidentielle, pour répondre aux inquiétudes d’une grande partie des Chiliens face aux thèmes de l’immigration et de l’insécurité.
L’homme politique d’extrême droite, favorable au libre port d’armes et à la peine de mort, a enregistré une progression spectaculaire dans les intentions de vote en vue du scrutin du dimanche 16 novembre.
La Commission européenne dévoile ce mercredi 12 novembre un ensemble de mesures pour lutter contre la «guerre d’influence» menée par Moscou. Une initiative largement saluée mais qui ne va pas assez loin, selon Reporters sans frontières.
La nouvelle gouverneure de Virginie, Abigail Spanberger, avait mené une campagne centrée sur le rejet de Donald Trump. Dans le New Jersey, où la course était plus serrée, le candidat républicain a été défait malgré le soutien du président.
Selon un sondage réalisé par Eenvandaag en septembre, le climat est désormais loin derrière les autres préoccupations des électeurs avant le scrutin de mercredi 29 octobre.
Le Parti action et solidarité obtient 50 % des voix, selon le décompte encore partiel, ce qui lui assure plus de 51 sièges sur 101 au Parlement moldave. La coalition d’opposition, le Bloc patriotique, a appelé à manifester, lundi, pour contester les résultats en cas de « fraudes ».
Avant les élections législatives du 28 septembre, la Moldavie fait face à une vaste campagne d’influence sur les réseaux sociaux, imputée à la Russie. Mais l’extrême droite roumaine est également active pour discréditer le gouvernement pro-européen de la présidente moldave, Maia Sandu.
Les bureaux de vote ont ouvert dimanche matin en Moldavie – pays voisin de l'Ukraine en guerre – pour un scrutin législatif sous haute tension. Selon les autorités, le pays fait face à une "ingérence profonde" de la Russie.
Le petit pays d’Amérique du Sud, aux formidables réserves d’or noir, choisira lundi 1er septembre entre le président sortant de droite et son rival de gauche, représentants d’un bipartisme à base ethnique. Mais un nouveau venu populiste pourrait jouer les trouble-fêtes.
Le Guyana, petit pays pauvre d'Amérique du sud qui espère un avenir meilleur grâce aux plus grandes réserves de pétrole per capita de la planète, est appelé à des élections générales lundi sous la pression de son gigantesque voisin le Venezuela, dont les réclamations sur l'Essequibo se font toujours plus pressantes. Environ 750.000 électeurs (incluant la diaspora), sur une population de 850.000 habitants dont la plus grande partie vit dans la pauvreté, sont appelés à ce scrutin législatif à un tour qui couronne président le candidat dont le parti est arrivé en tête. Le vainqueur aura en charge la gestion de l'immense manne pétrolière qui a permis de quadrupler le budget de l'Etat, de 6,7 milliards de dollars en 2025. Le pays, qui a commencé l'exploitation pétrolière en 2019, espère faire passer sa production de 650.000 barils par jour actuelle à plus d'un million en 2030.
Le redécoupage devrait permettre à Donald Trump et aux Républicains de récupérer cinq sièges aux élections de mi-mandat. En réaction, les démocrates souhaitent redessiner la carte électorale en Californie.
Donald Trump n’attend pas 2028 pour poser les jalons de son avenir politique. Officiellement, la Constitution américaine l’empêche de briguer un troisième mandat présidentiel. Officieusement, le milliardaire multiplie les signaux contradictoires, brandissant des casquettes « quatre ans de plus » devant Volodymyr Zelensky et ses homologues étrangers, laissant planer le doute sur ses intentions, tout en orchestrant une vaste opération de remodelage électoral destinée à assurer aux Républicains une majorité durable au Congrès.
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