veille.eu

OA - Liste

– Outil de recherche de références documentaires –

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
Canopea

novembre 2025

Ne manquez pas notre dossier relatif à une comparaison du niveau d’acceptabilité de mesures en faveur de la sobriété et de l’efficacité énergétique dans l’usage des voitures ! Alors que la Belgique désire atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, l’usage actuel de la voiture hypothèque cette ambition. Il est donc nécessaire de revoir la manière dont nous utilisons nos véhicules pour réduire l’empreinte carbone de l’automobilité.
Les êtres humains et les écosystèmes sont exposés chaque jour à de nombreuses substances chimiques, dont les effets peuvent se combiner pour produire ce que l’on appelle un effet cocktail. Pourtant, la réglementation européenne continue d’évaluer ces substances individuellement, sans prendre en compte leurs effets combinés. Pour combler cette lacune, un facteur d’évaluation des mélanges appelé Mixture Assessment Factor (MAF) pourrait être introduit dans le règlement européen REACH (qui vise l’Enregistrement, Évaluation, Autorisation et la Restriction des substances Chimiques). Ce nouvel outil permettrait de mieux tenir compte de l’exposition simultanée à plusieurs substances.

octobre 2025

Comment cela est-il possible ? C’est précisément les questions abordées dans la partie 2 de l’essai de Cynthia Fleury intitulée « Fascisme, Aux sources psychiques du ressentiment collectif, qui suit la Racine présentant la partie 1.
Début septembre 2025, la société civile belge mettait la pression sur le gouvernement fédéral afin de renforcer, sans attendre, la réglementation des produits mis sur le marché afin que nous cessions d’être exposés quotidiennement aux PFAS1. Interdire l’utilisation des polluants éternels dans les biens que nous consommons, voilà ce que nous demandons. Une telle interdiction aura non seulement pour effet de limiter notre exposition en tant que consommateurs, mais également de réduire les potentiels rejets industriels contaminants nos ressources. Pour l’instant, la collectivité paie les pots cassés du manque de régulation en amont : traitement de l’eau polluée pour la potabiliser, soins de santé des personnes massivement contaminées, projets de recherche pour identifier les pistes de solutions, … Quelle politique souhaitons-nous favoriser ? Celles du « pollueur-payeur » ou bien du « pollué-payeur » ?
Ce mercredi 8 octobre, la majorité wallonne aura l’opportunité de s’opposer au traité UE-Mercosur à travers l’arme du droit. Or, la proposition actuelle de la majorité risque de passer à côté de l’objectif de stopper cet accord en choisissant délibérément de restreindre l’analyse juridique de ce traité. La majorité doit clarifier sa position.
40 experts ont produit 40 indicateurs et 700 cartes qui permettent d’évaluer et localiser les risques climatiques auxquels la Wallonie est confrontée et ces données sont rassemblées sur le Portail Climat. Disposer d’un diagnostic robuste des vulnérabilités du territoire est un préalable à tout déploiement de politique d’adaptation et de mise en œuvre d’un programme d’action ambitieux.

septembre 2025

Plus de 43.000 signatures ont été récoltées, au travers de six pétitions différentes, afin de s'opposer et d'interdire les pesticides en Wallonie, particulièrement ceux considérés comme dangereux car s'appuyant sur des PFAS, souligne lundi Canopea.
Il est prioritaire d’adapter le territoire face aux conséquences des dérèglements climatiques, en se concentrant sur la vulnérabilité des personnes. Quatre ans après les inondations, nous sommes toujours démunis et peu préparés aux prochaines catastrophes.

juillet 2025

A côté du méga deal d’été en matière de chômage, retraite, le gouvernement fédéral a présenté son Plan Fédéral Énergie et Climat (PFEC) c’est-à-dire, les mesures qu’il entend prendre pour le climat d’ici 2030. Il s’agit d’une mise à jour d’un plan présenté par le précédent Gouvernement en 2023 (qui était déjà bien insuffisant). Il nous éloigne encore davantage de l’ambition de mettre la Belgique sur une trajectoire de décarbonation.
Sur la question de l’environnement, l’enquête est claire : L’environnement ne préoccupe plus (trop) les Belges. Un chiffre le montre assez clairement : en 2019, au cœur des manifestations pour le climat, 30% des Wallons citaient spontanément le climat ou la biodiversité comme leur préoccupation principale. En 2025, ils ne sont plus que 2-3% selon les régions… Plus grave, l’environnement n’apparait tout simplement pratiquement plus dans les préoccupations citées spontanément par les Belges lors de l’enquête…

juin 2025

Cette question était au centre de l’atelier « Du SDT aux SDC : Réduire la vulnérabilité du territoire et des habitants » qui s’est tenu le 13 mars dernier dans nos locaux. L’objectif était d’examiner comment intégrer le principe de mise en œuvre SA5.P4 du SDT : « La vulnérabilité des espaces urbanisés, des infrastructures et des bâtiments est réduite en vue d’anticiper et de limiter les risques de dommages. Pour ce faire, les risques naturels sont pris en considération lors de la planification de tout projet d’aménagement, mais également lors de la conception d’infrastructures, des réseaux de communication et de transport de fluide et d’énergie. »
Si la justice permet de mettre les états face à leur responsabilité en matière de climat, elle reste plus timide en ce qui concerne les autres enjeux environnementaux1, particulièrement en Belgique. Le concept de « préjudice écologique » a par exemple été reconnu pour la première fois assez tardivement2, en 2021, dans l’Arrêt Tenderie3 et n’est toujours pas entré dans le Code civil belge. Or, comme le rappellent Canopea et d’autres associations de protection de l’environnement, environ 95 % de nos habitats naturels sont en état défavorable, menaçant les équilibres écologiques et l’avenir des générations présentes et futures. Le GIEC et l’IPBES soulignent d’ailleurs la nécessité d’agir face à la sixième extinction de masse.
Face aux crises environnementales, aux tensions géopolitiques, aux vulnérabilités économiques, une question devient de plus en plus pressante : comment construire un monde capable d’être stable malgré la tempête ? Comment imaginer des projets, des organisations, des modes de vie qui résistent aux crises, s’adaptent aux changements et persistent dans le temps, en s’appuyant sur les liens sociaux et aux vivants. Des projets qui misent sur la robustesse, comme antidote au culte de la performance.
L’Europe a fixé, dans le Green Deal, un objectif de réduction de 50% de l’utilisation des pesticides sur son territoire d’ici 2030. Dans ce domaine comme dans d’autres (notamment les objectifs climatiques), la Wallonie s’inscrit dans l’objectif… sans se donner les moyens d’y parvenir. C’est ce que pointe un rapport publié début mai par la Cour des comptes.

mai 2025

2024 fut une année charnière pour le développement du secteur aérien. Depuis 2022, de nombreux d’acteurs se sont mobilisés autour du renouvellement des permis d’exploitation des 3 principaux aéroports du pays. En effet, ces permis d’exploitation arrivaient à échéance et les procédures de renouvellement pour les vingt prochaines années ont mobilisé de nombreux acteurs aux intérêts divergents.


Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.

Autres Thématiques