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Accord
L'accord conclu entre Washington et Bruxelles prévoit que l'Union européenne achète pour 250 milliards de dollars par an d'énergies fossiles américaines sur 3 ans (soit 750 milliards de dollars au total), une promesse qui s'annonce difficile à tenir, voire qui est "irréaliste" selon des experts de l'énergie interrogés par l'AFP. En 2024, la facture totale des importations énergétiques de l'UE s'est élevée à 375 milliards d'euros, ou 435,5 milliards de dollars, ce qui signifie que l'Europe des 27 devrait désormais acheter aux États-Unis plus de la moitié de son énergie importée.
L'Union européenne s'est engagée à importer d'énormes quantités d'énergie américaine pour éviter une guerre commerciale avec Donald Trump. Des commandes de gaz naturel liquéfié, de pétrole ou de charbon qui pourraient mettre en péril les objectifs de décarbonation européens.
D'une dépendance à l'autre. A mesure que l'Union européenne se sèvre du gaz russe, elle ouvre grands ses portes (et ses ports) au GNL américain. En échange de droits de douane abaissés à 15%, Ursula von der Leyen a promis d'augmenter significativement les importations d'hydrocarbures américains. Un deal loin d'être gagnant pour la transition.
C'est ce que révèle ce mardi De Standaard, sur base d'une question parlementaire du député Groen Aimen Horch au ministre-président flamand Matthias Diependaele (N-VA), en charge de la politique industrielle.
Le deal conclu comprend l'achat de 750 milliards de dollars d'énergie américaine sur trois ans. Cette hausse des importations concerne notamment le gaz naturel liquéfié. Un signal environnemental et climatique catastrophique.
Le Premier ministre français François Bayrou a regretté lundi "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission" en signant l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis.
L’accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche 27 juillet n’est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l’UE divergent.
En signant l’accord qui fixe à 15% les taxes sur les produits européens, l’UE semble s’être pliée aux règles du président américain. Peut-être pouvait-elle montrer plus de muscles face à un interlocuteur qui ne comprend que la force.
L’accord politique conclu dimanche entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, doit encore être précisé par des négociations techniques. Mais l’essentiel est connu : l’Europe n’obtient rien et fait moins bien que le Royaume-Uni, ce qui souligne la faiblesse politique de ce géant commercial.
Sous le feu des critiques, Bruxelles a présenté lundi l'accord commercial avec les États-Unis de Donald Trump comme le "meilleur" compromis possible dans un contexte "très difficile". Il doit encore être précisé dans une déclaration commune des deux partenaires attendue d'ici au 1er août. Voici ce que l'on sait à ce stade: Que prévoit l'accord?
Dans le cadre de l'accord sur les droits de douane obtenu ce dimanche, l’Union européenne et les États-Unis ont annoncé un accord de principe pour l’achat de 750 milliards de dollars d’énergie américaine sur les trois prochaines années. Derrière cette annonce spectaculaire se dessine un projet stratégique de réorientation énergétique, destiné à réduire la dépendance à la Russie. Mais cet accord est encore très flou, comme le fait remarquer l’économiste Sophie Meritet, spécialiste de l’énergie.
Donald Trump et Ursula von der Leyen concluent un accord commercial entre lUE et les États-Unis en Ecosse. Donald Trump a annoncé des droits de douane à 15 %.
La Russie et l'Ukraine se sont accordées à l'issue de pourparlers à Istanbul mercredi sur un nouvel échange de prisonniers concernant 1.200 personnes de chaque côté, et Moscou a proposé à Kiev de lui remettre les corps de 3.000 nouveaux soldats, a annoncé le négociateur russe.
Les Etats-Unis et Bahreïn ont paraphé mercredi un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil, peu avant une rencontre à la Maison Blanche entre le président Donald Trump et Salmane ben Hamad Al-Khalifa, prince héritier de cette monarchie du Golfe. "Il s'agit d'une signature importante", a déclaré le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio lors d'une cérémonie de signature au côté de son homologue bahreïni, Abdellatif ben Rachid Al-Zayani.
La France a fait figure de pionnière en sortant du Traité sur la charte de l'énergie (TCE) en 2023, un accord qui permet de protéger l'intérêt des investisseurs dans le secteur énergétique. Mais au-delà du TCE, le pays est lié à des dizaines d'autres traités tout aussi néfastes mais dont il n'a pas l'intention de sortir à date.
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