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ONU | UNCCD
Afin d’éviter un blocage, le premier ministre australien, Anthony Albanese, qui avait rejeté lundi une offre de co-organisation, affirme que son pays « ne chercher[a] pas à opposer [son] veto » si le choix se porte sur Ankara.
La proposition de résolution américaine visant à garantir la permanence du cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne a recueilli, lundi 17 novembre, une majorité de votes au Conseil de sécurité de l’ONU, et provoqué la fureur d’Israël.
Sous la pression américaine, les Nations unies ont validé lundi 17 novembre au soir le plan de paix de Donald Trump pour l’enclave palestinienne. Dans cette version du texte, l’éventualité d’un Etat palestinien est mentionnée.
Israël affirme que le plan de Trump sur Gaza apportera "paix et prospérité" après le vote à l’ONU. Le Hamas a de son côté déploré l’adoption d’une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.
L’agence de l’ONU, qui déplore « plusieurs famines simultanées » dans le monde, estime ne pouvoir apporter une aide alimentaire qu’à 110 millions de personnes sur les 318 millions concernées.
La promesse d’un air plus respirable et de métropoles apaisées semblait à portée de main. Sur fond d’interdictions graduelles, les véhicules les plus polluants s’effaçaient des rues sous le regard parfois résigné, parfois soulagé des riverains. Pourtant, en mai dernier, l’Assemblée nationale a tranché : la suppression ou l’assouplissement des ZFE est votée. En une session mouvementée, des années de petites victoires sur la pollution urbaine s’évanouissent.
Alors que les vagues de chaleur se multiplient, le Programme des Nations unies pour l’environnement alerte sur une forte augmentation de la demande d’appareils climatiseurs, et plaide pour des solutions moins polluantes.
L’administration américaine souhaite inscrire ce volet de son plan de paix dans le cadre des Nations unies. Le texte prévoit une présence jusqu’au 31 décembre 2027, renouvelable, et sous l’égide d’un comité présidé par Donald Trump.
Le secrétaire général des Nations unies prononcera ce jeudi 6 novembre un discours en prélude à la COP30. Depuis 2017, il rivalise d’inventivité pour trouver des mots toujours plus percutants afin d’alerter sur l’urgence climatique. Un style engagé qui détonne dans le milieu politique.
Le rapport annuel du Programme des Nations unies pour l’environnement vient de tomber avec une révélation que personne ne souhaite entendre : quand bien même l’intégralité des engagements climatiques seraient honorés à la lettre, l’objectif phare de l’accord de Paris sera pulvérisé avant 2035. Cette projection n’émane pas de militants écologistes alarmistes, mais d’une analyse rigoureuse menée par des dizaines de scientifiques mandatés par l’ONU. Les chiffres sont sans appel et redessinent brutalement notre avenir climatique.
Washington a présenté mercredi à des pays partenaires un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix de Donald Trump à Gaza, a indiqué la mission américaine aux Nations unies. La mise en place de ce plan entraînerait notamment le déploiement d'une force internationale dans l'enclave palestinienne.
La Terre passera officiellement au-dessus du seuil de réchauffement de 1,5 °C d’ici la prochaine décennie, selon le dernier rapport du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Pour rester en-dessous de cette limite, il faudrait en effet réduire les émissions annuelles de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2035 par rapport à 2019 – un objectif non réaliste compte tenu du temps qui reste et des mesures insuffisantes prises jusqu’à présent par les pays.
La poursuite des politiques actuellement en place conduit la planète vers une hausse des températures mondiales de 2,8 °C d’ici à la fin du siècle, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement.
Dix ans après l’accord de Paris, l’ONU vient de publier un rapport qui devrait faire trembler les gouvernements. Derrière les formules diplomatiques se cache une réalité brutale : les efforts actuels ne représentent qu’un sixième de ce qui serait nécessaire pour éviter le chaos climatique. Pire encore, les plus gros pollueurs de la planète n’ont même pas rendu leur copie.
A l’initiative des Américains, le Conseil a pris position ce vendredi 31 octobre pour une autonomie sous souveraineté marocaine pour ce vaste territoire désertique. L’Algérie a refusé de participer au vote.
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