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Philippe Ricard

octobre 2025

Le quai d’Orsay souligne les « faiblesses » et les « risques » de la feuille de route concoctée par les Etats-Unis et Israël, notant que la création d’un Etat palestinien n’y apparaît que comme un horizon lointain et flou.

septembre 2025

Donald Trump a évoqué vendredi 26 septembre un « deal » qui permettrait la libération des otages israéliens et la paix à Gaza. En coulisse, une poignée d’Etats, dont la France et des pays arabes, tentent de convaincre le président américain d’être plus ferme avec le premier ministre israélien.
A moins que Téhéran n’accepte les conditions posées par Paris, Londres et Berlin, notamment le retour des inspecteurs de l’AIEA, l’embargo sur les exportations iraniennes de pétrole sera rétabli le 28 septembre.
Après un soutien initial sans faille à Israël, le président français a recentré sa position sur la solution à deux Etats. Une inflexion, opérée au fil de la guerre à Gaza, qui se concrétisera par la reconnaissance de la Palestine par la France à l’ONU, le 22 septembre.
Emmanuel Macron doit prononcer son discours de reconnaissance de la Palestine, lundi 22 septembre dans l’enceinte des Nations unies à New York. En guise de représailles, Israël envisage de fermer le consulat français de Jérusalem et d’annexer une partie de la Cisjordanie.
Le rapport publié mardi juge que l’Etat hébreu commet quatre des cinq catégories de faits qui définissent le crime de génocide, selon la convention de 1948.
Avant d’accentuer la pression sur Vladimir Poutine, Donald Trump exige de ses alliés européens qu’ils cessent d’acheter du pétrole russe et augmentent les droits de douane sur les produits chinois. Inacceptable pour l’UE, qui doit présenter, lundi, un 19ᵉ train de mesures et craint de faire les frais d’une guerre commerciale entre Washington et Pékin.
En refusant de se soumettre à l’« examen périodique universel sur la situation des droits humains » prévu en novembre par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les Etats-Unis se détachent un peu plus des instances multilatérales.
Les dirigeants d’une trentaine de pays engagés à soutenir Kiev contre l’agression russe se réunissent jeudi en visioconférence en présence du président ukrainien.

août 2025

La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, signataires de l’accord de 2015 encadrant le programme nucléaire de l’Iran, ont notifié leur décision au Conseil de sécurité des Nations unies, en raison des violations de ses engagements par la République islamique.
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.
Le président ukrainien a refusé que la rencontre ait lieu à Moscou. Washington plaide pour Budapest, et la Suisse et l’Autriche se sont portées candidates pour accueillir la rencontre.
La question a été abordée, mardi, par les membres de la « coalition des volontaires », la plupart européens, et sera à nouveau au menu d’une réunion des chefs d’état-major de l’OTAN, mercredi. En jeu, le rôle des Etats-Unis et une éventuelle clause d’assistance mutuelle.
Organisé à la va-vite dimanche, le déplacement conjoint des principaux dirigeants européens illustre, surtout, leur volonté d’être impliqués dans toute négociation entre les Russes et les Américains.

mai 2025

La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.


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