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avril 2025

Première mobilisation d'ampleur depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Des milliers d'Américains ont manifesté samedi, aux États-Unis, pour dénoncer la politique de la nouvelle administration américaine et les coupes budgétaires orchestrées par le milliardaire Elon Musk.
Près de 1 200 rassemblements à travers les États-Unis samedi 5 avril, à l’appel d’organisations citoyennes, politiques et militantes, invitant une vague de rage protestataire contre le Président à déferler partout.
Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les attaques contre les sciences aux États-Unis. Coupes budgétaires, gel des embauches et interdiction de mots dans les articles scientifiques inquiètent les chercheurs outre-Atlantique. Et nombre d’entre eux pourraient bien songer à changer d’air pour poursuivre leur carrière en Europe ou au Canada. Une chercheuse américaine a accepté de témoigner auprès de France 24 de ses difficultés personnelles actuelles.

mars 2025

La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
La fuite d'une conversation privée entre différents hauts responsables américains montre les critiques acerbes de ces derniers à l'encontre les États européens. Pour les membres de cette conversation, les États européens retirent un avantage significatif de l'action américaine qui souhaite rétablir la liberté de navigation. Et ces échanges montrent le sentiment anti-européen bien présent au sein de l'administration Trump.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Le ministère américain de la Sécurité intérieure a annoncé vendredi mettre fin par ordonnance au statut légal de plus de 500 000 migrants latino-américains, sommés de quitter les États-Unis d'ici quelques semaines. Une décision qui a suscité une levée de boucliers.
Mais sur la scène intérieure, la tension monte aussi entre le président américain et les médias qui osent s’opposer à sa vision du monde.Ces tensions entraînent une profonde polémique aux États-Unis, en effet, de nombreux observateurs dénoncent une véritable censure et une remise en cause du premier amendement, qui garantit la liberté d’expression. Malgré les plaintes déposées par AP, l’administration Trump est bel et bien en position de force car, comme on l’a vu, les ventes des titres de presses sont en chute libre et beaucoup de journaux dépendent des abonnements gérés par l’État fédéral.
Une "purge". C’est ainsi que nombre de scientifiques à travers le monde définissent la nouvelle politique de Donald Trump à l’égard du monde de la recherche. Début mars, un collectif dénonçait même dans le journal "Le Monde" une menace pour "l’un des piliers de la démocratie [américaine] : la liberté académique et scientifique" après les coupes budgétaires décidées par la nouvelle administration à la Maison Blanche. ... Face à ce constat, "une douche froide pour le monde académique américain" souligne Marius Gilbert, l’ULB veut se montrer solidaire évidemment, mais aussi concrètement mobiliser des moyens en proposant des postes disponibles. Comment ? En association avec son pendant flamand, la VUB, l’idée est de recruter 36 mandats postdoctoraux pour des chercheurs d’autres pays.
La Vrije Universiteit Brussel (VUB) souhaite attirer des chercheurs américains à Bruxelles, en réponse à ce qu'elle considère comme une "ingérence préoccupante" de l'administration Trump dans la liberté de la recherche académique aux États-Unis. L'université a ouvert un total de 12 postes postdoctoraux avec une attention particulière pour les chercheurs américains, annonce-t-elle lundi.


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