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This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.
Christophe Cassou, climatologue et auteur du GIEC dans le groupe 1, est invité sur le plateau de franceinfo suite à une étude qu'il a sorti et pour parler des vagues de chaleur actuelles. Il y explique l'évolution des températures globales et leurs conséquences. Ça fout les boules, mais qu'est-ce que ça motive.
Faire face aux conséquences du changement climatique. S’y adapter. Trop longtemps, cette ambition a été vue comme un renoncement, presque considérée comme une faute morale. Depuis peu, les regards ont commencé à changer. Mais, à l’heure où la trajectoire de réchauffement mondial mène à + 3,1 °C en 2100, il y a urgence.
Dans une étude internationale, des chercheurs révèlent que le reboisement est 10 fois plus rentable pour atténuer le réchauffement climatique que ce qui a été estimé précédemment par le GIEC.
Depuis quelques mois, en France, les annonces et les évènements se multiplient autour de l’adaptation au changement climatique pour tenter de répondre aux questions : “Comment adapter nos territoires ?” “Comment adapter nos secteurs économiques ?” Le gouvernement a d’ailleurs annoncé un futur plan national d’adaptation au changement climatique pour le mois de juin 2024.
Par quels mécanismes les habitants des pays riches jouent-ils double jeu sans parfois le savoir ? En matière de changement climatique tout le monde a compris que la planète était en train de se fâcher gravement, que des souffrances étaient distribuées très irrégulièrement devant nous, et qu’il fallait prendre cela tout à fait au sérieux. Mais se comporter écologiquement, manger bio plus cher, et prêter son argent à des entreprises vertes qui ne rapportent pas grand-chose, tout le monde a compris qu’il valait mieux faire semblant que de le faire vraiment.
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La mise en place de politiques de sobriété nécessite une métamorphose de l’économie qui va bien au-delà du plan annoncé par Emmanuel Macron et des appels des énergéticiens français à modifier nos habitudes, estime, dans une tribune au « Monde », Yamina Saheb, experte du GIEC.
Jean-Marc Touzard, directeur de recherche à l’INRAE (Institut National de Recherche Agronomique), revient pour EURACTIV sur les perspectives d’évolution des indications géographiques et appelle à intégrer au cahier des charges des stratégies d’atténuation des perturbations climatiques.
Yamina Saheb est experte internationale des politiques d’atténuation du changement climatique au cabinet d’études OpenExp et enseignante à Sciences Po Paris. Elle est l’une des auteurs du rapport du GIEC sur l’atténuation du changement climatique.
C’est l’affaire Galilée du XXIe siècle : la croissance économique des pays développés s’est-elle découplée des pressions environnementales ? Au cours de la dernière décennie, la réponse dominante (même si non prouvée) était : oui, les pays riches ont verdi leur croissance, ce qui signifie qu’elles peuvent désormais continuer d’augmenter leur PIB tout en réduisant leurs émissions. Cette illusion d’un consensus scientifique a servi d’épine dorsale à la plupart des politiques environnementales à travers le monde. Mais cette affirmation est-elle bien solide? Je défends que non depuis Decoupling debunked (2019) et je ne me suis jamais senti aussi confiant qu’après avoir lu le dernier rapport du GIEC sur l’« Atténuation du changement climatique. » Ce que j’ai l’intention de montrer dans cet article, c’est que l’affirmation rassurante selon laquelle le découplage est faisable, comme on peut le lire dans le résumé pour les décideurs et l’entendre en boucle dans les médias, est scientifiquement sans fondement.
Clôturant la trilogie ouverte en août 2021 – avec son rapport sur la « science du changement climatique »(1) suivi en mars 2022 par celui sur les « impacts et adaptation »(2) –, le GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’étude du climat) a rendu public ce lundi 4 avril 2022 son nouveau rapport sur l’« atténuation »(3). Initiée en 2018, cette somme signée par 278 scientifiques du monde entier dresse l’état des connaissances scientifiques sur les options de réduction des émissions (« l’atténuation » du titre) de gaz à effet de serre.
Clôturant la trilogie ouverte en août 2021 – avec son rapport sur la « science du changement climatique » suivi en mars 2022 par celui sur les « impacts et adaptation » –, le GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’étude du climat) rend public ce lundi 4 avril 2022 son nouveau rapport sur l’« atténuation ».
Atténuer le changement climatique et s’y adapter sont les deux voies indispensables pour réduire les risques que génère le changement climatique.
des éléments d’analyse géomorphologique qui alimentent la thèse d’un anthropocène urbain qui se serait accéléré après la deuxième guerre mondiale. Ils appellent également à une meilleure prise en compte des études géomorphologiques dans la politique d’anticipation des risques.
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