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contradictions
Anti-environmentalism is gaining ground. Attacks on the net zero goal and hostility to conservation measures and anti-pollution targets are becoming more common. And, as recent election results have shown, these tactics are reshaping politics in Britain and across the west.
Peut-on être président d'une COP tout en dirigeant l'une des plus grandes entreprises pétrolières de la planète ? En désignant Sultan al-Jaber comme président de la COP28, les Émirats arabes unis avaient provoqué l'ire des défenseurs de l'environnement. Pourtant, à l'ouverture de cette nouvelle session de négociations sur le climat, l'ambition affichée par les organisateurs est claire : cette COP doit être historique, y compris sur la question des énergies fossiles.
Presque au moment où l'Equateur annonçait cette semaine qu'il allait arrêter la production pétrolière dans un gisement emblématique en Amazonie, le Brésil vantait des investissements massifs dans les hydrocarbures, prévoyant l'exploration de pétrole près de l'embouchure de l'Amazone.Un paradoxe pour le gouvernement du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, qui se présente volontiers en champion de la lutte contre le changement climatique, mais est épinglé pour sa réticence à abandonner les énergies fossiles.
Les majors pétrolières ont fait une très, très bonne année 2022. Elles tirent des bénéfices record de la crise de l’énergie. TotalEnergies, Shell et BP ont réalisé, à elles trois, plus de 87 milliards de dollars de profits, tout comme Exxon (55,7 milliards de dollars pour 2022). Si l’univers boursier salue ces performances, elles sont préoccupantes pour le climat rappellent avec force les ONG. D'autant que BP a d’ores et déjà annoncé revoir ses objectifs de neutralité carbone à la baisse et que les nouveaux projets fossiles comme celui d’EACOP porté par TotalEnergies, trouvent de nouveaux moyens de financement.
Les Émirats arabes unis ont désigné jeudi le patron de leur compagnie pétrolière nationale pour présider la COP28 prévue cet automne à Dubaï, provoquant l'ire des défenseurs de l'environnement. Sultan Ahmed al-Jaber est cependant aussi le visage du développement des énergies renouvelables dans le pays.
Limiter la climatisation, éteindre les lumières et les appareils électroniques, privilégier les alternatives à la voiture… La sobriété est partout, dans toutes les bouches et dans toutes les têtes. Mais est-elle vraiment compatible avec le monde dans lequel nous vivons ?
Bruxelles annonce la création d’un pôle d’achats pour regrouper ses commandes gazières. Au Qatar, la visite du ministre allemand de l'Economie et de la Protection du climat, le vert allemand, (ça ne s’invente pas) Robert Habeck a grillé la politesse à tout le monde pour aller se servir en premier. Le voyage a crispé et c’est peu dire. Pour éviter, ce type de comportement prédateur, Bruxelles a dû réagir. Cependant, la crise énergétique dans laquelle se trouve l’Europe est en grande partie son œuvre. Rien n’a été fait dans la demi-mesure. En effet, dans un dogmatisme libéral économique des années 90 poussée à l’extrême, la Commission a forcé les grands acteurs de l’énergie européens à supprimer les achats à long terme de gaz et de pétrole pour se rabattre sur le court terme.
Joe Biden a critiqué mardi l’absence de son homologue chinois à la COP26. Que signifie cette absence, alors que la Chine, le plus gros pollueur de la planète, investit massivement dans les énergies vertes ? Selon Jean-François Huchet, professeur d'économie à l’Inalco, la Chine est "prise dans ses propres contradictions", à la fois concentrée sur ses préoccupations nationales et désireuse de se présenter comme un "bon élève" de la préservation de l'environnement.
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