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cyberattaque
Le collectif NoName serait à l'origine de cette attaque.
Des cyberattaques contre des communes ou des hôpitaux, des incendies, des sabotages, des intimidations de journalistes, etc. : Autant d’actes malveillants commis sur le sol européen ces derniers mois. Ils sont pilotés par la Russie mais commis par des Européens recrutés en ligne pour quelques dizaines ou centaines d’euros. C’est ce que révèle une enquête menée par un groupement de journalistes européens.
Les faits ont été revendiqués par un groupe de hackers baptisé NoName, déjà connu pour d’autres attaques et défendant les intérêts de la Russie.
Plusieurs sites internet de pouvoirs publics ont été la cible d'une cyberattaque lundi matin. Selon le Centre pour la cybersecurité Belgique (CCB), l'attaque provient du collectif de pirates informatiques pro-russes "NoName057".
Réunis à Bruxelles, les ministres de la Défense de l’Alliance se sont accordés sur des moyens de défense face à ces attaques hybrides qui se multiplient. Ils ont aussi bombé le torse face aux provocations nucléaires de la Russie.
Sandworm, un groupe de pirates informatiques actif en Ukraine et lié aux services de renseignement russes, est en passe de devenir une menace mondiale importante, a averti mercredi une importante société de cybersécurité.
Dans le cadre de notre série “L’Europe face au risque d’une guerre avec la Russie”, nous avons analysé le degré de protection de nos infrastructures énergétiques.
Alors que le Covid-19 a montré la très grande vulnérabilité de nos chaînes d'approvisionnement mondiales, les risques se multiplient. Le canal du Panama est obligé de réduire de 50% son trafic en raison d'une sécheresse intense liée à la crise climatique quand l'Australie subit une cyberattaque massive qui a mis à l'arrêt ses plus grands ports. Dans un monde en polycrises, les failles sont de plus en plus visibles.
Selon les autorités chargées de la cybersécurité aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ainsi que Microsoft, un "cyber-acteur" connu sous le nom de "Volt Typhoon" et parrainé par Pékin a infiltré les réseaux d'infrastructures critiques des États-Unis, notamment dans l'île de Guam, qui héberge une importante base militaire américaine.
Pendant une douzaine d’heures, de nombreux clients d’Ukrtelecom ont vu leur connexion interrompue. La raison ? Une cyberattaque russe, selon les autorités ukrainiennes.
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