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déchets radioactifs
Aux États-Unis, des scientifiques ont mis au point une batterie électrique capable de générer de l’énergie en captant les ondes électromagnétiques des déchets nucléaires. Ce concept est potentiellement révolutionnaire puisqu’il permettrait ainsi de donner une seconde vie à ces déchets dangereux. ... Selon les résultats, les scientifiques ont mesuré une puissance de 288 nanowatts avec une alimentation au césium 137 et 1,5 microwatt en ce qui concerne le cobalt 60. Évidemment, ces quantités d’énergie semblent très faibles, mais pour les auteurs de l’étude, elles sont néanmoins suffisantes pour alimenter de petits capteurs.
Située dans le sud de la Finlande, l'île d'Olkiluoto va bientôt inaugurer un nouveau site d'enfouissement de déchets radioactifs.
La Suède et l'Allemagne disposent déjà de nouvelles méthodes de recyclage des matériaux faiblement radioactifs après la fermeture d'une centrale nucléaire.
Dossier « illisible », « lacunaire »... Les associations antinucléaires réclament que l’instruction de la demande d’autorisation de création du projet Cigéo soit prolongée de deux ans. Bure (Meuse), reportage Rares sont les opportunités de voyager dans le temps profond. Sauf quand on traverse les couches géologiques qui doivent accueillir des déchets de l’industrie nucléaire. C’est à Bure, dans la Meuse, que doit être construit le futur site d’enfouissement des déchets radioactifs, baptisé Cigéo.
Cigeo, le projet français d'enfouissement des déchets les plus radioactifs du parc nucléaire, devrait connaître vers le début de 2025 une nouvelle étape, avec la publication de son évaluation de sûreté, a-t-on appris mardi auprès de l'Andra, l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs.Le projet, qui vise à enfouir à 500 m sous terre, dans la Meuse, les déchets les plus actifs et de longue durée, fait l'objet d'une demande d'autorisation de création auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dont la réponse est attendue vers 2028 estime l'Andra.
Alors que l’entreprise Orano est en train de dépolluer une zone contaminée par des éléments radioactifs près de son usine de retraitement nucléaire, les agriculteurs des terrains voisins craignent d’avoir été gravement touchés.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.
La France, champion du nucléaire civil aux ambitions renouvelées, compte à ce jour 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, un stock amené à croître mais que les pouvoirs publics se disent en capacité de gérer.Quelque 220.000 m3 supplémentaires ont rejoint le stock de déchets en cinq ans, soit 14% de plus, selon cet inventaire quinquennal à fin 2021 publié mardi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
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