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démantèlement
Lors d’un rassemblement lundi 13 octobre au soir, la magistrate récemment inculpé a aussi exprimé son soutien au candidat démocrate à New York, Zohran Mamdani, autre bête noire du président américain.
Dans cette tribune pour Novethic, Fabrice Bonnifet, président du C3D et de GenAct, alerte sur le démantèlement du Green Deal européen et ses conséquences pour la transition écologique.
L’universitaire et activiste vient de subir une cabale de l’extrême droite américaine, alimentée par des soutiens du Président. Menacé de mort, celui qui alerte sur le «retour d’une violence suprémaciste» a failli être empêché de quitter les Etats-Unis, avant de parvenir à se rendre en Espagne. «Libération» a recueilli son témoignage.
L’administration Trump avait fait appel d’une décision d’une juge fédérale qui avait bloqué, jeudi, l’arrivée de 500 militaires dans la mégapole. La cour d’appel permet toutefois que les gardes restent sous le contrôle de l’Etat fédéral, en attendant un jugement sur le fond.
Jamais l’ensemble des généraux américains n’avaient été convoqués pour écouter le président du pays et leur ministre de tutelle comme ce fut le cas ce 30 septembre à Quantico (Virginie). Cette réunion historique a vu Donald Trump et Pete Hegseth tenir à des hauts gradés silencieux un discours aux intonations martiales et virilistes dont l’objectif réel était de les préparer à diriger des opérations militaires… à l’intérieur même des États-Unis, dans les villes dirigées par des démocrates.
Alors que la crise budgétaire s’enlise, des milliers d’employés fédéraux ont été congédiés par l’administration américaine qui a visé « ceux proches de démocrates ».
Au risque de perdre d’importants financements fédéraux, la présidente du prestigieux Massachusetts Institute of Technology a refusé de céder à la pression du gouvernement et a choisi de défendre l’indépendance de son institution.
Le président américain avait assumé vouloir se venger de la procureure démocrate Letitia James, deuxième figure publique à faire l’objet, en quelques jours, d’une inculpation qu’il avait directement réclamée.
Directeur du Bureau de la gestion du budget, Russell Vought caresse un rêve : réduire à son minimum l’Etat fédéral américain pour offrir les pleins pouvoirs à Donald Trump. Alors que les États-Unis sont plongés dans le shutdown, il veut saisir l'occasion pour licencier des milliers de fonctionnaires et de saper les agences fédérales. Au risque d'ouvrir une bataille devant les tribunaux.
Le directeur du Budget de la Maison Blanche, Russ Vought, a annoncé vendredi sur X que les "réductions d'effectifs avaient commencé" pour les fonctionnaires fédéraux alors que les Etats-Unis sont en situation de paralysie budgétaire.
En conflit ouvert avec plusieurs gouverneurs démocrates après le déploiement de la Garde nationale dans plusieurs villes américaines, Donald Trump menace d’invoquer l’Insurrection Act, loi d’exception héritée du XIXe siècle. Derrière ce geste, un bras de fer institutionnel et la crainte d’un tournant autoritaire.
Le président américain a réuni, mercredi 8 octobre, une table ronde sur la mouvance antifa, qu’il a désignée comme terroriste le 22 septembre. La ministre de la justice, Pam Bondi, a promis de « détruire l’organisation entière du sommet à la base ».
Directeur du Bureau de la gestion du budget, le haut fonctionnaire qui rêve de réduire à son minimum l’Etat fédéral américain entend profiter de la paralysie budgétaire pour arriver à ses fins. Et concentrer le pouvoir dans les mains de Donald Trump.
La procureure générale de l'Etat de New York Letitia James, opposante déclarée de Donald Trump qui réclamait des poursuites à son encontre, a été inculpée jeudi par un grand jury fédéral en Virginie.
C’est aux États-Unis. En 2025. Le fascisme, c’est ça : désigner les intellectuels comme « terroristes » et les persécuter au point qu’ils soient forcés de fuir leur pays. Les États-Unis n’ont pas basculé d’un coup. Ils ont laissé l’extrême droite s’emparer d’une partie des médias, ils l’ont laissée imposer ses sujets, son vocabulaire, ses méthodes politiques, ses réseaux, sa vision du monde. Peu à peu la guerre aux « wokistes » est devenue la priorité. On s’est collectivement habitués à la brutalité politique, au mensonge, à la post vérité. Au nom de la neutralité, de nombreux journalistes ont cessé de combattre ces idées nauséabondes, probablement terrifiés à l’idée d’être ciblés, d’être qualifiés de « militants ».
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