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Lors de l’assemblée générale de TotalEnergies, le 23 mai, les dirigeants de la multinationale ont jugé « bénéfiques » leurs nouveaux investissements dans les hydrocarbures.
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Mais avec des si, également, la décarbonation de la capitale pourrait rapporter plus qu’elle ne va coûter. Le 20 novembre, le Conseil de Paris adoptait le Plan Climat 2024-2030. Son objectif est clair : diviser par deux les émissions de CO2 d’ici à 2030 et les supprimer totalement pour 2050. Une démarche coûteuse, mais qui pourrait aussi se révéler rentable, selon une étude de l’Observatoire français des conjonctures économiques réalisée à la demande de la mairie… A condition que certaines hypothèses soient validées, et que l’on mette la main au portefeuille.
Le président américain a été reçu en grande pompe mardi par Mohammed Ben Salman, avec qui il a signé un « partenariat économique stratégique ». La Maison Blanche a estimé le montant total des investissements saoudiens à 600 milliards de dollars.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Le géant nucléaire EDF et le fonds français Siparex ont annoncé mardi le lancement d'un 2e fonds d'investissement pour couvrir les immenses besoins de financement de la filière industrielle appelée à participer à la relance du nucléaire en France. "La vocation" du Fonds France nucléaire 2 (FFN2) est d'accompagner des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) "disposant d'un savoir-faire important dans le nucléaire" afin de répondre aux "besoins croissants de la filière, laquelle contribue aux enjeux de souveraineté", indique le communiqué commun.
Un fonds souverain qui fait un investissement dans une plateforme d’échange de cryptomonnaies en utilisant un stablecoin, un cryptoactif dont la valeur est indexée sur un autre produit : jusque-là, rien que de très courant. Mais l’annonce, jeudi 1er mai, d’un investissement de 2 milliards de dollars (1,77 milliard d’euros au cours actuel) dans Binance par le fonds MGX, soutenu par Abu Dhabi, soulève de vives questions : MGX va, en effet, effectuer cette transaction en utilisant le stablecoin USD1, géré par World Liberty Financial (WLF), l’entreprise de cryptomonnaies contrôlée par la famille Trump.
Comment fonctionne l'accord ? Les deux Etats doivent mettre en place un fonds d'investissement à parts égales pour la reconstruction de l'Ukraine et qui devrait donner aux Etats-Unis un accès à ses ressources naturelles: minerais, terres rares, gaz, pétrole. D'après la ministre ukrainienne de l'Economie, Ioulia Svyrydenko, il s'agira de financer des "projets d'extraction" de ces ressources naturelles, dont Kiev "conservera l'entière propriété et le contrôle". Les bénéfices dégagés par le fonds seront réinvestis en Ukraine, laquelle n'aura "aucune dette" à rembourser pour l'aide américaine fournie depuis 2022. Il s'agira de financer uniquement des projets d'extractions et d'infrastructures minières, pétrolières et gazières en Ukraine pour les dix prochaines années.
Les dirigeants européens planchent sur des investissements militaires de 800 milliards d’euros pour faire face à une éventuelle menace russe. Cet objectif offre l’avantage d’un resserrement des liens entre pays, et permettra de remédier partiellement à la désindustrialisation, de stimuler l’innovation et de recycler les milliers d’emplois perdus notamment dans le secteur automobile. Pour avoir une armée compétitive, un ingrédient est essentiel : du Pétrole !
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Le Premier ministre et les vices-Premiers ministres ont eu un premier échange vendredi sur les investissements en matière de Défense. Ce n'est pas le contenu qui a été abordé mais la méthode. Bart De Wever a rappelé jeudi à la Chambre que le gouvernement dans son ensemble soutenait l'idée d'accélérer ces investissements afin d'atteindre plus rapidement que prévu les 2 % du PIB alloués à la Défense.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a affirmé mardi que son pays était ouvert à tout investissement étranger dans ses réserves de pétrole, après la révocation par les États-Unis de la licence du pétrolier Chevron.« C'est portes ouvertes, tapis rouge et embrassades affectueuses »La décision américaine de mettre fin à la licence de Chevron, qui doit liquider ses opérations dans le pays avant le 3 avril, avait été présentée par le président américain Donald Trump comme une réponse au résultat, jugé illégitime, de l'élection présidentielle de juillet dernier.
Dans un paysage lunaire d'excavations jaunâtres et grises, d'énormes machines se déplacent. Bienvenue dans une mine ukrainienne, qui espère l'arrivée d'investisseurs étrangers à la faveur d'un accord sur les ressources du pays voulu par le président américain Donald Trump. "L'Ukraine est très riche en ressources minières. Et si on ne les exploite pas, l'Ukraine va simplement perdre des revenus qu'elle pourrait obtenir", se lamente Dmytro Golik, directeur de cette entreprise située dans la région de Jytomyr, dans le centre-ouest de l'Ukraine.
D’après la présidente de la Commission européenne, l’UE s’engagerait à hauteur de 50 milliards d’euros, qui s’ajoutent aux engagements de 150 milliards venant de grands groupes.
Pour développer l’intelligence artificielle en France, 109 milliards d’euros seront investis, a annoncé dimanche soir le chef de l’État. Une façon de placer le pays dans la course des grandes puissances au sein de ce secteur en pleine croissance, alors que s’ouvre à Paris le sommet sur l’IA qui réunit dirigeants politiques et économiques du monde entier.
Les places boursières commencent à douter devant l’ampleur des sommes englouties dans l’intelligence artificielle générative. Ce qui n’effraie pas les grandes entreprises de la tech américaines, qui vont intensifier leurs investissements dans ce domaine cette année.
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