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russie guerre ukraine justice
Un tribunal russe a ordonné l'arrestation de Catherine Norris Trent, grand reporter pour France 24, a rapporté mardi l’agence de presse russe Tass. Accusée d'avoir pénétré "illégalement" dans la région frontalière russe de Koursk, la journaliste franco-britannique avait accompagné l'armée ukrainienne sur le terrain. France 24 rappelle que ce reportage "embarqué" est "protégé par les droits accordés aux journalistes en vertu de la convention de Genève et du droit international".
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mardi le déploiement en Ukraine d'une équipe de 42 enquêteurs et experts, soit la plus importante mission en termes d'effectifs jamais envoyée sur le terrain, afin d'enquêter sur les crimes commis pendant l'invasion russe.
La synthèse intitulée ‘He’s Not Coming Back’ : War Crimes in Northwest Areas of Kyiv Oblast se fonde sur des dizaines d’entretiens et une analyse poussée de preuves matérielles. Amnesty International a recensé des frappes aériennes illégales contre la ville de Borodianka et des exécutions extrajudiciaires dans d’autres villes et villages, notamment Boutcha, Andriivka, Zdvyjivka et Vorzel.
Le mois dernier, la ville de Boutcha avait été le théâtre d'atrocités commises par les forces armées russes. Des clichés montraient des centaines de corps jonchés au sol des rues de cette banlieue de Kiev. Il est reproché à Moscou de s'être rendu coupable de nombreux faits abominables.
Il est peu probable que le président russe se retrouve un jour sur le banc des accusés du Tribunal de La Haye. Cependant, il faut rassembler de toute urgence les preuves des crimes de guerre, c’est une question morale mais aussi politique et diplomatique, affirme le rédacteur en chef de l’hebdomadaire britannique “The Spectator”.
La découverte de centaines de cadavres de civils ukrainiens dans les environs de Kiev marque une rupture dans ce conflit. Mais l’indignation ne suffit plus. La justice internationale doit pouvoir être rendue dans des délais réalistes, sans que les coupables puissent couler des jours paisibles.
Les démocraties doivent soutenir le travail de la justice ukrainienne et celui de la Cour pénale internationale, qui a ouvert une enquête début mars. Il importe que la guerre menée par le président russe ne reste pas impunie.
La Cour internationale de justice (CIJ) doit rendre ce mercredi son verdict dans une procédure lancée par Kyiv, qui demande au plus haut tribunal de l’ONU d’ordonner à Moscou d’arrêter immédiatement son invasion de l’Ukraine. La CIJ se prononcera lors d’une audience à partir de 16 heures à La Haye, là où elle siège, à la suite d’une requête urgente de l’Ukraine introduite quelques jours après le début de l’invasion russe le 24 février.
The Ukrainian crisis has revived an old debate: how to effectively sanction a state like Russia? Let’s say it straight away: it is time to imagine a new type of sanction focused on the oligarchs who have prospered thanks to the regime in question. This will require the establishment of an international financial register, which will not be to the liking of western fortunes, whose interests are much more closely linked to those of the Russian and Chinese oligarchs than is sometimes claimed. However, it is at this price that western countries will succeed in winning the political and moral battle against the autocracies and in demonstrating to the world that the resounding speeches on democracy and justice are not simply empty words.
La Russie a refusé de comparaître lundi lors de l’ouverture des audiences devant la Cour internationale de justice (CIJ) dans une procédure initiée par l’Ukraine, qui demande au plus haut tribunal de l’Onu d’ordonner à Moscou d’arrêter son invasion. Citée à comparaître, la Russie ignore la Cour internationale de justice