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Dans cette vidéo, Vincent Mignerot, un expert en théorie de l'existence, discute de la faisabilité de la transition énergétique et des grandes questions existentielles qui en découlent. À travers une analyse critique des théories scientifiques actuelles, Vincent remet en question la logique des transitions énergétiques proposées par la science conventionnelle, notamment la conversion des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Il explore l'idée de la "domestication de l'humain" par la technologie et les dangers d'une science relativiste qui pourrait mener à une impasse écologique.
Nous avons construit depuis dix mille ans, un monde d’abondance de ressources, un écosystème stable, qui nous a poussé à optimiser et à performer. Le culte de la performance est à son apogée et nous incite à toujours gagner en efficacité, à maximiser nos résultats, avec moins de moyens possibles. Cette approche atteint ses limites dans un monde en constante évolution. Aujourd'hui la nature se réveille, elle devient fluctuante et nous devons apprendre à vivre dans un monde instable, imprévisible. Comment vivre dans ce nouvel environnement ? Comment passer de la performance à un nouveau modèle ? Comment abandonner la performance et passer à une autre forme de société ? Olivier Hamant est biologiste et chercheur, il se lève le matin stimulé par l’étude de la vie des plantes. Dans la nature, les systèmes robustes prospèrent parce qu’ils acceptent l’incertitude. Le chercheur s’inspire de cet environnement pour nous apprendre à vivre dans un environnement instable par le concept de la robustesse, et nous incite à
L'apocalypse serait-elle devenue un sujet d'étude aussi banal que la photosynthèse ou les fractales ? Ces deux dernières décennies, le vocabulaire de la fin du monde s’est métamorphosé en un champ lexical scientifique florissant. Des concepts comme l’anthropocène ou les planetary boundaries ont proliféré dans les revues académiques. Des notions plus anciennes comme la polycrise d’Edgar Morin et le collapse ont resurgi récemment, transcendant les frontières disciplinaires, tandis que les cascading failures, les wicked problems ou les compound risks sont devenus incontournables dans l’analyse des risques.
L'Anthropocène n'est pas une nouvelle époque géologique, estime l'instance scientifique de référence
- RTL Info
Coup de théâtre dans le monde de la géologie: après des dizaines d'années de débats, l'instance mondiale de référence a finalement décidé de ne pas accorder à l'Anthropocène, épisode caractérisé par les traces de la présence humaine partout sur la planète, une place à part dans l'histoire géologique de la Terre.
Jean-Baptiste Fressoz vous présente son ouvrage "Sans transition : une nouvelle histoire de l'énergie" aux éditions Seuil. Entretien avec Thimothée Duverger....
Stéphane Bourgeois est responsable des politiques européennes à négaWatt, nous l'avons rencontré lors des conférences BeyondGrowth. Pour décarbonner l’Europe, la sobriété au centre d’un nouveau scénario de transition énergétique. L’association française négaWatt et plus d’une vingtaine de partenaires européens appellent à miser sur la baisse de la demande d’énergie, l’efficacité et les renouvelables. Depuis les années 2000, négaWatt travaille en faveur d’une transition énergétique réaliste et soutenable pour la France. Pourquoi ? Depuis déjà plusieurs décennies, de nombreux signaux ont permis de prendre conscience des enjeux énergétiques et climatiques auxquels nous devons faire face. Notre façon de consommer et de produire l’énergie est en cause et doit être repensée. négaWatt s’attache à agir en priorité sur la réduction de nos consommations d’énergie, pilier de sa démarche sobriété, efficacité et renouvelables. Rapport NÉGAWATT 2022 "La transition énergétique au cœur d’une transition sociétale" : https:
Cours-conférence dispensé au Collège Belgique à Bruxelles le 16 février 2023, par Adel El Gammal. Titre complet : Vers un nouvel ordre géopolitique : Analyse et conséquences sur la Transition Énergétique et la Souveraineté Européenne
Une présentation que j'ai récemment réalisée en conférence auprès d'une entreprise, et que je reproduis ici, sur les grands enseignements du rapport du Group...
Pour rester sous une augmentation de 1.5 degrés, nous devons laisser entre 60 et 80 % des réserves des énergies fossiles dans le sol. Quelles énergies faut-...
Le 7 avril 2022, l'équipe du projet « Stratégies de résilience des territoires » présentait sa nouvelle publication intermédiaire : « Climat, crises : comment transformer nos territoires ? »
Dans cet épisode, Laura interroge le bien-fondé de l’expression “on n’arrête pas le progrès”. Est-ce si évident ? Pourquoi les nouvelles techniques, à l’instar de la 5G, sont-elles souvent contestées ? Le progrès est-il toujours désirable, quelles que soient ses implications sociales, ou environnementales ? François Jarrige, historien des sciences à l’Université de Bourgogne, explique que les innovations techniques ont souvent rencontré des oppositions et qu’aucune n’est inéluctable. Il critique notamment l’idéologie “technosolutionniste”, selon laquelle l’innovation technologique pourrait résoudre tous les problèmes écologiques, sociaux, culturels et politiques. “L’idée ce n’est pas d’être pour ou contre la technique, c’est d’inventer d’autres systèmes techniques dans d’autres contextes sociaux et démocratiques,” résume-t-il.
Le collectif "Dégaze", qui s'oppose à la construction de nouvelles centrales au gaz pour remplacer l'énergie nucléaire, introduira une action au conseil d'Etat le 5 janvier contre la centrale des Awirs, dont le projet de construction est en cours à Flémalle (province de Liège), a-t-il affirmé mardi soir.
Atteindre le zéro carbone en 2050 est un virage de société qui ressemble à une épingle à cheveux au milieu d'une autoroute triple pistes à l'heure de pointe ! En reprenant simplement les grands chiffres de notre consommation d'énergie et les grands enjeux climatiques de notre époque, on prend conscience de la profondeur de l'ornière dans laquelle nous nous sommes enfoncés. Face à cela, a technologie seule ne va de loin pas nous sauver. Pour la simple et bonne raison que nous n'avons pas les potentiels énergétiques renouvelables pour maintenir nos modes de vie tels qu'ils sont.
Nous commençons une nouvelle série de vidéos basées sur des interviews de personnalités diverses autour de l'effondrement et de la résilience. Cette semaine, j'ai eu l'honneur d'interroger Laurent Testot.
On parle avec Jean-Marc Jancovici de transition énergétique d'énergie renouvelables, de nucléaire, de politique européenne, ...
Les éco-carburants, les carburants de synthèses, l'hydrogène et l'avion propre ne sont que du greenwashing sans aucun fondement physique. A force de répéter que ces solutions vont arriver, on pourrait presque croire que c'est vrai. Pourtant ça ne l'est pas.
Approvisionner en électricité tous les Français requiert le respect de trois règles essentielles : sécuriser l’équilibre global entre production et consommation, assurer la stabilité du réseau en termes de puissance injectée et soutirée, maintenir le synchronisme du réseau.
Approvisionner en électricité tous les Français requiert le respect de trois règles essentielles : sécuriser l’équilibre global entre production et consommation, assurer la stabilité du réseau en termes de puissance injectée et soutirée, maintenir le synchronisme du réseau. Un système électrique fondé sur des énergies renouvelables variables comme l’éolien et le solaire photovoltaïque, dans l’optique d’un mix électrique 100 % renouvelable en 2050, peut-il remplir ces conditions ?
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Captation vidéo d'une intervention donnée dans le cadre de la 9e édition de ce forum réservé aux professionnels de l'énergie. Entre trois stands et deux confs expliquant comment les nouvelles technos vont permettre de résoudre tous les problèmes du monde, je suis venu tenter de secouer les esprits avec un peu de systémique...
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Philippe BIHOUIX, ingénieur centralien et spécialiste des ressources non renouvelables, balaye les promesses d’un monde technologique meilleur, d’abondance et de bonheur pour tous, du rêve d’énergies propres qui ne tiennent pas compte des limites de notre planète “fatiguée”. L’auteur du livre “Le bonheur était pour demain” esquisse des solutions moins naïves, que nous pouvons mettre en oeuvre dès maintenant.
Les technologies « vertes » peuvent-elles vraiment transformer nos sociétés grâce à une nouvelle révolution industrielle, celle des énergies renouvelables, du numérique, des réseaux intelligents, de l’économie circulaire, des voitures autonomes et des nano-bio-technologies ? N’est-il pas risqué de soutenir des innovations consommatrices de ressources minières limitées ? Et s’il fallait explorer une autre voie et s’orienter vers une civilisation techniquement soutenable ? Partez à la découverte des Low tech, ces technologies sobres, durables et résilientes.
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Comment la chimie va nous aider à créer des plastiques biodégradables? Comment cette science nous permettra demain d’être plus propres? Il existe des solutions selon Aurore Richel, professeur à la Faculté de Gembloux Agro-Bio Tech de l’Université de Liège. La preuve dans ce 31ème numéro de Graines de Savoirs. Regardez et prenez un « shoot » d’espoir:
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Les énergies dites de substitution peuvent-elles épargner le climat et assurer la stabilité de nos sociétés ?
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