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Vivant
Vincent Verzat filme les mobilisations écologiques depuis 10 ans sur la chaîne YouTube Partager c’est Sympa (310k abonné·es). Partant d’un récit personnel et sensible, le film “Le VIVANT qui se défend” retrace son cheminement entre militantisme et naturalisme, sa recherche d’un équilibre entre combat et contemplation, traçant un chemin pour vivre dignement et affronter ce qui vient. Des luttes forestières du plateau des Millevaches à la tanière d’une famille de blaireaux, en passant par les méga bassines du Poitou, les cerfs du Vercors et l’autoroute A69, “Le VIVANT qui se défend” fait le lien entre les animaux sauvages et les luttes qui sont menées partout en France contre la destruction de leurs habitats. Le film trace un chemin pour vivre dignement et affronter ce qui vient. Un documentaire de Vincent Verzat, auto-produit et auto-distribué par Partager c'est Sympa.
L'humanité entre dans une phase chaotique. Un monde instable. Pour Olivier Hamant, le monde va radicalement changer dans les années à venir. Notre monde, basé sur un climat stable, va en grande partie s'effondrer. L'économie globalisée, reposant sur des infrastructures, des transports, ou des technologies ultra-performantes va être violemment percutée par un climat chaotique comme par l'effondrement du vivant. Pour Olivier Hamant, le paradigme de la performance va être remplacé par celui de la robustesse.
Comment survivre à un monde instable ? Et si l’avenir n’était ni dans la croissance… ni dans la décroissance ? Dans cet épisode lumineux, Olivier Hamant nous revient sur la chaîne et approfondi la troisième voie : la robustesse. À rebours de la quête d’efficacité et de performance, il nous invite à penser comme le vivant : diversifié, lent, redondant, résilient. Face à l’instabilité systémique (climat, économie, numérique…), il démontre que nos modèles productivistes sont devenus fragiles car trop optimisés. Son approche bio-inspirée révolutionne notre rapport au progrès, au risque, et à la politique. Une ode à l’imperfection, à la coopération et à l’acceptation du chaos comme condition de vie. Pourquoi être performant ne sert à rien ?
Depuis quatre ans, on interroge les plus grands scientifiques pour comprendre notre époque, et leur constat est unanime, on va droit dans le mur si on ne change rien. Avec LIMIT on veut montrer la voie et dépasser le constat pour qu'on ce mette tous en mouvement. L'écologie doit devenir désirable et invisible. C'est pourquoi on lance l’Odyssée du Vivant— une aventure collective pour réinventer notre lien au monde vivant. L'écologie, ce n’est pas une contrainte : c’est un désir de vie, de beauté et d’espoir. Avec LIMIT on veut créer des récits qui donnent envie d’agir, ensemble, sans culpabiliser.
Dans cette conférence sur la chaîne France Nature Environnement Haute Savoie l’astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau professeur à l’Université Grenoble Alpes directeur du Centre de Physique Théorique Grenoble Alpes et chercheur au LPSC CNRS explore la transformation nécessaire de notre modèle agricole et économique pour le rendre vivable pour les praticiens et soutenable pour la Terre il insiste sur la responsabilité collective la justice sociale la réduction du temps de travail la sobriété matérielle et l’importance d’une vision systémique au delà des réponses individuelles il évoque les enjeux de la formation des élites la critique de la croissance matérielle la place du vivant la solidarité locale et la recherche de sens mots clés écologie agriculture transition écologique décroissance modèle agricole CO2 emploi collectif politique public sobriété résilience effondrement formation élites université Grenoble sciences philosophie poésie
Nathanaël Wallenhorst : "On assiste à une annihilation biologique inédite dans l'Histoire du vivant"
- France24,Nathanaël Wallenhorst,
Notre planète sera-t-elle encore vivable dans quelques décennies? Y aura-t-il encore des saisons ? À quoi ressembleront nos vies sous l'effet du changement climatique, quand les vagues de chaleur extrêmes, les mégafeux et la disparition de nombreuses espèces seront notre quotidien ? On en parle avec Nathanaël Wallenhorst, docteur en sciences de l'environnement et en sciences de l'éducation, spécialiste de l'anthropocène et auteur de "2049, ce que le climat va faire à l'Europe".
Bilan personnel et intellectuel d’une décennie de réflexion sur nos trajectoires. Peurs, doutes, effondrement, anarchie, révolution, vivant, entraide et sérénité. Biologiste de formation, chercheur indépendant et auteur majeur de la pensée écologique contemporaine, Pablo Servigne revient dix ans après "Comment tout peut s’effondrer" pour faire le point : Qu’est-ce que l’effondrement voulait dire, et que veut-il encore dire aujourd’hui ? Pourquoi nos sociétés semblent conscientes mais inertes ? Et comment rester humain, lucide et vivant dans une époque en perte de sens ?
Dans le cadre du programme Focus Design Durable, L’École de design Nantes Atlantique a eu le plaisir d’accueillir Olivier Hamant, chercheur en biologie à l’INRAE et président de l’Institut Michel Serres, pour une conférence sur la “robustesse”. Figure incontournable du monde scientifique, Olivier Hamant propose de s’inspirer du vivant pour imaginer une autre manière d’habiter la planète et offrir aux #designers une vision #biomimétique, positive et profondément inspirante.
À partir de ses travaux, Olivier prône un modèle de société qui s'inspire du vivant, et dont les principes soient en conséquence guidés par la recherche de la robustesse plutôt que par celle de la performance. Il définit la robustesse comme “le maintien d'un système stable malgré les fluctuations.”, le vivant étant maître dans l'art de la robustesse puisqu'il a su s'adapter et survivre à 3,8 milliards d'années de fluctuations. Avec lui, nous évoquons les enjeux des transitions à l'échelle locale et territoriale. Pour lui, les milieux ruraux ne doivent plus être perçus comme des territoires en retard mais comme des laboratoires du monde à venir, notamment dans ses fluctuations. Il prône d'y installer le laboratoire d'un contre-modèle humaniste à créer.
Marc-André Selosse est professeur du Muséum national d’Histoire naturelle à Paris et aux universités de Gdansk (Pologne) et Kunming (Chine). Ses recherches portent sur l’écologie et l’évolution des associations à bénéfices mutuels, ou symbioses. Mycologue et botaniste, il travaille sur les symbioses mycorhiziennes qui unissent des champignons du sol aux racines des plantes. Président de BioGée, membre de l’Académie d’Agriculture de France et de l’Institut Universitaire de France, il édite quatre revues scientifiques internationales et la revue de vulgarisation Espèce. Il a publié plus de 220 articles de recherche et 220 articles de vulgarisation, téléchargeables sur son site Muséum, et des centaines de vidéos variées disponibles sous YouTube. Il a publié des ouvrages grand public sur les microbiotes (Jamais seul, 2017), les tannins (Les goûts et les couleurs du monde, 2019) et le sol (L’origine du Monde, 2021), ainsi que ses chroniques de France-Inter (Petites histoires naturelles, 2021), chez Actes Sud. Co-a
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Laurent Testot, journaliste scientifique et spécialiste d’histoire globale.
Dans cette conversation aussi joyeuse que percutante, le biologiste Marc-André Selosse nous emmène au cœur du sol, des forêts, et de la complexité du vivant. Il démonte les idées simplistes sur la biodiversité, démonte les pratiques sylvicoles mal adaptées, et plaide pour une gestion du vivant fondée sur la diversité, la science et la coopération. Entre humour décapant et pédagogie brillante, il fait de l’écologie une science appliquée à la survie collective. Un appel puissant à écouter les scientifiques, revaloriser les sols, et surtout à agir avec bon sens.
Dans cette vidéo, Philippe Grandcolas, expert en biodiversité, nous plonge au cœur des enjeux écologiques actuels, en mettant en lumière l'importance vitale de la biodiversité et l'impact de son déclin. Bien que ce sujet soit souvent relégué au second plan face aux crises climatiques, la biodiversité est cruciale pour la stabilité de nos écosystèmes et la survie de nombreuses espèces, y compris la nôtre. Entre catastrophe écologique et solutions fondées sur la nature, nous explorons des pistes d'espoir, d'action, et de réconciliation avec le vivant.
Dans ce premier épisode, Gauthier Chapelle, entre autres, naturaliste et docteur en biologie, nous invite à redevenir "des vivants parmi les vivants" renouant avec notre curiosité et notre émerveillement pour cet incroyable espace à la fois confiné et protégé qu’est la biosphère. Le seul endroit connu, à nos jours, où la vie telle que nous l’expérimentons est possible. La curiosité, loin d’être un vilain défaut, constitue le premier élan vers l’autre, l’émergence de la connaissance qui fait naître la possible relation. Il nous partage que, pour cela, nos sens sont de très bons alliés.
Ignorance, autocensure ou dépendance à la publicité : en France, les journalistes parlent très peu des questions climatiques ou de celles liées à l’effondrement du vivant. D’où cette question : pourquoi les médias français méprisent-ils autant la question écologique ?
Session 1 « Justice pour le vivant » - Fabrique du procès en responsabilité de l’État en matière de biodiversité Cycle de séminaires « L’urgence écologique au prétoire » ANR PROCLIMEX Christel Cournil, Professeure de droit public, Sciences Po Toulouse
Diamant Palace, jour 1308. Avec Philippe Descola (anthropologue) et Rachel Devresse (activiste, zadiste) Au 1308e jour d'occupation du Diamant Palace, notre radio pirate questionne le concept de nature. Celui-ci n'a pas toujours existé et n'existe toujours pas dans l'ensemble des sociétés humaines. En Occident, il en dit beaucoup sur notre représentation du monde et la place que nous nous donnons parmi les autres espèces vivantes. Qu'est-ce que l'anthropocentrisme ? Pourquoi les villes modernes sont-elles "la fin des mondes" ? Y a-t-il des points communs entre les Achuars d'Amazonie et les zadistes d'Europe occidentale ? Jouer à Dieu nous rendra-t-il immortels ?
C’est l’autre actualité dramatique, celle dont-on parle peut-être moins fréquemment ces dernières semaines, bien qu’elle touche toutes les générations vivantes et à venir. Le dernier rapport du GIEC a été rendu public hier, il n’est pas réconfortant, mais permet un peu d’optimisme. Nous avons atteint un point de non-retour, mais nous pouvons encore nous adapter, pour limiter les dégâts, et les victimes.
à l'invitation du philosophe Jérôme Lèbre. "La modernité occidentale a décidé que les Vivants n'avaient plus de valeur... de quoi est-il question aujourd'hui ? - de tenter de déconstruire des chaînes d'addictions artificielles, presque nécrophiles, à tout le moins mortifères, générées par une modernité occidentale qui a oublié son lien organique, rhizomatique, avec le reste du vivant."
Tandis que le climat se réchauffe à un rythme sans précédent, la biodiversité s’appauvrit plus rapidement que jamais dans l’histoire de l’humanité. Et ce déclin menace nos conditions de vie. Pourtant, on n’en parle si peu. Comme si la “nature” nous était extérieure. Alors que la biodiversité, c’est le tissu vivant de notre planète, l’humain en fait évidemment partie.
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