Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour

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En pleins pourparlers de paix avec Washington, le Kremlin veut convaincre qu’une victoire russe est inévitable, alors que son armée progresse peu et au prix de lourdes pertes, afin d’obtenir par la négociation ce qu’il ne parvient pas à gagner par la voie militaire.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a plaidé vendredi lors d'un entretien au Turkménistan avec son homologue russe Vladimir Poutine pour un cessez-le-feu dans les ports et les infrastructures énergétiques en Ukraine, a rapporté la présidence turque. Le chef de l'État turc, qui entretient des liens étroits avec Kiev et Moscou, "a suggéré qu'un cessez-le-feu limité, sur les installations énergétiques et des ports, serait bénéfique", ont indiqué ses services dans un communiqué.
Une adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne dès janvier 2027 est envisagée dans le plan de paix des États-Unis pour mettre fin à la guerre entre Kiev et la Russie, a indiqué vendredi à l’AFP un haut responsable au fait du dossier.
La Russie a rejeté vendredi la proposition de Volodymyr Zelensky de laisser la population ukrainienne décider, par référendum ou des élections, d'éventuelles concessions territoriales dans le Donbass, à l'est de l'Ukraine. "Cette zone est un territoire russe", a déclaré le conseiller diplomatique du président Vladimir Poutine, Iouri Ouchakov, a rapporté vendredi l'agence de presse Interfax-Ukraine.
Notre journaliste Benjamin Quénelle, spécialiste de la Russie, a répondu aux questions des lecteurs du Monde.fr lors d’un tchat, jeudi.
La Russie a revendiqué jeudi la prise de la ville de Siversk, dans l’est de l’Ukraine, l’un des derniers verrous sur ce front qui empêchent les forces russes de s’approcher des grandes cités régionales de Kramatorsk et Sloviansk. Info
Une cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de l’usine russe de Portovaya a été livrée au terminal de Beihai, en Chine, le 8 décembre, une première depuis le placement de l’installation sous sanctions américaines en janvier 2025. Cette livraison témoigne d’une coopération sino-russe croissante au moment où Moscou cherche à augmenter ses exportations de GNL, notamment pour financer son effort de guerre en Ukraine.
Ursula von der Leyen a souligné l'importance décisive de la semaine à venir pour l'Ukraine et a réitéré l'objectif européen d'une paix juste et durable.
Le contrôle de la région de Donetsk et de la centrale de Zaporijjia sont les questions "clés" encore "irrésolues"
Le président ukrainien a déclaré jeudi que les États-Unis continuaient de demander d'importantes concessions dans le cadre d'un plan de paix pour l'Ukraine. Les deux principales concernent le retrait de ses troupes du Donbass, et le statut de la centrale nucléaire de Zaporijjia.
L'aide militaire à l'Ukraine pourrait atteindre son plus bas niveau en 2025, a prévenu mercredi l'institut de recherche allemand Kiel Institute, les Européens, qui en fournissent désormais l'essentiel, ne parvenant plus à compenser l'arrêt de l'aide américaine.
Ce dispositif défensif sans équivalent, qui s’étend du nord au sud sur une cinquantaine de kilomètres, protège notamment Sloviansk et Kramatorsk, les dernières grandes agglomérations de l’oblast aux mains des forces ukrainiennes.
Un rapport alerte sur le risque que font peser sur l’Union européenne les procédures d’arbitrage lancées par les oligarques et entreprises russes visés par des sanctions.
En plus de désactiver leurs données de géolocalisation obligatoire, les navires de la flotte fantôme russe peuvent également transmettre de fausses données, afin de camoufler leur véritable position.
Le président américain Donald Trump a critiqué Volodymyr Zelensky, estimant que l'Ukraine "n'est plus une démocratie" et appelant le pays à organiser des élections malgré la loi martiale.
Le président ukrainien répond à la critique de son homologue américain Donald Trump sur labsence de scrutin dans le pays.
L'armée ukrainienne a annoncé avoir détruit un Buk-M3, l'un des systèmes de défense aérienne les plus avancés de l'arsenal russe.
Le chef de l’Etat ukrainien répond aux critiques de Donald Trump qui reproche à Kyiv d’«utiliser la guerre» pour repousser les élections.
La population ukrainienne va endurer cette année un hiver encore "plus dur" à cause des bombardements russes ayant causé des dégâts "considérables" au système gazier, a affirmé à l'AFP le directeur de la principale entreprise publique du secteur, Naftogaz.
En Europe, certains pensent que la guerre entre la Russie et l’Europe n’a pas encore commencé. […] Pour le cerveau géopolitique de Poutine, il faut cesser d’être naïf : « cette guerre a déjà commencé. Simplement, nous ne l’appelons pas encore ainsi. Notre véritable adversaire est bien l’Europe. »
Face à la mainmise américaine sur les négociations avec Kyiv, une réunion doit se tenir lundi 8 décembre à Londres autour du président Zelensky. Emmanuel Macron en sera, aux côtés des chefs de gouvernement du Royaume-Uni, Keir Starmer, et de l’Allemagne, Friedrich Merz.
Volodymyr Zelensky doit revoir lundi à Londres ses alliés européens Keir Starmer, Emmanuel Macron et Friedrich Merz, au moment où Donald Trump lui reproche de ne "pas avoir lu" sa proposition de règlement du conflit, objet de tractations séparées avec Moscou et Kiev.
La question territoriale reste "la plus problématique" dans les négociations visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, Moscou réclamant le retrait des forces de Kiev d'une partie des zones sous leur contrôle, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable proche du dossier.
Volodymyr Zelensky a affirmé lundi que Kiev n’avait pas le droit "légal" ni "moral" de céder à la Russie des territoires ukrainiens, la question territoriale étant un point central des négociations en cours sur un plan de paix sous médiation américaine.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) a annoncé que ses équipes étaient en Ukraine depuis début décembre pour y évaluer la sécurité nucléaire, et avaient constaté que l'arche de Tchernobyl avait perdu ses "fonctions de sécurité primaires" suite à un bombardement en février.
Négociateurs ukrainiens et américains se retrouvent samedi en Floride pour leur troisième jour de discussions sur le plan de Washington visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, au moment où les forces russes poursuivent leur avancée sur le front et leurs bombardements nocturnes.
De nouvelles frappes russes massives contre des infrastructures ukrainiennes, essentiellement des sites énergétiques, ont privé de chauffage et d'eau des milliers de foyers, a annoncé samedi Kiev. Au total, ce sont 653 drones et 51 missiles qui ont visé dans la nuit l'Ukraine, a précisé l'armée de l'air ukrainienne. Le ministère russe de la Défense a affirmé que ces frappes avaient visé des entreprises du "complexe militaro-industriel ukrainien et des infrastructures énergétiques qui assurent leur fonctionnement", ainsi que des infrastructures portuaires utilisées "dans l'intérêt des forces armées ukrainiennes".
La Bulgarie a dénoncé samedi le remorquage de l'un des deux navires transportant du gaz russe touchés par des explosions au large des côtes turques fin novembre dans ses eaux de la mer Noire. Le Kairos, touché lors d'attaques de drones revendiquées par l'Ukraine contre un pétrolier à destination de la Russie, a été remorqué par un navire turc qui est ensuite retourné en Turquie, a affirmé samedi Rumen Nikolov, directeur général des opérations de sauvetage et de secours de l'administration maritime bulgare, lors d'un point presse à Varna, situé sur la mer Noire dans l'est du pays.
Le président russe Vladimir Poutine, reçu vendredi par le Premier ministre indien Narendra Modi, a déclaré que Moscou continuerait "de livrer du pétrole sans interruption" à New Delhi.
Le recours aux avoirs russes gelés en Europe pour financer l'Ukraine aura des "conséquences considérables" pour l'Union européenne, a déclaré l'ambassadeur russe à Berlin vendredi.
L'Ukraine a accusé jeudi la Russie d'envoyer vers des camps de "rééducation" en Corée de Nord des enfants ukrainiens "enlevés" par Moscou dans les territoires occupés par l'armée russe.
« Aucune solution de compromis n’a encore été choisie, mais certaines propositions américaines peuvent être discutées », a estimé Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique du président russe, qui avait de son côté brandi plus tôt dans la journée la menace d’une guerre avec le reste de l’Europe.
"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine.
Un accord a été trouvé entre eurodéputés et Etats européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l'UE à l'automne 2027, ont-ils indiqué mercredi, afin de priver Moscou d'une manne qui finance sa guerre en Ukraine. "C'est l'aube d'une nouvelle ère, celle de l'indépendance énergétique totale de l'Europe vis-à-vis de la Russie", a salué la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant la presse. La fin des importations à l'automne 2027 est un compromis entre le Parlement européen, qui souhaitait une interdiction plus rapide, et les Etats membres qui voulaient prendre un peu plus de temps.
Les Russes ont fait évoluer certains de leurs drones, les rendant encore plus efficaces.
Moscou et Kiev se sont déclarés mercredi prêts à poursuivre les pourparlers sur le conflit en Ukraine, au lendemain d'une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff qui n'a débouché sur aucune percée.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a présenté mercredi à Bruxelles le plan de l'UE pour financer l'Ukraine sur deux ans, et la "mettre en position de force" dans les négociations avec la Russie. Cette proposition prévoit deux options visant à couvrir une partie des besoins de financement de l'Ukraine pour 2026 et 2027, estimés à 137 milliards d'euros. Elle n'a pas convaincu la Belgique, où se trouve l'essentiel des avoirs gelés russes en Europe.
Avec ce dispositif, Berlin affirme «prendre ses responsabilités» et «renforcer le pilier européen de l’Otan», selon le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius.
Parmi les pays membres de l'Otan, la Belgique contribue également à hauteur de 100 millions d'euros.
La Défense allemande a récemment alerté quant au fait que sa communication avec le Pentagone avait été complètement coupée.
L’incident, qualifié de « majeur » par les autorités portuaires du pays ouest-africain, s’est produit jeudi soir 27 novembre. La piste d’une attaque d’un genre inédit, orchestrée par l’Ukraine, n’est pas exclue.
Responsables danois et ukrainiens se sont réunis à Vojens, dans l’ouest du Danemark, pour marquer le début de la construction d’une usine ukrainienne d’armement sur le sol du pays scandinave, afin d’assurer la pérennité de la production militaire ukrainienne.
Le président russe accuse les Européens de vouloir "empêcher" les efforts américains visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président russe a assuré ce mardi 2 décembre être prêt à la guerre contre l’Europe, en l’accusant d’«empêcher» les efforts des Etats-Unis pour conclure une paix avec l’Ukraine, quelques minutes avant de rencontrer les émissaires américains.
Donald Trump a estimé dimanche qu'il y avait "de bonnes chances" pour un accord mettant fin au conflit entre la Russie et l'Ukraine, après des pourparlers entre Washington et Kiev, à l'issue desquels son chef de la diplomatie Marco Rubio est resté bien plus prudent. Qualifiées de "productives" par les deux délégations américaine et ukrainienne, ces négociations menées en Floride autour du plan dévoilé il y a dix jours par les Etats-Unis, mais jugé trop favorable à Moscou les Ukrainiens et les Européens, n'ont pas accouché d'annonce majeure. "Il reste encore du travail", a averti le secrétaire d'Etat Marco Rubio, après cette rencontre. Une source proche de la délégation ukrainienne a confié à l'AFP que ces discussions n'étaient "pas faciles".
L'armée russe a réalisé en novembre sa plus grosse progression sur le front en Ukraine depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP).
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue français Emmanuel Macron, réunis lundi à Paris, ont eu un échange avec l'émissaire américain de Donald Trump, Steve Witkoff, et le négociateur ukrainien Roustem Oumerov, qui étaient de leur côté en pleines discussions en Floride.
Un plan de paix entre la Russie et l'Ukraine ne peut être finalisé qu'avec Kiev et les Européens "autour de la table", a déclaré lundi Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse avec son homologue Volodymyr Zelensky à Paris.
La Russie a revendiqué lundi la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un noeud logistique clé pour les forces ukrainiennes situé dans l'est du pays, ainsi que celle de Vovtchansk dans le nord-est.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a dénoncé lundi une "escalade inquiétante" après les attaques de drones revendiquées par l'Ukraine, qui ont visé vendredi et samedi deux pétroliers en Mer noire, à proximité des côtes turques. "Nous ne pouvons en aucun cas accepter ces attaques qui menacent la sécurité de navigation, l'environnement et la vie dans notre zone économique exclusive", a souligné le chef de l'Etat, dont le pays occupe la rive sud de la Mer noire.
Des drones navals ont frappé un terminal pétrolier dans le port russe de Novorossiïsk, samedi. Kiev n’a pas commenté l’attaque, qui survient alors que les négociations se poursuivent avec l’administration Trump sur un éventuel accord de paix jugé pour l’instant trop favorable à Moscou.
Sous la double contrainte des revers militaires et des remous politiques à Kiev, une délégation ukrainienne s’apprête à reprendre dimanche en Floride les discussions autour du plan américain destiné à esquisser une sortie de guerre avec la Russie. Alors que Moscou avance à l’est et multiplie les frappes nocturnes, Kiev tente de rester maître du tempo diplomatique, malgré la démission forcée d’Andriy Yermak et la crainte de concessions douloureuses.
Les autorités du Kazakhstan ont appelé l'Ukraine dimanche à cesser ses frappes contre un terminal pétrolier majeur situé en Russie, endommagé samedi par une attaque de drones navals et crucial pour le transport de pétrole entre l'Asie centrale et l'Europe. Dans un communiqué, la diplomatie kazakhe "proteste contre une nouvelle attaque ciblée contre une infrastructure critique appartenant au Consortium international oléoduc caspien (CPC) Novorossiïsk" en Russie.
Les négociations entre la délégation ukrainienne et de hauts responsables des Etats-Unis ont débuté dimanche en Floride, pour discuter du plan américain visant à trouver une issue à la guerre avec la Russie, Kiev étant sous fortes pressions militaire et politique. Les négociateurs ukrainiens dirigés par Roustem Oumerov et le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio accompagné par l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff ainsi que le gendre du président américain, Jared Kushner, ont débuté la réunion aux environs de 10H10 locales (15H10 GMT). "Il ne s'agit pas simplement de mettre fin à la guerre (...). Il s'agit d'ouvrir une voie pour permettre à l'Ukraine de rester souveraine, indépendante et prospère", a déclaré le chef de la diplomatie américaine au début de la réunion.
Les discussions entre négociateurs ukrainiens et hauts responsables américains ne sont "pas faciles", a déclaré une source proche de la délégation ukrainienne à l'AFP, après le début de la réunion dimanche en Floride visant à parler du plan américain pour mettre fin à la guerre avec la Russie. "Le processus n'est pas facile, car la recherche de formulation et de solutions se poursuit", a déclaré cette source, précisant toutefois que la discussion était "constructive" et que "tout le monde souhait(ait) un résultat concret afin d'avoir un sujet de négociations ultérieures entre les Etats-Unis et la Russie". Une autre source haut placée, informée sur les négociations en cours, a déclaré à l'AFP que les Américains, lors de ces discussions, voulaient que "les points finaux (du plan) soient convenus et qu'ils puissent aller à Moscou".
Des attaques de drones navals ont fortement endommagé samedi une infrastructure pétrolière dans un port russe en mer Noire, ont annoncé les autorités, tandis que Kiev a revendiqué des frappes contre deux pétroliers de la flotte fantôme qui permet au Kremlin de contourner les sanctions occidentales. Ces attaques interviennent alors que l'Ukraine fait face à une forte pression sur le front militaire et politique: l'armée russe progresse dans l'est du pays, tandis que l'administration de Volodymyr Zelensky est secouée par un grave scandale de corruption qui a poussé le président ukrainien à limoger vendredi son chef de cabinet, Andriï Iermak, bras droit extrêmement influent.
L'Ukraine a revendiqué samedi l'attaque de deux pétroliers en mer Noire au large de la Turquie, disant avoir frappé avec des drones navals des navires de la flotte fantôme russe utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales. Une source au sein des services de sécurité ukrainiens (SBU) a affirmé à l'AFP que ces pétroliers, le Kairos et le Virat, avaient été la cible de drones "Sea Baby" lors d'une opération conjointe entre le SBU et la marine ukrainienne. Les autorités turques avaient annoncé plus tôt que le Virat, attaqué vendredi par un drone naval, avait été de nouveau pris pour cible samedi matin au large des côtes turques, après avoir fait état vendredi soir d'une explosion à bord d'un autre navire servant également aux exportations de pétrole russe.
Une photo publiée mi-novembre par le groupe paramilitaire néonazi russe Rusich, déployé sur le front ukrainien, montrant l’un de ses membres devant trois cadavres de soldats ukrainiens est révélatrice des crimes de guerre systémiques.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a promis vendredi, lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine au Kremlin, de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont la Hongrie continue de dépendre, défiant une nouvelle fois l'Union européenne sur le sujet. « Nous n'avons renoncé à la coopération dans aucun domaine » "Je tiens à réaffirmer que les approvisionnements énergétiques en provenance de Russie constituent actuellement la base de l'approvisionnement énergétique de la Hongrie et qu'ils le resteront à l'avenir", a déclaré M. Orban selon des propos retransmis à la télévision.
La justice anticorruption d’Ukraine annonce que des perquisitions sont menées au bureau du chef de cabinet du président Volodimir Zelensky, Andriy Yermak.
Andriy Yermak était le deuxième homme le plus influent d’Ukraine, après Volodymyr Zelensky. Chef de cabinet du Président ukrainien depuis 2020, c’était jusqu’ici son bras droit. Et c’est lui qu’on a vu négocier la dernière version du plan de paix avec les Etats-Unis. Alors quand une personnalité de cette envergure doit ouvrir la porte de son domicile pour une perquisition dans le cadre d’une enquête pour corruption, puis qu’elle présente sa démission, la société ukrainienne est en émoi.
Alors que l’administration Trump a récemment présenté un plan en 28 points sur l’Ukraine, très favorable aux intérêts de Moscou, on vient d’apprendre que, le mois dernier, le conseiller du président des États-Unis Steve Witkoff avait affiché lors d’une conversation téléphonique avec un conseiller de Vladimir Poutine une grande proximité à l’égard de la position du Kremlin. Ces fuites ont suscité un scandale artificiel : en écoutant cet échange de quelques minutes, on n’a rien appris que l’on ne savait déjà sur la posture réelle de l’administration Trump… laquelle demeure pourtant, qu’on le veuille ou non, le seul véritable médiateur entre Moscou et Kiev.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé jeudi que Moscou cessera les hostilités en Ukraine si les forces de Kiev acceptent de se retirer des territoires dont la Russie revendique l'annexion.
A en croire Donald Trump, il ne reste que "quelques points de désaccord" à régler: l'activité diplomatique s'est accélérée pour trouver une issue à la guerre en Ukraine, mais les frappes russes se sont poursuivies mercredi sans répit. Les services de secours ukrainiens ont annoncé que la ville de Zaporijjia (sud) avait subi une attaque russe "massive" dans la nuit de mardi à mercredi. Le bilan de ces frappes, qui ont touché une trentaine d'immeubles, a été porté à 18 blessés, a indiqué Ivan Fedorov, chef de l'administration militaire de la région.
Dans des enregistrements dévoilés par l'agence Bloomberg, on peut voir les conseils donnés par Steve Witkoff aux Russes pour s'adresser au président Trump et ainsi faire avancer les négociations.
L’agence de presse américaine a publié, mardi, la retranscription d’une conversation téléphonique de cinq minutes, datant du 14 octobre et laissant paraître une certaine proximité entre l’Américain et le Russe.
Le secrétaire à l’armée, âgé de 39 ans, a été propulsé, en quelques jours, au premier rang de la négociation du plan de paix voulu par Donald Trump. Vétéran de la guerre en Irak, proche du vice-président américain, J. D. Vance, il a fait carrière dans la finance avant de rejoindre l’administration Trump.
Le Kremlin a relevé mercredi certains points "positifs" dans le plan américain pour mettre fin au conflit en Ukraine, après avoir rejeté une contre-proposition européenne, tandis que Kiev et ses alliés continuent de plaider pour une paix "juste et durable".
La révélation par Bloomberg, mardi, des échanges de Steve Witkoff avec le conseiller diplomatique russe Iouri Ouchakov illustre, s’il en était encore nécessaire, les coulisses peu reluisantes du soi-disant plan de paix de Donald Trump.
Le Kremlin a qualifié mercredi de "processus sérieux" les efforts diplomatiques en cours autour du plan américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine, avant une visite prévue la semaine prochaine à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff.
L’Ukraine et la Russie ont toutes deux fait état mardi matin de frappes aériennes "massives" de l’ennemi sur leurs territoires respectifs, avec au moins trois morts recensés dans la région russe de Rostov et au moins un côté ukrainien, où le secteur énergétique a encore une fois été visé. Le bilan de frappes russes sur Kiev est lui de six morts, ont annoncé les autorités.
Les négociations de Genève ont permis de retirer du projet américain les points les plus problématiques pour les pays de l’UE et l’Ukraine. Mais ce plan en 19 points reste à finaliser et doit être soumis aux Russes.
La seule raffinerie de Serbie, majoritairement détenue par un groupe russe et touchée par des sanctions américaines, a été mise en veille et "s'arrêtera complètement" dans quatre jours si ces sanctions ne sont pas levées, a affirmé mardi le président serbe.
Une pluie de drones et missiles s'est abattue sur Kiev dans la nuit, faisant au moins sept morts, tandis que s'activent mardi en coulisses Ukrainiens, Américains et Européens pour tenter de trouver une issue au conflit après la publication d'un plan américain. Des réunions "secrètes" sur l'Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi à Abou Dhabi pour tenter d'avancer sur un cessez-le-feu, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques.
À l’issue de leurs négociations à Genève, l’Ukraine et les États-Unis sont parvenus à un projet de document complètement révisé, qui a suscité l’optimisme des deux pays. Selon la presse internationale, les aspects les plus délicats – notamment les questions territoriales et le soutien de l’Otan – restent toutefois en suspens.
L'Ukraine a accepté, après consultation avec les émissaires américains, les conditions d'un possible accord de paix, a déclaré mardi un responsable américain à ABC News.
Des réunions sur la situation en Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi à Abou Dhabi (Émirats arabes unis) pour tenter d'avancer sur un règlement du conflit, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques.
Le secrétaire d’Etat américain a évoqué d’« énormes progrès » lors de ses discussions, dimanche, avec les Ukrainiens et les Européens. Mais les contre-propositions des capitales européennes restent très éloignées du projet du président américain.
Des sénateurs ont affirmé que le projet, très favorable à Moscou, rassemblait en réalité des propositions russes, ce que le secrétaire d’Etat américain, Mario Rubio, a vivement démenti.
A l’issue de pourparlers «constructifs» à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens, qui ont permis une avancée par rapport au plan Trump favorable à Moscou, les discussions devraient se poursuivre ce lundi 24 novembre.
Côté européen, les conseillers à la sécurité nationale des dirigeants français, allemand, britannique et italienne seront présents à Genève pour prendre part aux discussions, selon plusieurs sources.
Américains, Ukrainiens et représentants européens se retrouvent, dimanche, à Genève, pour discuter le texte proposé par Donald Trump qui vise à mettre fin au conflit provoqué par près de quatre ans d'invasion russe. De son côté, l'administration américaine présente désormais le document en 28 points comme "un cadre pour des négociations".
Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a contesté samedi 22 novembre au soir le fait que ce texte annoncé dans la semaine soit calqué sur les exigences russes. Trois sénateurs américains ont déclaré le contraire.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio est arrivé dimanche à Genève où des responsables ukrainiens, américains et européens se retrouvent pour discuter du plan de Donald Trump pour l'Ukraine, qui fait craindre à Kiev une capitulation forcée mais ne constitue pas, selon Washington, une offre finale.
Donald Trump a accusé dimanche les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les Etats-Unis, alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit, contesté par Kiev. Dans un message sur Truth Social, le président américain s'en prend également aux Européens, "qui continuent d'acheter du pétrole à la Russie" et à son prédécesseur Joe Biden, qu'il accuse d'inaction au début du conflit.
Donald Trump a accusé dimanche les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les Etats-Unis, alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit, contesté par Kiev.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a estimé que des "progrès substantiels" avaient été faits après une journée de pourparlers à Genève avec des responsables ukrainiens et européens. Il a ajouté que Donald Trump était satisfait.
Le général Mandon a fait polémique en invitant la France à « accepter de perdre ses enfants », évoquant l’éventualité d’une guerre avec la Russie. Mais plusieurs chefs d’état-major européens ont tenu récemment des propos tout aussi alarmistes.
Donald Trump a donné jusqu’au 27 novembre à Kiev pour consentir à l’accord proposé, largement favorable à la Russie. Les Européens, mis devant le fait accompli, s’efforcent de soutenir Volodymyr Zelensky et de faire des contre-propositions.
Au lendemain de la présentation du plan de paix américain pour l'Ukraine, plusieurs acteurs internationaux dont des dirigeants européens et l'ONU ont réagi à cette proposition des États-Unis en 28 points. Tour d'horizon des différentes déclarations, alors que Donald Trump a fixé le 27 novembre comme date butoir pour la réponse de Kiev.
Après avoir repoussé vendredi le plan américain de paix en Ukraine, Volodymyr Zelensky a pris un décret samedi 22 novembre pour former une délégation qui doit procéder à des négociations permettant d’ébaucher des alternatives.
Le plan américain pour l'Ukraine requiert du "travail supplémentaire", ont estimé samedi dans une déclaration commune les dirigeants de 11 pays et de l'Union européenne, après une réunion en marge du sommet du G20 à Johannesburg.
Washington accélère sur un accord de paix en Ukraine, tandis que l'Europe reste à l'écart - La Libre
(22/11) - Ricardo Martins,La Maison Blanche avance sur un plan de paix discuté directement avec Moscou, sans réelle implication de Kyiv ni des partenaires européens. Alors que des émissaires américains se rendent en Ukraine et que le président Zelensky subit une pression accrue, Washington paraît décidé à imposer son initiative comme un fait accompli.
Parmi les nombreux appels et visioconférences organisés dans l’urgence vendredi, le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga a indiqué avoir discuté avec plusieurs homologues européens, dont ceux de la France et du Royaume-Uni, des "prochaines étapes" à suivre.
Donald Trump a déclaré samedi que son plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'était pas sa dernière offre et qu'il souhaitait que cessent les combats "d'une manière ou d'une autre".
Les Etats-Unis ont présenté un plan, dévoilé par l’AFP et le « Financial Times », qui prévoit notamment que Kiev cède à la Russie les oblasts de Donetsk et de Louhansk et réduise son armée.
Un responsable américain a déclaré jeudi que le plan américain pour l'Ukraine comprenait des garanties de sécurité pour Kiev équivalentes à celles de l'Otan en cas de future attaque, confirmant des informations de presse.
Alors que le plan négocié entre les émissaires du président américain et ceux du maître du Kremlin fait la part belle aux exigences russes, les Européens doivent continuer à refuser la perspective d’une solution imposée à l’Ukraine, qui aurait les allures d’une « capitulation ».
Le texte élaboré par la Maison Blanche sans consultation de Kyiv ou de l’Union européenne prévoit de nombreuses concessions à Moscou. Revue de détails des différents points.
Washington a dévoilé ce vendredi 21 novembre les différents points de son projet d’accord pour mettre fin au conflit entre Moscou et Kyiv.
La Russie est une destination privilégiée pour les étudiants du continent africain à la recherche d’études universitaires abordables. En 2023, la Russie estimait à 32 000 le nombre d’étudiants originaires du Moyen-Orient sur son territoire, près de la moitié de nationalité égyptienne. Mais ces derniers mois, la polémique monte en Egypte suite à la publication en avril dernier d’une vidéo montrant un prisonnier de guerre aux mains des forces ukrainiennes. Ce jeune homme, nommé Amar Mohamed, était un étudiant égyptien en Russie qui s'était laissé séduire par la propagande de Moscou pour rejoindre le front ukrainien.
Selon «Reuters», Kyiv subit une pression intense pour se plier aux mesures imposées par le texte concocté par les Américains. Les Etats-Unis lui laissent jusqu’à jeudi pour accepter l’accord, avant de diminuer les livraisons d’armes et le partage de renseignements.
L'Ukraine "risque de perdre" le soutien américain en raison du plan de Washington visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, a prévenu vendredi Volodymyr Zelensky dans une vidéo à la nation. Le président ukrainien a aussi affirmé qu'il proposerait des "alternatives" aux États-Unis afin de ne pas "trahir" son pays.
Le projet en 28 points prévoit notamment que Kyiv cède au Kremlin les régions de Donetsk et Lougansk et que la Russie réintègre le G8. Des mesures défavorables à l’Ukraine dénoncées par l’Union Européenne.
"Je ne trahirai jamais l'Ukraine" : Zelensky repousse le plan américain sur la guerre avec la Russie
(21/11) - Afp,Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a repoussé vendredi le plan américain visant à mettre fin à près de quatre ans d'invasion russe et perçu à Kiev comme très favorable au Kremlin, assurant qu'il ne "trahira" pas son pays.
Dans une adresse à la nation, le président ukrainien a promis des « alternatives » aux 28 points du plan américain.
Diminution des livraisons d’armes, arrêt de l’aide financière… Trump lance un ultimatum à Zelensky, sommé d’accepter avant jeudi un plan de paix largement favorable à Moscou.
Alors que Volodymyr Zelensky est fragilisé par un scandale de corruption dans son entourage, la Maison Blanche et le Kremlin lui ont transmis un plan faisant la part belle aux exigences russes sur la fin de la guerre et la sécurité du continent.
Face à une menace aérienne en constante évolution et de plus en plus massive, Kiev met sur pied une défense complexe, avec des moyens sol-air innovants, bon marché et opérables par des civils.
L’Ukraine a reçu mercredi une nouvelle proposition de paix de la part des Etats-Unis. Elle requiert notamment qu’elle cède des territoires à la Russie et réduise son armée de moitié, au moment où elle subissait l’une des frappes russes les plus meurtrières de l’année.
L'Ukraine a annoncé avoir reçu un projet de plan des États-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie et se dit prête à entamer des discussions constructives avec Washington.
Un oukase signé par le président Vladimir Poutine oblige de signer un contrat d’un an avec les forces armées russes, sauf cas de certificat de démobilisation ou d’inaptitude médicale.
"Le président (Donald Trump) soutient ce plan. C’est un bon plan à la fois pour la Russie et pour l’Ukraine et nous pensons qu’il est acceptable pour les deux parties", a affirmé Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison-Blanche, répondant à des informations selon lesquelles ce projet donnerait surtout satisfaction à Moscou sur plusieurs points importants. "Le gouvernement parle autant avec une partie qu’avec l’autre", a-t-elle insisté.
Après la révélation, mercredi, d’un nouveau plan de paix discuté par l’envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, et celui du maître du Kremlin, Kirill Dmitriev, les Européens ont rappelé fermement leurs lignes rouges.
L'Ukraine a reçu une nouvelle proposition de paix de la part des Etats-Unis qui requiert notamment que Kiev cède les territoires actuellement sous contrôle de la Russie et réduise son armée de plus de moitié, selon des déclarations mercredi à l'AFP d'un haut responsable ukrainien.
«Nous recevons des signaux disant que nous devons accepter ce plan», a déclaré ce mercredi 19 novembre un haut responsable ukrainien auprès de l’AFP.
La ville, située dans l’ouest de l’Ukraine, a été frappée par des drones et des missiles dans la nuit du 18 au 19 novembre, et 73 personnes y ont aussi été blessées, dont 15 enfants, selon les autorités ukrainiennes.
Alors que le Kremlin investit la majorité de ses deniers dans les dépenses militaires, près d'un Russe sur neuf n'a pas toujours accès à l'eau potable.
Une frappe russe a tué dans la nuit de mardi à mercredi neuf personnes à Ternopil, dans l'ouest de l'Ukraine, tandis que la région de Kharkiv a une nouvelle fois été la cible d'une attaque de drones qui a fait "36 blessés, dont des enfants", selon les autorités locales. Lors des deux nuits précédentes, des frappes russes de missile avaient déjà fait au moins quatre morts dans la même région, dont une adolescente de 17 ans.
Les Etats-Unis ont secrètement élaboré, en concertation avec la Russie, un nouveau plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine, selon le média américain Axios, qui dit s'appuyer sur des témoignages de fonctionnaires des deux pays.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a annoncé mardi se rendre en Turquie mercredi pour tenter de "raviver" des négociations de paix et reprendre les échanges de prisonniers de guerre avec la Russie.
Le Premier ministre polonais a indiqué mardi que deux Ukrainiens au service de Moscou sont soupçonnés de deux actes de sabotage d'une voie ferrée en Pologne menant vers l'Ukraine, identifiés la veille.
La ligne Varsovie-Lublin a été endommagée par une explosion samedi, sans faire de blessés. Selon le gouvernement polonais, les responsables sont deux ressortissants ukrainiens, vivant pour l’un en Biélorussie et pour l’autre dans le Donbass, ayant agi pour le compte de la Russie.
En marge du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil), le ministre de l’environnement ukrainien a réclamé 43 milliards de dollars (37 milliards d’euros) de réparations climatiques à la Russie, pour compenser les immenses dégâts environnementaux et financer une reconstruction «plus verte» après la guerre. Une première.
L'Inde a annoncé lundi avoir signé un contrat avec les Etats-Unis pour la livraison de l'équivalent de 10% de ses importations actuelles de gaz de pétrole liquéfié (GPL), pour diversifier ses sources d'hydrocarbures. Cet accord intervient alors que Donald Trump a imposé en août une surtaxe de 50% sur tous les produits indiens entrant sur le territoire américain en représailles aux achats par New Delhi de pétrole russe. Washington estime que ces importations contribuent au financement de la guerre menée par Moscou en Ukraine.
Les présidents ukrainien et français Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron se retrouvent lundi à Paris pour discuter des besoins militaires de Kiev et de la coopération des industries de défense des deux pays, le dirigeant ukrainien évoquant un "accord majeur en préparation".
Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont signé lundi sur une base aérienne près de Paris un accord d'armement qualifié d'"historique" par le président ukrainien pour "renforcer" l'aviation de combat et la défense aérienne de l'Ukraine.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a annoncé, lundi 17 novembre, que la ligne Varsovie-Lublin avait été visée dimanche par un acte de malveillance alors que le pays est la plaque tournante de l’aide occidentale à l’Ukraine.
L'Ukraine va importer du gaz depuis la Grèce pour pallier ses besoins hivernaux, a annoncé dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky, alors que les infrastructures gazières du pays ont été la cible de frappes russes. En octobre, Moscou a mené la plus grande campagne de bombardements contre les sites gaziers ukrainiens depuis le début de l'invasion en 2022, interrompant 60% de la production, principale source de combustible pour le chauffage.
Ukrainiens comme Russes recourent massivement aux drones aériens dans le cadre du conflit. Mais depuis les bunkers sous-terrain, les Ukrainiens pilotent aussi des drones terrestres : sur roues ou sur chenilles, ces engins sont devenus essentiels pour des missions logistiques ou de sauvetage.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi entamer une "refonte" des entreprises publiques du secteur énergétique ukrainien, dont l'opérateur du nucléaire Energoatom, au centre d'un vaste scandale de corruption depuis plusieurs jours.
L'armée ukrainienne a annoncé samedi sur les réseaux sociaux avoir attaqué une raffinerie russe près de Moscou, dans la région de Riazan, "dans le cadre des efforts visant à réduire la capacité de l'ennemi à lancer des missiles et des bombes".
L'Ukraine a rapporté tôt vendredi une attaque massive de la Russie à l'aide de drones et de missiles, sur plusieurs districts de sa capitale Kiev, où des immeubles résidentiels ont été touchés. Au moins une personne a été tuée et une quinzaine ont été blessées.
Des tirs conduits par l’intelligence artificielle se déroulent quotidiennement depuis l’eté. L’IA n’est plus seulement une assistance dans le traitement des données et des flux vidéo militaires, mais se trouve embarquée au sein de modules très bon marché équipant des munitions rôdeuses.
Des débris de drones ukrainiens ont touché jeudi la centrale nucléaire de Novovoronej, dans le sud-ouest de la Russie, perturbant brièvement son fonctionnement, a indiqué vendredi le directeur de l'agence russe du nucléaire Rosatom.
L'Union européenne reste le plus gros acheteur de gaz naturel liquéfié (GNL) russe […] Ce commerce est soutenu par des relations commerciales de longue date entre des entreprises européennes et le projet Yamal LNG. TotalEnergies, un géant français de l'énergie, détient 20 % du projet et achète également une grande partie de son gaz. De même, SEFE, une entreprise publique allemande, est un acheteur clé, ce qui illustre la dépendance directe du gouvernement envers les revenus générés par les exportations de GNL pour le Kremlin. Yamal LNG dépend également fortement des infrastructures exploitées par l'Occident, notamment des navires-citernes brise-glace spécialisés et des ports européens clés.
Il s'agit de bombes planantes, des armes guidées bon marché, mais très destructrices.
Les prix du pétrole ont augmenté vendredi, après une attaque de drones ukrainiens sur un port russe et sa raffinerie, faisant revenir sur les cours une prime de risque géopolitique après une forte baisse en milieu de semaine. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en janvier, a progressé de 2,19% à 64,39 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en décembre, a gagné 2,39% à 60,09 dollars. "Le principal événement sur le marché aujourd'hui est l'attaque ukrainienne à Novorossiïsk", ville portuaire sur les bords de la mer Noire, dans la région de Krasnodar, résume auprès de l'AFP Robert Yawger, de Mizuho USA.
L'homme d'affaires Timour Minditch, accusé dans une grande affaire de corruption en Ukraine, se voit sanctionné par Volodymyr Zelensky.
Les pays nordiques et baltes ont annoncé jeudi une contribution de 500 millions de dollars (430 millions d'euros) à un programme mis en place par Washington et l'Otan pour acheter des armes américaines pour l'Ukraine.
Lors d'un échange téléphonique jeudi, le chancelier allemand Friedrich Merz a demandé au président ukrainien Volodymyr Zelensky de faire en sorte que "les jeunes hommes ukrainiens ne viennent pas en grand nombre et en nombre croissant en Allemagne". Il a par ailleurs annoncé que les aides auxquelles les réfugiés ukrainiens avaient jusqu'ici droit allaient être abaissées.
Face à l'intensification des attaques de drones russes, Kiev développe depuis plusieurs mois des programmes d'intercepteurs bon marché fabriqués localement. Parmi les options disponibles, le Sting semble donné entière satisfaction. Selon son fabricant, le petit engin a déjà mis hors de combat plus d'un millier de drones de type Shahed en quatre mois.
Le ministre de la Justice et ex-ministre de l'Énergie ukrainien, a été suspendu mercredi, a annoncé la Première ministre ukrainienne, sur fond de vaste scandale de corruption qui secoue le secteur énergétique du pays.
La Belgique sera confrontée à un grave problème de responsabilité si des avoirs russes sont saisis, a déclaré le Service de renseignement extérieur russe (SVR), selon l'agence de presse d'État russe Tass.
Un cessez-le-feu est nécessaire de "toute urgence" en Ukraine après près de quatre années de guerre, a estimé le G7 mercredi à la fin d'une réunion au Canada des ministres des Affaires étrangères, au moment où les négociations sont au point mort.
Un nouveau missile, dénommé "Flamingo", est désormais fabriqué sur le sol ukrainien. Utilisé déjà à neuf reprises, il dépasserait les performances de son équivalent américain.
Le scandale impliquant un ancien partenaire d’affaires du Président menace son avenir politique et le contraint désormais à réagir avec une rapidité exceptionnelle et à démettre de leurs fonctions ses ministres de l’Energie et de la Justice.
Le Bureau national anticorruption a mené lundi des perquisitions autour d’un réseau soupçonné d’extorsions de fonds à des sous-traitants du géant public du nucléaire ukrainien. Dans leur viseur, des proches de Volodymyr Zelensky.
Un proche du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Timour Minditch, a été accusé mardi par des enquêteurs ukrainiens d'avoir orchestré un système de corruption de 100 millions de dollars.
L'Ukraine a lancé une vaste opération anticorruption dans le secteur énergétique, révélant un réseau criminel de haut niveau et saisissant des sacs de billets.
Le Kremlin estime que l'Ukraine ne pourra pas mettre fin militairement au conflit, alors que Moscou revendique de nouveaux gains sur le front Est.
L'actrice américaine s'est rendue dans le sud de l'Ukraine, à Kherson et Mykolaïv, où elle s'est entretenue avec des secouristes locaux. Elle a raconté avoir été survolée par un appareil russe.
En Europe, Monetochka, artiste anti-Kremlin en exil, chante ses textes contre la guerre en Ukraine. A Saint-Pétersbourg, trois jeunes ont osé reprendre ses chansons. Depuis près d’un mois, ils sont en prison.
L'Ukraine s'est dite visée par une nouvelle attaque russe contre ses infrastructures énergétiques dans la nuit de vendredi à samedi, faisant deux morts et provoquant des coupures de courant dans plusieurs régions. Bien partie pour s'emparer de l'important noeud logistique de Pokrovsk, dans l'est, l'armée russe intensifie aussi ses bombardements contre les installations gazières et électriques de tout le pays, faisant craindre un hiver difficile pour les civils alors que les températures baissent.
Le Bureau national anticorruption a annoncé, lundi, des dizaines de perquisitions visant un réseau soupçonné d’avoir extorqué des fonds à des sous-traitants d’Energoatom, l’entreprise publique du nucléaire. Parmi les individus visés figurent le ministre de la justice et le copropriétaire de la société de production de Volodymyr Zelensky.
Face à l’extrême létalité des drones FPV sur le front, l’usage du fusil à grenaille se répand dans les rangs de l’armée ukrainienne. L’état-major espère ainsi sauver la vie de milliers de soldats et réduire les risques posés à la logistique militaire sur le front.
Deux régions russes frontalières de l'Ukraine font face dimanche à des coupures d'électricité affectant 20.000 personnes après des frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques, ont annoncé les autorités locales, au lendemain de bombardements russes en Ukraine.
L'Ukraine s'est dite visée par une nouvelle attaque russe contre ses infrastructures énergétiques dans la nuit de vendredi à samedi, provoquant des coupures de courant dans plusieurs régions. Bien partie pour s'emparer de l'important noeud logistique de Pokrovsk, dans l'est, l'armée russe intensifie aussi ses bombardements contre les installations gazières et électriques de tout le pays, faisant craindre un hiver difficile pour les civils alors que les températures baissent.
La Russie a lancé une traque contre les "veuves noires", ces femmes accusées d'épouser des soldats dans l'espoir d'empocher, à leur mort sur le front ukrainien, une indemnité pouvant atteindre 170 000 euros, soit près de vingt fois le salaire annuel moyen dans le pays
L'Ukraine a été visée samedi par une nouvelle série de frappes de drones et de missiles russes qui ont endommagé ses infrastructures énergétiques et provoqué des coupures de courant, y compris dans la capitale, faisant au moins quatre morts à travers le pays. La Russie cible depuis plusieurs semaines les centrales électriques et installations gazières ukrainiennes, provoquant régulièrement des coupures à travers le pays et faisant craindre un hiver difficile alors que les températures baissent.
Actuellement, au moins 1.436 citoyens de 36 pays africains combattent aux côtés de la Russie contre l'Ukraine, a déclaré vendredi le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriï Sybiha.
A ce jour, 1 762 enfants ukrainiens ont été rapatriés après leur transfert forcé par Moscou. Les Ukrainiens s’efforcent de les désendoctriner et alertent sur le fait qu’aujourd’hui tous les enfants vivant sous occupation, russifiés et militarisés, sont arrachés à leur pays sans même avoir à être déportés physiquement.
L’infanterie russe progresse à l’intérieur de la ville, l’une des dernières grandes agglomérations de la région de Donetsk restée sous le contrôle des forces de Kiev. Le changement de tactique de Moscou, consistant à détruire la logistique ukrainienne, porte ses fruits après six mois d’efforts.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mardi le chef du gouvernement hongrois Viktor Orban à ne "pas bloquer" l'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Biologistes et locaux observent des effets directs et indirects de la guerre sur la faune et la flore de la réserve biosphère du delta.
Moscou mène une campagne systématique d’attaques aériennes contre le secteur énergétique ukrainien, afin de plonger l’est du pays dans le noir et le froid. Le secteur opère une transition vers les énergies renouvelables et le stockage pour améliorer sa résilience.
Les troupes russes massées autour de la ville comptent huit fois plus d'hommes que les forces de défense ukrainiennes qui la défendent.
La Russie a lancé 79 drones et deux missiles balistiques sur l’Ukraine dans la nuit de samedi à dimanche 2 novembre. D’après les autorités ukrainiennes, elles ont coûté la vie à au moins six personnes, dont deux enfants.
La Russie a tiré plus de missiles sur l’Ukraine en octobre que durant n’importe quel autre mois depuis au moins début 2023, lors d’attaques nocturnes visant en particulier le réseau énergétique, selon une analyse de données ukrainiennes réalisée par l’AFP.
L'armée ukrainienne a affirmé samedi qu'une opération "complexe" impliquant des forces spéciales était en cours pour chasser les soldats russes infiltrés dans la ville de Pokrovsk, un bastion de la région orientale de Donetsk subissant une pression croissante.
Depuis le début de l'année, l'Ukraine a mené près de 160 frappes réussies contre des sites pétroliers russes, réduisant significativement les capacités de raffinage du pays, selon le chef du SBU.
Selon CNN, le Pentagone a donné à la Maison Blanche le feu vert pour fournir à l'Ukraine les missiles de longue portée Tomahawk. Il appartiendrait maintenant au président de décider s'il livre ou non ces armes à Kiev.
La Russie a lancé, dans la nuit de mercredi à jeudi, une série d'attaques sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes, provoquant des restrictions d'électricité à l'échelle nationale et la mort de trois personnes, selon les autorités locales.
Le phénomène des "annulations" serait de plus en plus fréquent au sein de l'armée russe.
La Russie a lancé une nouvelle attaque massive contre des sites énergétiques ukrainiens dans la nuit de mercredi à jeudi en faisant trois morts dont une fillette et en provoquant de vastes coupures d'électricité dans le pays.
Un bombardement a touché mercredi un hôpital pédiatrique dans la ville ukrainienne de Kherson (sud), faisant neuf blessés dont quatre enfants, ont annoncé les autorités de Kiev, qui ont accusé Moscou d'"un nouveau crime de guerre".
En partant de rien, une start-up privée ukrainienne a conçu et produit massivement, en très peu de temps, un drone à longue portée rivalisant avec le Shahed, l’arme avec laquelle la Russie bombarde quotidiennement le territoire ukrainien depuis trois ans.
Zelensky appelle l'Europe à soutenir financièrement l'Ukraine pendant deux à trois ans et espère que Donald Trump fera pression sur la Chine pour réduire son aide à Moscou.
Un rapport de la Commission d’enquête internationale indépendante des Nations unies, publié lundi 27 octobre, dénonce les attaques continues de drones qui visent à chasser les populations du sud-est de l’Ukraine.
En moins de 48 heures, des bénévoles tchèques ont récolté plus de 500 000 euros pour financer un missile de croisière Flamingo pour l'armée ukrainienne.
Le ministère russe de la Défense a annoncé ce lundi 27 octobre que l’attaque, survenue dans la nuit, a fait au moins un mort et cinq blessés.
Avec une croissance qui recule, des troupes armées qui ne parviennent pas à avancer en Ukraine et un Donald Trump humilié puisqu’il n’a pas suivi ses conseils pour un retour à la paix, rien ne va ni dans le paysage ni sur le terrain pour le chef du Kremlin, selon l’eurodéputé Renew.
L’Ukraine a lancé, lundi 27 octobre, une salve de drones visant Moscou. Peu coûteux, précis et stratégiques, les engins volants dictent de plus en plus le rythme d’une guerre qui s’automatise et permettent de combler les déficits humains et logistiques des armées.
Jusqu’alors dépendante des missiles et tanks occidentaux, l’Ukraine a décuplé la production et les capacités de ses engins volants militaires. Modifiant profondément la nature de ce conflit.
De la détection à la destruction, l’armée ukrainienne a dû tout inventer, ou presque, pour faire face à cette « arme du pauvre », désormais utilisée à très grande échelle par les forces de Moscou.
Des troupes russes ont pénétré dans la ville de Pokrovsk, dans l'est de l'Ukraine, après des mois d'assauts contre les positions ukrainiennes dans la région, a annoncé dimanche l'armée ukrainienne.
Kirill Dmitriev, envoyé spécial de Vladimir Poutine pour les investissements et la coopération économique, s'est exprimé ce vendredi.
Donald Trump a écarté l'idée d'une nouvelle rencontre avec Vladimir Poutine, estimant qu'aucune discussion ne serait utile sans perspective d'accord sur la fin du conflit en Ukraine.
Alors que les relations russo-américaines se dégradent, le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi d'une réponse "très forte" en cas d'attaque du territoire russe par des missiles américains Tomahawk, dont l'Ukraine réclame la livraison de la part de Washington.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son gouvernement cherchait des moyens de contourner les sanctions américaines contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes destinées à faire pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine. "Des sanctions ont été prises contre certaines entreprises de pétrole russe (...). Nous travaillons sur des moyens de les contourner", a déclaré M. Orban lors de son interview radio hebdomadaire. "Quiconque souhaite une baisse des prix" notamment de l'énergie "doit défendre le droit de la Hongrie à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, ou au même prix que la Russie, ou moins cher", a ajouté le leader nationaliste.
Donald Trump a laissé éclater son exaspération mercredi envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qualifiées "d'énormes" contre le secteur pétrolier russe, dans l'espoir d'amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. En parallèle, l'Union européenne a annoncé mercredi avoir trouvé un accord pour durcir ses sanctions sur les hydrocarbures russes et tarir les ressources du Kremlin. "Ce sont des sanctions énormes (...) Et nous espérons qu'elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu'un terme sera mis à la guerre", a affirmé le président américain en recevant le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.
Les Etats-Unis ont annoncé mercredi des sanctions contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes, Rosneft et Lukoil, les premières sanctions d'importance prises par Donald Trump contre la Russie depuis son retour au pouvoir. Voici ce que l'on sait sur ces mesures, leur portée et leurs possibles conséquences économiques et politiques, alors que l'UE a annoncé parallèlement un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe d'ici fin 2026.
L'alimentation électrique de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine a été rétablie après une panne record d'un mois depuis l'invasion russe, a déclaré jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La reprise de l'alimentation de la plus grande centrale d'Europe, occupée depuis mars 2022 par les forces russes est intervenue après la réparation d'une ligne à l'extérieur du site grâce à un cessez-le-feu local. Elle constitue "une étape cruciale pour la sûreté et la sécurité nucléaires", a indiqué l'organisme de surveillance nucléaire des Nations unies dans un message sur X. L'agence a ajouté continuer de travailler avec la Russie et l'Ukraine pour permettre la restauration d'une autre ligne électrique.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a dénoncé jeudi les sanctions américaines contre les groupes pétroliers Rosneft et Lukoil, affirmant que la Russie était "immunisée" contre ces pressions économiques. "Nous considérons cette démarche comme étant exclusivement contre-productive", a déclaré Maria Zakharova lors de son briefing hebdomadaire.
Les dirigeants de l'UE ont demandé jeudi à la Commission européenne d'explorer les moyens de financer l'Ukraine sur les deux années à venir en laissant le porte ouverte à la mise en place d'un prêt s'appuyant sur les avoirs russes gelés, ont indiqué plusieurs diplomates à l'AFP.
Le président Vladimir Poutine a estimé jeudi que les sanctions prises la veille par Washington contre le secteur pétrolier russe étaient "sérieuses" mais qu'elles n'auraient pas d'"impact significatif" sur l'économie de son pays.
Les Etats-Unis ont annoncé des sanctions contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes, Rosneft et Lukoil, et l'Union européenne a décidé un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe d'ici à fin 2026. Voici ce que l'on sait sur ces mesures, leur portée et leurs possibles conséquences économiques et politiques.
Moscou mène une politique de russification et de militarisation forcées dans les territoires occupés, afin d’en transformer les habitants en soldats. Ces Ukrainiens d’origine, envoyés en nombre sur le front, représentent déjà un quart des prisonniers de guerre aux mains de Kiev, révèle « Le Monde ».
Donald Trump a expliqué mardi le report sine die de sa rencontre avec Poutine en disant qu'il ne voulait pas de discussions "pour rien", alors que les deux dirigeants envisageaient de se réunir à Budapest pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé mercredi par la Norvège une tournée dans plusieurs pays européens pour obtenir plus d'aide face à Moscou, qui a assuré de son côté que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump était toujours d'actualité. M. Zelensky se rend en Europe juste après une nouvelle vague de frappes russes nocturnes sur le secteur énergétique ukrainien, qui ont fait au moins six morts et provoqué des coupures de courant à travers le pays. Le président ukrainien a atterri en fin de matinée à Oslo pour rencontrer le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, avant un entretien prévu en Suède avec le Premier ministre Ulf Kristersson dans la ville de Linköping, siège du groupe de défense Saab, qui produit l'avion de chasse Gripen, des systèmes d'armes et sous-marins.
Face à la Russie, l'Ukraine finance une dissuasion à l'échelle de l'Otan, sans intégration au niveau de l'Otan. Il faut reconnaître l'Ukraine comme indispensable à l'avenir de l'Europe et agir en conséquence.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a signé mercredi en Suède une lettre d'intention pour l'achat de jusqu'à 150 avions de chasse Gripen, lors d'une tournée européenne visant à obtenir plus d'aide face à Moscou qui continue de bombarder le pays. Sur le plan diplomatique et alors que les négociations semblent dans l'impasse pour mettre fin au conflit, Moscou a assuré mercredi que le sommet entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump était toujours d'actualité.
Les dirigeants européens ont affirmé mardi avec le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie, dans une déclaration en soutien aux efforts de paix de Donald Trump.
L'Union européenne a franchi lundi une étape importante dans ses efforts pour assécher l'économie de guerre de la Russie, la majorité des Etats membres ayant approuvé le principe d'une interdiction, d'ici fin 2027, des importations de gaz naturel russe. Cette mesure phare, proposée par la Commission européenne au printemps, était au menu d'un conseil des ministres européens de l'Energie à Luxembourg, où elle a recueilli un large consensus. La Slovaquie et la Hongrie, pays enclavés et très dépendants des hydrocarbures russes, étaient opposés à cette interdiction mais ont été mis en minorité.
Alors que le président américain, Donald Trump, a annoncé une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine, les dirigeants européens ont confirmé, mardi, leur soutien aux efforts de paix en Ukraine. Mais la Russie a relativisé les chances que ce sommet intervienne rapidement.
Reçu à la Maison Blanche la semaine dernière, le président ukrainien a non seulement dû renoncer aux missiles tomahawks qu’il espérait obtenir de Trump, mais il a en plus été enjoint à répondre à l’une des principales exigences de Poutine, selon un haut responsable ukrainien.
Le président américain Donald Trump a déclaré dimanche que l'Ukraine et la Russie devaient geler la ligne de front et mettre un terme à la guerre, ce qui impliquerait un partage de la région ukrainienne du Donbass.
Les ministres de l'Énergie de l'Union européenne devraient approuver lundi l'interdiction totale des importations de gaz russe d'ici fin 2027, proposée au printemps par la Commission. Une adoption définitive espérée avant le Nouvel An "Je m'attends à ce que nous ayons la majorité requise pour soutenir cette mesure", a déclaré à la presse le ministre danois de l'Énergie Lars Aagaard, qui préside cette réunion ministérielle à Luxembourg. Une fois endossée par les 27, la mesure devra encore être négociée avec le Parlement européen. Le Danemark, qui exerce la présidence tournante de l'UE jusqu'à la fin de l'année, espère une adoption définitive avant le Nouvel An, a précisé M. Aagaard.
"Les Ukrainiens sont très résilients. Ils se battent pour leur liberté, leur indépendance, leur pays. Ils ne peuvent pas simplement capituler", a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à son arrivée à une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Luxembourg.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré lundi être prêt à participer au sommet prévu prochainement à Budapest entre les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine, s'il recevait une invitation en ce sens.
La mesure approuvée par les Vingt-Sept ce lundi 20 octobre à la majorité doit maintenant être négociée avec le Parlement européen.
Le chef de la diplomatie russe Segueï Lavrov s'est entretenu lundi au téléphone avec son homologue américain Marco Rubio pour évoquer les modalités du sommet envisagé prochainement à Budapest entre les deux présidents Vladimir Poutine et Donald Trump, a annoncé Moscou.
Trois ans et demi après le début de la guerre en Ukraine, les Européens continuent à acheter des hydrocarbures russes et financent ainsi l’effort de guerre de Moscou.
Après un long appel avec Vladimir Poutine, Donald Trump aurait exigé de Volodymyr Zelensky des concessions territoriales majeures pour mettre fin à la guerre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé dimanche ses alliés à prendre "des mesures décisives", au retour de sa visite à Washington où il n'a pas obtenu de soutien militaire renforcé des États-Unis.
Le plan pour rétablir, après une panne record de près de quatre semaines, l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a commencé à être mis en oeuvre grâce à un cessez-le-feu local, a annoncé samedi l'AIEA. "Les travaux ont commencé pour réparer les lignes électriques" autour du site, a déclaré le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, sur X. "Les réparations devraient durer environs une semaine", a précisé plus tard l'agence dans un communiqué. "Ce matin, après les activités de déminage, les travaux ont commencé pour réparer deux câbles" d'une ligne déconnectée le 7 mai, a détaillé l'AIEA.
Dans le sud de l’Ukraine, un convoi d’aide humanitaire de l’ONU a été ciblé mardi 14 octobre par des drones kamikazes russes, qui ont détruit deux camions. Quelques heures plus tard, des blogueurs militaires russes publiaient triomphalement une vidéo de l’attaque. Des images qui permettent de décrypter les tactiques des opérateurs de drones.
De passage à Washington pour tenter de négocier des missiles Tomahawks, le président ukrainien a dû déchanter face à son homologue américain, une fois de plus influencé par le maître du Kremlin.
Recevant son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, vendredi, le président américain n’a pas voulu s’engager à fournir des missiles de croisière Tomahawk à Kiev.
Les forces de Kiev doivent composer avec l’imprévisibilité du président américain, qui en même temps qu’il renonce à lui livrer des missiles Tomahawk, a accru, depuis l’été, son aide en matière de renseignement, lui permettant de frapper plus efficacement les infrastructures énergétiques russes.
Trump a rejeté la demande de Zelensky de livrer des missiles Tomahawk, selon des médias
Donald Trump a jugé "intéressante" vendredi l'idée d'un tunnel sous-marin reliant la Russie à l'Alaska, suggérée la veille par un haut responsable russe au multimilliardaire Elon Musk.
En invitant l’Ukraine et la Russie à cesser les hostilités et à figer leur frontière sur la ligne de partage actuelle des combats, alors qu’il semblait déterminé à créer un rapport de force avec Vladimir Poutine, le président américain a donné une nouvelle illustration de son indécision.
Le plan "complexe" pour rétablir après une panne record de près de quatre semaines l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a commencé à être mis en oeuvre grâce à un cessez-le-feu local, a annoncé samedi l'AIEA. "Les travaux ont commencé pour réparer les lignes électriques" autour du site, a déclaré le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, sur X. Le démarrage prochain des réparations avait été annoncé mercredi par l'agence basée à Vienne, en Autriche, qui faisait pression pour remédier à une situation "intenable". La plus grande centrale nucléaire d'Europe est occupée depuis mars 2022 par les forces russes. Le 23 septembre, elle a perdu sa connexion au réseau pour la dixième fois et il s'agit de la plus longue coupure totale d'alimentation électrique externe depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est à Washington vendredi pour la troisième fois depuis le retour de Donald Trump au pouvoir. Il veut convaincre le président américain de lui livrer des missiles Tomahawk.
Le président américain a déclaré jeudi 16 octobre que les Etats-Unis ne pouvaient pas «appauvrir» leurs propres réserves de ces missiles que l’Ukraine cherche à se procurer auprès de Washington pour répondre aux attaques russes.
Volodymyr Zelensky aura fort à faire vendredi pour convaincre Donald Trump de livrer à l'Ukraine des missiles Tomahawk, alors que le président américain et Vladimir Poutine viennent de relancer leur dialogue.Le président ukrainien sera reçu à la Maison Blanche pour la troisième fois depuis le retour au pouvoir du républicain.
La Russie a affirmé vendredi avoir pris le contrôle de trois villages dans les régions ukrainiennes de Kharkiv et Dnipropetrovsk. Ces zones figuraient parmi celles reprises par Kiev lors de sa contre-offensive de 2022.
Le président américain Donald Trump reçoit ce vendredi Volodymyr Zelensky venu le convaincre de livrer à l’Ukraine des missiles Tomahawk capables de frapper profondément le territoire russe. Face à cette éventualité, le Russe Vladimir Poutine s’empare de son téléphone pour renouer le dialogue. Donald Trump et Vladimir Poutine se sont mis d’accord pour se rencontrer très vite en tête à tête à Budapest. Nul doute de la perspective de voir l’Ukraine armée de missiles de croisière américains de pointe fait bouger le Kremlin, mais sans doute pas assez pour aboutir à une paix négociée.
Le président ukrainien installe à la tête du port de la mer Noire une administration militaire à ses ordres, ravivant la crainte d’une mise au pas de l’ensemble des municipalités du pays en guerre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'entretiendra vendredi à Washington avec son homologue américain Donald Trump de la possible livraison à son armée de missiles de croisière Tomahawk, "sujet principal" du déplacement, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien.
Des sites de production de gaz en Ukraine ont été mis à l'arrêt jeudi après une nouvelle vague de frappes russes, qui mettent sous pression le réseau énergétique à l'approche de l'hiver. La Russie a multiplié depuis plusieurs semaines les tirs de drones et missiles sur les infrastructures électriques et gazières, ainsi que sur le réseau ferroviaire en Ukraine, provoquant des coupures de courant dans quasiment tout le pays.
Le président russe Vladimir Poutine s'est félicité jeudi que son pays reste "l'un des principaux producteurs" au monde de pétrole, malgré les sanctions occidentales et les pressions de son homologue américain Donald Trump sur les clients de Moscou.
Les discussions autour de la possible fourniture par les Etats-Unis à l'Ukraine de missiles de longue portée Tomahawk ont "contraint" le président russe Vladimir Poutine à appeler son homologue américain Donald Trump, a estimé jeudi le ministre ukrainien des Affaires étrangères.
Donald Trump prévoit de rencontrer son homologue Vladimir Poutine "dans les deux prochaines semaines", a-t-il dit jeudi pendant un échange avec la presse dans le Bureau ovale. Le président américain avait annoncé peu avant qu'il verrait prochainement son homologue russe à Budapest, en Hongrie, après un coup de fil qualifié de "très productif" avec le maître du Kremlin.
Le président ukrainien, qui rencontre Donald Trump ce vendredi à Washington, devrait discuter de la possible livraison à l’armée ukrainienne de missiles américains de longue portée.
Des coupures de courant ont été instaurées dans toute l'Ukraine pour le deuxième jour consécutif en raison des dégâts causés par des frappes russes sur les infrastructures du pays, a annoncé jeudi soir l'opérateur du réseau. "En raison de la situation difficile sur le système énergétique, des coupures d'électricité d'urgence ont été mises en place dans toutes les régions d'Ukraine", a indiqué Ukrenergo sur Telegram. Des mesures de limitation de la consommation d'électricité pour les clients industriels avaient déjà été mises en place toute la journée dans tout le pays, a indiqué Ukrenegro, précisant que ces mesures seraient de nouveau en vigueur vendredi.
Citant un décret signé par Zelensky, les services de sécurité ukrainiens ont annoncé mardi que le maire d'Odessa, Gennadi Troukhanov, a été déchu de la nationalité ukrainienne. Une source au sein de la présidence ukrainienne a par ailleurs indiqué à l'AFP que le danseur de ballet Sergueï Polounine en a également été déchu.
Le Royaume-Uni a annoncé mercredi des sanctions contre deux géants pétroliers russes, Rosneft et Lukoil, et contre une cinquantaine de navires soupçonnés d'appartenir à la "flotte fantôme" utilisée par la Russie pour exporter son pétrole. Lukoil et Rosneft sont les deux plus grands producteurs russes de pétrole, qui exportent à eux deux quelque 3,1 millions de barils par jour, souligne le gouvernement britannique dans un communiqué.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, a dit s'attendre mercredi soir à ce que les réparations commencent "bientôt" pour rétablir l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la situation actuelle n'étant selon lui "pas tenable". Déconnectée du réseau depuis le 23 septembre "Je continue de consulter la Russie et l'Ukraine afin que ces travaux puissent commencer dans les prochains jours", a déclaré dans un communiqué le responsable de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Plus de la moitié des pays de l'Otan ont rejoint le programme PURL, destiné à financer des armes américaines pour l'Ukraine, en réponse aux besoins urgents exprimés par Kiev.
Des coupures de courant ont été instaurées dans quasiment toute l'Ukraine en raison des dégâts aux infrastructures électriques causés par les frappes russes, a annoncé mercredi l'opérateur du réseau, signe d'une situation qui s'est aggravée par rapport à la veille. "En raison de la situation complexe dans le système énergétique de l'Ukraine, des coupures d'électricité d'urgence ont été mises en place dans toutes les régions", sauf celle de Donetsk (est) où se concentrent les combats, a annoncé Ukrenergo sur Telegram.
Les sanctions occidentales poussent la Russie à emprunter des routes alternatives et à exploiter un « marché gris » pour ses approvisionnements. Une nouvelle géographie des échanges se dessine-t-elle ? Est-elle durablement viable ?
Après l’accord à Gaza, le président américain pourrait reporter son attention sur le conflit avec la Russie. Au menu des discussions à venir avec son homologue ukrainien : défense anti-aérienne et missiles longue portée.
Depuis plusieurs mois déjà, les États-Unis fournissent à l’Ukraine des renseignements précis sur les installations énergétiques à bombarder en Russie. Un soutien qui tranche avec l’attitude passée de Donald Trump à l’égard de Vladimir Poutine. Officiellement, Washington veut pousser Moscou à négocier. Mais ce n’est probablement pas la seule motivation du président américain.
Moscou franchit un cap : des réservistes russes pourraient désormais être mobilisés en dehors des frontières russes, ce qui n'est normalement possible que si le pays se déclare officiellement en état de guerre. La Russie contourne ainsi, une fois de plus, les limites imposées par sa propre législation.
Les "attaques persistantes" de l'Ukraine sur les infrastructures énergétiques de la Russie ont entraîné en septembre une baisse de ses exportations de carburants tels que le diesel et le fioul, au "plus bas depuis une décennie", a indiqué mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE). "Des attaques persistantes contre les infrastructures énergétiques russes" ont réduit les capacités de raffinage du pétrole brut russe "d'environ 500.000 barils par jour, entraînant des pénuries de carburant dans le pays et une baisse des exportations de produits" raffinés, a indiqué l'Agence de l'énergie de l'OCDE dans son rapport mensuel sur le pétrole.
L'opérateur du réseau électrique ukrainien, Ukrenergo, a annoncé mardi instaurer des coupures de courant dans au moins huit régions en raison des dégâts causés aux installations par les récentes frappes russes.
En visite lundi en Ukraine, la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne Kaja Kallas a dénoncé la position de la Russie, qui "joue avec la guerre" et risque "l'escalade". Ces déclarations ont lieu après une série de violations de l'espace aérien européen imputées à des appareils russes ces dernières semaines.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé lundi que le cessez-le-feu obtenu à Gaza par l'intermédiaire de Donald Trump donnait "davantage d'espoir pour la paix" en Ukraine, où le dirigeant américain ambitionne aussi de jouer un rôle de médiateur avec Moscou.
Zelensky réclame à ses alliés des systèmes de défense antiaériens après des attaques russes massives
(13/10) - France24,Après avoir échangé deux fois en deux jours avec son homologue américain Donald Trump et avec le président français Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky a demandé dimanche à ses alliés de fournir davantage de systèmes de défense antiaériens à l'Ukraine, confrontée à une intensification des attaques de missiles et de drones russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué avoir eu un entretien téléphonique dimanche avec son homologue américain Donald Trump, le deuxième en deux jours, pour évoquer notamment la défense anti-aérienne et le secteur énergétique du pays pilonné par la Russie.
Depuis le début de la guerre en 2022, pas un jour sans qu’un drone ou un missile ne s’abatte sur l’Ukraine. Face à un danger devenu omniprésent, militaires, humanitaires et civils s’équipent en masse de détecteurs de drones.
Zelensky demande à Trump de mettre la pression sur Poutine pour négocier la paix.
Kiev et neuf régions d'Ukraine étaient affectées par des coupures d'électricité vendredi après une nouvelle attaque russe d'ampleur impliquant des centaines de drones et des dizaines de missiles, qui a également tué un enfant et fait une trentaine de blessés. La Russie multiplie depuis plusieurs semaines les frappes sur les infrastructures énergétiques et le réseau ferroviaire ukrainiens à l'approche de l'hiver, faisant craindre une campagne, comme les années précédentes, qui pourrait plonger des millions de personnes dans le noir.
Une attaque aérienne massive a mis hors d’usage environ 60 % des capacités de production gazière de l’Ukraine. Kiev devra dépenser environ 2 milliards d’euros d’ici à mars pour importer du gaz venant de l’Europe.
Le pays a une nouvelle fois été la cible de tirs russes d’ampleur dans la nuit de jeudi à vendredi 10 octobre. Volodymyr Zelensky affirme que la Russie a lancé plus de 450 drones et plus de 30 missiles.
La capitale ukrainienne Kiev a une nouvelle fois été la cible d'une attaque russe d'ampleur dans la nuit de jeudi à vendredi, qui a provoqué une coupure de courant dans le secteur est de la ville, ont annoncé les autorités locales. Le gouverneur de la région de Zaporijjia, dans le centre de l'Ukraine, a pour sa part annoncé le décès d'un enfant de 7 ans à la suite de frappes russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie de vouloir "semer le chaos" en Ukraine en multipliant récemment les frappes sur les infrastructures énergétiques et les chemins de fer du pays. Ces dernières semaines, à l'approche de l'hiver, la Russie a ciblé dans plusieurs régions ukrainiennes des installations électriques, gazières ou ferroviaires, faisant craindre une campagne similaire à celle d'hivers précédents, quand des millions de personnes avaient par moments été plongées dans le noir ou privées de chauffage.
Les sanctions de Washington visant NIS, la compagnie nationale pétrolière de la Serbie, sont entrées en vigueur jeudi. Détenue majoritairement par Gazprom et d’autres sociétés russes, elle assure environ 80 % des besoins en carburant des 6,5 millions de Serbes.
Kiev intensifie depuis début août ses frappes sur les raffineries et les infrastructures pétrolières russes, avec une trentaine d'attaques, la dernière en date lundi, afin d'affaiblir la capacité de Moscou à financer sa guerre. Explications.
La Russie a annoncé mardi avoir intercepté 209 drones ukrainiens dans la nuit et la matinée, l'une des attaques de Kiev les plus massives depuis le début de l'offensive à grande échelle de Moscou en Ukraine en février 2022. Entre 04H00 et 05H00 GMT mardi, 25 drones ont été neutralisés, dont 16 au-dessus de la mer Noire, a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué.
Plusieurs satellites militaires chinois ont été observés au-dessus de l’ouest de l’Ukraine, au moment où celle-ci était frappée par une vague de drones et de missiles russes.
Une attaque de drones a visé lundi une raffinerie à Tioumen, en Sibérie, à plus de 1.800 km de l'Ukraine, marquant la première incursion de ce type dans la région depuis le début de l'offensive russe.
La provocation du 10 septembre a entraîné en Pologne une vague de messages sur les réseaux sociaux en provenance de comptes russes et biélorusses attribuant pour partie la responsabilité de l’incident à l’Ukraine ou à l’OTAN.
En Russie, le boom de l’économie, lié principalement à l’effort de guerre, appartient désormais au passé, et les contribuables vont être davantage mis à contribution, souligne, dans sa chronique, Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».
En représailles aux frappes russes sur le réseau électrique ukrainien ces derniers jours, Kyiv a intensifié ses bombardements dans la nuit de dimanche à lundi 6 octobre, notamment dans la région de la mer Noire.
Zelensky a dénoncé lundi la présence de milliers de composants étrangers, notamment américains, allemands et japonais, dans les missiles et drones russes ayant frappé l'Ukraine ce week-end.
Depuis le printemps, l’ampleur des salves de drones russes monte en flèche. En augmentant leur nombre et leur fréquence, la Russie cherche à imposer à Kiev et à ses alliés des coûts sans commune mesure avec ses propres dépenses.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a vivement critiqué l'absence de "véritable réaction" de la part de l'Occident dimanche, à la suite d'une nouvelle attaque russe de grande ampleur.
Cinq personnes ont été tuées dimanche dans des frappes russes sur plusieurs régions d'Ukraine, provoquant des coupures de courant et poussant la Pologne voisine à mobiliser des avions et des systèmes au sol. La Russie a intensifié ses frappes sur le réseau électrique ukrainien ces derniers jours, faisant craindre une campagne visant à plonger le pays dans le noir à l'approche de l'hiver, comme ce fut le cas en 2024. "Les Russes n'essaient même pas de dissimuler leurs véritables intentions. La grande majorité des cibles étaient civiles", a dénoncé dimanche soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Alors que la plateforme de financement de munitions pour l’Ukraine, mise en place par le gouvernement tchèque, est dans le viseur du favori des élections législatives organisées vendredi 3 et samedi 4 octobre, son directeur, Ales Vytecka, défend le bilan de cet outil, qui permet des livraisons « continues et fiables ».
L’attaque aérienne des forces russes a visé la gare ferroviaire de Chostka, dans la région de Soumy, dans le nord de l’Ukraine. Volodymyr Zelensky évoque un bilan provisoire de 30 blessés.
Les récentes incursions de drones en Europe montrent que la Russie cherche "l'escalade", a averti le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en appelant les Européens à se mobiliser aux côtés de l'Ukraine, lors d'un sommet à Copenhague jeudi.
La Russie a lancé pendant la nuit "la plus grande attaque" sur des sites de production de gaz en Ukraine depuis le début de son invasion en 2022, avec 35 missiles et 60 drones, a annoncé vendredi l'opérateur d'Etat Naftogaz. L'armée russe pilonne les installations énergétiques - surtout électriques - ukrainiennes depuis 2022 mais c'est l'hiver dernier qu'elle a commencé à spécifiquement cibler les sites de gaz. "L'ennemi a mené la plus grande attaque massive contre l'infrastructure d'extraction de gaz depuis le début de la guerre", a déclaré Naftogaz dans un communiqué. La Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko a accusé la Russie de "terroriser la population civile" et de chercher à perturber "la saison de chauffage", sur Telegram.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, reproche notamment au premier ministre hongrois, Viktor Orban, d’avoir envoyé des drones au-dessus de l’Ukraine, qui pourraient servir la cause de l’ennemi russe.
Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi à "accroître la pression" sur la flotte fantôme russe, dont l'un des pétroliers a été intercepté au large des côtes françaises et est visé par une enquête pour "délits maritimes". Les commandos marine français ont arraisonné samedi le "Boracay", un navire battant pavillon du Bénin et appartenant à la flotte utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales contre ses ventes de pétrole depuis l'invasion de l'Ukraine.
Le président russe a dénoncé, ce jeudi 2 octobre, l’interception au large des côtes françaises d’un navire qui pourrait appartenir à la flotte fantôme de Moscou.
Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi les Européens à franchir "un pas" dans "la politique d'entrave" de la flotte fantôme russe qui permet à Moscou d'exporter son pétrole en contournant les sanctions occidentales, et dont l'un des navires clandestins a été arraisonné par la France au large de ses côtes. Jeudi soir, le président russe Vladimir Poutine a qualifié cette interception de "piraterie".
La vague d’attaques de drones ukrainiens désorganise le raffinage russe, plongeant le pays dans une grave pénurie d’essence. Pour tenter d’y répondre, le Kremlin multiplie les mesures d’urgence, de l’établissement de restrictions à la pompe à la recherche d’autres sources d’approvisionnement à l’étranger.
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe dans le sud-est de l'Ukraine, ne présente pas de "danger immédiat" tant qu'elle fonctionne grâce à ses "générateurs diesel de secours", a estimé le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). "La plus grande centrale (nucléaire) d'Europe est privée d'alimentation externe depuis au moins une semaine, ce qui constitue de loin l'événement de ce type le plus long en plus de trois ans et demi de guerre" en Ukraine, a indiqué le chef de l'AIEA Rafael Grossi dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.
La Hongrie n'est pas prête à renoncer à importer du pétrole russe, comme le réclament les Etats-Unis de Donald Trump, et une majorité de pays de l'UE, a indiqué mercredi son Premier ministre Viktor Orban. "Nous n'avons aucune autre option, aucune", a-t-il affirmé devant la presse à Copenhague, assurant au passage que le président américain ne lui avait jamais demandé de fermer le robinet du pétrole russe.
Moscou a affirmé mercredi que la situation était "sous contrôle" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, privée d'alimentation électrique extérieure depuis plus d'une semaine, après des propos alarmants de Volodymyr Zelensky.
L'alimentation en électricité de la structure de confinement abritant la partie de la centrale nucléaire de Tchernobyl détruite pendant la catastrophe nucléaire en 1986 a été coupée par un bombardement russe, a annoncé mercredi le ministère ukrainien de l'Energie. "En raison de bombardements russes sur les infrastructures énergétiques de la région de Kiev, une situation d'urgence est déclarée dans les installations de la centrale nucléaire de Tchernobyl" a indiqué le ministère ukrainien de l'Energie sur Telegram.
L'alimentation en électricité de la structure de confinement abritant la partie de la centrale nucléaire de Tchernobyl détruite pendant la catastrophe nucléaire en 1986 a été coupée par un bombardement russe, a annoncé mercredi le ministère ukrainien de l'Energie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé mercredi la Russie de constituer une "menace mondiale", après qu'un bombardement russe a coupé l'électricité alimentant la structure de confinement de l'ancienne centrale de Tchernobyl, s'ajoutant à la coupure d'électricité depuis plus d'une semaine à la centrale nucléaire de Zaporijjia. "Chaque jour où la Russie prolonge la guerre, refuse de mettre en oeuvre un cessez-le-feu complet et fiable, et continue de frapper tous nos sites énergétique - y compris ceux essentiels à la sûreté des centrales nucléaires et autres installations nucléaires - est une menace mondiale", a dénoncé M. Zelensky sur Facebook.
Une installation qui isole le réacteur détruit en 1986 de la centrale ukrainienne et empêchant «la libération de matériaux radioactifs dans l’environnement s’est retrouvée sans alimentation électrique», a annoncé ce mercredi 1er octobre le ministère de l’Energie du pays.
Le sommet de l’Union européenne prévu mercredi et jeudi au Danemark s’annonce sous haute sécurité, après le récent survol de l’espace aérien danois par des drones d’origine non identifiée.
A Copenhague, mercredi 1ᵉʳ octobre, les Vingt-Sept débattront d’un schéma proposé par la Commission et soutenu par Berlin. Les questions politiques, techniques et légales restent nombreuses.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes, était désormais déconnectée du réseau électrique ukrainien depuis sept jours consécutifs, jugeant la situation "critique" et potentiellement dangereuse.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes, était désormais déconnectée du réseau électrique ukrainien depuis sept jours consécutifs, jugeant la situation "critique" et potentiellement dangereuse. "La situation est critique. En raison des attaques russes, la centrale a été coupée de son alimentation électrique et du réseau. Elle est alimentée en électricité par des générateurs diesel", dont l'un d'eux "ne fonctionne pas bien", a déclaré M. Zelensky dans son discours quotidien.
Guerre en Ukraine : le virage des nouvelles règles d’engagement de l’OTAN face aux incursions russes
(29/09) - Chloé Hoorman,Elise VincentEn ouvrant la possibilité d’abattre des avions de chasse russes qui transgresseraient les frontières aériennes de l’Alliance, mardi 23 septembre, les alliés ont signé la fin de la gestion du conflit ukrainien par le seul soutien en armes et en renseignement depuis l’arrière.
Des frappes en profondeur de l’Ukraine contre la Russie avec des missiles longue portée ne sont pas à exclure, a affirmé dimanche l’émissaire américain pour l’Ukraine Keith Kellogg, sur la chaîne Fox News.
Le Premier ministre Viktor Orban a minimisé lundi le survol éventuel par des drones hongrois de l'espace aérien ukrainien, tout en estimant que son pays voisin en guerre n'était pas souverain, puisqu'il dépend de l'Occident.
Zelensky avertit que Moscou pourrait étendre la guerre dans un autre pays d'Europe, alors que des drones suspects sont signalés dans plusieurs pays du Vieux Continent.
La région séparatiste abrite plus de 20 000 tonnes de munitions russes datant de l'époque soviétique.
L'Ukraine a accusé samedi la Russie d'avoir coupé la centrale nucléaire de Zaporijjia du réseau électrique ukrainien depuis quatre jours et de chercher ainsi à la "voler" en la rattachant au réseau sous contrôle russe, en dépit de risques pour sa sécurité. "Nous exhortons toutes les nations préoccupées par la sûreté et la sécurité nucléaires à faire clairement comprendre à Moscou que son pari nucléaire doit cesser", a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, dans un message sur son compte X. Conquise par les troupes russes en mars 2022, au début de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, la centrale, située à Energodar, dans la région de Zaporijjia (sud), est la plus grande d'Europe. Ses six réacteurs sont à l'arrêt mais elle a besoin d'une alimentation électrique extérieure pour continuer à les refroidir.
Volodymyr Zelensky a annoncé ce samedi avoir reçu du matériel de l’Etat hébreu pour repousser les attaques de missiles russes.
L’alimentation électrique externe serait coupée depuis mardi. Kyiv affirme que l’opérateur russe fait courir de grands risques en tentant de «voler» l’installation.
La Russie a envoyé un total de 92 drones en Pologne, il y a deux semaines, soit sensiblement plus que le nombre de drones qui avaient violé l'espace aérien polonais, a indiqué samedi le président de l'Ukraine Volodymyr Zelensky lors d'une conférence de presse.D'après le chef d'État ukrainien, l'Ukraine a abattu la plupart des drones, 19 d'entre eux ont ensuite atteint la Pologne. Lors de cet incident, les forces armées polonaises et celles de l'Otan ont abattu pour la première fois des drones militaires russes au-dessus du territoire de l'Alliance.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a mis en garde samedi contre toute attaque envers son pays, qui entraînerait une "réponse résolue", alors que Donald Trump a appelé à abattre les avions russes en cas de violation de l’espace aérien de l’Otan.
En recevant jeudi Recep Tayyip Erdogan, Donald Trump s'est dit prêt à lever "presque immédiatement" les sanctions américaines contre le secteur turc de la défense. Il a toutefois demandé à son homologue que la Turquie cesse d'acheter du pétrole à la Russie.
Les Moldaves sont appelés aux urnes dimanche 28 septembre pour des élections législatives décisives, moins d’un an après une présidentielle perturbée par l’ingérence russe et un référendum sur l’adhésion à l’Union européenne validé de justesse.
Les troupes russes utilisent une nouvelle stratégie consistant à mener de nombreux assauts avec de très petits groupes de soldats afin de pénétrer les défenses ukrainiennes en utilisant moins d'hommes, a affirmé le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky.
L'Ukraine soupçonne la Hongrie d'avoir effectué des vols de drones de reconnaissance dans son espace aérien, a déclaré vendredi le président Volodymyr Zelensky, faisant monter d'un cran la tension entre ces pays voisins.
Les déclarations du président américain, mardi, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, ont suscité la surprise des Ukrainiens. Ils restent toutefois très prudents sur ces propos, qui n’étaient accompagnés d’aucune proposition concrète pour faire pression sur Moscou.
Si Moscou intensifie ses attaques contre les réseaux gaziers et les centrales électriques ukrainiennes avant l'arrivée de l'hiver, Kiev riposte en accélérant le rythme des frappes sur les installations pétrolières russes. Objectif : enrayer la machine de guerre et déstabiliser l'économie russe.
Le Kremlin a assuré mercredi que la Russie était "stable", après les propos du président américain, Donald Trump, qui a comparé la veille le pays à un "tigre de papier".
La Russie a assuré mercredi que l'Ukraine n'était pas en mesure de reprendre des territoires face à son armée, contrairement à ce que Donald Trump a affirmé la veille, et entendre poursuivre son assaut débuté en 2022.
La Commission européenne va proposer des droits de douane accrus sur le pétrole russe que deux pays de l'UE, la Hongrie et la Slovaquie, continuent d'importer, après des appels en ce sens de Donald Trump, a annoncé mercredi un des ses porte-paroles. La Commission européenne présentera "en temps voulu" une proposition en ce sens, a indiqué ce porte-parole Olof Gill. Mardi devant les Nations unies, le président Donald Trump a une nouvelle fois critiqué les achats de pétrole russe par les Européens, dénonçant un comportement "inexcusable".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé mercredi depuis la tribune de l'ONU que l'Europe ne pouvait pas se permettre que la Moldavie entre dans l'orbite de la Russie.
Le ministère russe des Finances a proposé mercredi d'augmenter la TVA pour financer ses dépenses militaires exponentielles, après plus de trois ans et demi d'offensive en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé mercredi à la tribune de l'ONU qu'une adhésion à l'Otan ne garantissait pas automatiquement la sécurité et loué le revirement de Donald Trump suggérant que Kiev pourrait reprendre des territoires occupés par la Russie.
Le ministère russe des Finances a proposé d’augmenter la TVA pour financer ses dépenses militaires exponentielles, après plus de trois ans et demi d’offensive en Ukraine.
Emmanuel Macron a salué mercredi, dans un entretien à la chaîne France 24 et à Radio France internationale, le "message très clair" envoyé par Donald Trump sur l'Ukraine, une évolution "très importante" car Kiev a "besoin d'équipement et de soutien américain".
La Russie a assuré mercredi que l'Ukraine n'était pas en mesure de reprendre des territoires face à son armée, contrairement à ce que Donald Trump a affirmé la veille, et entendre poursuivre son assaut débuté en 2022.
Lors de son discours à la tribune de l'ONU, le président Emmanuel Macron a défendu mardi un "multilatéralisme efficace". Évoquant les guerres en Ukraine et à Gaza, il a insisté sur le fait que la France refusait le "double standard" en matière de paix et a invité les pays à "agir".
Dmitri Kozak, chef d'état-major adjoint, était opposé à l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Alors qu’il appelait il y a quelques mois Volodymyr Zelensky à faire des «échanges de territoire», le président américain a qualifié ce mardi soir Vladimir Poutine de «tigre de papier».
Selon le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, 92 % des personnes interrogées après leur libération ont subi des mauvais traitements.

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