Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour

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Réchauffement global d’ici la fin du siècle, niveau des émissions de gaz à effet de serre, croissance des renouvelables dans le monde, fonctionnement des puits de carbone… Dix ans après la COP21, suivez l’évolution des courbes.
Le 12 décembre 2015, la signature de l’Accord de Paris offrait une lueur d’espoir dans la lutte contre la crise climatique. Dix ans plus tard, les signaux sont au rouge et cette boussole semble plus fragile que jamais.
Réchauffement global d’ici la fin du siècle, niveau des émissions de gaz à effet de serre, croissance des renouvelables dans le monde, fonctionnement des puits de carbone… Dix ans après la COP21, suivez l’évolution des courbes.
C’était le grand mérite de l’accord de Paris en 2015 : transformer les déclarations d’intention diplomatiques sur le climat en engagements nationaux. Dix ans plus tard, l’ambition écologique se heurte désormais à un retour de bâton en Europe, où l’action climatique, au lieu de rassembler, polarise les débats et nourrit les divisions politiques.
À l’occasion de la COP21, le 12 décembre 2015, près de 200 pays s’engageaient pour la première fois à lutter collectivement contre le réchauffement climatique en votant l’Accord de Paris. Dix ans plus tard, alors que s’ouvre ce lundi le sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil), le monde est encore loin d’être tiré d’affaire, malgré des progrès significatifs. Le tour en cinq graphiques.
En 2015, l’accord de Paris, signé par 195 pays, visait à limiter le réchauffement du climat à 2 °C. Dix ans après, les résultats se font attendre. De quoi interroger l’efficacité des COP, ces grand-messes climatiques, dont la trentième édition s’ouvre ce lundi au Brésil.
Les émissions de CO2 s’emballent et les records de chaleur se multiplient, liste un rapport sur l’état du climat planétaire publié par l’Organisation météorologique mondiale, à quelques jours de la COP30.
Lors de son adoption en 2015, l’accord de Paris a généré beaucoup d’espoirs, car il embarquait l’ensemble des signataires. De par son caractère universel, il allait donner une tout autre dimension à la lutte contre le réchauffement planétaire. Changement d’ambiance, dix ans après, à l’ouverture de la COP30 sur le climat à Belém au Brésil, qui doit se tenir du 10 au 21 novembre 2025. En 2024, le thermomètre a affiché un réchauffement de 1,5 °C, les émissions mondiales de CO2 ont continué d’augmenter et sa concentration dans l’atmosphère a battu tous ses records. Avec la défection des États-Unis après la réélection de Donald Trump, l’universalisme de l’accord en a pris un sérieux coup.
Que reste-t-il de l’accord de Paris, dix ans après sa signature, au moment de l’ouverture de la COP30 au Brésil, dans un contexte de tensions géopolitiques et de « backlash » climatique mené par les États-Unis ? Des signaux encourageants subsistent malgré tout, notamment l’accélération des transitions énergétiques dans les pays émergents. De quoi garder entrouverte une fenêtre, certes bien étroite, sur la voie de la stabilisation de la température mondiale.
Les plans climat de 98 pays déjà soumis ou annoncés avant la COP 30 devraient induire pour la première fois une baisse mondiale des émissions de gaz à effet de serre dans les dix prochaines années.
Les nouveaux projets miniers, pétroliers et gaziers risquent d’émettre 11 fois plus de carbone que la limite à ne pas dépasser pour maintenir le réchauffement à 1,5 °C, selon les données compilées par quatre associations.
Dix ans après l'adoption de l'accord de Paris, la diplomatie climatique se trouve à l'heure des bilans et des questions, dans un monde qui continue de se réchauffer et reste divisé par des fractures géopolitiques et économiques. Pour la présidence brésilienne de la COP30 (10-21 novembre), organisée à Belem, un nouveau chapitre s'ouvre: celui de la mise en œuvre des promesses formalisées depuis 2015 dans le cadre de négociations onusiennes fondées sur le consensus. A Paris, 196 pays s'étaient alors engagés à maintenir le réchauffement climatique "bien en dessous" de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C.
Autrefois mouton noir de l’action climatique, la Chine a pris les rênes de la transition verte. Face à la baisse de la demande chinoise en énergies fossiles, des experts entrevoient leur possible déclin mondial d’ici 2030. La Chine, nouvel héros climatique ?
Après le sommet sur le climat du 24 septembre à l’ONU, la diplomate Ilana Seid, ambassadrice des Palaos auprès des Nations unies, rappelle que les petites îles risquent la disparition en cas de dépassement du seuil de + 1,5 °C de réchauffement.
Près de 200 Etats avaient jusqu’au lundi 10 février pour fournir à l’ONU leur stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Alors que la date limite est désormais dépassée, l’UE et la Chine n’ont toujours pas rendu leurs travaux.
La très grande majorité des pays signataires de l’accord de Paris adopté en 2015 ont laissé passer la date limite du 10 février à laquelle ils devaient publier leur nouveau plan d’action en ce qui a trait aux défis du changement climatique. Parmi les mauvais élèves, l’Union européenne.
Le Brésil organisera en novembre, à Belem, la prochaine conférence mondiale sur le climat, quelques mois après l’annonce par les États-Unis de leur retrait. Un défi à la fois sur le plan des négociations et de l’organisation.
L’ONU a confirmé avoir reçu, lundi 27 janvier, notification des Etats-Unis de leur retrait du pacte mondial de lutte contre le réchauffement climatique. Le départ américain sera effectif dans un an, en janvier 2026.
Les Etats-Unis ont notifié lundi à l'ONU leur décision de se retirer de l'accord de Paris sur le climat, a annoncé mardi le porte-parole du secrétaire général des Nations unies, précisant que le retrait sera effectif le 27 janvier 2026.
Donald Trump a enclenché lundi un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat, une marche arrière toute dans la lutte contre le dérèglement climatique qui met en péril les efforts mondiaux pour le freiner.Le républicain, climatosceptique notoire, a tenu parole en signant dès son premier jour de retour au pouvoir un décret présidentiel puis une lettre aux Nations unies en ce sens.
Un classement qui examine les efforts des pays, par rapport aux promesses de l’Accord de Paris, place la Belgique en bas des résultats. Notre pays se situe à la 19e place sur 23, très loin de l’Autriche, l’Allemagne ou la Suisse qui occupent le haut du podium. C’est notamment la complexité de notre système politique qui nous dessert.
Darren Woods, depuis la COP29 de Bakou où il assiste pour la deuxième fois aux rencontres des Nations unies sur le climat, explique au “Wall Street Journal” qu’un renoncement des États-Unis à ses engagements climatiques serait mauvais pour le business.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Les ambitions de l'accord de Paris sont "en grand danger", a alerté l'ONU lundi, à l'ouverture de la conférence climatique de l'ONU à Bakou (COP29), avec l'année 2024 quasiment assurée de devenir l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Les pays du monde entier ont jusqu'au 10 février 2025 pour soumettre leurs nouvelles feuilles de routes climatiques, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les États-Unis qui pourraient en sortir sous Donald Trump l'an prochain. Mais quelles sont les objectifs et obligations de chacun ?
Les pays du monde entier ont jusqu'en février 2025 pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les Etats-Unis qui pourraient en sortir sous la présidence de Donald Trump l'an prochain.- A quoi oblige l'accord de Paris?
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Aucune des grandes compagnies pétrogazières occidentales n’a de politique climat alignée avec l’Accord de Paris. C’est le constat (sans surprise) du groupe de recherche Oil Change International, qui a examiné les feuilles de route climatiques des huit plus grands producteurs internationaux de pétrole et de gaz basés aux États-Unis et en Europe (BP, Chevron, ConocoPhillips, Eni, Equinor, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies). Il publie ses résultats dans la nouvelle édition de son rapport Big (…)
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l’objet d’une décision finale d’investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l’édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l’ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.
Les grandes compagnies pétrolières continuent de développer des projets difficilement compatibles avec l’accord sur le climat de Paris et aucune n’est sur la voie pour tenir la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par la communauté internationale, selon un rapport publié mercredi par le groupe de réflexion Carbon Tracker.
La température mondiale a été de 1,52 °C supérieure à la période 1850-1900 entre février 2023 et janvier 2024, pour la première fois. La hausse des températures doit cependant être mesurée sur une période plus longue pour être pertinente.
D'après une étude du Global Carbon Budget publiée mardi, l’action mondiale visant à réduire les combustibles fossiles n’est pas assez rapide pour empêcher un changement climatique dangereux.
La COP28 s'ouvre dans exactement un mois aux Émirats arabes unis. Huit ans après l'adoption de l'Accord de Paris, l'heure est au bilan. Si l'on sait que le monde est toujours sur la mauvaise trajectoire, les États devront être à la hauteur et accroître leurs ambitions pour rectifier le tir. C'est l'un des principaux objectifs du sommet qui se tiendra à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
Combien de CO2 l'humanité peut-elle encore émettre si elle veut tenir les objectifs de l'accord de Paris? Une nouvelle étude montre qu'il reste sans doute moins de temps que prévu pour limiter les émissions et le réchauffement, tout en soulignant les incertitudes entourant cette question.
Les températures mondiales continuent d'écraser les records: après un été inédit et un mois de septembre plus surprenant encore, 2023 est désormais l'année la plus chaude jamais mesurée sur les neuf premiers mois, s'approchant d'une anomalie de 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle.
Dix-sept pays de l'Union européenne ont des ambitions en termes d'installations d'énergie éolienne bien en deçà des objectifs de l'accord de Paris, a indiqué jeudi l'organisation environnementale WWF dans son dernier rapport sur l'énergie éolienne au sein de l'UE. La Belgique, pour sa part, dévoile des ambitions plus élevées que la trajectoire prévue dans l'accord de Paris.
Les températures mondiales continuent d'écraser les records : après un été inédit et un mois de septembre plus surprenant encore, 2023 est désormais l'année la plus chaude jamais mesurée sur les neuf premiers mois, s'approchant d'une anomalie de 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle.
A huit semaines de la COP28 sur le climat à Dubaï, les pays du monde ont encore des "vues divergentes" sur les moyens d'atteindre les objectifs de l'accord de Paris de 2015, même s'ils s'accordent sur la nécessité de faire plus, constate l'ONU mercredi.
Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.

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