Focus Climat

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Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia

COPERNICUS – Mises à jour


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Énergie

novembre 2025

Si les délégations de 194 pays sont bien parvenues à un accord au Brésil, il n’y aura pas eu le sursaut indispensable pour accélérer la mise en œuvre des engagements de l’accord de Paris, adoptés il y a tout juste dix ans.
La COP30 s'est achevée au Brésil. Voici ce que les pays présents ont décidé en faveur du climat.
10 ans après l’Accord de Paris, la COP30 se déroulant à Belém au Brésil était particulièrement attendue. Lula avait annoncé une grande COP, “la COP de la vérité”, des avancées concrètes, tant sur la sortie des énergies fossiles que sur la déforestation. Sans grande surprise, c’est au mieux un coup d’épée dans l’eau sur ces deux sujets, et très, trop peu d’avancées concrètes pour les autres sujets qui ont alimenté les débats, dont la finance internationale, l’adaptation, les NDC, la lutte contre la désinformation climatique, etc.
Les négociations de la COP30 au Brésil se sont prolongées samedi dans une lutte nocturne acharnée pour finaliser un accord a minima, après deux semaines chaotiques de sommet en Amazonie, proche de se conclure sans engagement majeur pour accélérer la sortie des énergies fossiles. L'enjeu est de sceller un accord pour rattraper le retard pris par l'humanité dans sa lutte contre la pollution carbone, soutenir l'adaptation au changement climatique des pays pauvres et démontrer la viabilité du multilatéralisme dans un monde fracturé.
Les Européens se retrouvent "isolés" dans leur refus du projet d'accord proposé par la présidence brésilienne de la COP30, certains pays membres souhaitant claquer la porte et d'autres ayant "peur (...) d'endosser la responsabilité" de l'échec du sommet, selon une délégation d'un des 27. "On a entendu tous les groupes des pays pétroliers, la Russie etc., nous expliquer qu'ils disaient accepter ce texte à titre de compromis", a déclaré ce représentant d'une délégation européenne, en marge d'une réunion à huis clos de la dernière chance dans la soirée à Belem.
Les pourparlers auraient dû s’achever vendredi après-midi à Belem. Mais la présidence brésilienne a mis sur la table un projet de texte qualifié d’« inacceptable » par un certain nombre de parties, dont la France.
Les négociations de la COP30 au Brésil se sont prolongées samedi dans une lutte nocturne acharnée pour finaliser un accord a minima, après deux semaines chaotiques de sommet en Amazonie, proche de se conclure sans engagement majeur pour accélérer la sortie des énergies fossiles.
La conférence de l'ONU sur le climat à Belém (Brésil) est entrée en prolongation samedi, avec un face-à-face entre Union européenne d'un côté et des pays pétroliers et émergents de l'autre, en désaccord frontal. Les négociations se sont poursuivies dans la nuit de vendredi à samedi, alors que la COP30 devait s'achever vendredi soir, après deux semaines de travaux. Où en est-on au petit matin? "Nulle part", répond la ministre française de la Transition écologique, Monique Barbut, en arrivant à une réunion avec les Vingt-Sept tôt samedi. De nombreux négociateurs n'ont pas dormi de la nuit, alors que des parties du site à Belem commencent à être démontées. Que doit dire la déclaration finale de cette COP30? La question divise les délégations venues jusqu'en Amazonie.
La conférence de l'ONU sur le climat à Belém (Brésil) est entrée en prolongation samedi, avec un face-à-face entre Union européenne d'un côté et des pays pétroliers et émergents de l'autre, en désaccord frontal.
L'Union européenne ne s'opposera pas au projet d'accord final de la conférence de l'ONU sur le climat au Brésil, a annoncé le commissaire européen Wopke Hoekstra samedi.
Le front des pays émergents et pétroliers s'est révélé insurmontable: les Européens se sont résignés samedi à accepter un accord mondial à la COP30 au Brésil qui ne reprend qu'a minima leurs demandes sur la sortie des énergies fossiles, préférant ce compromis à un échec du multilatéralisme. Après deux semaines de négociations entre près de 200 pays, et une ultime nuit de négociations à Belem, les nations se préparent à adopter un texte modeste préparé par la présidence brésilienne du sommet, célébrant l'accord de Paris et la coopération climatique.
Alors que le texte de projet final d'accord de la COP30 publié samedi ne mentionne pas explicitement les énergies fossiles, l'Union européenne a annoncé qu'elle ne s'opposera pas à son adoption. "Nous n'allons pas cacher que nous aurions préféré davantage, et plus d'ambition sur tout", a cependant déclaré le commissaire européen Wopke Hoekstra.
Le 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat s’est achevé samedi à Belém (Brésil) par l’adoption d’un texte «plat» et «sans ambition» sur l’action climatique. Faute de consensus sur un plan de sortie des énergies fossiles, le Brésil a promis de continuer le travail avec les pays volontaires. Ils seraient plus de 80.
La conférence des Nations unies sur le changement climatique, qui s'achève samedi à Belem au Brésil, a produit des textes onusiens adoptés par consensus des pays, mais également des engagements volontaires, hors du processus de négociations. Voici les principaux résultats, dont les trois premiers, les plus épineux, ont été adoptés dans un document baptisé "texte du mutirão", terme tiré d'un mot autochtone tupi-guarani signifiant "effort collectif" censé exprimer l'esprit des négociations promu par la présidence brésilienne.
Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi à la COP30 un modeste consensus sur l'action climatique, sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat décevant pour l'Europe mais jugé prévisible dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques. "La science a prévalu, le multilatéralisme à gagné", a déclaré avant même l'adoption le président brésilien Lula depuis Johannesburg.
A deal is welcome after talks nearly collapsed but the final agreement contains small steps rather than leaps
Delegates made minimal headway on timetable for replacing oil and gas or on firm commitments to reducing carbon emissions
Une trentaine de pays ont écrit jeudi à la présidence brésilienne de la conférence sur le climat de l'ONU (COP30) pour lui demander de revoir sa copie et d'inclure une feuille de route pour la sortie des énergies fossiles, selon plusieurs pays signataires. La COP30 doit se terminer vendredi soir. Son président, le diplomate André Correa do Lago, est sous pression des près de 200 pays réunis à Belem depuis la semaine dernière pour forger un texte capable de réunir un consensus, selon la règle des COP. Sa dernière ébauche de texte, consultée jeudi par l'AFP, ne fait pas mention des énergies fossiles.
L'administration de Donald Trump a dévoilé jeudi un plan pour autoriser le forage de pétrole et de gaz sur des millions de kilomètres carrés dans les eaux côtières américaines, une démarche qui pourrait aboutir à une expansion massive de l'extraction d'énergies fossiles. Ce plan confirme le décalage croissant entre les États-Unis, qui boudent la COP30 au Brésil, et une grande partie du reste du monde qui tente de limiter les effets du changement climatique.
L’administration américaine a dévoilé jeudi un plan pour autoriser l’extraction d’énergies fossiles sur des millions de kilomètres carrés le long de ses côtes.


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