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Alors que, fidèle à sa tactique, Vladimir Poutine fait volontairement traîner les négociations avec le président américain sur un cessez-le-feu, les Européens, exclus du processus, auraient tort de baisser la garde.
Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.
Moscou fait face à une grave pénurie de main-d’œuvre. Les autorités tentent de répondre par l’immigration contrôlée, la robotisation et des politiques natalistes, sans résultats probants, constate la spécialiste de la Russie Tatiana Kastouéva-Jean.
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire des Etats-Unis Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Attirés en Russie par la perspective d'un emploi, ces jeunes Bangladais affirment avoir été enrôlés pour combattre en Ukraine. La mort récente de l'un d'eux sur le front a suscité une vive inquiétude dans leurs familles, qui ont appelé le gouvernement à l'aide.
"À l’heure actuelle, nous savons qu’au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d’occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s’exprimait par vidéo lors d’une réunion des chefs militaires des pays alliés de l’Ukraine à Bruxelles. Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".
[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
Deux soldats chinois combattant pour la Russie ont été arrêtés en Ukraine, a annoncé mardi sur ses réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message d'une vidéo de l'un des deux soldats. Le chef de l'État a réclamé des explications à Pékin, et une "réaction" des Occidentaux, notamment des États-Unis.
Le président ukrainien affirme détenir les documents de ces prisonniers, arrêtés dans la région de Donetsk. Il aurait également que leurs cartes bancaires et leurs données personnelles. Depuis le début de la guerre, ce serait une première. Le président Volodymyr Zelensky a déclaré ce mardi 8 avril que les troupes ukrainiennes avaient capturé deux citoyens chinois combattant aux côtés des forces russes et a déclaré que Kyiv exigerait des explications de Pékin et une réaction de ses alliés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié mardi la Belgique pour son nouveau paquet d'aide militaire d'une valeur d'un milliard d'euros.
Guerre en Ukraine : Zelensky dénonce l'absence de réponse américaine au refus dune trêve par Poutine
- Afp,Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Près de 250.000 soldats russes ont été tués depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Au total, 900.000 militaires sont morts ou ont été blessés, a indiqué jeudi un fonctionnaire de l’Otan, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson mardi matin a privé d'électricité 45.000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, accusant Moscou de "violer" à nouveau un accord sur une trêve partielle.
Cela fait trois ans que la Russie a lancé son plan d'invasion en Ukraine. Dans ce long conflit aux portes de l'Europe, les dirigeants du monde s'investissent afin que la guerre n'éclate pas à un niveau mondial.
Depuis l’invasion russe, plus de 71 % de la population s’est engagée dans le volontariat, l’un des piliers de la résistance. Chacun participe à son échelle à l’effort de guerre, dans tous les domaines liés au conflit.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l'accord sur les minerais stratégiques d'Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès. [...] sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l'Ukraine.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
L'opérateur énergétique ukrainien Naftogaz a accusé vendredi la Russie d'avoir frappé ses infrastructures gazières, en violation d'un fragile accord annoncé par Washington et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
Ni la Russie ni l'Ukraine n'ont mené de frappes visant des sites énergétiques depuis le 25 mars, jour où les Etats-Unis ont annoncé un accord en vue d'une trêve limitée à de telles installations, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien. "Depuis le 25 mars, nous n'avons pas vu de frappes russes directes contre le secteur de l'énergie, nous n'avons donc pas frappé là-bas" en Russie, qui a lancé il y a trois ans son invasion de l'Ukraine, a indiqué ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un possible déploiement de forces de «plusieurs pays européens» alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
Depuis trois ans, l’ingéniosité et les capacités d’adaptation de l’armée ukrainienne ont été largement vantées, notamment en ce qui concerne l’usage des drones. Ce sont pourtant les forces russes qui ont pris l’avantage, ces derniers mois, dans ce domaine avec une innovation qui a, semble-t-il, pesé lourd dans la reconquête, encore partielle, de la partie occupée de l’oblast de Koursk. Elles ont ainsi été les premières à recourir à l’automne aux drones filoguidés, c’est-à-dire commandés à l’aide d’un long et fin cordon de fibre optique, pour résoudre le problème du brouillage électronique.
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
L'Ukraine a besoin de soldats européens "prêts à combattre" sur son territoire après la guerre et non une force de maintien de la paix, a déclaré à l'AFP mercredi un responsable ukrainien participant aux négociations pour un cessez-le-feu avec la Russie.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Une nouvelle rencontre entre responsables ukrainiens et américains s'est achevée mardi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers américano-russes qui n'ont pas abouti à l'annonce d'une trêve, même très limitée, espérée par Donald Trump.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire, a annoncé mardi la Maison Blanche, après des négociations menées depuis dimanche par l'intermédiaire des États-Unis en Arabie saoudite. Washington s'est dit prêt à aider Moscou pour exporter ses produits agricoles et engrais sur les marchés mondiaux, ce que regrette Volodymyr Zelensky.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Le Kremlin a indiqué mardi que la trêve dans les frappes sur les infrastructures énergétiques en Ukraine et en Russie, discutée lors de pourparlers avec les Etats-Unis, concernait notamment les raffineries, les gazoducs et les centrales électriques. Cette trêve de 30 jours avait été annoncée le 18 mars par les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump mais jamais réellement appliquée, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de poursuivre les attaques.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l’accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s’agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
Pour négocier à Riyad avec les Américains, la Russie a envoyé Grigori Karassine, un ancien diplomate de haut rang expert du dossier ukrainien, et Sergueï Besseda, ex-responsable du FSB en charge de la collecte de renseignements. Deux personnalités au profil moins politique que technique, dont la mission sera de faire avancer les pions de Moscou face à l'administration Trump.
Au cours des trois dernières années, le Kremlin s'est lancé dans un projet visant à enlever des enfants ukrainiens et à les transformer de force en la prochaine génération de Russes.
Comme craint, attendu, ou espéré, selon le côté des barricades où l’on se trouve, les négociations à Riyad sur l’avenir de l’Ukraine n’auront, une nouvelle fois, pas accouché de grand-chose. Lundi, en début de soirée, après douze heures discussions, les agences russes ont annoncé que Moscou et Washington publieront ce mardi un communiqué commun.
Ukrainiens et Américains ont tenu de nouvelles discussions dimanche en Arabie saoudite en vue d'une trêve partielle dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie, à la veille de pourparlers russo-américains qualifiés d'emblée de "difficiles" par le Kremlin.
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Des négociations vont avoir lieu lundi en Arabie Saoudite, entre les Américains et les Russes. Lors de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté, et Russes et Américains de l'autre, il s'agira de tenter de s'accorder entre ces acteurs sur une trêve des attaques visant les infrastructures énergétiques des deux camps, après trois ans d'offensive russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
L'Ukraine a dit vendredi souhaiter que les pourparlers par l'intermédiaire des États-Unis lundi en Arabie Saoudite aboutissent "au moins" à un moratoire russo-ukrainien sur les frappes contre les sites énergétiques, les autres infrastructures et en mer Noire.
Kiev et Moscou se sont accusés vendredi davoir attaqué limportante station de mesure de gaz de Soudja, occupée par les forces ukrainiennes depuis lété 2024 dans la région russe frontalière de Koursk et qui autrefois permettait le transport du gaz russe vers lEurope via le territoire ukrainien.La télévision dEtat russe Rossia 24, ainsi que plusieurs chaînes russes dactualités sur Telegram, dont Baza --réputée proche des forces de lordre-- et Mash, ont publié des images de la station en flammes, accusant larmée ukrainienne den être responsable.Aucune annonce officielle na été faite toutefois par les autorités russes.
Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, ce qui "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a dit Karoline Leavitt, qui a ajouté que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
- C.V.
Fruit de l'évolution du missile "Neptune", dont la portée était limitée à 400 kilomètres, le "Long Neptune" ukrainien peut désormais atteindre des cibles situées à 1000 kilomètres. Un changement de donne conséquent dans le conflit opposant Kiev à Moscou, mais aussi un symbole du regain d'autonomie de l'Ukraine vis-à-vis de ses alliés en matière militaire.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
Le président américain Donald Trump a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi qu'il parlerait mardi à son homologue russe Vladimir Poutine dans le cadre du rapprochement américano-russe pour mettre un terme à la guerre en Ukraine, évoquant des "partages" entre Moscou et Kiev."Je parlerai au président Poutine mardi", a-t-il indiqué à des journalistes à bord de l'avion présidentiel, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".
La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.
Les États membres de l'UE (Conseil) ont approuvé lundi à Bruxelles une nouvelle tranche d'aide de 3,5 milliards d'euros à l'Ukraine pour sa stabilité macro-financière et son redressement.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Vladimir Poutine a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk, en écho à Donald Trump qui juge les discussions sur une trêve "productives" quand Kiev accuse Moscou de "chercher à enliser tout le monde".
L'Ukraine a annoncé samedi avoir abattu 130 drones lancés par la Russie sur tout le pays durant la nuit, au moment où les efforts internationaux s'intensifient pour mettre fin à la guerre en cours depuis plus de trois ans. Selon l'armée de l'air ukrainienne, 14 régions du pays ont été visées par des drones Shahed, de fabrication iranienne, et les forces russes ont également lancé deux missiles balistiques dans la nuit.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
Il est le porte-voix de Donald Trump à l’étranger sur la guerre en Ukraine et le conflit au Moyen-Orient. Cet homme d’affaires, qui fête ses 68 ans ce 15 mars, est très proche du locataire de la Maison-Blanche, dont il a financé une partie de la dernière campagne électorale. Une nouvelle démonstration de l’importance qu’accorde le président Trump à la loyauté de son entourage plutôt qu’à l’expérience.
Dans les territoires occupés de l'est de l'Ukraine, les barrages russes rythment la vie des habitants. Chaque déplacement devient une épreuve, sous le regard des soldats postés à "chaque entrée et sortie de ville, de village, ou directement sur la route", selon Sofiia de l'ONG Helping to Leave, qui aide les Ukrainiens à fuir ces zones
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
La Russie a commis les "crimes contre l'humanité" de disparitions forcées et de torture dans le cadre de la guerre en Ukraine, selon une commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies.
Parmi les oligarques russes les plus connus de la planète, l’ancien propriétaire du club de foot de Chelsea a toujours brillé par sa discrétion. Mais depuis le début de la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales à son encontre, le milliardaire de 58 ans semble introuvable. Ne restent que ses superyachts et des rumeurs sur son implication dans les négociations de paix. Ainsi qu’une photo inédite, prise en Turquie.
Sur le champ de bataille, la Russie affirme ce jeudi matin être entrée dans la phase finale de son opération visant à éjecter les forces ukrainiennes de sa région de Koursk, a rapporté l’agence de presse Tass, citant le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. D’après le chef d’état-major Valéri Guerassimov, ses troupes ont repris au total «plus de 1 100 km²» de territoire à l’armée ukrainienne depuis l’offensive de ces dernières en août, «soit plus de 86 % de la zone précédemment occupée» par les forces de Kyiv.
La France insoumise et des députés communistes ont voté contre le texte, à valeur symbolique, sur lequel le Rassemblement national s’est, lui, abstenu. Les appels se multiplient en Europe en faveur d’une saisie des avoirs russes gelés, à laquelle s’oppose le gouvernement.
La reprise de la région de Koursk par la Russie se précise. Vladimir Poutine, lors d’une très rare visite dans la région russe, a exprimé ce mercredi 12 mars son espoir que celle-ci soit «complètement libérée» dans «un avenir proche», au moment où le commandant en chef de l’armée ukrainienne a suggéré que ses troupes se repliaient dans la zone face aux avancées russes.
Des officiels américains et ukrainiens sont tombés d’accord en Arabie saoudite. En retour, Washington a annoncé la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à l’Ukraine et du partage de renseignements avec Kiev. « La balle est à présent dans le camp » de la Russie, a dit le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
- Le Monde
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Au moins une personne a été tuée et trois autres blessées mardi dans l'attaque "massive" de plusieurs dizaines de drones ukrainiens contre Moscou et sa région, a indiqué le gouverneur de la région de Moscou, Andreï Vorobiov.
Peu atteinte depuis 2022, la capitale russe a été la cible de centaines de drones ukrainiens dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, à quelques heures de négociations en Arabie Saoudite pour des accords de paix en Ukraine.
Le président Emmanuel Macron reçoit mardi à Paris des responsables militaires de 30 pays appartenant à l'UE et/ou à l'Otan pour tenter de définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et réfléchir à l'architecture de défense de l'Europe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le secrétaire d’État américain Marco Rubio sont en Arabie saoudite pour des discussions mardi qui pourraient s’avérer cruciales sur la guerre avec la Russie, Rubio jugeant prometteuse une proposition ukrainienne de cessez-le-feu partiel. Des responsables ukrainiens et américains doivent se retrouver à Jeddah pour discuter des moyens de mettre fin au conflit entre l’Ukraine et la Russie.
Après neuf heures de négociations en Arabie Saoudite, des représentants de Kyiv et Washington se sont mis d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu immédiat, sur la signature d’un accord sur les minerais et sur la reprise de l’aide.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky se rend ce lundi 10 mars à Riyad pour s’entretenir avec le prince héritier Mohammed ben Salmane. Mardi, une délégation ukrainienne rencontrera des responsables américains pour discuter de futures négociations de paix avec la Russie. Une première depuis la débâcle à Washington.
La délégation ukrainienne proposera une "trêve dans les airs" et "en mer" avec la Russie lors des négociations avec les États-Unis mardi en Arabie Saoudite, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien.
Le gouvernement polonais enverra cette année à tous les foyers du pays un guide de survie en situation de crise, a annoncé lundi le ministère de l'Intérieur de ce pays du flanc oriental de l'Otan.
Des images et vidéos montrent des ânes et des chevaux transportant des soldats russes sur le front en Ukraine. Si leurs ennemis y voient une pénurie en véhicules de l’armée russe, ce recours à des moyens de transport d’un autre temps illustre aussi sa capacité d’adaptation.
Nate Vance s'est exprimé au sujet des récents propos de son cousin JD Vance et du président américain Donald Trump. ... Nate Vance explique : "Donald Trump et mon cousin croient clairement qu'ils peuvent apaiser Vladimir Poutine. Ils ont tort. Les Russes ne sont pas près d'oublier notre soutien à l'Ukraine. Nous sommes les idiots utiles de Vladimir Poutine."
Guerre en Ukraine: l'Australie pourrait prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine
- Belga,L'Australie pourrait envisager de prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu, a indiqué dimanche son Premier ministre Anthony Albanese, tout en précisant qu'il était encore trop tôt pour un déploiement de ses forces armées.
La Russie a revendiqué dimanche 9 mars la prise d’un village dans la région ukrainienne de Soumy, ce qui serait une première depuis 2022, les soldats de Kyiv se trouvant en difficulté dans la région russe de Koursk qui lui fait face.
Le multimilliardaire Elon Musk, conseiller spécial de Donald Trump, a promis dimanche de maintenir l'accès ukrainien à son réseau de satellites Starlink, après de vifs échanges en ligne avec le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski.
En cours depuis plus de trois ans, la guerre en Ukraine ravage l'environnement, en plus d'un bilan humain évidemment très lourd.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.Ces bombardements interviennent au lendemain d'un sommet des 27 dirigeants européens qui, face au désengagement de Washington dans le conflit, ont affiché jeudi à Bruxelles leur volonté de renforcer les capacités de défense du continent.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.
Paris va subventionner à hauteur de 200 millions d’euros l’installation de conduites d’eau, matériel de déminage, et divers projets d’infrastructures. Parmi les entreprises retenues figurent EDF, Saint-Gobain, des PME mais aussi General Electric.
Le ministre de la Défense Theo Francken a proposé jeudi lors d'une rencontre avec le président ukrainien une proposition concrète d'aide militaire à hauteur d'un milliard d'euros, a-t-il indiqué vendredi sur les ondes de la VRT-radio.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
La Turquie, deuxième armée de l'Otan en nombre d'hommes, est prête à déployer des forces en Ukraine "si nécessaire" pour garantir la paix, a annoncé jeudi le ministère de la Défense.
Les États-Unis ont versé 114 milliards d’aide à l’Ukraine depuis 2022. Si ce montant avait été pris en charge par les Européens, il en aurait résulté un surcoût de 6 euros par mois et par habitant en moyenne
L’Allemagne, engagée dans une augmentation massive de ses investissements de défense, est prête à compenser en partie la suspension de l’aide militaire américaine à l’Ukraine, a promis jeudi son ministre de la Défense Boris Pistorius.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Le chef de l’Etat a tenté de mettre des mots sur la bascule géopolitique en cours depuis que Donald Trump a renoué le dialogue avec Vladimir Poutine, dans une allocution télévisée d’une quinzaine de minutes.
A la veille du sommet de l’Union européenne sur l’Ukraine, le président de la République s’est adressé aux Français dans une allocution diffusée à 20 heures, ce mercredi 5 mars. Il est revenu sur les menaces qui planent sur l’Europe.
C’est l’une des annonces lourde de conséquences de Donald Trump pour mettre la pression sur Volodymyr Zelensky : la...
Les États-Unis ont "mis en pause" le partage de renseignement avec l'Ukraine, a dit mercredi le chef de la CIA John Ratcliffe, après que Washington a également gelé son aide militaire, si utile pour Kiev dans sa guerre contre l'invasion russe.
Alors que le dialogue avec Kiev était déjà tendu, le gouvernement de Donald Trump a décidé de mettre en pause, lundi, l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine, rapporte un responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat.
Le président américain a ordonné une pause dans l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine après l’altercation vendredi avec son homologue ukrainien, a indiqué lundi soir un responsable de la Maison-Blanche. Pour la presse américaine, cette décision met Volodymyr Zelensky au pied du mur.
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Donald Trump a mis sa menace à exécution. Il a ordonné dans la nuit de lundi à mardi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président finlandais Alexander Stubb a proposé que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'Otan si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump.
La fin de la guerre en Ukraine permettrait à la Russie de déployer ses activités hostiles ailleurs en Europe, préviennent mardi les services de renseignement finlandais (Supo).
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Alors que, fidèle à sa tactique, Vladimir Poutine fait volontairement traîner les négociations avec le président américain sur un cessez-le-feu, les Européens, exclus du processus, auraient tort de baisser la garde.
Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.
Moscou fait face à une grave pénurie de main-d’œuvre. Les autorités tentent de répondre par l’immigration contrôlée, la robotisation et des politiques natalistes, sans résultats probants, constate la spécialiste de la Russie Tatiana Kastouéva-Jean.
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire des Etats-Unis Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Attirés en Russie par la perspective d'un emploi, ces jeunes Bangladais affirment avoir été enrôlés pour combattre en Ukraine. La mort récente de l'un d'eux sur le front a suscité une vive inquiétude dans leurs familles, qui ont appelé le gouvernement à l'aide.
"À l’heure actuelle, nous savons qu’au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d’occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s’exprimait par vidéo lors d’une réunion des chefs militaires des pays alliés de l’Ukraine à Bruxelles. Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".
[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
Deux soldats chinois combattant pour la Russie ont été arrêtés en Ukraine, a annoncé mardi sur ses réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message d'une vidéo de l'un des deux soldats. Le chef de l'État a réclamé des explications à Pékin, et une "réaction" des Occidentaux, notamment des États-Unis.
Le président ukrainien affirme détenir les documents de ces prisonniers, arrêtés dans la région de Donetsk. Il aurait également que leurs cartes bancaires et leurs données personnelles. Depuis le début de la guerre, ce serait une première. Le président Volodymyr Zelensky a déclaré ce mardi 8 avril que les troupes ukrainiennes avaient capturé deux citoyens chinois combattant aux côtés des forces russes et a déclaré que Kyiv exigerait des explications de Pékin et une réaction de ses alliés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié mardi la Belgique pour son nouveau paquet d'aide militaire d'une valeur d'un milliard d'euros.
Guerre en Ukraine : Zelensky dénonce l'absence de réponse américaine au refus dune trêve par Poutine
(06/04) - Afp,Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Près de 250.000 soldats russes ont été tués depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Au total, 900.000 militaires sont morts ou ont été blessés, a indiqué jeudi un fonctionnaire de l’Otan, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson mardi matin a privé d'électricité 45.000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, accusant Moscou de "violer" à nouveau un accord sur une trêve partielle.
Cela fait trois ans que la Russie a lancé son plan d'invasion en Ukraine. Dans ce long conflit aux portes de l'Europe, les dirigeants du monde s'investissent afin que la guerre n'éclate pas à un niveau mondial.
Depuis l’invasion russe, plus de 71 % de la population s’est engagée dans le volontariat, l’un des piliers de la résistance. Chacun participe à son échelle à l’effort de guerre, dans tous les domaines liés au conflit.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l'accord sur les minerais stratégiques d'Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès. [...] sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l'Ukraine.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
L'opérateur énergétique ukrainien Naftogaz a accusé vendredi la Russie d'avoir frappé ses infrastructures gazières, en violation d'un fragile accord annoncé par Washington et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
Ni la Russie ni l'Ukraine n'ont mené de frappes visant des sites énergétiques depuis le 25 mars, jour où les Etats-Unis ont annoncé un accord en vue d'une trêve limitée à de telles installations, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien. "Depuis le 25 mars, nous n'avons pas vu de frappes russes directes contre le secteur de l'énergie, nous n'avons donc pas frappé là-bas" en Russie, qui a lancé il y a trois ans son invasion de l'Ukraine, a indiqué ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un possible déploiement de forces de «plusieurs pays européens» alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
Depuis trois ans, l’ingéniosité et les capacités d’adaptation de l’armée ukrainienne ont été largement vantées, notamment en ce qui concerne l’usage des drones. Ce sont pourtant les forces russes qui ont pris l’avantage, ces derniers mois, dans ce domaine avec une innovation qui a, semble-t-il, pesé lourd dans la reconquête, encore partielle, de la partie occupée de l’oblast de Koursk. Elles ont ainsi été les premières à recourir à l’automne aux drones filoguidés, c’est-à-dire commandés à l’aide d’un long et fin cordon de fibre optique, pour résoudre le problème du brouillage électronique.
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
L'Ukraine a besoin de soldats européens "prêts à combattre" sur son territoire après la guerre et non une force de maintien de la paix, a déclaré à l'AFP mercredi un responsable ukrainien participant aux négociations pour un cessez-le-feu avec la Russie.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Une nouvelle rencontre entre responsables ukrainiens et américains s'est achevée mardi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers américano-russes qui n'ont pas abouti à l'annonce d'une trêve, même très limitée, espérée par Donald Trump.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire, a annoncé mardi la Maison Blanche, après des négociations menées depuis dimanche par l'intermédiaire des États-Unis en Arabie saoudite. Washington s'est dit prêt à aider Moscou pour exporter ses produits agricoles et engrais sur les marchés mondiaux, ce que regrette Volodymyr Zelensky.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Le Kremlin a indiqué mardi que la trêve dans les frappes sur les infrastructures énergétiques en Ukraine et en Russie, discutée lors de pourparlers avec les Etats-Unis, concernait notamment les raffineries, les gazoducs et les centrales électriques. Cette trêve de 30 jours avait été annoncée le 18 mars par les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump mais jamais réellement appliquée, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de poursuivre les attaques.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l’accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s’agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
Pour négocier à Riyad avec les Américains, la Russie a envoyé Grigori Karassine, un ancien diplomate de haut rang expert du dossier ukrainien, et Sergueï Besseda, ex-responsable du FSB en charge de la collecte de renseignements. Deux personnalités au profil moins politique que technique, dont la mission sera de faire avancer les pions de Moscou face à l'administration Trump.
Au cours des trois dernières années, le Kremlin s'est lancé dans un projet visant à enlever des enfants ukrainiens et à les transformer de force en la prochaine génération de Russes.
Comme craint, attendu, ou espéré, selon le côté des barricades où l’on se trouve, les négociations à Riyad sur l’avenir de l’Ukraine n’auront, une nouvelle fois, pas accouché de grand-chose. Lundi, en début de soirée, après douze heures discussions, les agences russes ont annoncé que Moscou et Washington publieront ce mardi un communiqué commun.
Ukrainiens et Américains ont tenu de nouvelles discussions dimanche en Arabie saoudite en vue d'une trêve partielle dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie, à la veille de pourparlers russo-américains qualifiés d'emblée de "difficiles" par le Kremlin.
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Des négociations vont avoir lieu lundi en Arabie Saoudite, entre les Américains et les Russes. Lors de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté, et Russes et Américains de l'autre, il s'agira de tenter de s'accorder entre ces acteurs sur une trêve des attaques visant les infrastructures énergétiques des deux camps, après trois ans d'offensive russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
L'Ukraine a dit vendredi souhaiter que les pourparlers par l'intermédiaire des États-Unis lundi en Arabie Saoudite aboutissent "au moins" à un moratoire russo-ukrainien sur les frappes contre les sites énergétiques, les autres infrastructures et en mer Noire.
Kiev et Moscou se sont accusés vendredi davoir attaqué limportante station de mesure de gaz de Soudja, occupée par les forces ukrainiennes depuis lété 2024 dans la région russe frontalière de Koursk et qui autrefois permettait le transport du gaz russe vers lEurope via le territoire ukrainien.La télévision dEtat russe Rossia 24, ainsi que plusieurs chaînes russes dactualités sur Telegram, dont Baza --réputée proche des forces de lordre-- et Mash, ont publié des images de la station en flammes, accusant larmée ukrainienne den être responsable.Aucune annonce officielle na été faite toutefois par les autorités russes.
Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, ce qui "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a dit Karoline Leavitt, qui a ajouté que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
Fruit de l'évolution du missile "Neptune", dont la portée était limitée à 400 kilomètres, le "Long Neptune" ukrainien peut désormais atteindre des cibles situées à 1000 kilomètres. Un changement de donne conséquent dans le conflit opposant Kiev à Moscou, mais aussi un symbole du regain d'autonomie de l'Ukraine vis-à-vis de ses alliés en matière militaire.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
Le président américain Donald Trump a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi qu'il parlerait mardi à son homologue russe Vladimir Poutine dans le cadre du rapprochement américano-russe pour mettre un terme à la guerre en Ukraine, évoquant des "partages" entre Moscou et Kiev."Je parlerai au président Poutine mardi", a-t-il indiqué à des journalistes à bord de l'avion présidentiel, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".
La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.
Les États membres de l'UE (Conseil) ont approuvé lundi à Bruxelles une nouvelle tranche d'aide de 3,5 milliards d'euros à l'Ukraine pour sa stabilité macro-financière et son redressement.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Vladimir Poutine a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk, en écho à Donald Trump qui juge les discussions sur une trêve "productives" quand Kiev accuse Moscou de "chercher à enliser tout le monde".
L'Ukraine a annoncé samedi avoir abattu 130 drones lancés par la Russie sur tout le pays durant la nuit, au moment où les efforts internationaux s'intensifient pour mettre fin à la guerre en cours depuis plus de trois ans. Selon l'armée de l'air ukrainienne, 14 régions du pays ont été visées par des drones Shahed, de fabrication iranienne, et les forces russes ont également lancé deux missiles balistiques dans la nuit.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
Il est le porte-voix de Donald Trump à l’étranger sur la guerre en Ukraine et le conflit au Moyen-Orient. Cet homme d’affaires, qui fête ses 68 ans ce 15 mars, est très proche du locataire de la Maison-Blanche, dont il a financé une partie de la dernière campagne électorale. Une nouvelle démonstration de l’importance qu’accorde le président Trump à la loyauté de son entourage plutôt qu’à l’expérience.
Dans les territoires occupés de l'est de l'Ukraine, les barrages russes rythment la vie des habitants. Chaque déplacement devient une épreuve, sous le regard des soldats postés à "chaque entrée et sortie de ville, de village, ou directement sur la route", selon Sofiia de l'ONG Helping to Leave, qui aide les Ukrainiens à fuir ces zones
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
La Russie a commis les "crimes contre l'humanité" de disparitions forcées et de torture dans le cadre de la guerre en Ukraine, selon une commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies.
Parmi les oligarques russes les plus connus de la planète, l’ancien propriétaire du club de foot de Chelsea a toujours brillé par sa discrétion. Mais depuis le début de la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales à son encontre, le milliardaire de 58 ans semble introuvable. Ne restent que ses superyachts et des rumeurs sur son implication dans les négociations de paix. Ainsi qu’une photo inédite, prise en Turquie.
Sur le champ de bataille, la Russie affirme ce jeudi matin être entrée dans la phase finale de son opération visant à éjecter les forces ukrainiennes de sa région de Koursk, a rapporté l’agence de presse Tass, citant le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. D’après le chef d’état-major Valéri Guerassimov, ses troupes ont repris au total «plus de 1 100 km²» de territoire à l’armée ukrainienne depuis l’offensive de ces dernières en août, «soit plus de 86 % de la zone précédemment occupée» par les forces de Kyiv.
La France insoumise et des députés communistes ont voté contre le texte, à valeur symbolique, sur lequel le Rassemblement national s’est, lui, abstenu. Les appels se multiplient en Europe en faveur d’une saisie des avoirs russes gelés, à laquelle s’oppose le gouvernement.
La reprise de la région de Koursk par la Russie se précise. Vladimir Poutine, lors d’une très rare visite dans la région russe, a exprimé ce mercredi 12 mars son espoir que celle-ci soit «complètement libérée» dans «un avenir proche», au moment où le commandant en chef de l’armée ukrainienne a suggéré que ses troupes se repliaient dans la zone face aux avancées russes.
Des officiels américains et ukrainiens sont tombés d’accord en Arabie saoudite. En retour, Washington a annoncé la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à l’Ukraine et du partage de renseignements avec Kiev. « La balle est à présent dans le camp » de la Russie, a dit le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Au moins une personne a été tuée et trois autres blessées mardi dans l'attaque "massive" de plusieurs dizaines de drones ukrainiens contre Moscou et sa région, a indiqué le gouverneur de la région de Moscou, Andreï Vorobiov.
Peu atteinte depuis 2022, la capitale russe a été la cible de centaines de drones ukrainiens dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, à quelques heures de négociations en Arabie Saoudite pour des accords de paix en Ukraine.
Le président Emmanuel Macron reçoit mardi à Paris des responsables militaires de 30 pays appartenant à l'UE et/ou à l'Otan pour tenter de définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et réfléchir à l'architecture de défense de l'Europe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le secrétaire d’État américain Marco Rubio sont en Arabie saoudite pour des discussions mardi qui pourraient s’avérer cruciales sur la guerre avec la Russie, Rubio jugeant prometteuse une proposition ukrainienne de cessez-le-feu partiel. Des responsables ukrainiens et américains doivent se retrouver à Jeddah pour discuter des moyens de mettre fin au conflit entre l’Ukraine et la Russie.
Après neuf heures de négociations en Arabie Saoudite, des représentants de Kyiv et Washington se sont mis d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu immédiat, sur la signature d’un accord sur les minerais et sur la reprise de l’aide.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky se rend ce lundi 10 mars à Riyad pour s’entretenir avec le prince héritier Mohammed ben Salmane. Mardi, une délégation ukrainienne rencontrera des responsables américains pour discuter de futures négociations de paix avec la Russie. Une première depuis la débâcle à Washington.
La délégation ukrainienne proposera une "trêve dans les airs" et "en mer" avec la Russie lors des négociations avec les États-Unis mardi en Arabie Saoudite, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien.
Le gouvernement polonais enverra cette année à tous les foyers du pays un guide de survie en situation de crise, a annoncé lundi le ministère de l'Intérieur de ce pays du flanc oriental de l'Otan.
Des images et vidéos montrent des ânes et des chevaux transportant des soldats russes sur le front en Ukraine. Si leurs ennemis y voient une pénurie en véhicules de l’armée russe, ce recours à des moyens de transport d’un autre temps illustre aussi sa capacité d’adaptation.
Nate Vance s'est exprimé au sujet des récents propos de son cousin JD Vance et du président américain Donald Trump. ... Nate Vance explique : "Donald Trump et mon cousin croient clairement qu'ils peuvent apaiser Vladimir Poutine. Ils ont tort. Les Russes ne sont pas près d'oublier notre soutien à l'Ukraine. Nous sommes les idiots utiles de Vladimir Poutine."
Guerre en Ukraine: l'Australie pourrait prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine
(09/03) - Belga,L'Australie pourrait envisager de prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu, a indiqué dimanche son Premier ministre Anthony Albanese, tout en précisant qu'il était encore trop tôt pour un déploiement de ses forces armées.
La Russie a revendiqué dimanche 9 mars la prise d’un village dans la région ukrainienne de Soumy, ce qui serait une première depuis 2022, les soldats de Kyiv se trouvant en difficulté dans la région russe de Koursk qui lui fait face.
Le multimilliardaire Elon Musk, conseiller spécial de Donald Trump, a promis dimanche de maintenir l'accès ukrainien à son réseau de satellites Starlink, après de vifs échanges en ligne avec le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski.
En cours depuis plus de trois ans, la guerre en Ukraine ravage l'environnement, en plus d'un bilan humain évidemment très lourd.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.Ces bombardements interviennent au lendemain d'un sommet des 27 dirigeants européens qui, face au désengagement de Washington dans le conflit, ont affiché jeudi à Bruxelles leur volonté de renforcer les capacités de défense du continent.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.
Paris va subventionner à hauteur de 200 millions d’euros l’installation de conduites d’eau, matériel de déminage, et divers projets d’infrastructures. Parmi les entreprises retenues figurent EDF, Saint-Gobain, des PME mais aussi General Electric.
Le ministre de la Défense Theo Francken a proposé jeudi lors d'une rencontre avec le président ukrainien une proposition concrète d'aide militaire à hauteur d'un milliard d'euros, a-t-il indiqué vendredi sur les ondes de la VRT-radio.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
La Turquie, deuxième armée de l'Otan en nombre d'hommes, est prête à déployer des forces en Ukraine "si nécessaire" pour garantir la paix, a annoncé jeudi le ministère de la Défense.
Les États-Unis ont versé 114 milliards d’aide à l’Ukraine depuis 2022. Si ce montant avait été pris en charge par les Européens, il en aurait résulté un surcoût de 6 euros par mois et par habitant en moyenne
L’Allemagne, engagée dans une augmentation massive de ses investissements de défense, est prête à compenser en partie la suspension de l’aide militaire américaine à l’Ukraine, a promis jeudi son ministre de la Défense Boris Pistorius.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Le chef de l’Etat a tenté de mettre des mots sur la bascule géopolitique en cours depuis que Donald Trump a renoué le dialogue avec Vladimir Poutine, dans une allocution télévisée d’une quinzaine de minutes.
A la veille du sommet de l’Union européenne sur l’Ukraine, le président de la République s’est adressé aux Français dans une allocution diffusée à 20 heures, ce mercredi 5 mars. Il est revenu sur les menaces qui planent sur l’Europe.
C’est l’une des annonces lourde de conséquences de Donald Trump pour mettre la pression sur Volodymyr Zelensky : la...
Les États-Unis ont "mis en pause" le partage de renseignement avec l'Ukraine, a dit mercredi le chef de la CIA John Ratcliffe, après que Washington a également gelé son aide militaire, si utile pour Kiev dans sa guerre contre l'invasion russe.
Alors que le dialogue avec Kiev était déjà tendu, le gouvernement de Donald Trump a décidé de mettre en pause, lundi, l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine, rapporte un responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat.
Le président américain a ordonné une pause dans l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine après l’altercation vendredi avec son homologue ukrainien, a indiqué lundi soir un responsable de la Maison-Blanche. Pour la presse américaine, cette décision met Volodymyr Zelensky au pied du mur.
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Donald Trump a mis sa menace à exécution. Il a ordonné dans la nuit de lundi à mardi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président finlandais Alexander Stubb a proposé que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'Otan si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump.
La fin de la guerre en Ukraine permettrait à la Russie de déployer ses activités hostiles ailleurs en Europe, préviennent mardi les services de renseignement finlandais (Supo).