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focusbiodiversité pollution
Selon une récente étude menée en Australie, une espèce d’oiseaux marins est particulièrement touchée par la pollution plastique. Les auteurs affirment que ces animaux subissent des dommages cérébraux comparables à ceux de la maladie d’Alzheimer. Il s’agit ici d’une nouvelle preuve des conséquences alarmantes de la pollution plastique sur la faune marine.
Les modèles climatiques utilisés par le GIEC, même les plus avancés tels CMIP6, intègrent les puits de carbone, mais le font de manière très incomplète et largement idéalisée. Ces modèles incluent des composantes biogéochimiques du sol et océaniques qui simulent le cycle du carbone dans les océans à travers des processus tels que la photosynthèse du phytoplancton, la respiration, la reminéralisation, la sédimentation, et la circulation océanique profonde.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
La question de la préservation des océans est sur toutes les lèvres lors de la conférence mondiale sur le sujet à Nice. Hausse des températures, disparition des coraux… voici sept infographies pour bien comprendre ce dont on parle.
Enregistré en septembre 2024, cet entretien avec le biologiste Marc-André Selosse résonne étrangement avec l’actualité brûlante de ce mois de juin 2025 : chute des revenus agricoles, pollution au cadmium, loi Duplomb, effondrement de la biodiversité. Marc-André Selosse nous parle de ce que nous refusons de voir : le sol.
Canicules marines, espèces en danger, pollution de l’eau… Une cinquantaine de chefs d’Etat vont tenter à partir de lundi d’élaborer un «plan d’actions» non contraignant juridiquement pour répondre aux différentes menaces qui pèsent sur le Grand Bleu.
Les ONG à l’origine du recours ont salué les conclusions de la rapporteure publique lors de l’audience en appel et espèrent désormais une décision positive des juges début juillet.
Nommé « Saguaro », il implique la construction d’un gazoduc de 800 kilomètres du Texas jusqu’à la mer de Cortès, où le ballet des navires, comme les risques de pollution, pourrait nuire aux baleines et à la biodiversité.
Russia’s war in Ukraine has encouraged a rapid increase in the deployment of drones that use fibre optic cables to protect them from being jammed or downed by electronic warfare: the drones trail kilometres of plastic cable across frontlines. In this post Leon Moreland explores the environmental risks posed by this new form of battlefield plastic pollution.
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
Des résultats glaçants. De la Seine au Rhône, en passant par la Tamise ou le Tibre, les fleuves sont noyés sous une marée de microplastiques. Ce constat est le fruit de quatorze études menées par une vaste coalition scientifique. Novethic vous propose cette semaine un "pas de côté" sur l’actualité.
Deux jours avant la journée mondiale de la santé, une grande marche contre les pesticides était organisée samedi dans la capitale, à l’appel d’une centaine d’associations. Victimes, scientifiques, artistes, médecins… toutes et tous ont uni leurs forces pour défendre un «printemps bruyant». Vert y était.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
C’est la première trace de pollution repérée dans la région, une semaine après qu’un cargo a percuté un pétrolier, lundi 10 mars, au large des côtes du nord-est de l’Angleterre.Des granulés de plastique ont été découverts dans l’eau et sur le littoral de l’est de l’Angleterre, une semaine après la collision en mer du Nord entre un porte-conteneurs et un pétrolier, suscitant lundi une «profonde inquiétude» de la part de la Société royale de protection des oiseaux.
La collision qui s’est produite lundi entre un pétrolier et un porte-conteneurs représente une menace pour la faune et la flore exceptionnelles de la côte du Yorkshire. Que deviendront les oiseaux, les marsouins ou encore les phoques en cas de fuite majeure de kérosène ?
Dans une nouvelle étude, des scientifiques révèlent des résultats pour le moins inquiétants. Certains oiseaux marins contaminés par la pollution plastique développent des maladies similaires à Alzheimer ou Parkinson.
Chimique mac. Ces substances nuisent à de nombreuses espèces qu’elles ne sont pas censées cibler, démontre une étude majeure publiée dans la revue Nature Communication, jeudi. Une preuve supplémentaire de leur rôle dans l’effondrement du vivant.
Pesticides affect a diverse range of non-target species and may be linked to global biodiversity loss. The magnitude of this hazard remains only partially understood. We present a synthesis of pesticide (insecticide, herbicide and fungicide) impacts on multiple non-target organisms across trophic levels based on 20,212 effect sizes from 1,705 studies. For non-target plants, animals (invertebrate and vertebrates) and microorganisms (bacteria and fungi), we show negative responses of the growth, reproduction, behaviour and other physiological biomarkers within terrestrial and aquatic systems. Pesticides formulated for specific taxa negatively affected non-target groups, e.g. insecticidal neonicotinoids affecting amphibians. Negative effects were more pronounced in temperate than tropical regions but were consistent between aquatic and terrestrial environments, even after correcting for field-realistic terrestrial and environmentally relevant exposure scenarios. Our results question the sustainability of current
Les pesticides, couramment utilisés en agriculture, affectent largement des espèces d’animaux ou de végétaux qu’ils ne ciblent pas et participent ainsi activement à l’effondrement de la biodiversité, selon une vaste étude publiée jeudi dans Nature Communications.
Plongée au cœur des enjeux environnementaux majeurs de notre époque avec Hélène Grosbois, une voix forte et visionnaire de l’écologie. Dans cet échange sans filtre, on explore les vérités cachées derrière la crise de la biodiversité, les pesticides, et les limites planétaires. Une conversation poignante qui mêle analyse, critique et espoir, pour mieux comprendre pourquoi la destruction du vivant s’accélère et comment inverser la tendance. Découvrez les solutions et réflexions profondes pour repenser notre rapport à la nature et reconstruire un monde durable.
Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
La professeure de droit Marie-Angèle Hermitte et l’avocate Marine Yzquierdo analysent, dans une tribune au « Monde », la décision du Tribunal constitutionnel espagnol, qui, le 20 novembre, a confirmé la constitutionnalité de la loi accordant une personnalité juridique à la lagune de Mar Menor, dévastée par la pollution.
Une étude montre que l’extinction du rapace en Inde provoque une surmortalité humaine, car les carcasses de bêtes qui propagent choléra et rage ne sont plus éliminées, constate l’économiste Pauline Grosjean, dans sa chronique.
Espèces trébuchantes. Pollutions, surexploitation, changements climatiques… le «Giec de la biodiversité» identifie plusieurs grandes causes de l’effondrement du vivant. Alors que la conférence mondiale (COP16) sur la biodiversité touche à sa fin ce vendredi, Vert vous présente quatre espèces menacées en France.
L’abeille coule. Partout dans le monde, les populations d’insectes font face à un déclin sans précédent. En cause notamment : la nocivité des produits phytosanitaires. Illustration en France avec les bourdons.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
Omniprésentes et ultra-persistantes, les substances poly et perfluorées (PFAS), qualifiées de « polluants éternels », ne contaminent pas seulement nos corps. De l'île-de-France à l'Himalaya, c'est la planète dans son ensemble qui est désormais atteinte. Un péril silencieux dont les conséquences pourraient s'étaler sur des millénaires. Explications.
Des débris et déchets marins menacent le littoral isolé de l'Antarctique et ses écosystèmes marins uniques. Car sur ces déchets peuvent se greffer des espèces étrangères à l'Antarctique.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.


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focusbiodiversité pollution

juin 2025

Selon une récente étude menée en Australie, une espèce d’oiseaux marins est particulièrement touchée par la pollution plastique. Les auteurs affirment que ces animaux subissent des dommages cérébraux comparables à ceux de la maladie d’Alzheimer. Il s’agit ici d’une nouvelle preuve des conséquences alarmantes de la pollution plastique sur la faune marine.
Les modèles climatiques utilisés par le GIEC, même les plus avancés tels CMIP6, intègrent les puits de carbone, mais le font de manière très incomplète et largement idéalisée. Ces modèles incluent des composantes biogéochimiques du sol et océaniques qui simulent le cycle du carbone dans les océans à travers des processus tels que la photosynthèse du phytoplancton, la respiration, la reminéralisation, la sédimentation, et la circulation océanique profonde.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
La question de la préservation des océans est sur toutes les lèvres lors de la conférence mondiale sur le sujet à Nice. Hausse des températures, disparition des coraux… voici sept infographies pour bien comprendre ce dont on parle.
Enregistré en septembre 2024, cet entretien avec le biologiste Marc-André Selosse résonne étrangement avec l’actualité brûlante de ce mois de juin 2025 : chute des revenus agricoles, pollution au cadmium, loi Duplomb, effondrement de la biodiversité. Marc-André Selosse nous parle de ce que nous refusons de voir : le sol.
Canicules marines, espèces en danger, pollution de l’eau… Une cinquantaine de chefs d’Etat vont tenter à partir de lundi d’élaborer un «plan d’actions» non contraignant juridiquement pour répondre aux différentes menaces qui pèsent sur le Grand Bleu.
Les ONG à l’origine du recours ont salué les conclusions de la rapporteure publique lors de l’audience en appel et espèrent désormais une décision positive des juges début juillet.

mai 2025

Nommé « Saguaro », il implique la construction d’un gazoduc de 800 kilomètres du Texas jusqu’à la mer de Cortès, où le ballet des navires, comme les risques de pollution, pourrait nuire aux baleines et à la biodiversité.
Russia’s war in Ukraine has encouraged a rapid increase in the deployment of drones that use fibre optic cables to protect them from being jammed or downed by electronic warfare: the drones trail kilometres of plastic cable across frontlines. In this post Leon Moreland explores the environmental risks posed by this new form of battlefield plastic pollution.
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.

avril 2025

Des résultats glaçants. De la Seine au Rhône, en passant par la Tamise ou le Tibre, les fleuves sont noyés sous une marée de microplastiques. Ce constat est le fruit de quatorze études menées par une vaste coalition scientifique. Novethic vous propose cette semaine un "pas de côté" sur l’actualité.
Deux jours avant la journée mondiale de la santé, une grande marche contre les pesticides était organisée samedi dans la capitale, à l’appel d’une centaine d’associations. Victimes, scientifiques, artistes, médecins… toutes et tous ont uni leurs forces pour défendre un «printemps bruyant». Vert y était.

mars 2025

Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
C’est la première trace de pollution repérée dans la région, une semaine après qu’un cargo a percuté un pétrolier, lundi 10 mars, au large des côtes du nord-est de l’Angleterre.Des granulés de plastique ont été découverts dans l’eau et sur le littoral de l’est de l’Angleterre, une semaine après la collision en mer du Nord entre un porte-conteneurs et un pétrolier, suscitant lundi une «profonde inquiétude» de la part de la Société royale de protection des oiseaux.
La collision qui s’est produite lundi entre un pétrolier et un porte-conteneurs représente une menace pour la faune et la flore exceptionnelles de la côte du Yorkshire. Que deviendront les oiseaux, les marsouins ou encore les phoques en cas de fuite majeure de kérosène ?
Dans une nouvelle étude, des scientifiques révèlent des résultats pour le moins inquiétants. Certains oiseaux marins contaminés par la pollution plastique développent des maladies similaires à Alzheimer ou Parkinson.

mars 2025

Chimique mac. Ces substances nuisent à de nombreuses espèces qu’elles ne sont pas censées cibler, démontre une étude majeure publiée dans la revue Nature Communication, jeudi. Une preuve supplémentaire de leur rôle dans l’effondrement du vivant.
Pesticides affect a diverse range of non-target species and may be linked to global biodiversity loss. The magnitude of this hazard remains only partially understood. We present a synthesis of pesticide (insecticide, herbicide and fungicide) impacts on multiple non-target organisms across trophic levels based on 20,212 effect sizes from 1,705 studies. For non-target plants, animals (invertebrate and vertebrates) and microorganisms (bacteria and fungi), we show negative responses of the growth, reproduction, behaviour and other physiological biomarkers within terrestrial and aquatic systems. Pesticides formulated for specific taxa negatively affected non-target groups, e.g. insecticidal neonicotinoids affecting amphibians. Negative effects were more pronounced in temperate than tropical regions but were consistent between aquatic and terrestrial environments, even after correcting for field-realistic terrestrial and environmentally relevant exposure scenarios. Our results question the sustainability of current
Les pesticides, couramment utilisés en agriculture, affectent largement des espèces d’animaux ou de végétaux qu’ils ne ciblent pas et participent ainsi activement à l’effondrement de la biodiversité, selon une vaste étude publiée jeudi dans Nature Communications.

janvier 2025

Plongée au cœur des enjeux environnementaux majeurs de notre époque avec Hélène Grosbois, une voix forte et visionnaire de l’écologie. Dans cet échange sans filtre, on explore les vérités cachées derrière la crise de la biodiversité, les pesticides, et les limites planétaires. Une conversation poignante qui mêle analyse, critique et espoir, pour mieux comprendre pourquoi la destruction du vivant s’accélère et comment inverser la tendance. Découvrez les solutions et réflexions profondes pour repenser notre rapport à la nature et reconstruire un monde durable.

décembre 2024

Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
La professeure de droit Marie-Angèle Hermitte et l’avocate Marine Yzquierdo analysent, dans une tribune au « Monde », la décision du Tribunal constitutionnel espagnol, qui, le 20 novembre, a confirmé la constitutionnalité de la loi accordant une personnalité juridique à la lagune de Mar Menor, dévastée par la pollution.
Une étude montre que l’extinction du rapace en Inde provoque une surmortalité humaine, car les carcasses de bêtes qui propagent choléra et rage ne sont plus éliminées, constate l’économiste Pauline Grosjean, dans sa chronique.

octobre 2024

Espèces trébuchantes. Pollutions, surexploitation, changements climatiques… le «Giec de la biodiversité» identifie plusieurs grandes causes de l’effondrement du vivant. Alors que la conférence mondiale (COP16) sur la biodiversité touche à sa fin ce vendredi, Vert vous présente quatre espèces menacées en France.
L’abeille coule. Partout dans le monde, les populations d’insectes font face à un déclin sans précédent. En cause notamment : la nocivité des produits phytosanitaires. Illustration en France avec les bourdons.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
Omniprésentes et ultra-persistantes, les substances poly et perfluorées (PFAS), qualifiées de « polluants éternels », ne contaminent pas seulement nos corps. De l'île-de-France à l'Himalaya, c'est la planète dans son ensemble qui est désormais atteinte. Un péril silencieux dont les conséquences pourraient s'étaler sur des millénaires. Explications.

août 2024

Des débris et déchets marins menacent le littoral isolé de l'Antarctique et ses écosystèmes marins uniques. Car sur ces déchets peuvent se greffer des espèces étrangères à l'Antarctique.

juillet 2024

Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.