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Il s'agit d'une petite fille de trois ans décédée dans l'État du Coahuila (nord), ont-elles précisé. Elle était le premier et le seul cas reporté de grippe aviaire chez l'humain au Mexique. L'enfant a succombé à la défaillance de plusieurs organes, a détaillé le secrétaire de la Santé du Coahuila, Eliud Aguirre. "Personne n'a été testé positif" au virus dans l'entourage et parmi le personnel médical ayant été en contact avec la jeune fille, a-t-il confirmé. Aucun autre cas suspecté de grippe aviaire n'a été détecté au pays, selon Aguirre.
Soudain, le président de l’Académie de médecine prend la parole, depuis son siège dans le public. «Le présent rapport a été adopté à 97 %», note Jean-Noël Fiessinger, il y a donc une «quasi-unanimité» des académiciens qui penchent pour une fuite de laboratoire dans la quête sur l’origine du Covid-19, conclut-il. L’institution a présenté son rapport, «De l’origine du Sars-CoV-2 aux risques de zoonoses et de manipulations dangereuses de virus», lors d’une conférence de presse ce mercredi 2 avril. Si Christine Rouzioux, virologue et coordinatrice du rapport, pense «qu’on n’aura jamais la réponse» à la question des conditions d’émergence de la pandémie qui a fait 168 000 morts en France, elle concède «une conviction» pour l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, «soutenue par un faisceau de faits et d’arguments».
Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit. Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.
Les chauves-souris ne sont pas seulement des agents de dispersion de graines ou des contrôleurs naturels des populations d’insectes. Malheureusement, elles sont aussi des réservoirs de virus potentiellement dangereux pour l’Homme. Une récente étude au Brésil vient de mettre en lumière un nouveau coronavirus découvert chez ces animaux. Ce dernier présenterait des similitudes inquiétantes avec celui responsable du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Cette découverte soulève des questions cruciales sur la surveillance des virus zoonotiques et les risques qu’ils représentent pour les humains.
Des cas de grippe aviaire de type H7N9, une des principales souches à l’origine des contaminations humaines, ont été confirmés dans un élevage de poulets aux Etats-Unis, déjà confrontés à une flambée de H5N1.
La pénurie a provoqué une flambée des prix en magasin et le pays va importer des milliers de tonnes d’œufs de Turquie. En trois ans, la propagation du virus H5N1 a contraint les exploitations américaines à éliminer 158 millions de dindes, de poulets et, surtout, de poules pondeuses.
Un foyer de grippe aviaire H5N9 hautement pathogène identifié en Californie Un foyer de grippe aviaire hautement pathogène, le virus H5N9, a été identifié pour la première fois aux États-Unis, plus précisément dans un élevage de canards en Californie. Pour contenir l’épidémie, les autorités sanitaires ont procédé à l’abattage de près de 119 000 volailles.
Experts believe H5N1 bird flu belongs in a growing category of infectious diseases that can cause pandemics across many species. But there are ways to reduce the risks..
Deux lignages différents circulent actuellement, l’un véhiculé par les oiseaux sauvages, l’autre infectant les élevages laitiers aux Etats-Unis. L’enjeu est de savoir à quel point le virus évolue pour s’adapter aux humains alors qu’un patient américain vient de mourir.
Un homme de 65 ans est mort début janvier après avoir contracté la souche H5N1 de la grippe aviaire en Louisiane. Les autorités sanitaires notent toutefois que la victime souffrait déjà d’autres maladies.
Soixante-six cas humains de grippe aviaire ont été détectés dans le pays en 2024, et des inquiétudes émergent concernant la manière dont l’administration Trump gérera la menace.
Le premier cas humain grave de grippe aviaire aux Etats-Unis est porteur d'un virus qui aurait muté à l'intérieur de son organisme pour s'adapter aux voies respiratoires humaines, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires américaines.
La Californie a déclaré l'état d'urgence dans la crise de la grippe aviaire. Dans le même temps, un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté en Louisiane. L'analyse de l'épidémiologiste Marius Gilbert et du virologue Steven Van Gucht.
Le gouverneur de l’Etat de Californie (sud-ouest des Etats-Unis) a déclaré mercredi l’état d’urgence afin de mieux lutter contre la propagation de la grippe aviaire, désormais répandue également parmi les bovins. Avec plus de 300 vaches laitières contaminées ces 30 derniers jours, la Californie est devenue l’épicentre de la maladie, rapporte le média public NPR.
Un patient a été hospitalisé en Louisiane en raison d'une infection par le virus de la grippe aviaire, le premier cas grave aux États-Unis, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires américaines.
Après qu’un groupe d’agriculteurs, liés à la FNSEA, a muré, le 28 novembre, l’entrée de l’Inrae, à Paris, un collectif de plus de 240 chercheurs souligne, dans une tribune au « Monde », que des transitions radicales sont nécessaires et que la recherche doit rester indépendante pour faire face aux enjeux monumentaux du XXIᵉ siècle.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.
Ce nouveau cas est le deuxième détecté en Amérique du Nord et suscite de vives inquiétudes.
Au Canada, les responsables de la santé sont actuellement en état d’alerte. L’Agence de la santé publique Canadienne a confirmé le tout premier cas humain de grippe aviaire H5N1 au pays. Le sujet concerné est un adolescent qui a été admis aux urgences en Colombie-Britannique. Selon les chercheurs, la souche qui a infecté l’adolescent est différente de celle impliquée dans l’infection chez les vaches laitières.
Chercheurs et responsables internationaux s’inquiètent du manque de communication de la part des autorités sanitaires américaines à la suite d’un premier cas humain sans aucun contact avéré avec un animal infecté dans l’Etat du Missouri.
Depuis cet été, trois épizooties touchent simultanément le pays. Cette situation inédite, qui a notamment coûté la vie à des milliers de brebis partout en France, pourrait se reproduire.
Virus H5N1 : le patient "mystère" du Missouri ouvre-t-il la porte à une transmission entre humains ?
- France24,Un homme du Missouri, contaminé par le virus H5N1, est devenu le premier patient pour lequel il n’a pour l’instant pas été possible de comprendre la voie de transmission. De quoi réveiller le spectre d’une contagion de la grippe aviaire entre les humains. Mais les experts interrogés par France 24 estiment qu’il est encore tôt pour s'inquiéter d'une pandémie.
Le clade 1b est à l’origine de l’épidémie de mpox actuelle, considérée depuis le 14 août comme une urgence mondiale de santé publique par l’OMS. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
Industriële veeteelt is geen wondermiddel tegen de opkomst van nieuwe ziekten - integendeel. In de realiteit kan het net hun opmars versnellen, stelt Brits onderzoek.
Grippe aviaire : de nouvelles contaminations humaines et une épizootie qui s’accélère aux États-Unis
- Delphine RoucauteLe virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
usqu’au troisième quart du XXe siècle, un virus de la grippe aviaire qui se serait propagé à un poulet ou à un porc domestique se serait rapidement retrouvé dans une impasse. Presque tous les poulets étaient élevés dans des fermes familiales, dans des troupeaux de quelques dizaines d’unités: 400 formait déjà un très grand élevage. Les porcs étaient élevés en nombre beaucoup plus restreint. Par conséquent, même si le virus était très contagieux, il aurait rapidement manqué de nouveaux hôtes à infecter. Les choses ont changé avec ce que l’on a appelé «l’altération la plus profonde de la relation entre l’animal et l’homme depuis 10 000 ans» [6], à savoir l’expansion rapide d’exploitations d’alimentation animale concentrée (CAFO), plus précisément appelées «fermes industrielles».
Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus.
L’Organisation mondiale de la santé a fait part ce jeudi 18 avril de sa crainte face à la propagation croissante de la souche H5N1, au «taux de mortalité extraordinairement élevé», à de nouvelles espèces, y compris les humains.
Vendredi dernier, les CDC ont émis une alerte concernant le premier cas aux États-Unis de transmission à l'Homme du virus H5N1 par un mammifère (bovin).
La grippe aviaire continue sa progression. Pour la première fois, des cas ont été identifiés chez des chèvres et des vaches aux États-Unis. Pendant ce temps, en Antarctique, des manchots Adélie testés positifs au virus se montrent asymptomatiques.
Le virus H5N1 est responsable de la mort d’un ours polaire en Alaska. Loin d’être une maladie ne touchant que la volaille, la grippe aviaire affecte désormais un grand nombre d’espèces de mammifères.
C’est un déferlement depuis le début du mois d’octobre : les bovins d’élevage du sud-ouest de la France sont frappés par une épidémie de “Covid de la vache” qui se propage rapidement. Faut-il s’inquiéter ?
Le nombre de cas a triplé en un peu plus d’une semaine. Transmis par des moucherons piqueurs, le virus affecte essentiellement les cervidés et les bovins, provoquant fièvre, amaigrissement, lésions buccales, difficultés respiratoires ou encore boiterie.
Juste avant, je leur avais montré une vidéo leur expliquant les conséquences sur le corps des particules fines et du dioxyde d’azote. D'ailleurs, saviez-vous qu’en Belgique, en moyenne sur une année, il n’existe aucun endroit où l’air est de “très bonne qualité” ? Ni même de “bonne qualité”?
Les élevages sont sous haute surveillance pour freiner le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Mais les organisations internationales se heurtent à l’explosion du modèle d’élevage industriel.
Dans l’est de la RDC, à la lisière d’un parc naturel dévasté par le braconnage et la déforestation, médecins, vétérinaires et environnementalistes s’allient pour prévenir le risque de voir émerger un nouveau pathogène de la faune sauvage, sur le mode du Covid-19. Médecins du Monde et Vétérinaires sans frontières, deux ONGs belges et leurs partenaires congolais, misent sur la formule “Une seule santé” pour éviter l’émergence d’une telle pandémie. Reportage.
Les pangolins indonésiens sont très prisés en Chine, alerte la version indonésienne de “The Conversation”. Depuis la pandémie de Covid-19, Pékin a pourtant interdit l’utilisation des écailles et de la viande de ce petit mammifère pour concocter des remèdes de médecine traditionnelle.
Selon l’OMS, un variant de ce type de virus a entraîné depuis 2020 un nombre sans précédent de morts d’oiseaux sauvages et de volailles dans de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Europe.
Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.
L’élevage industriel et le commerce d’animaux aux États-Unis représentent un « risque sérieux de [déclencher de] futures pandémies, et le gouvernement américain n’a pas de stratégie globale pour faire face à ces menaces ». C’est le message d’alerte lancé par un rapport, publié le 6 juillet par des chercheurs étasuniens de la Harvard Law School et de l’université de New York.
- Belga
Le ministère de l'Agriculture du Brésil a déclaré lundi soir l'"urgence zoosanitaire" dans tout le pays, premier exportateur mondial de poulets, après la découverte de nouveaux cas de grippe aviaire chez des oiseaux sauvages.
La "maladie hémorragique épizootique", qui peut être mortelle chez les bovins, a été détectée pour la première fois en Europe: l'arrivée des moucherons piqueurs qui la transmettent est "une conséquence du changement climatique", rapporte vendredi l'agence sanitaire française Anses.
Variole du singe, Sras, Mers, Ebola, grippe aviaire, zika, VIH et sans doute Covid-19... Les zoonoses, maladies transmises à l'homme par des animaux, se sont multipliées ces dernières années, laissant craindre de...
Une chercheuse française a mis la main sur des données brutes provenant du marché de Wuhan en 2020. Des éléments supplémentaires pour alimenter une origine animale du Covid-19.
Une analyse de séquences génétiques liées au marché de Huanan (Wuhan) suggère que des chiens viverrins infectés ont contribué à déclencher la pandémie de COVID-19, renforçant l'hypothèse que des animaux vendus au marché ont propagé le virus. Cela ne prouve pas que ces animaux ont déclenché la pandémie, mais cela rend cette théorie plus plausible. Les détails sur l'analyse génétique n'ont été révélés que récemment, ce qui soulève des questions sur la raison pour laquelle les données ont été retenues par la Chine.
En Espagne, un élevage de visons a été contaminé par la grippe aviaire. Un événement très inquiétant, car cette espèce est très proche de l’humain, et que le virus circule de plus en plus. Pneumonie, museau en sang, tremblements, élévation brutale de la mortalité. De drôles de symptômes ont touché les visons d’une exploitation intensive de production de fourrure, début octobre 2022, dans la province espagnole de Galice. Le principal suspect, le Covid-19, a été écarté. C’est un virus bien plus dangereux qui a (...)
In het Hoge Noorden leefden 50 miljoen jaar geleden primaatachtige zoogdieren. Mogelijk leren zij ons iets over hoe soorten zich aanpassen aan de gevolgen van de huidige aardopwarming.
Depuis plus d’un an, la grippe aviaire décime les élevages et les oiseaux européens. Les experts craignent qu’une série de mutations déclenche une pandémie chez l’humain. L’épidémie de grippe aviaire progresse. Depuis un an, les annonces de foyers d’infection pleuvent. Les élevages français, anglais, hongrois sont décimés. Les oiseaux sauvages aussi. Les autorités sanitaires procèdent à des abattages massifs d’élevages infectés, en vain. Alors que l’épidémie persiste, l’humain est-il le prochain sur la liste (...)
De populaties van wilde dieren zijn tussen 1970 en 2018 met gemiddeld 69 procent achteruitgegaan. Dat blijkt uit een omvangrijk rapport door het Wereldnatuurfonds en de Zoological Society of London.
Ze is de dochter van een koning, maar prinses Esmeralda neemt geen blad voor de mond. De standbeelden van Leopold II moeten weg, vindt ze, en voor het klimaat wil ze wel even in de cel zitten. ‘Ik dacht: ik laat ze mij gewoon oppakken.’
- La Libre
Alors que les épidémies de variole du singe et de coronavirus continuent leur progression, un nouveau virus a récemment été détecté en Chine. Selon la revue médicale "The New England Journal of Medicine", une nouvelle zoonose, une maladie infectieuse se transmettant de l'animal à l'homme, a été observée dans les provinces chinoises de Shandong et Henan. Plus précisément, il s'agit d'un nouveau henipavirus, dont les formes les plus connues sont le Nipahvirus et le Hendravirus. Le premier est particulièrement létal, avec un taux de mortalité oscillant entre 40 et 75%, selon l'OMS. Trente-cinq cas de ce nouveau virus, dénommé "Langya" par les experts, ont pour l'heure été enregistrés. Les patients atteints de Langya ont développé différentes sortes de symptômes, dont la fièvre (100 % des patients), la fatigue (54 %), la toux (50 %), la perte d'appétit (50 %), les douleurs musculaires (46 %), les nausées (38 %), les maux de tête (35 %) et les vomissements (35 %).
Plus de la moitié des maladies infectieuses humaines seraient aggravées par le changement climatique
- Florence RosierUne analyse de l’ensemble des études publiées sur le sujet est parue le 8 août dans la revue « Nature Climate Change ».
Deux études publiées mardi dans la prestigieuse revue Science concluent que la pandémie de Covid-19 a commencé sur le marché de la ville de Wuhan, en Chine, pointant ainsi vers une très probable origine animale du virus.
Plus d'un millier d'animaux vont être évacués dans les prochaines heures du zoo du Bassin d'Arcachon à la Teste-de-Buch (Gironde), d'où des milliers de personnes sont également en train de partir en raison de fumées d'incendies, a annoncé à l'AFP l'Association française des parcs zoologiques (AFdPZ).
L’île de l’océan Indien traverse l’une des pires crises économiques de son histoire et les pénuries que subissent les Sri-Lankais depuis des mois menacent désormais les animaux. Les zoos envisageant désormais de relâcher leurs pensionnaires.
Près d’une centaine de cas de variole du singe dans douze pays hors des foyers traditionnels de la maladie ont été confirmés, samedi, par l’Organisation mondiale de la Santé. Les autorités et les scientifiques rappellent que le risque de propagation de ce virus est faible, mais reconnaissent que la chaîne de transmission est très inhabituelle.
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Il s'agit d'une petite fille de trois ans décédée dans l'État du Coahuila (nord), ont-elles précisé. Elle était le premier et le seul cas reporté de grippe aviaire chez l'humain au Mexique. L'enfant a succombé à la défaillance de plusieurs organes, a détaillé le secrétaire de la Santé du Coahuila, Eliud Aguirre. "Personne n'a été testé positif" au virus dans l'entourage et parmi le personnel médical ayant été en contact avec la jeune fille, a-t-il confirmé. Aucun autre cas suspecté de grippe aviaire n'a été détecté au pays, selon Aguirre.
Soudain, le président de l’Académie de médecine prend la parole, depuis son siège dans le public. «Le présent rapport a été adopté à 97 %», note Jean-Noël Fiessinger, il y a donc une «quasi-unanimité» des académiciens qui penchent pour une fuite de laboratoire dans la quête sur l’origine du Covid-19, conclut-il. L’institution a présenté son rapport, «De l’origine du Sars-CoV-2 aux risques de zoonoses et de manipulations dangereuses de virus», lors d’une conférence de presse ce mercredi 2 avril. Si Christine Rouzioux, virologue et coordinatrice du rapport, pense «qu’on n’aura jamais la réponse» à la question des conditions d’émergence de la pandémie qui a fait 168 000 morts en France, elle concède «une conviction» pour l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, «soutenue par un faisceau de faits et d’arguments».
Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit. Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.
Les chauves-souris ne sont pas seulement des agents de dispersion de graines ou des contrôleurs naturels des populations d’insectes. Malheureusement, elles sont aussi des réservoirs de virus potentiellement dangereux pour l’Homme. Une récente étude au Brésil vient de mettre en lumière un nouveau coronavirus découvert chez ces animaux. Ce dernier présenterait des similitudes inquiétantes avec celui responsable du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Cette découverte soulève des questions cruciales sur la surveillance des virus zoonotiques et les risques qu’ils représentent pour les humains.
Des cas de grippe aviaire de type H7N9, une des principales souches à l’origine des contaminations humaines, ont été confirmés dans un élevage de poulets aux Etats-Unis, déjà confrontés à une flambée de H5N1.
La pénurie a provoqué une flambée des prix en magasin et le pays va importer des milliers de tonnes d’œufs de Turquie. En trois ans, la propagation du virus H5N1 a contraint les exploitations américaines à éliminer 158 millions de dindes, de poulets et, surtout, de poules pondeuses.
Un foyer de grippe aviaire H5N9 hautement pathogène identifié en Californie Un foyer de grippe aviaire hautement pathogène, le virus H5N9, a été identifié pour la première fois aux États-Unis, plus précisément dans un élevage de canards en Californie. Pour contenir l’épidémie, les autorités sanitaires ont procédé à l’abattage de près de 119 000 volailles.
Experts believe H5N1 bird flu belongs in a growing category of infectious diseases that can cause pandemics across many species. But there are ways to reduce the risks..
Deux lignages différents circulent actuellement, l’un véhiculé par les oiseaux sauvages, l’autre infectant les élevages laitiers aux Etats-Unis. L’enjeu est de savoir à quel point le virus évolue pour s’adapter aux humains alors qu’un patient américain vient de mourir.
Un homme de 65 ans est mort début janvier après avoir contracté la souche H5N1 de la grippe aviaire en Louisiane. Les autorités sanitaires notent toutefois que la victime souffrait déjà d’autres maladies.
Soixante-six cas humains de grippe aviaire ont été détectés dans le pays en 2024, et des inquiétudes émergent concernant la manière dont l’administration Trump gérera la menace.
Le premier cas humain grave de grippe aviaire aux Etats-Unis est porteur d'un virus qui aurait muté à l'intérieur de son organisme pour s'adapter aux voies respiratoires humaines, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires américaines.
La Californie a déclaré l'état d'urgence dans la crise de la grippe aviaire. Dans le même temps, un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté en Louisiane. L'analyse de l'épidémiologiste Marius Gilbert et du virologue Steven Van Gucht.
Le gouverneur de l’Etat de Californie (sud-ouest des Etats-Unis) a déclaré mercredi l’état d’urgence afin de mieux lutter contre la propagation de la grippe aviaire, désormais répandue également parmi les bovins. Avec plus de 300 vaches laitières contaminées ces 30 derniers jours, la Californie est devenue l’épicentre de la maladie, rapporte le média public NPR.
Un patient a été hospitalisé en Louisiane en raison d'une infection par le virus de la grippe aviaire, le premier cas grave aux États-Unis, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires américaines.
Après qu’un groupe d’agriculteurs, liés à la FNSEA, a muré, le 28 novembre, l’entrée de l’Inrae, à Paris, un collectif de plus de 240 chercheurs souligne, dans une tribune au « Monde », que des transitions radicales sont nécessaires et que la recherche doit rester indépendante pour faire face aux enjeux monumentaux du XXIᵉ siècle.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.
Ce nouveau cas est le deuxième détecté en Amérique du Nord et suscite de vives inquiétudes.
Au Canada, les responsables de la santé sont actuellement en état d’alerte. L’Agence de la santé publique Canadienne a confirmé le tout premier cas humain de grippe aviaire H5N1 au pays. Le sujet concerné est un adolescent qui a été admis aux urgences en Colombie-Britannique. Selon les chercheurs, la souche qui a infecté l’adolescent est différente de celle impliquée dans l’infection chez les vaches laitières.
Chercheurs et responsables internationaux s’inquiètent du manque de communication de la part des autorités sanitaires américaines à la suite d’un premier cas humain sans aucun contact avéré avec un animal infecté dans l’Etat du Missouri.
Depuis cet été, trois épizooties touchent simultanément le pays. Cette situation inédite, qui a notamment coûté la vie à des milliers de brebis partout en France, pourrait se reproduire.
Virus H5N1 : le patient "mystère" du Missouri ouvre-t-il la porte à une transmission entre humains ?
(21/09) - France24,Un homme du Missouri, contaminé par le virus H5N1, est devenu le premier patient pour lequel il n’a pour l’instant pas été possible de comprendre la voie de transmission. De quoi réveiller le spectre d’une contagion de la grippe aviaire entre les humains. Mais les experts interrogés par France 24 estiment qu’il est encore tôt pour s'inquiéter d'une pandémie.
Le clade 1b est à l’origine de l’épidémie de mpox actuelle, considérée depuis le 14 août comme une urgence mondiale de santé publique par l’OMS. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
Industriële veeteelt is geen wondermiddel tegen de opkomst van nieuwe ziekten - integendeel. In de realiteit kan het net hun opmars versnellen, stelt Brits onderzoek.
Grippe aviaire : de nouvelles contaminations humaines et une épizootie qui s’accélère aux États-Unis
(08/06) - Delphine RoucauteLe virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
usqu’au troisième quart du XXe siècle, un virus de la grippe aviaire qui se serait propagé à un poulet ou à un porc domestique se serait rapidement retrouvé dans une impasse. Presque tous les poulets étaient élevés dans des fermes familiales, dans des troupeaux de quelques dizaines d’unités: 400 formait déjà un très grand élevage. Les porcs étaient élevés en nombre beaucoup plus restreint. Par conséquent, même si le virus était très contagieux, il aurait rapidement manqué de nouveaux hôtes à infecter. Les choses ont changé avec ce que l’on a appelé «l’altération la plus profonde de la relation entre l’animal et l’homme depuis 10 000 ans» [6], à savoir l’expansion rapide d’exploitations d’alimentation animale concentrée (CAFO), plus précisément appelées «fermes industrielles».
Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus.
L’Organisation mondiale de la santé a fait part ce jeudi 18 avril de sa crainte face à la propagation croissante de la souche H5N1, au «taux de mortalité extraordinairement élevé», à de nouvelles espèces, y compris les humains.
Vendredi dernier, les CDC ont émis une alerte concernant le premier cas aux États-Unis de transmission à l'Homme du virus H5N1 par un mammifère (bovin).
La grippe aviaire continue sa progression. Pour la première fois, des cas ont été identifiés chez des chèvres et des vaches aux États-Unis. Pendant ce temps, en Antarctique, des manchots Adélie testés positifs au virus se montrent asymptomatiques.
Le virus H5N1 est responsable de la mort d’un ours polaire en Alaska. Loin d’être une maladie ne touchant que la volaille, la grippe aviaire affecte désormais un grand nombre d’espèces de mammifères.
C’est un déferlement depuis le début du mois d’octobre : les bovins d’élevage du sud-ouest de la France sont frappés par une épidémie de “Covid de la vache” qui se propage rapidement. Faut-il s’inquiéter ?
Le nombre de cas a triplé en un peu plus d’une semaine. Transmis par des moucherons piqueurs, le virus affecte essentiellement les cervidés et les bovins, provoquant fièvre, amaigrissement, lésions buccales, difficultés respiratoires ou encore boiterie.
Juste avant, je leur avais montré une vidéo leur expliquant les conséquences sur le corps des particules fines et du dioxyde d’azote. D'ailleurs, saviez-vous qu’en Belgique, en moyenne sur une année, il n’existe aucun endroit où l’air est de “très bonne qualité” ? Ni même de “bonne qualité”?
Les élevages sont sous haute surveillance pour freiner le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Mais les organisations internationales se heurtent à l’explosion du modèle d’élevage industriel.
Dans l’est de la RDC, à la lisière d’un parc naturel dévasté par le braconnage et la déforestation, médecins, vétérinaires et environnementalistes s’allient pour prévenir le risque de voir émerger un nouveau pathogène de la faune sauvage, sur le mode du Covid-19. Médecins du Monde et Vétérinaires sans frontières, deux ONGs belges et leurs partenaires congolais, misent sur la formule “Une seule santé” pour éviter l’émergence d’une telle pandémie. Reportage.
Les pangolins indonésiens sont très prisés en Chine, alerte la version indonésienne de “The Conversation”. Depuis la pandémie de Covid-19, Pékin a pourtant interdit l’utilisation des écailles et de la viande de ce petit mammifère pour concocter des remèdes de médecine traditionnelle.
Selon l’OMS, un variant de ce type de virus a entraîné depuis 2020 un nombre sans précédent de morts d’oiseaux sauvages et de volailles dans de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Europe.
Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.
L’élevage industriel et le commerce d’animaux aux États-Unis représentent un « risque sérieux de [déclencher de] futures pandémies, et le gouvernement américain n’a pas de stratégie globale pour faire face à ces menaces ». C’est le message d’alerte lancé par un rapport, publié le 6 juillet par des chercheurs étasuniens de la Harvard Law School et de l’université de New York.
Le ministère de l'Agriculture du Brésil a déclaré lundi soir l'"urgence zoosanitaire" dans tout le pays, premier exportateur mondial de poulets, après la découverte de nouveaux cas de grippe aviaire chez des oiseaux sauvages.
La "maladie hémorragique épizootique", qui peut être mortelle chez les bovins, a été détectée pour la première fois en Europe: l'arrivée des moucherons piqueurs qui la transmettent est "une conséquence du changement climatique", rapporte vendredi l'agence sanitaire française Anses.
Variole du singe, Sras, Mers, Ebola, grippe aviaire, zika, VIH et sans doute Covid-19... Les zoonoses, maladies transmises à l'homme par des animaux, se sont multipliées ces dernières années, laissant craindre de...
Une chercheuse française a mis la main sur des données brutes provenant du marché de Wuhan en 2020. Des éléments supplémentaires pour alimenter une origine animale du Covid-19.
Une analyse de séquences génétiques liées au marché de Huanan (Wuhan) suggère que des chiens viverrins infectés ont contribué à déclencher la pandémie de COVID-19, renforçant l'hypothèse que des animaux vendus au marché ont propagé le virus. Cela ne prouve pas que ces animaux ont déclenché la pandémie, mais cela rend cette théorie plus plausible. Les détails sur l'analyse génétique n'ont été révélés que récemment, ce qui soulève des questions sur la raison pour laquelle les données ont été retenues par la Chine.
En Espagne, un élevage de visons a été contaminé par la grippe aviaire. Un événement très inquiétant, car cette espèce est très proche de l’humain, et que le virus circule de plus en plus. Pneumonie, museau en sang, tremblements, élévation brutale de la mortalité. De drôles de symptômes ont touché les visons d’une exploitation intensive de production de fourrure, début octobre 2022, dans la province espagnole de Galice. Le principal suspect, le Covid-19, a été écarté. C’est un virus bien plus dangereux qui a (...)
In het Hoge Noorden leefden 50 miljoen jaar geleden primaatachtige zoogdieren. Mogelijk leren zij ons iets over hoe soorten zich aanpassen aan de gevolgen van de huidige aardopwarming.
Depuis plus d’un an, la grippe aviaire décime les élevages et les oiseaux européens. Les experts craignent qu’une série de mutations déclenche une pandémie chez l’humain. L’épidémie de grippe aviaire progresse. Depuis un an, les annonces de foyers d’infection pleuvent. Les élevages français, anglais, hongrois sont décimés. Les oiseaux sauvages aussi. Les autorités sanitaires procèdent à des abattages massifs d’élevages infectés, en vain. Alors que l’épidémie persiste, l’humain est-il le prochain sur la liste (...)
De populaties van wilde dieren zijn tussen 1970 en 2018 met gemiddeld 69 procent achteruitgegaan. Dat blijkt uit een omvangrijk rapport door het Wereldnatuurfonds en de Zoological Society of London.
Ze is de dochter van een koning, maar prinses Esmeralda neemt geen blad voor de mond. De standbeelden van Leopold II moeten weg, vindt ze, en voor het klimaat wil ze wel even in de cel zitten. ‘Ik dacht: ik laat ze mij gewoon oppakken.’
Alors que les épidémies de variole du singe et de coronavirus continuent leur progression, un nouveau virus a récemment été détecté en Chine. Selon la revue médicale "The New England Journal of Medicine", une nouvelle zoonose, une maladie infectieuse se transmettant de l'animal à l'homme, a été observée dans les provinces chinoises de Shandong et Henan. Plus précisément, il s'agit d'un nouveau henipavirus, dont les formes les plus connues sont le Nipahvirus et le Hendravirus. Le premier est particulièrement létal, avec un taux de mortalité oscillant entre 40 et 75%, selon l'OMS. Trente-cinq cas de ce nouveau virus, dénommé "Langya" par les experts, ont pour l'heure été enregistrés. Les patients atteints de Langya ont développé différentes sortes de symptômes, dont la fièvre (100 % des patients), la fatigue (54 %), la toux (50 %), la perte d'appétit (50 %), les douleurs musculaires (46 %), les nausées (38 %), les maux de tête (35 %) et les vomissements (35 %).
Plus de la moitié des maladies infectieuses humaines seraient aggravées par le changement climatique
(08/08) - Florence RosierUne analyse de l’ensemble des études publiées sur le sujet est parue le 8 août dans la revue « Nature Climate Change ».
Deux études publiées mardi dans la prestigieuse revue Science concluent que la pandémie de Covid-19 a commencé sur le marché de la ville de Wuhan, en Chine, pointant ainsi vers une très probable origine animale du virus.
Plus d'un millier d'animaux vont être évacués dans les prochaines heures du zoo du Bassin d'Arcachon à la Teste-de-Buch (Gironde), d'où des milliers de personnes sont également en train de partir en raison de fumées d'incendies, a annoncé à l'AFP l'Association française des parcs zoologiques (AFdPZ).
L’île de l’océan Indien traverse l’une des pires crises économiques de son histoire et les pénuries que subissent les Sri-Lankais depuis des mois menacent désormais les animaux. Les zoos envisageant désormais de relâcher leurs pensionnaires.
Près d’une centaine de cas de variole du singe dans douze pays hors des foyers traditionnels de la maladie ont été confirmés, samedi, par l’Organisation mondiale de la Santé. Les autorités et les scientifiques rappellent que le risque de propagation de ce virus est faible, mais reconnaissent que la chaîne de transmission est très inhabituelle.