Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Filtre :
filtre:
Échange
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Dans le cadre d’une étude récente, des économistes européens ont simulé un arrêt des échanges alimentaires mondiaux. Selon les résultats, un seul pays brillant par son autosuffisance devrait survivre aisément à l’arrêt des échanges alimentaires.
Selon l’armée indienne, des tirs d’armes légères « non provoqués » ont été effectués par de « nombreux » postes de l’armée pakistanaise « tout au long de la ligne de contrôle au Cachemire », frontière de facto entre les deux pays, dans la nuit de vendredi à samedi.
Une proposition au beau milieu des frappes. Le Hamas est prêt à conclure un accord prévoyant la libération «en une seule opération» de tous les otages encore retenus à Gaza et une trêve de cinq ans avec Israël, pour mettre fin à la guerre en cours, a dit samedi 26 avril un responsable du mouvement.
Que préconisent les États-Unis pour parvenir à un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie ? Les propositions de l'administration américaine n'ont pas été officiellement annoncées, mais plusieurs médias en ont publié de possibles contours.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
La Belgique a assuré l'Ukraine de son soutien après l'altercation, vendredi soir à la Maison Blanche, entre le président des États-Unis Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Alors qu’ils doivent signer dans le Bureau ovale un accord sur les minerais rares, les échanges entre les présidents américain et ukrainien ont dégénéré.
Alors que le président ukrainien rappelait que l’invasion russe remontait à l’annexion de la Crimée en 2014 et que l’Ukraine a déjà signé un cessez-le-feu que la Russie n’a pas respecté, le vice-président américain J.D. Vance l’a violemment interrompu, lui reprochant de plaider sa cause devant les médias américains, exigeant qu’il remercie Trump pour son soutien et insistant sur le fait que l’Ukraine manquait de soldats.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit prêt dimanche à quitter son poste "immédiatement" en échange d'une adhésion de l'Ukraine à l'Otan, intégration à laquelle Washington semble s'opposer sur font de tensions croissantes entre Kiev et Donald Trump.
Le président ukrainien, critiqué pour ne pas avoir organisé d’élections après la fin de son mandat en mai 2024, a proposé, ce 23 février, de quitter son poste en échange d’une adhésion de son pays à l’Otan.
Le président américain est revenu sur sa discussion avec son homologue russe. Et il a continué d'encenser la Russie.
Le président ukrainien s’est dit prêt, mardi lors d’un entretien au « Guardian », à « un échange » de territoires avec le Kremlin, dans le cadre d’éventuelles négociations de paix sous l’égide des États-Unis.
Dans un entretien au «Guardian», le président ukrainien s’est dit ouvert ce mardi à des négociations avec Poutine, affirmant par ailleurs que «les garanties de sécurité sans l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de sécurité».
L’Union Européenne et les pays du Mercosur ont annoncé ce vendredi 6 décembre avoir finalisé le décrié accord commercial de libre-échange. «L’accord n’est ni signé, ni ratifié», a souligné l’Elysée.
Faisons le pari d'une solution disruptive avec cette monnaie qui n'est pas garantie par des euros, mais par la réalisation effective de services publics. Une voie vers une démocratie authentique.
Selon l’Open Source Centre, un centre de recherches britannique, les pétroliers nord-coréens ont effectué plusieurs voyages vers la Russie depuis mars 2024.
Le refus de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay et Bolivie) fait l’objet d’un consensus politique inhabituel. Mais fragilisé par un modèle agricole à bout de souffle et tétanisé par la perspective d’une crise sociale, Paris n’a guère les moyens de peser sur le débat.
Cet appel d’une heure a provoqué la colère de l’Ukraine, qui y voit « une tentative d’apaisement » de l’Allemagne envers Moscou.
Sur la scène communautaire, la France est de plus en plus isolée dans son combat contre ce traité de libre-échange.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des villes comme New York et Madrid, situées à la même latitude, connaissent des climats si différents ? Une des raisons réside dans les courants océaniques, qui transportent la chaleur des tropiques jusqu’en Europe. Mais ces courants, connus sous le nom d’AMOC (Atlantic Meridional Overturning Circulation), ralentissent sous l’effet du changement climatique. Ce phénomène pourrait créer une situation paradoxale où, malgré le réchauffement global, l’Europe subirait un refroidissement – un scénario digne du film Le Jour d'après. Certains médias affirment que nous nous approchons dangereusement d'un point de bascule, où l'effondrement de ce courant deviendrait inévitable. Exagération médiatique ou menace réelle ? Pour éclaircir la question, j'ai l'honneur de recevoir Julie Deshayes, océanographe et directrice de recherche au CNRS, spécialisée sur ces dynamiques au laboratoire L'OCEAN. L’AMOC, un point de bascule imminent ? C’est le sujet de ce nouvel épisode d'Échange C
Le lobby italien Confindustria compte accentuer la pression sur les décideurs politiques de l’Union européenne (UE) pour qu’ils reviennent sur le système d’échange des quotas d’émission de CO2 (SEQE) qui, selon le lobby, mettra des secteurs cruciaux en danger d’extinction d’ici 2030.
Autonomie, entraide et transmission : en Wallonie, région du sud de la Belgique, des néopaysans dynamisent un village en proposant des ateliers d’échange de savoir-faire. Une « soupape » pour les habitants, vectrice de lien social.
Annually updated, IPCC AR6 consistent indicators of human-induced global warming, greenhouse gas emissions, and the remaining global carbon budget.
Le système d’échange de quotas d’émission de l’UE expliqué Avec la COP28 et son appel à la « transition vers une sortie des combustibles fossiles », nous devons maintenant accélérer la décarbonation de nos activités. Comment réussir à nous éloigner des combustibles fossiles, devenus omniprésents dans notre société ? La tarification du carbone représente l'un des outils à notre disposition. Dans cette Lettre, nous examinons son fonctionnement, en nous attardant spécifiquement sur le Système d’Échange de Quotas d’Émission (ETS) utilisé en Europe. Ce système, souvent méconnu du grand public, fixe une limite aux quantités maximales d’émissions de certains secteurs. Il est basé sur l’achat de quotas représentant des autorisations d’émissions et sur un marché d’échange de ces quotas.
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
Alors qu'il s'applique déjà de façon provisoire depuis sept ans, les sénateurs français doivent se prononcer jeudi 21 mars sur une ratification définitive du Ceta, l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada. France 24 décrypte les enjeux de ce vote aux allures de test en pleine campagne pour les élections européennes et sur fond de crise agricole.
Depuis le début du mouvement des agriculteurs, droite et extrême droite ne cessent de leur clamer leur soutien. Pourtant, au Parlement européen, ils ont voté en faveur de la PAC sans s’opposer aux accords de libre-échange.
Le 1er février, un millier de paysans étaient rassemblés devant le Parlement européen contre les traités de libre-échange « antidémocratique ». Ils dénonçaient aussi l’appauvrissement de la profession.