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C’est fait. Tesla vient de lancer son tout premier service de Robotaxi sans conducteur, et ce n’est plus une promesse futuriste : c’est une réalité qui roule déjà à Austin, au Texas. Après des années de teasers d’Elon Musk et de spéculations enflammées, la plateforme de covoiturage autonome entre officiellement dans sa phase opérationnelle.
La scène pourrait sortir d’un film de science-fiction : un robot à peine visible à l’œil nu, contrôlé à distance par un champ magnétique, qui fusionne ou découpe des gouttelettes de liquide avec une précision inouïe. Et pourtant, ce n’est pas une fiction. Des chercheurs chinois viennent de dévoiler un microrobot magnétique révolutionnaire capable de manipuler des fluides à l’échelle microscopique. Une avancée qui pourrait transformer la chimie, la médecine et les technologies de laboratoire.
Une pollution aux PFAS a été détectée sur le site de l’entreprise SICLI à Uccle. Mais suite à la faillite de ce spécialiste de la prévention des incendies, les analyses nécessaires n’ont pas été réalisées. Les autorités publiques vont donc reprendre la main.
Ils craignent que les actions du ministre de la santé américain puissent à terme « exposer les familles à des maladies dangereuses pouvant être évitées ».
Je me suis beaucoup intéressé aux travaux d’Olivier Hamant (j’ai d’ailleurs consacré une longue note de lecture de son excellent ouvrage « La troisième voie du vivant », accessible ici) qui popularise depuis quelques mois maintenant la notion de robustesse. Autant j’ai apprécié son approche de biologiste, basée sur le vivant, sa proposition de "ringardiser la performance au profit de la robustesse", très convaincante (suivez son profil LinkedIn, c'est passionnant), autant je ressens un certain malaise face à une espèce de « rivalité » qu’il entretient avec la notion de résilience.
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Et si le futur du ménage hôtelier ne se jouait plus entre les mains d’un chariot d’entretien et d’une femme de chambre, mais entre celles — ou plutôt les pinces — d’un robot humanoïde ? Une entreprise technologique chinoise vient de dévoiler le Zerith H1, un robot conçu spécialement pour s’occuper de toutes les tâches d’entretien dans les hôtels, avec une précision, une autonomie et une efficacité bluffantes. Et cela pourrait bien transformer durablement l’industrie hôtelière.
Vivrons nous un futur dans lequel les livreurs seront des robots humanoïdes ? Ceci pourrait être le cas, puisque Amazon devrait bientôt tester ce concept assez particulier en compagnie d’un géant de la robotique en Chine.
Le ministre de la santé américain accuse les 17 membres de ce groupe consultatif de conflits d’intérêts, en raison de liens financiers avec des sociétés pharmaceutiques. Cette décision survient alors que le pays connaît un nombre inédit de cas de rougeole.
Pour ce faire, le patron de Meta compte investir des milliards de dollars.
Face aux crises environnementales, aux tensions géopolitiques, aux vulnérabilités économiques, une question devient de plus en plus pressante : comment construire un monde capable d’être stable malgré la tempête ? Comment imaginer des projets, des organisations, des modes de vie qui résistent aux crises, s’adaptent aux changements et persistent dans le temps, en s’appuyant sur les liens sociaux et aux vivants. Des projets qui misent sur la robustesse, comme antidote au culte de la performance.
Après la suppression par l’administration Trump de données de recherche cruciales pour la santé, l’environnement, l’énergie ou le climat, la chercheuse en droit privé Agnès Robin explique, dans une tribune au « Monde », les atouts de la politique européenne de science ouverte pour la conservation et la réutilisation de ces « communs scientifiques ».
Des études citées par l'administration Trump n'existent en réalité pas, ont fait savoir les auteurs à qui elles ont été attribuées.
Plus d’une zone de distribution sur quatre en Wallonie et à Bruxelles ne répond pas aux limites de qualités fixées en France et au Danemark. C’est ce qui ressort d’une enquête des cellules #Investigation et Décrypte de la RTBF qui ont parcouru l’ensemble des analyses réalisées par les distributeurs d’eau en 2024. En cause, des résidus de pesticides.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
Il y a 70% de probabilité que le réchauffement moyen au cours des années 2025-2029 dépasse le seuil crucial de +1,5°C, estiment l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Met office britannique dans un nouveau rapport publié mercredi.
Vous vous souvenez, il y a très longtemps, il y a deux ans, de ces images de personnages avec 6 doigts, ou de ces vidéos qui n'avaient aucune logique, avec des objets qui apparaissaient ou disparaissaient de la vidéo sans raison ? Tout ça est bien terminé, la génération de vidéos est maintenant au niveau où il est littéralement impossible de dire si c'est un enregistrement du réel ou si c'est généré artificiellement.
Aux États-Unis, les bébés nés sous le second mandat de Donald Trump devraient recevoir 1 000 dollars investis sur les marchés.
Excalibur fait partie du projet triennal Project Cetus, une initiative stratégique britannique visant à intégrer la robotisation dans la guerre sous-marine, domaine longtemps réservé aux sous-marins habités classiques.
Aux États-Unis, une équipe d’ingénieurs a mis au point un robot de très petite taille, un bijou de technologie dont l’objectif est d’explorer le monde à hauteur d’insecte. Compact, performant, programmable et peu couteux, cette machine pourrait séduire plus d’un adepte.
La quête pour doter les robots d’une perception et d’une intelligence proches de celles des humains est au cœur des avancées technologiques actuelles. Une équipe de chercheurs de l’Université RMIT en Australie vient de franchir une étape majeure en développant un dispositif neuromorphique capable d’imiter la façon dont le cerveau humain traite l’information visuelle en temps réel. Cette innovation promet de transformer la robotique, la vision artificielle et, plus largement, les systèmes autonomes.
La communauté scientifique n’a pas été rassurée par le rapport, qui évoque le nombre de vaccins obligatoires et recommande des essais cliniques plus rigoureux.
Ce modèle de robot-chien, bien qu’encore relativement nouveau dans le domaine de l’extinction des incendies, démontre un potentiel énorme dans le cadre de la robotique de secours. En plus de leur utilisation dans des missions de recherche et de sauvetage, ces robots pourraient être un jour déployés pour traiter des situations d’urgence dans des environnements aussi variés que les accidents industriels ou les catastrophes naturelles. Les développements futurs permettront sans doute d’ajouter encore plus de fonctionnalités, notamment en matière de navigation autonome ou d’intégration avec d’autres technologies de gestion des crises.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
Alors que la facture climatique s’alourdit, le climatologue Jean Jouzel et Bertrand Delignon, de la Macif, redoutent l’explosion des sécheresses en France ainsi que la submersion du littoral.
Le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr a exhorté mardi les pays membres de l'Organisation mondiale de la santé à "envisager de rejoindre" les Etats-Unis, qui ont entamé le processus pour quitter l'organisation.
Une équipe de chercheurs chinois vient de franchir une étape spectaculaire dans le domaine de la robotique autonome : ils ont conçu une intelligence artificielle capable de piloter des drones en mode FPV (First Person View) avec une précision et une audace qui dépassent celles des meilleurs pilotes humains. Mieux encore, leur système s’inspire directement des maîtres du ciel : les éperviers, les faucons… et les chauves-souris.
Le silence du président russe Vladimir Poutine face à la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky de le rencontrer jeudi à Istanbul signifie que le Russe a "probablement été surpris" par cette proposition, a commenté mardi la porte-parole en chef de la Commission européenne.
Imaginez un monde où les machines seraient capables de recréer un motif de tricot à partir de n’importe quelle photo, sans aucune intervention humaine. Un tel concept, qui semblait jusqu’à récemment relever de la science-fiction, se rapproche désormais de la réalité. Une équipe de chercheurs de l’Université Laurentienne, au Canada, a mis au point une technologie de pointe qui permet à des robots tricoteurs de reproduire des tissus et des motifs simplement en scrutant une image. Ce développement promet de transformer l’industrie textile, en rendant la production de vêtements plus rapide, plus précise et bien plus automatisée.
Dans un monde où la technologie progresse à un rythme effréné, les robots humanoïdes occupent une place de plus en plus importante. De l’assistance dans les usines à la livraison de repas en passant par l’interaction avec les humains, ces machines deviennent omniprésentes. Toutefois, un incident récent en Chine a mis en lumière les risques associés à cette révolution technologique. Une vidéo choquante montrant un robot humanoïde devenant incontrôlable a déclenché un débat sur la fiabilité et la sécurité de ces machines.
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Rob
C’est fait. Tesla vient de lancer son tout premier service de Robotaxi sans conducteur, et ce n’est plus une promesse futuriste : c’est une réalité qui roule déjà à Austin, au Texas. Après des années de teasers d’Elon Musk et de spéculations enflammées, la plateforme de covoiturage autonome entre officiellement dans sa phase opérationnelle.
La scène pourrait sortir d’un film de science-fiction : un robot à peine visible à l’œil nu, contrôlé à distance par un champ magnétique, qui fusionne ou découpe des gouttelettes de liquide avec une précision inouïe. Et pourtant, ce n’est pas une fiction. Des chercheurs chinois viennent de dévoiler un microrobot magnétique révolutionnaire capable de manipuler des fluides à l’échelle microscopique. Une avancée qui pourrait transformer la chimie, la médecine et les technologies de laboratoire.
Une pollution aux PFAS a été détectée sur le site de l’entreprise SICLI à Uccle. Mais suite à la faillite de ce spécialiste de la prévention des incendies, les analyses nécessaires n’ont pas été réalisées. Les autorités publiques vont donc reprendre la main.
Ils craignent que les actions du ministre de la santé américain puissent à terme « exposer les familles à des maladies dangereuses pouvant être évitées ».
Je me suis beaucoup intéressé aux travaux d’Olivier Hamant (j’ai d’ailleurs consacré une longue note de lecture de son excellent ouvrage « La troisième voie du vivant », accessible ici) qui popularise depuis quelques mois maintenant la notion de robustesse. Autant j’ai apprécié son approche de biologiste, basée sur le vivant, sa proposition de "ringardiser la performance au profit de la robustesse", très convaincante (suivez son profil LinkedIn, c'est passionnant), autant je ressens un certain malaise face à une espèce de « rivalité » qu’il entretient avec la notion de résilience.
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Et si le futur du ménage hôtelier ne se jouait plus entre les mains d’un chariot d’entretien et d’une femme de chambre, mais entre celles — ou plutôt les pinces — d’un robot humanoïde ? Une entreprise technologique chinoise vient de dévoiler le Zerith H1, un robot conçu spécialement pour s’occuper de toutes les tâches d’entretien dans les hôtels, avec une précision, une autonomie et une efficacité bluffantes. Et cela pourrait bien transformer durablement l’industrie hôtelière.
Vivrons nous un futur dans lequel les livreurs seront des robots humanoïdes ? Ceci pourrait être le cas, puisque Amazon devrait bientôt tester ce concept assez particulier en compagnie d’un géant de la robotique en Chine.
Le ministre de la santé américain accuse les 17 membres de ce groupe consultatif de conflits d’intérêts, en raison de liens financiers avec des sociétés pharmaceutiques. Cette décision survient alors que le pays connaît un nombre inédit de cas de rougeole.
Pour ce faire, le patron de Meta compte investir des milliards de dollars.
Face aux crises environnementales, aux tensions géopolitiques, aux vulnérabilités économiques, une question devient de plus en plus pressante : comment construire un monde capable d’être stable malgré la tempête ? Comment imaginer des projets, des organisations, des modes de vie qui résistent aux crises, s’adaptent aux changements et persistent dans le temps, en s’appuyant sur les liens sociaux et aux vivants. Des projets qui misent sur la robustesse, comme antidote au culte de la performance.
Après la suppression par l’administration Trump de données de recherche cruciales pour la santé, l’environnement, l’énergie ou le climat, la chercheuse en droit privé Agnès Robin explique, dans une tribune au « Monde », les atouts de la politique européenne de science ouverte pour la conservation et la réutilisation de ces « communs scientifiques ».
Des études citées par l'administration Trump n'existent en réalité pas, ont fait savoir les auteurs à qui elles ont été attribuées.
Plus d’une zone de distribution sur quatre en Wallonie et à Bruxelles ne répond pas aux limites de qualités fixées en France et au Danemark. C’est ce qui ressort d’une enquête des cellules #Investigation et Décrypte de la RTBF qui ont parcouru l’ensemble des analyses réalisées par les distributeurs d’eau en 2024. En cause, des résidus de pesticides.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.