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agriculteur

avril 2024

Les projets agrivoltaïques se développent en Wallonie. Le principe est d’utiliser des terres agricoles pour y placer des centaines, voir des milliers de panneaux photovoltaïques. Certains agriculteurs décident d’eux-mêmes de faire cohabiter leur élevage avec des panneaux solaires. Mais depuis quelque temps, de nouveaux projets, plus importants, voient le jour et prévoient de ne pas cohabiter mais bien d’installer uniquement ces panneaux sur des champs.

mars 2024

Les agriculteurs sont loin d’être unanimes quant aux bienfaits des mégabassines. Ceux qui adhérent à la Coop de l’eau, dans les Deux-Sèvres, se plaignent de coûts élevés sans l’assurance de pouvoir irriguer.
Le 13 mars, Hugues Falys, éleveur bovin, a lancé une action en justice contre le pétrolier pour sa responsabilité dans les dérèglements climatiques. Les événements météo extrêmes qui ont frappé sa ferme depuis 2016 lui ont causé d’importants dégâts. 
Des agriculteurs des régions de Geel et Kasterlee (province d'Anvers) vont mener une action mardi contre un nouveau plan de gestion de l'environnement pour le domaine de Breeven, situé à cheval sur les deux localités.
Les mobilisations agricoles continuent depuis maintenant plusieurs semaines. Charge administrative, normes européennes contraignantes, revenus compliqués… les raisons de la colère sont multiples. Pourtant, ce n’est pas le cas de tout le monde. À Sprimont, en province de Liège, un éleveur laitier n’est pas d’accord avec les manifestations de ses collègues wallons. Une position bien tranchée qu'il assume complètement.

février 2024

Cyrille Savalle cultive des céréales comme ses parents sur les terres où il a grandi, à Ailly dans l'Eure, à une différence près: en "repensant son système", il a diminué de moitié l'épandage de produits phytosanitaires, tout en conservant ses marges.Après avoir diminué son usage d'intrants (engrais, herbicides, pesticides et fongicides) de 50%, son rendement a diminué de 15% mais ses marges brutes sont les mêmes qu'en conventionnel.
Le siège de plusieurs partis et lobbies présents à Bruxelles ont été visés par une action des militants de Greenpeace Belgique vendredi matin, pour dénoncer la pression que les grandes entreprises font subir aux agriculteurs, a indiqué l’ONG. Les activistes ont pointé du doigt les profits engrangés par les multinationales "au détriment des agriculteurs, des consommateurs et de la nature". Les sièges du MR, du CD&V, de l’Open VLD et du Parti populaire européen (PPE) ont été visés par les activistes.
Pour la presse étrangère, qui commente les annonces faites par Gabriel Attal mercredi 21 février, le gouvernement français continue d’afficher ostensiblement sa bonne volonté envers les agriculteurs pour éviter une reprise du mouvement.
Des militants de l’organisation écologiste ont notamment déboulonné le logo du groupe agroalimentaire Avril en Ille-et-Vilaine, dont le conseil d’administration est dirigé par le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau.
Hérauts de la colère agricole européenne, les paysans polonais mobilisés depuis le printemps 2023, multiplient les blocages à la frontière pour s’opposer à la surpression des droits de douane sur les produits ukrainiens.
Dans le podcast "Le Tournant" de cette semaine, nous vous proposons une rencontre avec un économiste au profil très particulier. Il s’appelle Olivier Lefèbvre et dans sa vie précédente, il a dirigé la Bourse de Bruxelles. Aujourd’hui, il s’occupe d’une ferme qui pratique notamment le "maraîchage sur sol vivant" et qui teste de nouveaux modèles d’agriculture et de circuits courts. Deux vies bien différentes, au travers desquelles il a développé une vision critique de l’agriculture intensive telle que développée en Europe depuis les années 50. Interview.
Pour toucher les aides de la PAC, les agriculteurs devront désormais laisser au moins 4 % des terres arables en cultures intermédiaires ou fixatrices d’azote (lentilles, pois…) et non plus seulement en jachères.
Cet outil, qui mesure la quantité de produits phytosanitaires épandus dans les champs, permet par ricochet de constater si le plan Ecophyto de réduction des pesticides suit correctement son cours. «Libé» fait le point.
Malgré une importante surface agricole utile rapportée à ses habitants et une balance agroalimentaire positive, la France est loin de la souveraineté alimentaire, constatent les universitaires Ivar Ekeland, Dominique Méda et Philippe Pointereau, dans une tribune au « Monde ».
Jean-Marc Jancovici a réagi à la colère des agriculteurs, estimant que leur demander de "produire plus propre et moins cher" était "incohérent".
(Tribune) Agriculteurs et écolos : nous refusons d’être catalogués comme ennemis
Les blocages en cours dans les ports fusionnés de Zeebrugge et d'Anvers causent des millions d'euros de dégâts. C'est ce qu'a déclaré vendredi l'échevine portuaire Annick De Ridder (N-VA).
Les blocages en cours dans les ports fusionnés de Zeebrugge et d'Anvers causent des millions d'euros de dégâts. C'est ce qu'a déclaré vendredi l'échevine portuaire Annick De Ridder (N-VA).
Pour les jeunes agriculteurs, accéder à la terre relève de plus en plus de l'utopie. De grands groupes industriels...
Face à la colère des agriculteurs, le gouvernement a annoncé une nouvelle salve de mesures parmi lesquelles la suspension du plan Ecophyto sur la réduction des pesticides. Côté européen, la Commission promet quant à elle de revenir sur l’obligation de mise en jachère. Deux revendications fortes du syndicat majoritaire, la FNSEA, qui appelle désormais à lever les blocages.
Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé jeudi, après dix jours de protestations des agriculteurs, une nouvelle série de mesures en leur faveur lors d'une conférence de presse à Matignon. La principale est un renforcement de la loi Egalim, qui vise à leur garantir une juste rémunération. Les syndicats majoritaires FNSEA et Jeunes agriculteurs ont appelé à suspendre les blocages en France.
« Trop is te veel » peut-on entendre lors des actions menées par les agriculteurs. Ce slogan divise. Ils sont malmenés pour les uns, entre baisse des revenus et contraintes environnementales. Pour les autres, ils n’ont pas à se plaindre dans le contexte de la mondialisation. Qui a raison ? La réponse appelle des nuances. Débat.
Comme chaque matin, Maxime Binet reçoit dans le “Café sans filtre” un invité afin d’évoquer les sujets chauds de l’actualité.
En cette journée de mobilisation paysanne, Natagora réagit à l’annonce de la Commission européenne d’une nouvelle dérogation à la BCAE8, mesure dite des “surfaces et éléments non-productifs” (haies, mares, arbres, bordures de champ, jachères mellifères…). Au regard de l’indispensable transition écologique, il faut renforcer la cohérence des aides aux agriculteurs et entendre leurs légitimes revendications face à la mondialisation et au traité EU-Mercosur en particulier. Affaiblir les normes environnementales n'est pas la solution.
Depuis le début du mouvement de contestation des agriculteurs, la grande distribution est régulièrement ciblée. Ils lui reprochent notamment de ne pas respecter les lois Egalim, une série de textes destinés à garantir les revenus des producteurs agricoles face aux aléas des cours des matières premières et de la position dominante des centrales d'achat. Explications.

janvier 2024

Le discours de politique générale de Gabriel Attal n’aura pas réussi à répondre aux attentes des agriculteurs, alors que des annonces sont prévues en fin de semaine. En attendant, ce sont les industriels et distributeurs qui sont visés par les manifestants à coups de blocage et déversement de lisier. Lactalis, Leclerc et Savencia sont particulièrement ciblés, et ce n’est pas un hasard.
Le Normand élève des charolaises et cultive céréales, pommes de terre et légumes secs. Loin de la colère des tracteurs, il raconte qu’on peut vivre de sa terre en changeant de modèle agricole et d'équation économique.
Alors que les agriculteurs bloquent les principales autoroutes de la capitale, que des actions locales se multiplient et que le gouvernement joue la montre en égrainant quelques mesures pour contenir la colère, nous nous sommes entretenus avec Morgan Ody, maraîchère du Morbihan et membre de la Confédération Paysanne.
La nuit de dimanche à lundi, des agriculteurs s’en sont pris à des camions de l’enseigne Colruyt. Ils ont forcé les portes de camions de livraison et déversé leur contenu sur la chaussée. Nous avons donc essayé de comprendre pourquoi Colruyt, et plus largement la grande distribution, est dans la ligne de mire de ces manifestants. Si nous avons déjà évoqué la colère des agriculteurs par rapport à Colruyt qui rachète, depuis plusieurs années, des terres agricoles à des prix très élevés, ce n’est pas le seul problème.
Depuis 2023, l'Union européenne exige qu'une partie des terres arables de chaque exploitation soit laissée en jachère en continu. Une mesure présentée par Bruxelles comme indispensable pour préserver la biodiversité, mais perçue par les agriculteurs comme une énième contrainte à satisfaire.
En déplacement en Haute-Garonne, épicentre de la contestation des exploitants, le Premier ministre a annoncé ce vendredi 26 janvier une batterie de mesures, espérant calmer la grogne des agriculteurs.
Yannick Jadot dénonce un deux poids deux mesures entre le traitement des agriculteurs et des militants écologistes. Si ces derniers bloquaient les routes à la façon de la FNSEA, ils seraient «en prison et condamnés», estime-t-il.
La mobilisation des agriculteurs français s'est amplifiée mercredi avec une multiplication des blocages. Ils réclament des "réponses concrètes" du gouvernement, qui pourrait faire des annonces jeudi ou vendredi pour tenter d'éteindre la crise. Aux aides "immédiates" réclamées par la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) et les Jeunes agriculteurs (JA) se sont ajoutées des demandes liées aux contraintes environnementales existantes.
La FNSEA a réclamé au gouvernement ce mercredi 24 janvier au soir des aides «immédiates» pour les agriculteurs et un allègement des contraintes environnementales, dans une liste détaillée de demandes.
Il y a la question du revenu, mais aussi celle des normes environnementales. Alors que les agriculteurs manifestent partout en France, leur mécontentement monte contre l'écologie, devenue pour certain un "bouc-émissaire" de la crise agricole. Or ce "n'est pas au Pacte Vert" qu'il faut s'en prendre mais à la PAC, la politique agricole commune.
Les agriculteurs ont entamé un bras de fer avec le gouvernement pour dénoncer le manque de considération à leur égard, la hausse de leurs coûts de production et la multiplication des normes européennes qui, disent-ils, entravent leur travail. Le Premier ministre Gabriel Attal tente de désamorcer le mouvement tandis que le Rassemblement national espère le récupérer, à six mois des élections européennes.
Les agriculteurs européens sont très en colère, plus particulièrement en France et en Allemagne mais aussi en Pologne ou en Roumanie. Si les raisons de leur colère sont variables, elles concernent pêle-mêle l’augmentation des coûts des carburants agricoles et les normes environnementales que voudrait imposer Bruxelles. Le volet agricole du Green Deal est une cible diffuse. Susceptible de remettre en cause l’agriculture intensive européenne, il est progressivement détricoté par des dirigeants politiques qui n’ont pas osé le porter devant leurs électeurs.
Le texte, qui devait être présenté la semaine prochaine, pourrait être complété d’un volet sur la « simplification », a annoncé Marc Fesneau, ministre de l’agriculture, dimanche 21 janvier.
Une semaine de protestations paysannes sans précédent s’achève en Allemagne. L’étincelle qui a mis les agriculteurs dans la rue est, comme en France, la fin de l’aide au diesel des véhicules agricoles.
Des agriculteurs opposés à la suppression progressive d'un avantage fiscal sur le gazole ont bloqué un ferry dans le nord de l'Allemagne avec à son bord le ministre de l'Économie Robert Habeck, qui s'est inquiété vendredi d'un "climat qui s'échauffe" dans le pays.
À l'origine d'un tiers de l'alimentation mondiale, les petites structures agricoles sont menacées par la crise climatique. Pourtant, le financement de leur adaptation et de leur décarbonation, provenant en majorité de structures publiques, a chuté. Cela constitue un risque majeur pour l'économie de nombreux pays.

novembre 2023

Les agriculteurs multiplient les actions pour dénoncer la fin de l’avantage fiscal sur le gazole des tracteurs. Les engins les plus gros seront davantage affectés.
Les agriculteurs et horticulteurs des environs de Zwijndrecht (dans un rayon de 5 KM) pourront demander, à partir de mardi, une nouvelle compensation en cas de pertes liées aux mesures dites "no regret" qui restreignent la vente de produits agricoles commerciaux après la pollution aux substances fluorées persistantes PFAS découvertes autour de l’usine chimique 3M, a annoncé lundi l’entreprise.
Les Pays-de-la-Loire ont subi ces dernières années des records de chaleur. Pour les exploitants, il faut réfléchir à l’adaptation des cultures, ce que fait une ferme expérimentale du coin.

octobre 2023

La déforestation augmente la température jusqu’à 100 kilomètres de distance. Ce résultat scientifique devrait inciter les agriculteurs brésiliens, plutôt favorables à la déforestation, à réfléchir.
Plusieurs agriculteurs ont dénoncé le projet d’autoroute A69, lors de la mobilisation du 21 octobre dans le Tarn. Malgré les pressions et les champs coupés en deux, beaucoup restent silencieux.

septembre 2023

Selon une enquête rendue publique ce mercredi 20 septembre, les professionnels sont heureux et fiers d’exercer en agriculture biologique, mais ont besoin de soutien pour tenir.
La détaxe sur le gazole dont bénéficient certaines professions sera supprimée pour les agriculteurs et les entreprises de travaux publics, mais pas les transporteurs routiers, afin de préserver leur "compétitivité", a annoncé jeudi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.

juillet 2023

Près de huit agriculteurs wallons sur 10 (77%) affirment rencontrer des difficultés liées aux changements climatiques, des difficultés largement perçues comme structurelles et nuisibles à la rentabilité financière des exploitations, ressort-il d'une étude réalisée par la banque CBC auprès d'un échantillon représentatif de 300 agriculteurs.

avril 2023

Les discours incitant à s'équiper en systèmes d'irrigation plus efficaces ou à privilégier des cultures moins gourmandes en eau se multiplient. Mais dans les champs, par souci financier, on hésite à prendre le risque de tels choix stratégiques.
De nombreux écologistes – militants, écologistes, élus... – sont attaqués ces derniers mois. Une flambée de violences attisée par l’État. C’est un sinistre feuilleton. Depuis quelques mois, les agressions contre les défenseurs de l’environnement se multiplient. Il y a les violences perpétrées par l’État, comme celles vécues par les militants antibassines à Sainte-Soline le week-end du 23 mars. Mais pas uniquement. Des pêcheurs, des agriculteurs, des chasseurs... attaquent ou intimident militants, élus ou (...)

mars 2023

La violence n’est pas que du côté des opposants aux méga-bassines. Protégés par la FNSEA et les instances gouvernementales, des agriculteurs défendent leur modèle intensif jusqu’à l’illégalité.
En déplacement au plus grand réservoir d'eau douce d'Europe de l'Ouest, Emmanuel Macron a voulu préparer la France aux sécheresses causées par le réchauffement climatique et annoncé jeudi un "plan de sobriété" sur l'eau pour tous les secteurs économiques et les particuliers, tout en ménageant les agriculteurs.
La justice retoque la soif de l’État. Le 7 mars, la cour administrative d’appel de Bordeaux a annulé une autorisation de prélèvement de plusieurs millions de mètres cubes d’eau dans les sous-bassins de l’Antenne-Rouzille, de l’Arnoult, du Bruant, de Charente-aval, de la Gères-Devise et de la Seugne. Programmée sur une décennie, celle-ci avait été accordée en 2017, par les préfets des deux Charentes, à la chambre régionale d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine. L’établissement public étant chargé de la gestion (...)

février 2023

Des centaines d’agriculteurs en tracteur manifestent à Paris après la décision du gouvernement de renoncer à autoriser les insecticides néonicotinoïdes pour la culture de la betterave sucrière.

janvier 2023

1. Introduction : l’agriculture, un secteur face à une transition existentielle L’anthropocène est un concept polysémique et paradoxal qui entend globalement montrer que la pérennité de l’aventure ...

décembre 2022

Des agriculteurs bloquent ce mercredi midi un entrepôt du groupe Colruyt à Ghislenghien. Ils protestent contre l'attitude du groupe, qui participe, selon eux, à la précarisation de leur métier. "On demande au groupe Colruyt d'arrêter d'acheter des terres agricoles à un prix qui est bien au-delà du marché", explique Vincent Delobel, agriculteur et membre du syndicat agricole FUGEA. "Ils sont responsables de la montée des prix des terres agricoles. Ensuite, l'autre problème, c'est qu'une fois ces terres acquises, Colruyt refuse de les louer aux agriculteurs sous bail à ferme. Ils inventent des formes de contrats qui leur sont propres, et qui sont beaucoup plus précaires pour l'agriculteur."

octobre 2022

En raison de la désertification et de la sécheresse, qui ont drastiquement réduit les surfaces cultivables, et du manque de soutien du gouvernement, être agriculteur devient intenable en Irak. Ils sont nombreux à abandonner leurs terres et à migrer, raconte le journal “Al-Araby Al-Jadid”.
Comment stocker les récoltes ou conserver du poisson quand les coûts de l'énergie flambent? Agriculteurs et pêcheurs appellent l'Etat à l'aide, face au "risque d'effondrement" de filières essentielles et stratégiques. A la tête de l'Union du mareyage français, qui regroupe 400 entreprises et 10.700 salariés, Peter Samson n'en finit pas de lister les urgences: certains de ces professionnels, qui achètent en gros poissons et crustacés frais, les préparent et les revendent, sont au bord de la faillite. Fragilisé par la crise du Covid, puis celle du Brexit, le mareyage ne pourra supporter le choc énergétique sans aide, assure-t-il à l'AFP. "Aux tarifs d'aujourd'hui, une PME bretonne qui avait en 2021 une facture de 200.000 euros d'électricité passerait à 800.000 euros", dit-il. Insoutenable pour une filière où la chaîne du froid, des criées aux étals, pèse lourd sur la facture. "On ne s'en sort qu'en faisant du volume, or là, les débarquements de poissons ont baissé, notamment à cause du prix du

septembre 2022

Les syndicats agricoles dénoncent un "accaparement des terres" par Colruyt.