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Un second El Niño, jusqu'alors inconnu des scientifiques, est-il responsable de conséquences météo que personne n'avait réussi à comprendre jusqu'à maintenant ? C'est ce que révèle une nouvelle étude publiée dans Journal of Geophysical Research : Oceans.
Selon une étude publiée ce mardi et qui a reconstitué les températures du passé pour les mois de juin à août, l'été 2023 a été le plus chaud en 2000 ans.
L'été 2023 a battu tous les records en devenant l'été le plus chaud depuis deux millénaires dans les zones tempérées de l'hémisphère nord.
En observant les cernes des arbres, une équipe de chercheurs a pu définir que l’été 2023 était plus chaud, d’au moins un demi-degré, que l’été le plus chaud avant l’ère industrielle dans les zones tempérées de l’hémisphère Nord.
Rouge écarlate, voire noire. L'Amérique du Sud et l'Afrique suffoquent sous des chaleurs extrêmes depuis plusieurs jours, faisant tomber les uns après les autres les records de températures. Au Soudan du Sud, les écoles ont été contraintes de fermer leurs portes, pour une durée indéterminée. Une première dans un pays où les fortes chaleurs ne sont pas rares.
Alors que le Carnaval de Rio a commencé ce vendredi, le Brésil connaît une épidémie de dengue exceptionnellement importante, une maladie parfois mortelle et transmise par les moustiques. Les experts en santé publique estiment qu'il s'agit d'un signe avant-coureur d'une recrudescence des cas dans les Amériques, et dans l'hémisphère nord.
Chaleurs étouffantes, incendies meurtriers, tempêtes de grêle et inondations : en ce mois de juillet, les aléas climatiques extrêmes se multiplient en Italie, en Grèce, aux États-Unis, au Canada ou encore en Algérie. Notre tour d’horizon en vidéo, pour mesurer l’ampleur de la crise.
Le brûlantissime mois de juillet fait rôtir la planète entière. Morts, forêts ravagées et nuits super tropicales sont les conséquences de la chaleur caniculaire qui s’étend dans l’hémisphère Nord.
Selon le service européen Copernicus sur le changement climatique, les quinze premiers jours de juillet ont été les quinze jours les plus chauds jamais enregistrés.
L’épisode caniculaire persistera dans le sud de la France mercredi, avec neuf départements placés en vigilance orange par Météo-France.
The predicted El Niño is a worry, but it doesn’t guarantee the record-breaking heat we’re seeing in parts of the Northern Hemisphere.
L'hémisphère Nord poursuit sa semaine sous une chaleur accablante. En Europe, les températures restent au-dessus des 40 °C en Italie et en Espagne et sept départements sont désormais en vigilance canicule en France. Plusieurs records devraient tomber aux États-Unis.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.
Dôme de chaleur dans le sud des Etats-Unis, alertes rouges en Italie, au Japon ou en Roumanie, incendies en Espagne… une nouvelle semaine de canicule commence dans beaucoup de zones d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Asie.
- Afp
L'hémisphère nord entame lundi une nouvelle semaine sous une chaleur accablante, avec en Europe des températures attendues au-dessus des 40° en Italie ou encore des alertes canicule en Espagne, des feux dévastateurs continuant de sévir au Canada et en Californie.
- Novethic
Dôme de chaleur aux États-Unis, la barre des 10 millions d'hectares brûlés franchie au Canada, des alertes canicules en Espagne, en Italie et en France avec plus de 40°C attendus, l’Acropole d’Athènes fermée en raison des fortes températures, coup de chaleur au Japon et record de température en Chine : l’été 2023 confirme que le changement climatique est bel et bien à l'œuvre et qu’il frappe l’hémisphère Nord de plein fouet.
De l’Europe à la Chine en passant par les Etats-Unis, les températures ne cessent de s’envoler, contraignant les autorités à prendre des mesures drastiques pour faire face à ces vagues de chaleur et à de nouveaux incendies.
Europe, États-Unis, Canada, Chine, Japon... dans l'hémisphère nord, des millions de personnes sont confrontées depuis samedi, et encore dimanche, à un épisode de canicule, des intempéries exceptionnelles ainsi que des incendies.
Une canicule record persiste ce dimanche dans le monde, de l’Europe à la Chine en passant par les Etats-Unis. Illustrations concrètes du réchauffement climatique, incendies et inondations se multiplient un peu partout.
Alors que les records pour la saison, voire absolus, sont battus sur plusieurs continents, les autorités mettent en garde contre le risque grave pour la santé que représentent ces périodes caniculaires.
La World Weather Attribution publie une étude qui lie le changement climatique et l’alarmant déficit d’humidité des sols d’Europe de l’Ouest et du centre.
Une étude révèle que l'Europe de l'ouest est l'une des zones du monde les plus touchées par les canicules depuis 40 ans. Cette région du monde se réchauffe 3 à 4 fois plus vite que les autres situées aux mêmes latitudes dans l'hémisphère nord, en raison d'un changement au niveau du courant jet.
Pour la première fois, des travaux ont démontré un lien de cause à effet entre la présence d’un déficit en ozone au-dessus du pôle nord et la survenue de certaines anomalies météorologiques à l’échelle de l’hémisphère. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Geoscience ce 7 juillet.
Most marine-terminating glaciers in the Northern Hemisphere are shrinking; some have completely left the water.
Researchers from the Northwest Institute of Eco-Environment and Resources of the Chinese Academy of Sciences (CAS) and their collaborators published a high-accuracy and high-resolution permafrost map over the Northern Hemisphere.
Des températures très élevées sont enregistrées dans l’hémisphère sud, où c’est l’été austral. Ces records sont le signe du réchauffement climatique. Et entraînent des conséquences multiples.
Une chaleur étouffante s'abat dans l'hémisphère sud, de la côte ouest de l'Australie jusqu'à l'Argentine, en passant par l'Uruguay où un nouveau record vient d'être battu. Les températures dépassent la barre des 40°C, voire même des 50°C comme ce fut le cas en Australie, menaçant la santé des populations, l'approvisionnement en eau et en énergie ou encore l'agriculture.
À l’occasion de la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone, les scientifiques du Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) font un premier point sur le trou stratosphérique qui apparaît chaque année au printemps austral et sur la couche d’ozone qui protège la Terre des propriétés nocives des rayons du soleil.
Les chercheurs sont formels, d'après une étude publiée jeudi, le réchauffement climatique dans l'Arctique est responsable des vagues de froid polaire en hiver dans l'hémisphère nord, en Asie mais surtout aux États-Unis. Comme celle qui a balayé le Texas en février dernier, faisant des dizaines de morts et des centaines de milliers de dollars de dégâts. Une découverte qui soulève l'urgence à mieux se préparer à des ondes de froid extrême, même si de façon générale le globe se réchauffe.
Des États-Unis à l’Allemagne en passant par la Sibérie, une quarantaine de pays sont actuellement frappés par des crues, des incendies et des vagues de chaleur d’une ampleur inédite.