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octobre 2025

Dix ans après l'adoption de l'accord de Paris, la diplomatie climatique se trouve à l'heure des bilans et des questions, dans un monde qui continue de se réchauffer et reste divisé par des fractures géopolitiques et économiques. Pour la présidence brésilienne de la COP30 (10-21 novembre), organisée à Belem, un nouveau chapitre s'ouvre: celui de la mise en œuvre des promesses formalisées depuis 2015 dans le cadre de négociations onusiennes fondées sur le consensus. A Paris, 196 pays s'étaient alors engagés à maintenir le réchauffement climatique "bien en dessous" de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C.

août 2024

Under current emission trajectories, temporarily overshooting the Paris global warming limit of 1.5 °C is a distinct possibility. Permanently exceeding this limit would substantially increase the probability of triggering climate tipping elements. Here, we investigate the tipping risks associated with several policy-relevant future emission scenarios, using a stylised Earth system model of four interconnected climate tipping elements.

décembre 2023

Prévision scientifique: le réchauffement planétaire atteindra 1,5°C en moyenne annuelle mondiale dans les prochaines années. Volonté dans les COP: « keeping 1.5 alive »… Maintenir « en vie » l’objectif de l’Accord de Paris le plus longtemps possible. Sur le papier. Jusqu’à quand ? Décryptage.
Les pays développés de l'OCDE doivent abandonner toutes les énergies fossiles d'ici 2040, et le reste du monde d'ici 2050, selon une réévaluation de climatologues réputés, qu'ils ont adressée vendredi au patron de l'ONU et à l'ONU Climat, en pleines négociations de la COP28.Cette note, consultée par l'AFP, conclut à la nécessité d'adopter un tel calendrier, plus serré que prévu, si le monde veut limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, coeur des négociations qui se tiennent à Dubaï jusqu'au 12 décembre.
Alors que le réchauffement planétaire se rapproche dangereusement du seuil critique de 1,5°C, la COP28 se mobilise pour maintenir cet objectif vital. Ce défi majeur a des implications aussi bien scientifiques, politiques que technologiques.
Le dépassement de l’objectif +1.5°C de réchauffement mondial est un sujet qui revient fréquemment sur la table. Pour certain(e)s, il n’y a aucune chance de préserver cet objectif. Pour d’autres, à l’instar du célèbre climatologue Michael E.Mann, c’est encore possible.
Dans un commentaire publié ce 30 novembre, le directeur exécutif de l'AIE Fatih Birol souligne « cinq mesures interdépendantes » à mettre en œuvre pour « maintenir la porte ouverte » à une trajectoire « 1,5 °C ». 5 mesures d'ici à 2030 L'AIE appelle, d'ici à 2030, à simultanément :

mai 2023

Le climatologue Jean Jouzel vient de publier un livre d’entretiens où il raconte son itinéraire de chercheur engagé pour le climat. Il a contribué, depuis les années 1970, à un travail scientifique mondialement reconnu sur l’étude des climats du passé pour comprendre le climat présent à partir de l’analyse de carottes de glace. Il a assumé des responsabilités au sein du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) mandaté par les Nations unies pour éclairer et mobiliser les décideurs politiques.

novembre 2022

Le monde peut encore garder le réchauffement climatique "bien en-deçà de 2°C", à condition de quadrupler d'ici 2030 les capacités d'électricité décarbonée et d'investir massivement en particulier dans la capture du carbone et l'hydrogène, souligne mercredi un rapport de BloombergNEF (BNEF). "Des chemins existent encore pour rester bien en-deçà de 2°C de réchauffement (par rapport à la période pré-industrielle), si les gouvernements et les entreprises agissent de façon déterminée en faveur des énergies et des technologies bas carbone", souligne l'édition annuelle du New Energy Outlook, publié par le cabinet d'expertise BNEF quelques jours après la fin d'une COP27 peu concluante en termes d'ambition climatique mondiale.
Élimination technologique du CO2 atmosphérique, injection de particules dans la stratosphère pour bloquer les rayons solaires… Les projets de géo-ingénierie attirent la COP27 pour « réduire les risques du dépassement » de 1,5 °C de réchauffement.

mai 2022

De plus en plus d’experts des changements climatiques, d’économistes et de penseurs préconisent la décroissance comme solution à la crise climatique. Plusieurs d’entre eux estiment même qu’il s’agit de la seule et unique solution. Pourquoi? On vous explique.

janvier 2022

Au XXIe siècle, est-ce vraiment possible de vivre dans un pays développé en émettant moins de 2 tonnes de CO2e par an ? Petit rappel : cette étape est indispensable pour pouvoir atteindre la neutralité carbone, respecter les engagements de notre pays et conserver une planète habitable. Pour être franc : oui et non.

décembre 2021

Pour rester alignés sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, quelle est l’ampleur des mesures à mettre en œuvre ? - Infographie
Quel est le niveau d’ambition nécessaire pour parvenir à limiter le réchauffement climatique à une augmentation de 1,5°C ? Qu’est-ce que ça signifie en France ? Quels types de mesures doivent-être appliquées pour y parvenir ? Peut-on réellement suivre cette trajectoire ? Et d’ailleurs que signifie concrètement limiter le réchauffement climatique à 1,5°C à la surface de la Terre par rapport au niveau préindustriel ?

novembre 2021

Après une baisse notable des émissions de gaz à effet durant la pandémie de Covid-19, celles-ci repartent de plus belles à l'unisson de la dynamique de la relance économique qui se montre toujours fortement dépendante des combustibles fossiles, ce qui n'augure rien de bon pour les objectifs de neutralité carbone. Le Global Carbon Project, regroupant scientifiques et experts du monde entier, s'en inquiète.

octobre 2021

Il s’avère que seule la Gambie est en passe de tenir un tel objectif. Ce pays représente environ un cent-millième des émissions de CO2 mondiales ! Un constat accablant.

septembre 2021

Pour atteindre l'objectif climatique porté par l'Accord de Paris, l'humanité doit décroître sa production de pétrole et de gaz de 3 % par an d'ici 2050. Cela signifie qu'il est nécessaire de laisser sous terre plus de la moitié de ces réserves de pétrole et 90 % des réserves de charbon, indique une étude parue dans la revue Nature début septembre. Mais le monde est sur la trajectoire inverse.
Début août, le Giec, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, a publié le premier volet de son sixième rapport. L’éclairage de Valérie Masson-Delmotte, coprésidente du Groupe de travail I du Giec, auteur de ce volet.
Limiter le réchauffement climatique mondial à 1,5 °C est impossible sans une réduction immédiate et massive des émissions de gaz à effet de serre, selon un nouveau rapport sur le sujet diffusé jeudi par l’ONU, quelques semaines avant la COP26 à Glasgow. Selon le document, le changement climatique et ses conséquences ne cessent de s’aggraver, et la réduction temporaire des émissions de CO2 dans l’atmosphère entraînée par la pandémie de Covid-19 n’a pas ralenti le processus.
Limiter le réchauffement climatique mondial à 1,5°C est impossible sans une réduction immédiate et massive des émissions de gaz à effet de serre, selon un nouveau rapport sur le sujet diffusé jeudi par l'ONU.
This article argues that resource and logistical constraints weighing on low-carbon energy and CO2 capture technologies are likely to pave the way for geo-engineering solutions such as Stratospheric Aerosol Injection (SAI), which demand negligible land, material, and energy inputs. This “climate transition without carbon transition”, though technically feasible, is far from being that simple, raising a whole new set of environmental risks as well as geopolitical, institutional, and ethical issues.
Une étude parue dans la revue scientifique renommée « Nature » fait le point sur la quantité d’énergies fossiles à ne pas extraire pour avoir une petite chance de ne pas dépasser +1,5°C de réchauffement moyen et empêcher l’augmentation en intensité des catastrophes climatiques.
Il y a plusieurs façons de calculer comment les pays riches pourraient atteindre leurs cibles de réduction des gaz à effet de serre. Mais l’une d’elles est sans équivoque: pour éviter de dépasser le seuil de 1,5 degré, il faudrait laisser dans le sol près de 90% des réserves encore inexploitées de charbon, et 58% de celles de pétrole.
Atteindre la neutralité carbone se chiffre en centaines de milliards. Comment atteindre cet objectif au meilleur coût quand, dans la catégorie des gaz à effet de serre (GES) qui s'accumulent dans l'atmosphère, tous n'agissent pas de la même manière sur le réchauffement climatique. Des travaux montrent que se concentrer sur les gaz dits de courte durée de vie peut être pertinent pour agir sur les gaz dits de longue durée.

juillet 2021

Le Royaume-Uni risque de connaître des températures estivales dépassant les 40°C même si le réchauffement climatique de la planète reste limité à 1,5°C, ont averti jeudi des météorologistes.
Nous voulons que les dirigeants mondiaux réagissent avec le même sentiment d’urgence au défi du changement climatique qu’à celui de la pandémie, assure Alok Sharma. À cent jours de la COP26, son président exhorte les pays donateurs du G7 à augmenter leurs engagements financiers dans la lutte contre les changements climatiques.
Vouloir limiter le réchauffement climatique global à +2°C et communiquer en ce sens est une erreur. Une erreur car une immense majorité de la population française (voire mondiale) ne sait pas ce que cela signifie, et/ou n’en connait pas les conséquences. C’est parfois même un choix délibéré de certaines entreprises ou politiques souhaitant un certain Business as Usual, qui établissent leur stratégie économique sur ces +2°C, évoquant un certain “pragmatisme”.

mai 2021

1.5 °C scenarios reported by the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) rely on combinations of controversial negative emissions and unprecedented technological change, while assuming continued growth in gross domestic product (GDP). Thus far, the integrated assessment modelling community and the IPCC have neglected to consider degrowth sce- narios, where economic output declines due to stringent climate mitigation. Hence, their potential to avoid reliance on negative emissions and speculative rates of technological change remains unexplored. As a first step to address this gap, this paper compares 1.5 °C degrowth scenarios with IPCC archetype scenarios, using a simplified quantitative repre- sentation of the fuel-energy-emissions nexus.
The number of countries announcing pledges to achieve net zero emissions over the coming decades continues to grow. But the pledges by governments to date – even if fully achieved – fall well short of what is required to bring global energy-related carbon dioxide emissions to net zero by 2050 and give the world an even chance of limiting the global temperature rise to 1.5 °C.

juillet 2020

Analyse et modélisation de l’impact climatique du transport aérien actuel et à venir en France
Le secrétaire d’Etat aux Transports a récemment annoncé la suppression des vols domestiques dont le trajet peut se faire en train en moins de 2h30. Cette mesure, décriée par le secteur aérien, s’appuie pourtant sur des raisons d’ordre écologique. L’étude « Climat : Pouvons-nous (encore) prendre l’avion ? », sortie ce 21 juillet 2020, le prouve : il est indispensable de réduire drastiquement l’usage de l’avion, tant son impact environnemental est élevé et ne cesse de croître au moment même où nous vivons un désastre global.

novembre 2019

Les principales économies mondiales, rassemblées au sein du G20, n'en font pas assez pour parvenir à limiter la hausse des températures à 1,5°C, comme prévu par l'accord de Paris sur le climat, ressort-il du rapport annuel "Brown to Green" de l'organisation Climate Transparency publié lundi.

septembre 2019

avril 2019

Résumé à destination des enseignants. « chaque degré compte, chaque année compte et chaque décision compte : ne pas agir aujourd’hui c’est ajouter au fardeau des générations futures. limiter le réchauffement à 1,5°c n’est pas impossible mais nécessite une politique forte et immédiate. ». Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail du GiEc (8 octobre 2018 – intervention au Sénat)

mars 2019

Le GIEC a accepté cette invitation en avril 2016, et a décidé de préparer ce rapport spécial sur les effets d’un réchauffement climatique de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels et les profils d’émission de gaz à effet de serre associés, dans le cadre d'un renforcement de la réponse mondiale à la menace du changement climatique, d'un développement durable et des efforts visant à éradiquer la pauvreté.

février 2019

Quelles seraient les mesures concrètes à mettre en place en France dans notre quotidien pour « s’aligner sur une trajectoire compatible avec les 1,5°C » ? Telle est l’interrogation d’une analyse publiée début février par le bureau d’études B&L Évolution , dont les conclusions font depuis l’objet de nombreuses réactions.
La sortie du rapport spécial du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) sur les 1,5 °C en octobre dernier montre qu'il est nécessaire et même vital de prendre des mesures « ambitieuses », « drastiques », « profondes ». Est-ce réellement faisable ? Peut-on encore espérer rester sous les 1,5°C ? S'aligner sur une trajectoire 1,5 ° C signifie que l'empreinte carbone de la France doit passer de 10,5 tonnes de CO2 par habitant en 2017 à 3,7 tonnes de CO2 en 2030, ce qui implique des changements profonds dans tous les secteurs.
Analyse de la faisabilité technique et mise en perspective de l’ampleur et de la rapidité des mesures à mettre en place.
Comment répondre à la fois aux aspirations des gilets jaunes et à l'impératif écologique ? Une piste : la création d'une «carte carbone» qui repose sur un quota annuel de droits d'émissions de CO2 pour chaque habitant.
Une étude du bureau d'étude B&L liste les mesures qu'il faudrait prendre sous 10 ans si nous voulions vraiment éviter que le réchauffement climatique ne dépasse le seuil critique des 1,5°C dans le monde. Attachez vos ceintures, ça secoue
Au Nord, les États-Unis meurent littéralement de froid tandis qu’au Sud, les Australiens connaissent une canicule spectaculaire. Sans aucun doute, un effet du changement climatique. Pour rester alignés sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, le cabinet d’analyse BL Évolution a analysé les mesures concrètes à mettre en œuvre en France. Parmi elles, la réduction du nombre de voitures, la baisse de la consommation liée au chauffage ou encore la taxation des produits importés…

novembre 2018

Henri Waisman, vous êtes chercheur senior au sein du programme Climat qui est axé sur les trajectoires de développement bas carbone à long-terme. Coordinateur du Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP), vous cherchez à mobiliser l’analyse de long terme comme outil de soutien au processus politique enclenché par l’Accord de Paris. C’est notamment dans ce cadre que vous avez été chargé de rédiger le chapitre 5 "Développement durable, éradication de la pauvreté et réduction des inégalités" du rapport spécial 1,5°C du GIEC.

octobre 2018

Le dernier rapport spécial du GIEC, présenté le 8 octobre dernier, fait suite à la COP21 et à la signature de l’Accord de Paris, dans lequel les États s’engagent à agir pour « contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels [et à] poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Le GIEC a été invité à produire un rapport portant sur les impacts du réchauffement planétaire de 1,5 ° C par rapport aux niveaux préindustriels, et sur les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre.
Le nouveau rapport des experts internationaux sur le climat (GIEC) est l’ultime alerte avant un monde en crise permanente. Les émissions de gaz à effet de serre ont déjà fait grimper la température mondiale de 1°C depuis la révolution industrielle. Et "il est probable" que le réchauffement atteigne 1,5°C entre 2030 et 2052. À cette température, les impacts sur le niveau des eaux, la biodiversité, la sécurité alimentaire sont déjà majeurs.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat rend publique ce lundi sa première étude sur les effets d’un réchauffement de 1,5 °C des températures mondiales. Cette limite que 197 Etats s’étaient engagés à respecter fin 2015, lors de la COP 21, aura tout de même de graves conséquences sur la planète.

mars 2018

Adopté en 2015, l’Accord de Paris propose de « Contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C. » À ce titre, les États ont demandé aux spécialistes du GIEC de « produire en 2018 un rapport spécial sur l’impact d’un réchauffement global de 1,5 °C ». Ce document est attendu pour octobre 2018. À quoi va-t-il servir ?

août 2017

If you read or listen to almost any article about climate change, it’s likely the story refers in some way to the “2 degrees Celsius limit.” The story often mentions greatly increased risks if the climate exceeds 2°C and even “catastrophic” impacts to our world if we warm more than the target.

décembre 2015

Quel chemin nous permettrait de rester sur une trajectoire à 1-5°c ?
La conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques (ou Conférence Stockholm + 50), qui s'est tenue du 30 novembre au 12 décembre 2015 - soit un demi siècle après la Conférence de Stockholm - au Bourget en France, est à la fois la 21e conférence des parties (d'où le nom COP 21) à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et la 11e conférence des parties siégeant en tant que réunion des parties au protocole de Kyoto (CMP 11)[1],[2]. Chaque année, les participants de cette conférence se réunissent pour décider des mesures à mettre en place, dans le but de limiter le réchauffement climatique.

novembre 2015

Un ou deux degrés Celsius de plus à la surface de la Terre… Pas de quoi fouetter un chat et vive la perspective d’étés plus agréables, vous dites-vous ? Grave erreur ! Un monde légèrement plus chaud en moyenne – c’est désormais inéluctable ! – ne ressemblera plus à celui d’aujourd’hui. Mais avons-nous encore le temps de nous y préparer ? Faisons le point sur les connaissances scientifiques les plus récentes…


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