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Géopolitique
C’est l’histoire d’une guerre qui défie le temps, les traités… et les marchés. Alors que le conflit russo-ukrainien s’enlise et que les perspectives de négociations paraissent de plus en plus incertaines, les experts de JPMorgan Chase, première holding bancaire américaine, dressent une cartographie des issues possibles. Derrière les scénarios dits géorgien, sud-coréen, israélien ou biélorusse, une même ligne de fracture : entre concessions politiques et garanties de sécurité, quelle paix peut encore émerger d’un champ de ruines ? À la clef, pour les marchés et les investisseurs, un enjeu stratégique majeur : évaluer les risques systémiques d’une guerre qui redessine l’ordre mondial et ses équilibres économiques.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Matthieu Auzanneau,, auteur et directeur du think tank de la transition énergétique The Shift Project nous abordons l’inexorable épuisement des ressources fossiles et ses conséquences géopolitiques (Golfe Persique, Irak, Ukraine) La dépendance de l’Europe au pétrole et au gaz. Les grands moments historiques du pétrole (pic de 1970, Mer du Nord, boom du shale aux USA) Les premiers accords climatiques (Protocole de Kyoto) et la croissance paradoxale de la consommation de gaz L’analogie du corps humain pour montrer que l’énergie est l’« organe vital » de nos sociétés Les pistes de sortie de la « marriage pétrolier » : sobriété organisée, souveraineté industrielle, transition vers les renouvelables Et un appel à l’élaboration d’un plan clair et collectif pour réduire la dépendance aux énergies carbonées « Decarbonons la France ! »
La chercheuse en géopolitique Christine Dugoin-Clément, en revenant sur les actions non revendiquées, cyberattaques et autres campagnes de désinformation lancées par le régime de Vladimir Poutine depuis 2007, celui-ci a sapé avec efficacité l’ordre international.
Dans cette vidéo de LIMIT, nous abordons la question cruciale de l'eau, une ressource devenue rare et vitale. Charlène Descolonges, ingénieure hydrologue, nous éclaire sur les enjeux de la gestion de l'eau face aux crises climatiques. Nous discutons des risques de sécheresse, de la réutilisation des eaux usées, des conflits géopolitiques liés à l'eau, et des solutions possibles pour agir à l'échelle individuelle et collective. Un appel à prendre conscience de notre empreinte eau et à revoir notre gestion de cette ressource vitale, en particulier face à l'impact du changement climatique.
Dans l'océan Indien, les États-Unis disposent d'une base militaire isolée de tout mais stratégique pour l'armée américaine : Diego Garcia. Située dans l'archipel de Chagos, elle s'apprête à changer de souveraineté alors que l'Iran menace de la bombarder. Un autre territoire que Donald Trump pourrait envisager d'annexer ?
Alors que le gouvernement de Joe Biden aidait presque secrètement les troupes de Volodymyr Zelensky, avec un partenariat secret de coopération mené sur le terrain pour s'échanger des informations sur la stratégie de l'ennemi russe, il se murmure du côté du Pentagone qu'on ne tiendrait plus le même son de cloche depuis que Donald Trump a posé ses valises à la Maison Blanche. En effet, comme l'informe le Washington Post, qui a mis la main sur un document intitulé "Orientations stratégiques provisoires pour la défense nationale", les Etats-Unis n'aideraient pas, ou du moins très peu, l'Europe en cas d'attaque russe.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
« Nous allons obtenir le Groenland. Oui, à 100 % ! », a encore répété Donald Trump dimanche, dans une interview accordée à NBC News.
L’avènement du néolibéralisme est souvent associé à l’élection de Margaret Thatcher au Royaume-Uni en 1979 et de Ronald Reagan aux États-Unis l’année suivante. En réalité, cette rationalité politique s’est lentement glissée au sein des politiques économiques à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, à la faveur d’une lente intégration de l’Europe de l’Ouest et des États-Unis. Retour sur la lente et discrète ascension des idées néolibérales qui visaient initialement à fonder la paix mondiale sur l’intégration marchande des nations, à l’heure où la déception générée par leurs promesses non tenues se manifeste en de nombreux lieux de la planète.
À Delhi, Moscou et Pékin et dans bien d'autres capitales de pays autocratiques, on sabre le champagne en voyant le président Trump à l'œuvre depuis quelques semaines. Enfin un monde débarrassé de l'hégémonie américaine. L'arrivée de D. Trump à la Maison Blanche conforte l'idée selon laquelle la structure internationale évolue vers un monde multipolaire. Pourtant, ce monde multipolaire qui se profile est loin d'être celui naïvement rêvé par les Européens. En effet, contrairement à notre croyance, multipolarité n'est pas synonyme de multilatéralisme.
Si Pékin est officiellement resté silencieux, samedi 1er mars, la presse liée au régime s’est gargarisée de la position inconfortable des alliés de Washington, coupable de s’en être remis à la première puissance mondiale pour leur sécurité.
À Munich, l’Europe a vécu une accélération de l'Histoire. Le discours violent du vice-président américain JD Vance contre les institutions européennes a offert un moment de vérité. L’idée européenne est attaquée de toute part par la Russie ou la Chine, mais désormais aussi explicitement par les États-Unis.
Le 7 février, le président américain a signé un décret suspendant toutes les aides américaines à destination de l’Afrique du Sud. Il offre également à la communauté blanche afrikaner, qui serait victime de “discrimination raciale injuste”, le statut de réfugié. Une annonce qui a semé le malaise jusque chez les principaux intéressés.
La nouvelle administration américaine multiplie les critiques contre son allié historique européen et affirme sa volonté de redessiner les équilibres géopolitiques. Dans son dernier numéro, l’hebdomadaire italien “L’Espresso” passe en revue les conséquences de ce “tournant profond” dans la relation transatlantique.
L'OTAN travaille sur une proposition adressée au président américain Trump visant à accroître considérablement la présence militaire de l'alliance dans l'Arctique, ont déclaré des sources de l'OTAN à l'agence de presse allemande DPA. Le plan devrait apaiser les tensions au Groenland. Trump a déclaré à plusieurs reprises qu'il souhaitait annexer militairement le territoire autonome danois si nécessaire.
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