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corps humain
Deux spécialistes de la nutrition décrivent, sur le plan physiologique, les différentes étapes de dégradation du corps humain lorsqu’il est soumis à des famines comme celles qui sévissent à Gaza et au Soudan. Contraint de puiser dans ses réserves, l’organisme est alors de plus en plus vulnérable aux infections telles que la pneumonie ou d’autres complications.
Devant l'ampleur de la diffusion mondiale des idées du Président américain, il est plus que jamais impératif de sensibiliser la population à la nécessité de défendre des fondamentaux comme la séparation des pouvoirs, le rôle des corps intermédiaires, la lutte contre la discrimination, la liberté académique ou encore l'universalisme des droits humains, martèle l'essayiste Carlos Crespo.
Nous sommes exposés quotidiennement à d’innombrables substances chimiques, dont certaines peuvent être délétères pour notre santé. Mesurer efficacement les effets de cette pollution est un défi de taille.
Cancer du poumon, endométriose, perturbateurs endocriniens… A quelques semaines de la fin des négociations du traité international contre la pollution plastique, l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a réuni des chercheurs au Sénat. Ils ont détaillé les risques de la pollution plastique et des produits chimiques sur la santé humaine.
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Il y a une limite à la chaleur et l'humidité que le corps peut supporter, et le dérèglement du climat pourrait favoriser ces cas de "thermomètre mouillé".
Un mois après l'épisode caniculaire qui a touché le sud de l'Europe à la mi-juin, une nouvelle vague de chaleur frappe la région. Un phénomène appelé à devenir de plus en plus fréquent avec le réchauffement climatique. De quoi donner du fil à retordre au corps humain qui devra s'y habituer.
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta. Une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement, mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta, une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
Le bilan humain du cyclone Batsirai, qui a quitté Madagascar lundi matin, est passé à trente morts, selon un décompte actualisé des autorités, et pourrait s'alourdir alors que des corps continuent à être retrouvés dans les décombres de maisons effondrées.
Les services de météo britanniques ont présenté mardi, en marge de la COP26, un rapport sur l’une des principales conséquences du dérèglement climatique : le stress thermique, qui nuit aux fonctions vitales du corps humain.
Alors que les températures battent des records un peu partout sur notre planète, un scientifique a fait une déclaration qui n’est pas faite pour rassurer. Selon lui, notre organisme possède une “limite thermique”. Or, elle serait déjà presque atteinte en raison du réchauffement climatique.
Le corps humain ne s'adapte pas bien à la chaleur. Une planète transformée en fournaise n'est donc pas bon signe pour nous, d'autant plus que l'hyperthermie n'est pas, et de loin, la conséquence la plus préoccupante du réchauffement pour la survie de l'humanité.
Le corps humain est en effet un organisme qui aime rester à la même température, autour de 37 degrés Celsius. La température de la peau, elle, se situe entre 30 et 33 degrés. Notre corps peut seulement supporter des variations de 4 voire 5 degrés.
Quil sagisse d'humains, dautres espèces animales ou de cultures : la plupart se sentent le mieux entre 17 et 24°C. Sil fait plus chaud et plus humide, les vaches donnent moins de lait, les porcs prennent moins de poids et le blé ne pousse pas aussi bien.Lorsque les gens sont exposés à des températures supérieures à 32°C avec une humidité extrêmement élevée ou à des températures supérieures à 45°C avec une humidité extrêmement faible pendant des périodes prolongées, cela peut être fatal, avertit M. Asseng.
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